Emilie, une artiste en herbe
Cette histoire raconte comment j’ai formĂ© mon Ă©lève de terminale aux techniques de dessin, mais pas seulement au dessin.
Proposée le 9/01/2015 par appetitdogre Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Avant de commencer cette histoire, il me semble intéressant de me présenter. Je m’appelle Cédric, j’ai 32 ans, je suis brun aux yeux bleu et je mesure 1m80. Je suis plutôt bien bâti et les femmes de mon entourage disent que je suis très charmant. Après avoir suivi un cursus long dans une école d’Arts, je suis maintenant professeur d’Arts Plastiques dans un lycée.Nous sommes en mai 2014 et la fin de l’année scolaire approche à grands pas. Je suis en cours avec une classe de Terminale et je tente de leur expliquer les rudiments du dessin d’observation. Déambulant de place en place pour corriger les erreurs de proportions, je m’arrête devant le bureau d’Emilie. Ce n’est pas vraiment la qualité de son esquisse qui me stoppe dans mon élan mais plutôt son décolleté plongeant. Je dois avouer que cette petite dégage quelque chose de très sensuel pour ne pas dire sexuel. Cette belle nana de 17 ans est grande, 1m75 environ. Elle a de longs cheveux blonds et de très beaux yeux vert. Elle arbore fièrement une poitrine énorme qu’elle ne cherche surtout pas à dissimuler. Son corps est assez fin et son postérieur légèrement rebondi est on ne peut plus excitant.La cloche sonne, annonçant la fin du cours mais aussi la fin de la journée. Malgré tout, je ne peux détacher mon regard de ses nichons.
Souhaitant profiter un peu plus longtemps de ce splendide spectacle, j’entame la conversation avec Emilie.- Eh bien Emilie, que comptes-tu faire l’année prochaine après le BAC ?
– Bah… j’aimerais bien faire les Beaux-Arts mais je ne sais pas si j’ai le niveau !
– As-tu prĂ©parĂ© un book ? Avec des photos et des esquisses ?
– Non.
– L’entrĂ©e aux Beaux-Arts se fait sur concours, t’es au courant ? Si tu n’as rien Ă prĂ©senter au jury, tu vas te planter !
– Oui et en plus le concours d’entrĂ©e est en juin, je n’ai plus beaucoup de temps.
– Oui c’est vrai, mais il y a aussi un concours de rattrapage en septembre. A ta place, je tenterais celui de septembre. Comme ça, tu peux profiter des vacances d’étĂ© pour faire ton book. Non ?
– Oui peut-ĂŞtre !Sur ces mots, elle rassemble ses affaires et prend congĂ©.Les semaines passent et les cours se poursuivent jusqu’au BAC. C’est mon dernier cours avec la classe de Terminal d’Emilie. L’heure de cours se dĂ©roule dans une ambiance plutĂ´t euphorique car les vacances approchent. Une fois de plus, la cloche retentit et les Ă©lèves quittent la salle. Emilie se dirige vers mon bureau en me tendant une lettre.- C’est ma mère, elle veut vous demander de passer quelques jours avec moi, chez moi.
– Ah bon ? Dis-je un peu surpris.
– Oui elle souhaite que vous m’aidiez Ă prĂ©parer mon book. Vous savez comment bien prĂ©parer le concours, non ?
– Euh, oui effectivement, mais…
– Vous serez payĂ© ! dit-elle en m’interrompant.
– Mais ce n’est pas une question d’argent, je ne sais pas si…Que voulez-vous rĂ©pondre Ă pareille demande. C’est plutĂ´t embarrassant car en gĂ©nĂ©ral, un bon book est constituĂ© en partie de nu esquissĂ© au fusain ou Ă la craie grasse. Le sait-elle ? En a t-elle conscience ? Bon et après tout, si ça peut lui rendre service.- Bon, rĂ©pond Ă ta mère que je suis d’accord mais nous avons peu de temps pour parfaire tes connaissances. Il va falloir ĂŞtre assidue.
– Ok, quand venez-vous et Ă quelle heure ?
– Disons lundi 7 juillet Ă 9h00, ça te va ?Elle acquiesce d’un signe de tĂŞte et part rejoindre quelques copines qui l’attendent un peu plus loin. J’en profite pour regarder son petit cul. DĂ©cidĂ©ment, elle est vraiment bandante !Jour J, je me prĂ©sente Ă l’adresse indiquĂ©e dans la lettre. Emilie m’ouvre la porte et m’invite Ă rentrer. Elle est vĂŞtue d’une jolie robe, assez courte, mettant en valeur ses longues et fines jambes.
Après quelques politesses et un café prit avec sa mère, nous nous dirigeons vers sa chambre pour travailler. Je lui installe un chevalet et sors de mon sac quelques fusains et des feuilles. En avant pour une séance de nu ! Je commence à me déshabiller tout en lui expliquant ma démarche et le but de l’exercice. Je conserve tout de même mon boxer pour éviter tout malentendu.
Toutes les demies heures, je stoppe l’exercice faire le point avec Emilie. Son approche du dessin est plutôt bonne même si son trait est encore hésitant et maladroit. Les formes sont assez bien maîtrisées dans l’ensemble. Ce n’est pas De Vinci mais c’est en tout cas recevable pour un concours d’entrée.Midi arrive. J’enfile mes affaires et rentre déjeuner chez moi.- Emilie, en attendant mon retour cet après-midi, profites-en pour peaufiner tes esquisses. OK ?
– Oui mais comment ?
– Fais marcher ta mĂ©moire, c’est un bon exercice. Fais aussi marcher ton imagination, c’est très important quand on veut devenir artiste !Il est 15 heures quand je reviens de ma pause dĂ©jeuner. Je m’installe sur son lit et lui demande de me rejoindre avec ses planches de dessins.
Cependant, mon regard est attiré vers plusieurs feuilles chiffonnées près de sa poubelle. Je lui demande pourquoi elle a sabordé une partie de son travail de la matinée. C’est à ce moment-là qu’elle se jette sur les feuilles en essayant de les dissimuler et en prétextant que ce n’est rien, que ce n’est pas grave et qu’elle recommencera plus tard.- Montre-moi ! Dis-je sur un ton ferme.
– Non surtout pas ! Cela n’en vaut pas la peine, c’est nul.
– Eh bien laisse-moi en juger par moi-mĂŞme, ça ne doit pas ĂŞtre si mauvais que ça ! Allez fais voir !
– Non… euh… mais je… ! RĂ©pond-elle en tremblant et en rougissant.
– Allez ! Dis-je en insistant.Elle me tend alors les feuilles. Je les dĂ©froisse dĂ©licatement et regarde ce qui la fait tant rougir. Je suis interloquĂ©, je ne sais plus quoi dire. Je ne sais mĂŞme plus quoi penser ! Je me dĂ©couvre complètement nu !
Emilie a bel et bien fait marcher son imagination comme je le lui avais demandé. Elle m’a doté d’un pénis de bonne taille. Elle m’a même gratifié d’une belle érection sur un de ses dessins.- Mais, qu’est-ce qui t’a pris ?
-…
– Et le pĂ©nis en Ă©rection, pourquoi ?
– …
– Il n’est mĂŞme pas Ă la bonne dimension en plus !
– Je m’excuse, je n’aurais pas dĂ».
– Tu es en manque ou quoi ?
– Non mais…La pauvre est rouge de honte, elle n’ose plus me regarder. Je pense que la sĂ©ance de l’après-midi va ĂŞtre dur.
Je me rends compte que j’y suis allé un peu fort et dans un élan de bonté, je décide de m’excuser.- Excuse-moi Emilie. Tu n’as fait que suivre mes conseils.
– Je voulais simplement dessiner un vrai nu, comme aux Beaux-Arts.
– D’accord mais le sexe en Ă©rection ?
– Oh ça ? Bah disons que c’est un fantasme !
– Est ce que tu veux me dessiner complètement nu ?
– Euh… vraiment ?
– Oui si tu veux faire comme aux Beaux-Arts, je veux bien.
– Et pour l’érection ?
– Pardon ?Ai-je bien entendu ? Et moi qui la croyais prude ! Cette petite n’a de toute Ă©vidence pas froid aux yeux. Que veut-elle exactement ? Et moi, que dois-je faire, elle ne me laisse pas indiffĂ©rent mais bon quand mĂŞme ! Je dĂ©cide sans rĂ©flĂ©chir de voir jusqu’oĂą elle est prĂŞte Ă aller. Je me dĂ©shabille intĂ©gralement sous les yeux de mon Ă©lève. Elle n’en perd pas une miette. Elle louche littĂ©ralement sur ma bite.
Je reprends le fil de la conversation :- Pour l’érection ? Eh bien, je te laisse faire.
– C’est Ă dire ?
– Tu as très bien compris, un homme bande si on s’occupe de lui ! Dis-je en lui prenant la main.Sa main dans la mienne est d’une douceur juvĂ©nile. Je la caresse pour la rassurer sur mes intentions. D’un coup, je plaque sa main contre ma bite. L’instant est crucial, soit elle se prend au jeu, soit je prends une claque magistrale !A ma grande surprise, elle entame un lĂ©ger va et vient. Cette dĂ©licate attention fait prendre Ă ma bite une dimension plus qu’honorable. Je vois les yeux de cette petite cochonne briller comme ceux d’un enfant qui dĂ©balle ses cadeaux de NoĂ«l ! Elle accĂ©lère le rythme de cette dĂ©licieuse branlette. Emilie humidifie ses lèvres avec sa langue comme si elle s’apprĂŞtait Ă dĂ©guster une confiserie. Je jubile ! Mon Ă©lève me branle comme une reine. Je sens l’explosion arriver et dĂ©cide de me dĂ©gager de son Ă©treinte. Je dĂ©fais une Ă une les bretelles de sa robe et les fais glisser tout doucement. Je dĂ©couvre alors deux grosses mamelles lourdes, volumineuses et sublimes. Je la fĂ©licite pour cette imposante poitrine qui me fait face. D’un sourire angĂ©lique, elle me remercie et avoue faire un 90F. Je n’en reviens pas. Ses seins sont une invitation Ă la luxure. Je les soupèse, les caresse, j’écrase entre mes doigts ses deux tĂ©tons. Elle crie d’abord de douleur puis halète doucement, manifestant son contentement. Je me penche sur elle et gobe ses nichons pendant que ma main libre prend possession de son intimitĂ©. J’écarte la fine bande de tissus qui lui sert de string et pose ma main sur son mont de VĂ©nus. Son abricot est imberbe, sa peau est chaude et humide. Emilie dĂ©gouline d’envie, mes doigts sont rapidement recouverts de cyprine, m’invitant Ă une exploration plus poussĂ©e. J’introduis deux doigts dans sa chatte et presse son clito avec mon pousse. Ses yeux entament une danse Ă©trange, tantĂ´t fixes, tantĂ´t rĂ©vulsĂ©s. Son souffle devient court. Elle est maintenant envoutĂ©e, elle se dĂ©hanche sur mes doigts et j’ai l’impression qu’elle pourrait avaler ma main entière dans ses entrailles. Après quelques minutes de ce traitement, elle s’effondre sur son lit… la petite cochonne a pris son pied. Elle me regarde avec ses yeux de biche, elle a l’air satisfait.- Merci pour cet instant magique, j’ai pris un pied terrible ! Si vous voulez, je peux vous masturber. Allongez-vous !Je m’exĂ©cute alors et m’apprĂŞte Ă recevoir ma caresse sans dire un mot. Emilie a un aplomb assez dĂ©stabilisant et elle fait preuve d’une grande maturitĂ© sexuelle pour son jeune âge. Elle serre ma bite dans sa main et commence Ă me branler. Elle presse aussi mes bourses comme des citrons et accĂ©lère la cadence. Elle approche sa bouche de mon sucre d’orge et avale d’un coup mon gland. C’est un vrai aspirateur ! Ses mouvements de mains et ses succions de bouche font monter ma semence assez rapidement. Je la prĂ©viens de ma venue imminente et c’est alors qu’elle me masturbe Ă©nergiquement contre ses nichons. Dans un mouvement de bassin libĂ©rateur, je crache tout mon foutre sur ses splendides seins. Je suis sur un nuage. Je l’embrasse langoureusement et je lui explique qu’il est temps pour moi de m’éclipser. Je lui promets de revenir demain pour poursuivre nos sĂ©ances de travail.Fin de l’Ă©pisode 01. La suite bientĂ´t.
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