L’éducation de Pierre (Chapitre 6)
Pierre fait appel à sa professeure pour une urgence selon les consignes qu’il avait reçues.
Il semble sincère et il sera invité à nous rejoindre en milieu de semaine contrairement à nos habitudes.
Chantal acceptera de soulager son élève tout en poursuivant l’éducation de ce dernier.
Proposée le 22/12/2020 par Lolo67 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Alors qu’il avait toujours été convenu qu’il ne vienne que les samedis, Pierre me contacta par téléphone mercredi midi.
– Bonjour Laurent, pourrais-je parler à Chantal s’il te plaît ? J’ai essayé de l’appeler sur son portable mais je tombais à chaque fois son son répondeur.
– C’est normal car elle était en réunion à Sélestat toute la matinée. Elle vient, à peine de rentrer. Il n’y a rien de grave j’espère ?
– Non, non répondit le gamin. J’ai juste un petit problème physique me répondit-il avec le ton de celui qui ne souhaite pas en dire davantage.Chantal avait vu juste. Petit Pierre avait certainement les couilles à nouveau pleines et cela devait commencer à le gêner.
– Aurais-tu besoin d’un petit coup de main par hasard ? risquai-je malicieusement.
– Oui, on peut dire ça, concéda-t-il. Il avait saisi l’allusion au ton de ma question.
– Je pense qu’elle est dispo cet après-midi, tu peux passer vers 15h, je vais lui dire. Pas la peine que je te fasse attendre pour te la passer car elle est sous la douche en ce moment.
– Ok, je serai chez vous à 15h.A l’heure convenue, le bruit de moustique du scooter se fit entendre dans l’allée menant à la maison.
Nous étions au salon, Chantal en peignoir, assise au centre du canapé un livre à la main, prenait un peu de repos, quant à moi, je remplissait quelques grilles de mots croisés, confortablement installé dans un fauteuil.
La sonnette retentit et je me levai pour accueillir notre hôte.- Re-bonjour Petit Pierre, alors qu’est-ce qui t’amène ?
– re-bonjour Laurent. Chantal m’avait dit de la contacter en cas de nécessité, alors voilà, je suis là.
– Va vite te changer et nous en discuterons ensemble après.Une fois douché et nu comme un ver, Pierre entra dans le salon . Il portait son collier et arborait une belle érection.
– Bonjour gamin le salua Chantal. Que se passe-t-il ? Laurent m’a dit que tu avais besoin de me parler de manière urgente.
– Bonjour madame répondit Pierre d’un ton grave. Il m’arrive la même chose que la semaine passée.
– Oui et alors ? L’interrogea-t-elle. Que puis-je pour toi ?
– Je me demandais si vous pouviez faire la même chose que ce que vous avez fait pour me soulager samedi dernier.
– Arrête de tourner autour du pot gamin, s’il te plaît ! dit-elle excédée. J’aimerai que tu ailles droit au but. Je te repose la question : Qu’attends-tu de moi ? Exprime-toi clairement.
– Je souhaiterais que vous me masturbiez , madame.
– Tu es donc venu pour te faire traire, si j’ai bien compris ? Le questionna-t-elle d’un ton mi-ironique, mi-amusé. Le verbe qu’elle avait employé était, bien entendu, volontairement choquant.
– Oui madame. Mes testicules commencent à me faire mal tellement ils sont pleins. Pouvez-vous me permettre de les vider ?Le contraire nous aurait étonné car il suffisait de voir sa queue dressée, presque parallèle à son ventre pour admettre que Petit Pierre s’était refait des forces depuis sa dernière vidange du week-end dernier.
– Puisque c’est demandé si gentiment, installe toi à genoux sur la table du salon, je vais chercher le gel.Sans se faire prier, Pierre prit la position prescrite sur la table basse. Je posai alors mes mots croisés et me délectait de la vue qui se présentait devant moi.
– Tu devrais te mettre à quatre pattes et écarter légèrement les genoux suggérai-je. Sinon Chantal ne pourra pas avoir accès à ta queue et en plus tu verras que cette position sera beaucoup plus confortable pour toi.Lorsque Chantal réapparut, Pierre lui offrait une magnifique vision de son membre bien raide entre ses cuisses, presque à toucher la table, ainsi que de ses couilles apparemment bien gonflées, fixées à la racine de sa verge.
Chantal prit place sur le petit pouf à côté de la table.
Juste avant de s’installer, elle avait retiré son peignoir ; elle ne portait maintenant plus que son redresse-seins en simili cuir qui mettaient bien en évidence ses petits tétons arrogants ainsi qu’une paire de bas noirs et des escarpins de la même couleur.
– Tu veux donc que je te vide Petit-Pierre ? demanda-telle tout en se frottant les mains couvertes de gel de massage.
– Oui madame, s’il vous plaît.
– Je vais d’abord te faire un petit massage pour te décontracter.Elle commença donc à soupeser la belle paire de boules de notre jeune ami avant de les pétrir légèrement.
Au premier contact de la main de Chantal avec ses précieux objets, Pierre eut un petit mouvement de retrait.
– N’aies pas peur je ne vais pas leur faire de mal. Détends-toi.Chantal le caressa ainsi quelques minutes, agaçant de ses doigts les belles bourses du gamin qui se laissait maintenant faire. Les jolies boules de notre ami étaient maintenant redescendues au fond du scrotum indiquant qu’il commençait à laisser tomber ses dernières défenses.Poursuivant ses caresses, elle lui expliqua l’importance de ces préliminaires.
– Beaucoup de femmes oublient ses superbes objets, tu sais. Elles ont souvent tendance à se ruer sur la verge, sans prendre soin de cette zone terriblement érogène.
Et puis, il y a aussi le fait que de nombreux hommes sont très sensibles de ce côté-là. Sensibles et craintifs à l’idée que l’on puisse toucher à leurs précieux et surtout fragiles objets. Ils ont peur que leur partenaire malmène leurs jolis testicules, alors ils préfèrent éviter les contacts à cet endroit.
Les sots, ils ne savent pas ce qu’ils ratent ! N’est-ce pas ?Pierre ne disait mot tellement il commençait à apprécier de confier ses parties les plus intimes aux bons soins de son professeur. Chantal avait commencé par un petit malaxage d’une main et après un minute ou deux était passée à un pétrissage en règle du paquet à l’aide de ces deux mains, chacune faisant rouler les boules entre ses doigts. Pierre, les yeux fermés, respirait fort mais son visage reflétait une grande sérénité.
Après quelques minutes de ce traitement, Chantal récupéra l’ensemble du paquet dans sa main gauche, refermant les bourses entre son pouce et son index. Elle pouvait ainsi, tout à la fois faire varier la pression exercée sur les testicules de son élève mais aussi leur traction vers le bas ou l’arrière.De sa main droite elle pouvait librement caresser le jeune membre, ce dont elle ne se priva pas.
Tout d’abord elle appliqua un délicat mouvement de traction du scrotum vers l’arrière alors que de son autre main bien à plat, elle caressait toute la longueur de la verge en appliquant un soin particulier à la couronne et au gland.
Elle admira au passage une magnifique veine bleue qui parcourait le corps du jeune pénis.
Puis elle utilisa la même technique sur le dessous de la queue, de la naissance des bourses jusqu’au frein du gland totalement décalotté, en insistant sur cet endroit précis.
Elle constata que l’engin présentait une raideur incroyable. La queue était aussi dure qu’un morceau de bois.Craignant que Pierre ne puisse supporter ce traitement encore longtemps et redoutant qu’une déferlante de sperme vienne trop rapidement couper court à l’exercice, Chantal desserra légèrement la pression de ses doigts sur les testicules.
Ce faisant, elle tira fermement le paquet vers l’arrière. Ce mouvement attira par la même occasion la verge qui se trouva ainsi parallèle aux cuisses de Pierre.
Chantal put alors juger de la longueur effective du sexe de son élève. Celui-là arrivait bien au delà de la moitié de ses cuisses, à quelques centimètre seulement de la table.
Elle commença à faire coulisser la queue de petit-Pierre dans sa main bien « huilée » de gel. Elle aurait pu utiliser ses deux mains l’une au dessus de l’autre sur cette verge que le gland aurait été encore visible. Il possédait véritablement un sacré outil.Du liquide pré-séminal commençait à perler à l’extrémité trahissant l’excitation du jeune homme. La petite perle translucide, en grossissant, se transforma vite en un filament qui s’écoulait à présent du méat en se balançant au gré des mouvements imprimés par la main de Chantal.
Chantal abandonna un instant les boules de Petit-Pierre pour se saisir de la verge de la main gauche tandis qu’elle récupérait le précieux liquide au creux de sa main droite avant qu’il n’atteigne la table. Utilisant ce liquide gluant, elle appliqua un massage dont elle le secret sur le gland au moyen de sa paume en gestes circulaires.
Il n’en fallait pas plus pour que le gamin parvienne au point de non retour.
– Je vais gicler madame dit-il d’une voix de prière.
D’un mouvement autoritaire Chantal ramena le pénis vers l’arrière parallèle au cuisses du jeune homme, Chantal l’encouragea :
– Vide toi, Petit-Pierre, donne ton ton bon lait d’homme. Donne-moi tout ! ordonna-t-elle sans cesser de branler le manche du garçon.Le jeune homme se délivra du trop plein de tension qui le submergeait. Il éjacula de manière prodigieuse dans la coupelle en porcelaine noire de Limoges que son professeur avait disposée entre ses genoux.
Chantal qui ne l’avait pas lâché guidait les jets vers le récipient de manière à n’en rien laisser perdre. La grande quantité de sperme produite par les couilles du gamin n’étonna pas Chantal. Elle connaissait maintenant les capacités de son élève. Quant à moi je lui enviais secrètement sa jeunesse qui lui permettait cette production massive.Il lui fallu tout de même environ 5 minutes pour recouvrer ses esprits. La queue toujours dans la main de Chantal avait à peine molli tant et si bien que le prépuce ne recouvrait toujours pas la totalité du gland. Il faisait montre d’une sacrée vigueur.
– Ça va mieux gamin ? lui demanda Chantal .
– Oui beaucoup mieux madame. Je vous remercie.
– Souhaitez-vous que je recycle ma semence ?
– Non, je vais m’en charger moi-même décréta Chantal.
Tu as joui puisque je t’y ai autorisé, maintenant c’est à mon tour de prendre un peu de plaisir si tu le permets (ce n’était pas une requête qu’elle formulait mais plutôt une affirmation). Tu peux rester si tu le souhaites, lui proposa-t-elle en prenant place au centre du canapé tout en ramenant vers elle la coupelle de porcelaine.Elle positionna ses talons de part et d’autre de ses fesses, genoux écartés, position qui lui dégagea instantanément le sexe. Les grandes lèvres s’ouvrirent, laissant bien en vue le petit capuchon de son bouton de plaisir.Pierre avait quitté la table basse pour s’asseoir sur le deuxième fauteuil vacant face au canapé.
Lui et moi avions une vue exceptionnelle sur la chatte de Chantal .
Alors que j’avais extrait mon sexe de mon pantalon et que je me masturbais ouvertement en regardant ma belle, celle-ci s’adressa à son élève.
– Tu peux regarder, te masturber encore mais je t’interdis de jouir, sinon je t’assure que tu seras puni sévèrement et que tu n’es pas prêt de remettre les pieds ici dans ce cas. Tu as bien compris ?
– Oui madame j’ai compris.
Alors regarde et surtout apprends ! Apprends à donner du plaisir à une femme, petit homme.Après avoir trempé son index droit dans le liquide offert par Petit Pierre quelques minutes au auparavant, elle commença à se masturber sans autre préliminaire.Son doigt luisant de sperme parcourant d’abord toute la longueur de sa fente de part et d’autre de ses petites lèvres provoqua instinctivement l’ouverture des ces dernières. Chantal n’avait pas les petites lèvres très développées mais elles étaient à son image : délicatement découpées telle une fine dentelle et semblables à celle d’une jeune vierge.
Son index glissait doucement de l’espace séparant son petit trou jusqu’à l’endroit magique où se rejoignent les petites lèvres.Lorsque son doigt n’était pas suffisamment lubrifié elle le trempait à nouveau dans la soucoupe puis reprenait son ouvrage. Pierre contemplait les grandes et les petites lèvres que son sperme contribuait à lubrifier.
Les gestes de Chantal se firent bientôt plus rapides sur un endroit très précis. Son majeur s’attaquait à présent à son clitoris en mouvement circulaires. Parfois elle découvrait ce dernier en appuyait sur son pubis, sa main gauche bien à plat entre son nombril et sa vulve. Cette pression faisait que le capuchon du clitoris s’étirait vers le haut et dévoilait ce petit morceau de chair pas plus gros qu’un petit pois, autour duquel virevoltaient à tour de rôle le majeur et l’index.Pierre était fasciné par ce qu’il voyait. Sa verge avait repris l’apparence qu’elle avait avant la vidange qu’il avait subie.
Quant à moi, je ne sais pas ce qui m’excitait le plus. Voir ma chérie en train de s’exhiber devant un autre homme ou admirer ce jeune homme empoigner sa belle queue et se branler ?Le plaisir irradiait le visage de Chantal comme à chaque fois qu’elle se caressait. J’avais maintes fois eu l’occasion de la contempler lors de ses solos cependant, là, elle jouissait ostensiblement du pouvoir qui était le sien sur les deux mâles qui l’admiraient.
Je connaissais d’ailleurs par cœur son rituel dont je ne me lassais pas mais Pierre découvrait son professeur sous un jour nouveau. Il la voyait chienne et presque vulnérable tout à la fois.Elle décida de se doigter franchement alors que son vagin n’avait plus besoin de « lubrifiant » tellement il suintait de cyprine. Ses doigts témoignaient d’ailleurs de l’abondant flot de son jus de femelle en chaleur.Contrairement à beaucoup de femmes qui se servent majoritairement de leur majeur pour se doigter, Chantal, quant à elle, utilise indifféremment son majeur ou son index qu’elle fait pénétrer alternativement ou simultanément selon ses envies.Elle apprécie particulièrement de se branler à deux doigts ce qui lui permet par la même occasion de frotter la paume de sa main sur son clitoris. Ainsi, lorsqu’elle utilise un gode, elle se sert de sa main libre pour frotter son bouton magique du bout des doigts. Cette technique est infaillible pour la faire partir rapidement.
Les faisant entrer et sortir de son vagin avec un délicieux petit clapotis excitant, Chantal variait le rythme de ses doigts. Elle prenait également le temps de les extraire entièrement, de les ouvrir en forme de V, y fourrer son clito et les faire coulisser quelques secondes de part et d’autre. Son petit bouton, prisonnier de cette fourche improvisée, lui provoquait un plaisir non dissimulé. Elle gémissait alors et lâchait quelques « oui » qui trahissaient son excitation.D’habitude, lorsqu’elle m’offre ce spectacle elle ferme les yeux, se concentrant sur son propre plaisir mais aujourd’hui elle ne quittait pas du regard le jeune mâle comme si elle vérifiait qu’il était bien attentif à cette nouvelle leçon. Son regard semblait dire « retiens bien ce que tu vois. Je vérifierai bientôt si tu as tout compris ».Quelques minutes passèrent et Chantal était parvenue au point de non-retour.
Son attitude ne m’avait pas échappée et j’attendais impatiemment le moment où elle lâcherait totalement prise. Elle poussa alors un cri qui attestait de la violence de son orgasme. Épuisée, elle mit quelques secondes à se remettre puis sans un regard pour son élève, elle m’invita près d’elle.
– Gicle sur moi s’il te plaît.Elle savait que j’adorai cela et je ne me fis pas prier pour me branler plus fort.
Au bout de quelques secondes je me vidai entre ses seins avec une puissance que je n’avais pas connue depuis bien longtemps. A croire que le gamin avait agit sur moi comme un booster. Je fus moi-même étonné de la quantité de sperme que j’avais produit. Mon jus coulait abondamment entre le sillon de ses seins puis sur son ventre avant d’atteindre son pubis.
Avec délectation, elle profita de mon jus bien chaud pour se masser la poitrine, le ventre et enfin sa vulve.Tous les deux dans un état second, nous n’avions pas réalisé que Pierre nous regardait sa bite dure comme du béton à la main.
– Ça t’a plu gamin ? lui demanda Chantal
Et sans attendre sa réponse :
– Tu peux rentrer chez toi, tu as eu ce que tu voulais aujourd’hui, je crois et même plus encore, alors, à samedi et je t’interdis de te masturber jusque là, bien entendu.L’air chagriné, Petit Pierre comprit qu’il n’aurait rien de plus. Il se leva, se changea et regagna son scooter après nous avoir salué.Une fois que le bruit de l’engin se fut estompé, Chantal me confia.
– Tu as vu comme il bandait encore après avoir déchargé une première fois ?
Et quelle dose il a envoyé !
– Oui, c’est impressionnant concédai-je. Le privilège de la jeunesse sans doute mais ça n’explique pas tout.
– Non tu as raison, il a vraiment quelque chose de particulier ce gosse. Un don de la nature.C’est drôle, en ce moment je pense à Marie-Anne. Si elle savait pour Pierre, je suis certaine qu’elle serait verte de jalousie.(Si ce récit vous a plu, n’hésitez à pas à m’en faire part en postant un petit commentaire)© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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