La reine du Capricorne- Chapitre 2 : La soumission
HervĂ© va faire de Martine une vĂ©ritable salope soumise Ă tous ses dĂ©sirs et son imagination est grande…
HervĂ© s’occupera de tous ses orifices, lui fera dĂ©couvrir les plaisirs de la sodomie. Martine en bonne salope acceptera tout.
Proposée le 20/12/2018 par Marc Paul Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Après ĂŞtre rentrĂ©e chez elle (lire le chapitre 1), Martine se prĂ©cipita sur l’ordinateur pour envoyer Ă HervĂ© ce qu’il avait demandĂ©. Elle passa dans la salle de bains pour se dĂ©shabiller et prendre une douche, mais après quelques secondes d’hĂ©sitation, elle se ravisa. Elle voulait garder l’odeur d’HervĂ© sur son corps, conserver sa semence en elle jusqu’Ă demain matin. Elle remit sa culotte pour ne pas tacher les draps et s’endormit d’un sommeil rempli de rĂŞves Ă©rotiques.
Le dimanche qui suivit fut bien terne en comparaison des heures intenses qu’elle avait vĂ©cues la veille. Elle espĂ©ra, d’un espoir fou, qu’HervĂ© la contacterai et viendrai la rejoindre. Mais rien? Son tĂ©lĂ©phone resta muet toute la soirĂ©e.Dans la semaine qui suivit, son mari travaillait trois jours Ă partir du mercredi. Le mercredi soir, elle ne quitta pas son tĂ©lĂ©phone, attendant un SMS, un coup de fil. Le jeudi, pareil, et Martine Ă©tait dĂ©sespĂ©rĂ©e. HervĂ© ne reviendrait plus, il l’avait baisĂ©e une fois, l’avait soumise Ă ses dĂ©sirs et il la laissait tomber comme un kleenex usagĂ©. Ses sombres pensĂ©es la dĂ©primaient, des larmes coulaient sur ses joues pendant qu’elle se caressa le jeudi soir. Le vendredi Ă©tait le dernier jour de la semaine oĂą elle serait seule, son mari ne travaillant pas le week-end, elle n’aurait pas l’occasion de voir son bel amant avant lundi. Martine pensa mĂŞme lui tĂ©lĂ©phoner le soir s’il ne lui donnait pas signe de vie. Elle n’en pouvait plus d’attendre, d’espĂ©rer la jouissance qu’elle attendait de lui, elle voulait qu’il la rudoie encore, qu’il la pousse encore plus loin dans le tourbillon Ă©rotique qui l’entraĂ®nait et dans lequel elle se laissait aller avec un mĂ©lange de plaisir et de frayeur.Vendredi soir, six heures cinq, son tĂ©lĂ©phone portable Ă©mit un bip annonciateur d’un SMS. Martine pianota fĂ©brilement sur l’appareil. Un SMS…Hervé… Deux mots : « Ce soir ». Deux petits mots qui rendirent Martine fĂ©brile. Pas d’indication de l’heure, se dĂ©pĂŞcher, ĂŞtre prĂŞte. Marine se rua sous la douche, elle savonna son corps de ses mains, les faisant glisser avec dĂ©lice sur ses seins lourds, sur sa chatte qu’elle avait soigneusement taillĂ©e. Elle prĂ©parait sa chair au plaisir, elle se donna du plaisir elle-mĂŞme, debout sous le jet d’eau chaude, le dos contre le froid carrelage. SĂ©chĂ©e, coiffĂ©e, parfumĂ©e et maquillĂ©e, vĂŞtue seulement de ses chaussures Ă talon, Martine faisait les cent pas, tournait en rond dans sa maison depuis une bonne demi-heure quand la sonnette retentit. Elle vit la voiture d’HervĂ© garĂ©e devant chez elle et elle vit son amant refermer le portail derrière lui. Son cĹ“ur bondit dans sa poitrine et elle courut pour lui ouvrir la porte. HervĂ© entra. Martine se colla Ă lui et lui tendit ses lèvres, il la repoussa sans un mot. Il entra dans le salon, Martine le suivit.HervĂ© posa son blouson sur un fauteuil. Il avait avec lui une grande besace en toile grise. Martine restait debout, interloquĂ©e par cette entrĂ©e en matière glaciale. HervĂ© ouvrit enfin la bouche pour lui dire :
– Tu as fait ce que je t’avais demandĂ©.
– Oui, je me suis douchĂ©e et je me suis caressĂ©e.
– Tu as jouis ?
– Oui.
– Bien, approche !Marine s’approcha de lui, espĂ©rant un baiser comme une chienne espère une caresse.
Pour toute caresse, Hervé lui enfonça son majeur dans le con. Il retira sa main, frotta son doigt avec son pouce, le huma, puis satisfait, il ajouta :
– Parfait, tu es bien mouillĂ©e.Il chercha dans sa besace pour prendre quelque chose. Il saisir d’une main un des gros seins de Martine et fixa un lourd bijou en mĂ©tal sur le tĂ©ton dardĂ© Ă l’aide d’une pince. La douleur du pincement arracha un cri Ă Martine. Impassible, HervĂ© fit subir le mĂŞme sort Ă l’autre sein. Les bijoux de poitrine tiraient les tĂ©tons de Martine vers le bas, tendant ses seins lourds. La douleur s’attĂ©nua lentement.HervĂ© retourna chercher autre chose dans sa besace. Martine vit dans sa main un objet en plastique blanc de la forme d’un gros Ĺ“uf. Un mince fil d’une dizaine de centimètres partait de l’extrĂ©mitĂ© la plus fine de l’Ĺ“uf. HervĂ© lui ordonna d’Ă©carter les jambes et il introduisit l’objet dans son con, le poussant profondĂ©ment avec son doigt. L’objet disparut dans le ventre de Martine, seul le fil dĂ©passait de quelques centimètres. Il retourna dans sa besace et en sortit un petit boĂ®tier blanc et un appareil photo ainsi qu’un loup noir constellĂ© de petits brillants. Il couvrit le haut de son visage avec le loup en velours noir. Il avait fait tout cela, sans dire un mot, avec une lenteur cĂ©rĂ©moniale. Martine n’osait pas parler, elle regardait son amant avec des yeux Ă©tonnĂ©s. HervĂ©, qui s’Ă©tait assis sur un fauteuil face Ă elle, sourit de son visage Ă©bahi. Il lui dit de sa voix douce :
– Tu as quelque chose Ă dire ? Martine.
– Qu’est-ce que tu as mis dans ma chatte ?
– Tu vas comprendre.HervĂ© appuya sur le bouton du petit boĂ®tier blanc et aussitĂ´t le ventre de Martine se remplit de vibrations. La surprise fut telle, le chatouillis de l’Ĺ“uf vibrant si agrĂ©able qu’elle gĂ©mit de plaisir.
HervĂ© posa le boĂ®tier Ă cĂ´tĂ© de lui et fit quelques photos de Martine, nue, debout au milieu du salon. Il n’avait pas arrĂŞtĂ© l’Ĺ“uf vibrant et des ondes de plaisir commençaient Ă envahir le ventre Martine. Elle sentait ses seins se gonfler, des ondes de plaisir irradiaient sa poitrine en partant de ses tĂ©tons allongĂ©s, pressĂ©s par les pinces. Elle esquissa un mouvement pour prendre ses deux gros globes blancs Ă pleines mains mais HervĂ© l’arrĂŞta :
– Non, je t’interdis de te caresser.Il avait arrĂŞtĂ© les vibrations et continuait de faire des photos tournant autour de Martine. Puis il se rassit et remit l’Ĺ“uf vibrant en marche.Les vibrations faisaient de plus en plus d’effet Ă Martine, ses jambes tremblaient, sa mouille suintait de sa chatte et mouillait l’intĂ©rieur de ses cuisses. Elle ne tenait plus, cet appareil diabolique la rendait folle et sa main droite partit vers son bas-ventre. HervĂ© arrĂŞta les vibrations et se leva :
– Je t’ai interdit de te caresser. Tu ne m’Ă©coutes pas. J’ai ici de quoi t’en empĂŞcher.Il sortit une paire de menottes de sa besace et lia les mains de sa victime dans le dos. Il remit ensuite l’Ĺ“uf vibrant en route. Martine gĂ©missait, torturĂ©e par les douces vibrations de l’appareil dans son ventre. Dix fois, vingt fois peut-ĂŞtre, elle fut sur le point de jouir, mais dix fois, vingt fois, Ă chaque fois alors qu’elle approchait du point de non-retour de son plaisir, HervĂ© stoppait net les vibrations en la gratifiant d’un petit sourire sadique. Il attendait quelques minutes, se servait un verre, parcourait mĂŞme une revue qui traĂ®nait sur la table basse, faisait quelques photos d’une Martine, rouge Ă©carlate, la bouche entrouverte, la chatte gonflĂ©e et luisante de mouille. Puis il remettait l’appareil en marche.Martine n’en pouvait plus. Ses jambes tremblantes ne la portaient plus. Elle tomba doucement Ă genou sur le tapis Ă l’occasion d’une des pauses que lui imposait son tortionnaire. Elle gĂ©missait de frustration. Son plaisir Ă©tait intense mais ne trouvait pas son assouvissement total. Durant les pauses, de plus en plus longues, elle sombrait dans une demi inconscience, couchĂ©e sur le cĂ´tĂ© en position fĹ“tale, son cĹ“ur battait Ă cent Ă l’heure. Elle ne sortait de cette inconscience que lorsque les vibrations reprenaient dans son ventre. Elle criait Ă chaque fois, hurlait mĂŞme, espĂ©rant qu’HervĂ© lui laisserait, cette fois-ci, le temps de jouir, elle n’Ă©tait qu’une boule de plaisir, elle n’Ă©tait qu’un ventre, qu’une chatte, qu’un con gigantesque qui rĂ©clamait son du. Elle le disait d’une faible voix chevrotante :
– Fais moi jouir, je veux jouir, je suis une salope, je suis TA salope, je t’en prie.Après une bonne heure de torture, HervĂ© sortit un autre vibromasseur de sa besace. Il Ă©carta les cuisses de Martine, et en remettant en marche l’Ĺ“uf vibrant, il plaqua le vibromasseur sur le clitoris Ă©rigĂ© de sa victime. L’effet fĂ»t immĂ©diat. La boule de plaisir explosa en un million d’Ă©toiles, le corps de Martine se cambra, les menottes rentraient dans les chairs de ses poignets, elle hurla en sentant dĂ©ferler sur elle, un tsunami de jouissance trop longtemps attendue. Martine perdit connaissance pour quelques minutes.Quand elle revint Ă elle, ses mains Ă©taient libres. Elle revint Ă elle doucement, elle massa ses poignets endoloris, Ă©tendit ses jambes couvertes de mouille jusqu’Ă mi-cuisses. Les battements de son cĹ“ur se calmaient doucement, retrouvant un rythme normal. HervĂ© Ă©tait assis dans le fauteuil est sirotait le whisky qu’il s’Ă©tait servi. Martine se leva pĂ©niblement, le corps cassĂ©. Elle but une gorgĂ©e de whisky au goulot de la bouteille, les yeux hagards, son maquillage dĂ©truit faisait des traces noires sur ses paupières. La brĂ»lure de l’alcool lui fit du bien et rĂ©chauffa son corps glacĂ©. HervĂ© la regarda en souriant :
– Ça t’a plu ?
– Quelle question ! Je n’ai jamais jouis comme cela. J’ai cru mourir.
HervĂ© se leva et l’enlaça :
– Tu es une belle cochonne. Je crois que tu as droit Ă une rĂ©compense.Il embrassa alors Martine, aux anges, dans un long baiser langoureux. Puis se dĂ©tachant d’elle, il lui demanda d’aller dans sa chambre. Martine l’entraĂ®na en le tenant par la main. HervĂ© tira une deuxième paire de menottes de sa besace qu’il avait pris soin d’emporter avec lui. Il ordonna Ă Martine de se coucher en travers du lit. Puis, Ă l’aide des menottes, il lui lia chaque poignet Ă la cheville du mĂŞme cotĂ©. Il la tira ensuite vers lui, ses Ă©paules Ă©taient au bord de la couche, sa tĂŞte sans soutien pendant en arrière. HervĂ© se dĂ©vĂŞtit complètement. Martine put admirer son corps d’athlète, ses muscles saillants et surtout sa queue dure et grosse, lĂ©gèrement arquĂ©e qui venait Ă la rencontre de sa bouche. HervĂ© frotta sa verge sur la bouche de Martine. Elle tira sa langue pour sucer ce pieu qu’elle dĂ©sirait plus que tout. Bien qu’elle aurait aimĂ© avoir la libertĂ© de ses mouvements pour prendre ce gros chibre dans sa main, pour pouvoir le branler et le porter Ă sa bouche comme elle le voulait, le fait d’ĂŞtre ainsi entravĂ©e, de ne rien pouvoir faire, de subir son amant la ravissait. Elle dĂ©couvrait Ă chaque instant le plaisir d’ĂŞtre soumise, d’ĂŞtre une chienne qui quĂ©mande une caresse, d’ĂŞtre une vraie salope avide de sexe et de jouissance.HervĂ© lui fit sucer ses testicules. Elle ouvrit la bouche le plus possible pour pouvoir les prendre, les fit rouler doucement avec sa langue. HervĂ© gardait en main la tĂ©lĂ©commande l’Ĺ“uf vibrant qui remplissait toujours le con de Martine. Il appuya sur le bouton pour lui signifier son plaisir et l’encourager. Martine poussa un petit cri quand elle ressentit Ă nouveau les vibrations de l’objet agacer son ventre, elle avait oubliĂ© qu’elle portait toujours le sextoy.HervĂ© avança un peu, chevauchant la tĂŞte de Martine, jusqu’Ă ce que sa rosette fĂ»t Ă portĂ©e de sa langue. Martine ne bougea pas, ne fit rien. HervĂ© saisit un des bijoux de tĂ©tons qu’elle portait encore et tira dessus en disant :
– Suce-moi !Martine tendit sa langue et la fit rouler sur le petit trou d’HervĂ© qui marqua son approbation en lui octroyant quelques secondes de vibrations. Martine continua Ă lui sucer le cul, poussant sur sa langue pour tenter de la faire pĂ©nĂ©trer dans cet orifice Ă©troit. HervĂ© laissa les vibrations en permanence jusqu’Ă ce qu’il se recule. Le plaisir de Martine remontait inexorablement. Son ventre se remplissait de chaleur, et de nouvelles ondes de plaisir remontaient le long de sa colonne vertĂ©brale.HervĂ© prit la tĂŞte de Martine Ă deux mains et lui bascula en arrière le plus possible. Sa queue se trouvait Ă la porte des lèvres de celle-ci. Il appuya son gland sur les lèvres entrouvertes et d’un lent coup de reins il s’enfonça dans sa bouche. HervĂ© s’appuya sur le lit et faisant des pompes, il baisait Martine par la bouche. Sa longue bite s’enfonçait profondĂ©ment dans sa gorge, il restait ainsi quelques secondes puis se retirait, permettant ainsi Ă Martine de respirer, de calmer ses hauts le cĹ“ur. Martine n’avait jamais fait de « gorge profonde » auparavant et elle avait du mal Ă contenir ses nausĂ©es quand le gland d’HervĂ© venait butter sur sa luette. Pourtant Ă chaque fois, qu’il la pĂ©nĂ©trait comme cela, et qu’il se retirait, elle avait sa rĂ©compense. Un petit instant de vibrations qui attisaient son plaisir renaissant. Martine tenta de se dĂ©tendre autant qu’elle le put, pour accueillir encore plus ce gros pieu dans sa gorge. Au prix de gros efforts qui la faisaient abondamment transpirer, elle rĂ©ussit Ă avaler complètement la longue tige d’HervĂ©. Il lui fit cadeau de longues secondes de vibrations qui commençaient Ă la faire gĂ©mir de plaisir.HervĂ© reprit ses allers retours dans la bouche de Martine qui supportait maintenant bien les profondes pĂ©nĂ©trations qu’il lui imposait. Sentant son plaisir monter, HervĂ© changea de rythme. Il envoyait maintenant de rapides coups de reins, beaucoup moins amples qu’auparavant. Sa tige glissait sur la langue de Martine, qui commençait Ă se tortiller sous l’effet des vibrations continues qui remplissaient tout son ventre. Ses gĂ©missements Ă©touffĂ©s, Ă©taient continuels, elle jouit Ă nouveau en serrant le gros chibre qui glissait dans sa bouche quand elle reçut au fond de sa gorge une grosse giclĂ©e de sperme gras et chaud, puis une autre et une autre encore. HervĂ© se retira, la tĂŞte de Martine pendait en arrière et HervĂ© la releva en lui soufflant Ă l’oreille :
– Avale, avale tout mon foutre !Martine dĂ©glutit, avalant la semence au goĂ»t salĂ© jusqu’Ă la dernière goutte.HervĂ© remis son sexe dans sa bouche en lui demandant de le sucer encore, de nettoyer correctement sa queue et Martine recueillit sur sa langue les dernières gouttes de son plaisir. HervĂ© s’allongea sur le lit pour rĂ©cupĂ©rer un peu. Il libĂ©ra les mains de Martine avant de retourner chercher la bouteille de whisky dans le salon. Quand il revint dans la chambre, Martine Ă©tait assise sur le bord du lit, le dos rond, la tĂŞte dans les mains, elle rĂ©cupĂ©rait de ce deuxième orgasme de la soirĂ©e qui, s’il n’avait pas Ă©tĂ© aussi ravageur que le premier, n’en avait Ă©tĂ© pas moins intense. HervĂ© s’assit Ă cĂ´tĂ© d’elle, but une rasade d’alcool et, prenant le menton de Martine, la fit boire au goulot.Martine le regarda d’un air de chien battu. Son aspect Ă©tait assez effroyable. Son maquillage avait coulĂ© et de longues traĂ®nĂ©es noires de rimmel maculaient ses joues. Son brushing Ă©tait totalement dĂ©truit, ses cheveux se dressaient dans tous les sens. Son rouge Ă lèvres Ă©tait Ă©talĂ© tout autour de sa bouche et sur son menton, quelques gouttes de sperme tĂ©moignaient du plaisir qu’elle venait de donner Ă HervĂ© avec sa bouche.
HervĂ© la força Ă s’allonger. Il enleva les pinces de ses tĂ©tons martyrisĂ©s. Il allait dans la salle de bains et revint avec deux rondelles de coton Ă dĂ©maquiller et un flacon de lait de toilette.
Pendant de longues minutes, HervĂ© s’appliqua Ă faire disparaĂ®tre les traces de maquillage du visage de Martine. Il tira sur le fil et sortit de son vagin l’Ĺ“uf vibrant avant d’aller le laver dans la salle de bains et de la ranger dans sa besace. Il rangea Ă©galement les menottes. Il lui fit, ensuite, un doux massage qui sans faire disparaĂ®tre totalement son Ă©puisement la ramena un peu Ă la vie. Martine, un peu remise de tout cela lui demanda d’une voix chancelante :
– Tu vas t’en aller ?
– Non, pas encore.
– Tu veux me baiser encore une fois ?
– Oui, car il me reste une chose Ă faire.
– Quoi donc ?
– J’ai eu ta chatte, je t’ai baisĂ©e par la bouche, d’après toi que reste-t-il ?
– Je ne sais pas. Je ne vois pas.
– RĂ©flĂ©chis !
– Mon cul, tu veux me…
– Oui, je veux t’enculer. Ça t’est dĂ©jĂ arrivĂ©.
– Non, jamais.
– Alors c’est bien. Tu es encore pucelle de ce cĂ´tĂ©-lĂ . Je vais changer ça.
– Maintenant ?
– Oui, maintenant. Mais tu vas d’abord me remettre en forme.Il s’assit sur le lit et attira Martine vers sa queue ramollie. La tĂŞte sur sa cuisse, il la laissa le sucer. Elle suçait bien, en fait. Il l’avait baisĂ©e par la bouche mais cela n’avait rien Ă voir. Martine tenait sa queue entre deux doigts qu’elle faisait coulisser, elle agaçait le gland de sa langue en alternance avec des prises en bouche pendant lesquelles sa main malaxait ses deux boules. HervĂ© retrouva vite une belle Ă©rection. Il repoussa Martine, la fit se mettre Ă plat ventre. Il prit le flacon de gel lubrifiant qu’il avait posĂ© sur la table de nuit et demanda Ă Martine d’Ă©carter ses fesses de ses deux mains. Il dĂ©posa une bonne dose de gel dans la profonde vallĂ©e entre les deux globes que Martine tenait Ă pleines mains. Martine se rendit compte qu’elle n’avait pas pensĂ© une seconde Ă protester, Ă se rebiffer contre quelque chose qu’elle avait toujours jugĂ© dĂ©goĂ»tante et qui devait ĂŞtre sĂ»rement douloureuse. Non, ce mec allait la sodomiser et elle docilement, lui ouvrait son gros cul de ses deux mains. Pire que ça, cela lui semblait naturel, normal, qu’il ne lui ait pas demandĂ© son accord. Elle pensa « Je suis vraiment une salope, je suis SA salope Ă lui. ».HervĂ© s’allongea sur le dos de Martine et dirigea sa queue redevenue bien ferme vers la rosette abondamment lubrifiĂ©e. Il s’y enfonça doucement. Martine gĂ©mit faiblement, elle sentait la grosse bite d’HervĂ© s’enfoncer dans ses entrailles, dilater ses chairs mais elle fut surprise de ne pas avoir mal. Elle Ă©tait tellement dĂ©tendue, tellement consentante et surtout tellement soumise que son ventre accepta sans effort cette pĂ©nĂ©tration totalement nouvelle. HervĂ© la besognait tranquillement et Martine sentit un plaisir nouveau monter en elle. HervĂ© glissa un bras sous son ventre pour la relever et la faire se mettre en levrette. Il put alors Ă son aise, caresser ses gros seins qui pendaient, les faire ballotter de ses deux mains, tordre ses tĂ©tons rendus hypersensibles d’avoir Ă©tĂ© pincĂ©s pendant deux heures. Puis sa main descendit sur son ventre un peu mou, alla Ă la rencontre de son clitoris dardĂ©, gonflĂ© de sang.
Les deux orgasmes de Martine n’avaient pas Ă©tĂ© causĂ©s par des caresses sur son petit bouton. Il n’en Ă©tait devenu que plus sensible et dès qu’HervĂ© posa son doigt dessus, c’est Martine qui balança son corps d’avant en arrière s’empalant Ă chaque fois plus profondĂ©ment. Les mouvements conjuguĂ©s d’HervĂ© et de Martine donnait une violence inouĂŻe Ă cette sodomie, les fesses de Martine venait heurter le ventre d’HervĂ© avec un bruit de gifle, Martine criait son plaisir renaissant, elle jouit une troisième fois, dĂ©truite elle s’Ă©croula sur le lit, entraĂ®nant avec elle HervĂ© qui continua de la besogner jusqu’Ă ce qu’il se vide au plus profond d’elle-mĂŞme. HervĂ© et Martine restèrent ainsi de longues minutes retrouvant leur souffle et leurs esprits. HervĂ© se retira du cul dilatĂ© de Martine et partit dans la salle de bains. Dès qu’il en sortit, Martine le remplaça et prit une longue douche brĂ»lante pour tenter d’effacer les sĂ©quelles de cette soirĂ©e torride. Quand elle sortit de la salle de bains, HervĂ© Ă©tait habillĂ© et prĂŞt Ă partir.Martine l’accompagna Ă la porte, et HervĂ© partit sans se retourner. Le seul mot d’adieu qu’il prononça fut « A la prochaine fois ! ».Martine fit un peu de rangement dans le salon et dans la chambre et alla se coucher. Elle s’endormit aussitĂ´t. Elle fut rĂ©veillĂ©e un peu après six heures par le bruit que fit son mari en rentrant. Elle l’entendit se dĂ©vĂŞtir dans la salle de bains avant qu’il ne la rejoigne dans le lit.En s’allongeant Ă cĂ´tĂ© d’elle, il lui caressa machinalement les fesses comme il l’avait l’habitude de le faire après ces nuits de travail. Mais, alors que d’habitude Martine accueillait cette caresse avec un grognement et se levait aussitĂ´t si elle travaillait ou bien se rendormait le week-end, cette fois ci elle se retourna, embrassant son conjoint Ă pleine bouche en s’allongeant sur lui et en frottant son ventre contre le sien jusqu’Ă ce qu’elle le sente bien dur. Glissant sa main entre leurs ventres, elle dirigea sa queue vers sa chatte et elle baisa son mari, Ă©tonnĂ© mais ravi de cet accueil matinal. Martine jouit pendant que son mari se vidait en grognant au fond de son con brĂ»lant.Le samedi après-midi, Martine se remettait des fatigues de la folle soirĂ©e de la veille devant son ordinateur pendant que son mari bricolait au sous-sol. Elle trouva dans sa boite mail un message d’HervĂ©. Ce message contenait uniquement un lien web, sans aucune autre explication. Elle cliqua sur le lien et elle se retrouva sur un site de photo porno d’amateurs. Elle rĂ©prima un cri de surprise quand elle reconnut dans les dernières photos postĂ©es, celles qu’HervĂ© avait faites d’elle la veille. Une dizaine en tout, sur lesquelles elle se vit debout nue dans le salon, couchĂ©e sur le tapis. Il y avait aussi des gros plans de sa chatte gonflĂ©e, luisante, de ses tĂ©tons munis de leurs pinces, de son visage dĂ©formĂ© par la jouissance. Il y avait mĂŞme une photo quand HervĂ© l’avait baisĂ©e par la bouche et oĂą elle se voyait avec ses couilles dans la bouche. Elle comprit alors le pourquoi du masque qu’il lui avait fait porter et qui la rendait mĂ©connaissable.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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