Mademoiselle Mary était institutrice dans un lycée de filles dans les années 60 en Angleterre, dans le West Midlands. Elle avait 27 ans, respirait la joie de vivre et avait une grande expérience malgré son jeune âge. Elle avait beaucoup voyagé, particulièrement en Afrique et en Amérique latine. C’était elle qui entraînait l’équipe de badminton de l’école, constituée de filles d’environ 18/19 ans. Son équipe l’adorait et l’admirait, particulièrement Jude, la capitaine de l’équipe qui faisait tout pour rester la préférée de Mademoiselle Mary qu’elle avait choisie comme modèle.
Parfois, elle arrêtait les cours pour les emmener à l’entrainement. En plus du badminton, elle leur faisait faire de la gym et de la natation. Elle venait même les réveiller la nuit, de temps en temps, pour qu’elles aillent s’entraîner. Je me souviens d’une nuit où elle est venue dans leur dortoir les réveiller, pleine d’enthousiasme, pour les emmener nager. Aucune des filles n’avait pris le temps d’emporter son maillot de bain, elles ne savaient pas qu’elles allaient à la piscine. Mademoiselle Mary n’avait pas le sien non plus d’ailleurs. Elles ont donc plongé dans l’eau totalement nues. Il n’y avait ni homme ni garçon dans l’école, qui est-ce que ça aurait pu déranger ? D’autant plus que l’heure était tardive, personne ne rôdait dans les bâtiments de l’école.
Les filles observaient Mademoiselle Mary, subjuguées par la beauté de son corps, et peut-être un peu jalouses aussi. Mademoiselle Mary avait une magnifique peau blanche, presque comme du lait. On pouvait distinguer quelques tâches de rousseur sur sa poitrine et ses épaules, mais pas des tâches disgracieuses, non, de belles tâches de rousseur, très attirantes. Ses cheveux bruns formaient une cascade où l’envie d’y passer la main devient inévitable. Lorsqu’elle nageait, on apercevait ses fesses rebondies qui sortaient de l’eau et lorsqu’elle restait sur place, on distinguait la forme de sa poitrine qui plongeait pour aller se noyer directement dans la piscine. Elle s’est mise à faire la planche, ses élèves ont toutes pu admirer la perfection de ses seins, les tétons légèrement pointés, son ventre plat, son pubis parfaitement entretenu et ses longues jambes, interminables.
Oh bien sûr, certaines des filles n’avaient pas à rougir de ce corps tant le leur était également des plus attirants, mais chez Mademoiselle Mary, c’était différent. Elle était d’une beauté sans pareil. Jude se rapprochait d’ailleurs elle aussi de cette beauté pure. Plus petite que sa professeur, Jude avait également la peau très blanche et les cheveux bruns. Elle essayait de ressembler à son modèle, c’est pourquoi de temps en temps elle mettait sur ses lèvres un rouge vif et sensuel, bien qu’interdit par le règlement de l’école. Cette soirée là, les filles ne nagèrent pas tant que ça, elles s’amusaient gentiment, de la manière la plus innocente qui soit. On pouvait entendre rires et cris dans l’enceinte de la piscine. Quelques minutes plus tard, chacune retournait se coucher, ayant passé un bon moment avec leurs amies. Bien sûr, cette escapade nocturne devait rester secrète où Mademoiselle Mary se ferait blâmer, ce qu’aucune des élèves ne voulait.
Après plusieurs jours, l’école accueillait une nouvelle élève, Lola. Une française douée en badminton, elle intégrait donc l’équipe. Elle était meilleure que ses coéquipières, et pas seulement en sport mais aussi en cours. Cultivée, elle surpassait les autres élèves, et Jude particulièrement. En plus de tout ça, elle était d’une beauté à crever, plus belle encore que Mademoiselle Mary. Pour toutes ses qualités, les autres la détestaient, elle avait du mal à s’intégrer. D’autant plus que Mademoiselle Mary était fascinée par cette nouvelle étudiante.
Elle qui avait tellement voyagé mais n’avait jamais vu la France, elle se trouvait en compagnie d’une jeune parisienne, cultivée et d’une beauté insoutenable. Elle était tout simplement séduite, presque ensorcelée. Après l’arrivée de Lola, Mademoiselle Mary ne prêtait plus attention aux autres élèves. Elle n’avait d’yeux que pour cette fille de l’hexagone. Malheureusement celle-ci ne lui rendait pas son émerveillement. Mademoiselle Mary, totalement envoûtée, faisait tout ce qui était en son pouvoir pour attirer son attention.
Un soir, voyant qu’elle n’arrivait pas à s’intégrer, elle l’a faite venir dans ses appartements pour en discuter. Au fil de la conversation, Mademoiselle Mary tentait de se rapprocher. Elle est allée jusqu’à lui avouer son homosexualité. Mademoiselle Mary était lesbienne, et dans une école comme celle où elle enseignait, il valait mieux que ça ne se sache pas. Lola s’était laissée attendrir par cette révélation, presque séduite par tant d’honnêteté. Les deux femmes se rapprochaient, Mademoiselle Mary a pris Lola dans ses bras, l’a embrassée, elle commençait à la toucher, les cheveux, les oreilles, la poitrine, Lola se laissait faire. Mademoiselle Mary a commencé à enlever ses vêtements, a pris sa culotte et l’a mise dans la poche de son élève. Mais celle-ci, comme frappée d’un électrochoc, s’est reculée et est partie, de retour dans son dortoir, la culotte toujours dans la poche.
Le lendemain soir, Mademoiselle Mary a appelé Jude, il fallait qu’elle prenne les devants, au cas où Lola parlerait de cette soirée. Elle lui a tout avoué. Jude lui a fait part de sa fascination pour les lesbiennes, elle a tenté de l’embrasser. Mademoiselle Mary s’est laissée faire. Jude est devenue presque sauvage, a arraché ses vêtements ainsi que ceux de Mademoiselle Mary. Les deux filles s’enlaçaient, s’embrassaient, se caressaient. Jude était à la fois admirative et folle d’amour, elle se saisit d’un collier de perle posé sur la table de chevet de Mademoiselle Mary. Elle le lui donna et s’allongeant lentement sur le lit, tout en écartant lascivement les jambes. Mademoiselle Mary comprit tout de suite ce qu’elle attendait. Elle s’agenouilla et, tout en lui embrassant le sexe, commença à lui insérer tendrement le collier dans le vagin, le faisant tourner, le retirant de temps en temps pour mieux le replacer.
Elle lui embrassait toujours le sexe et les cuisses. Puis elle retira le collier d’un coup, c’en était douloureux pour Jude, mais la douleur fut de courte durée. Mademoiselle Mary s’est mise à lui lécher le clitoris, elle descendait parfois faire des allers-retours avec sa langue dans son vagin. Jude était au paradis. Après une première jouissance, Jude ramena son institutrice vers elle, sur elle. Elle se retournait pour passer au-dessus de Mademoiselle Mary, elle lui embrassait les seins, puis le ventre, puis encore une fois les seins, elle descendait enfin vers son sexe. À son tour, elle faisait se rencontrer sa langue et le clitoris de Mademoiselle Mary puis insérait ses mains dans le sexe de son entraineuse. Elle s’est mise à la masturber, d’abord doucement, sensuellement puis elle devenait toujours plus rude, plus agressive, elle était complètement brutale, et Mademoiselle Mary aimait ça.
Les deux femmes ont fini par s’endormir, à la fois de fatigue et de plaisir. Peu de temps après, Jude s’est réveillée et est allée se coucher. En entrant dans le dortoir, son regard a croisé celui de Lola, elle la toisait, comme fière de sa victoire. Après quelques instants seulement, Lola s’est levée, a pris le sous-vêtement de sa professeur puis est sortie, une seule idée en tête. Mais laquelle ?
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