Tu le pousses sur le lit dans un Ă©lan quasi autoritaire ! Ah ah ! Je n’avais pas imaginĂ© ça comme ça. J’imaginais un long baiser fiĂ©vreux, des mains qui partent Ă l’exploration du corps de l’autre, des vĂŞtements, l’un après l’autre volant de-ci de-lĂ . Rien du tout ! Dès le dĂ©but, je vois que tu vas me surprendre. L’homme doit lui-mĂŞme se dĂ©braguetter et livrer Ă notre regard son envie de toi. Il le fait lentement alors que tu le domines toujours, debout au pied du lit.Comment je le sais ? Très simple : je vois et j’entends nettement ce qui se passe dans notre chambre, assis dans une pièce Ă cĂ´tĂ© de celle-ci, grâce Ă mon PC portable laissĂ© Ă un endroit stratĂ©gique, Ă une webcam et un micro.L’homme ignore qu’il est filmĂ©. Il s’agenouille sur le lit, dĂ©fait sa ceinture, baisse lentement pantalon et caleçon. Au moins, l’annonce disait vrai, c’est une belle pièce qui vient buter contre son ventre, flirtant avec son nombril. Bien sĂ»r, tu ne peux t’empĂŞcher d’y mettre la main… qui n’en fait pas le tour. La scène se fige, tu le tiens, assise près de lui.— Hum, la belle grosse queue ! lâches-tu.Je te connais bien, tu es ferrĂ©e, prise Ă l’hameçon ! Y a des femmes qui s’enflamment Ă l’idĂ©e de manier du gros calibre, la mienne est comme ça. Elle est belle, son audace la rend irrĂ©sistible, ce qu’elle peut ĂŞtre garce, quand elle s’y met ! J’adore ce cĂ´tĂ© « Je suis salope et je l’assume ».Cet homme, j’ai dĂ©jĂ vu son visage. Une photo Ă©changĂ©e sur le net. Un des rares contacts retenus, sur ce site de rencontres bien connu des libertins. Il lui plaĂ®t et de plus, il semble accepter le fait que je puisse me joindre Ă leur partie de baise. Il a demandĂ© Ă la rencontrer seule dans un premier temps. Pourquoi pas ? Comment ce qui ravit ma femme pourrait me dĂ©plaire ? Ma superbe miss court après la rĂ©alisation de certains de ses fantasmes et celui-ci, je le partage volontiers. Beaucoup disent que le sexe cimente un couple et dans notre cas, c’est Ă´ combien vrai ! Depuis des mois et des mois, cela ne nous lâche pas. Une fringale de l’autre peu commune, en vĂ©ritĂ©. Que l’un de nous deux ait envie de baiser, et ça suffit pour tout dĂ©clencher. Le rĂ©sultat : une complicitĂ© rare comme je n’en avais jamais connue.Je m’arrĂŞte sur l’image de cet inconnu, des traits et un corps fins, un torse imberbe et cette longue et Ă©paisse queue, c’est peut-ĂŞtre le bon. En tout cas, il ne me rebute pas.Mais que je vous en dise plus et, notamment, pourquoi cet après-midi, devant l’écran de mon pc, je me rĂ©gale Ă l’idĂ©e qu’un autre se prĂ©pare Ă prendre ma puce. Tu t’es mise dans la tĂŞte de me faire dĂ©couvrir certaines sensations, selon toi indispensables. Moi, je dĂ©clare toujours, dans une telle situation, et sans hĂ©siter : « Oui, chĂ©rie, je te suis. » Et voilĂ que tu m’as parlĂ© de la douceur sans Ă©gale de la peau du sexe des hommes, de la dĂ©licieuse sensation d’être remplie ou de s’offrir quand on se laisse sodomiser. Je m’arrĂŞte deux minutes sur cette idĂ©e. Passer un moment seul avec un homme ne m’emballe pas mais lĂ , bizarrement, ce n’est plus juste un homme, mais un instrument au service d’un fantasme que tu souhaites partager avec moi. De plus, il m’est dĂ©jĂ arrivĂ© de trouver certains hommes attirants, si ceux-ci Ă©taient limite androgynes, fins, imberbes. Du coup, tu as dĂ©cidĂ© de « mettre en branle » la rĂ©alisation de ce fantasme commun, avec mon accord, sous certaines conditions. Et pour ce faire, tu offres ton corps Ă cet homme, comme un premier test de ses qualitĂ©s d’amant. Et moi, je suis lĂ , Ă profiter de la dĂ©monstration, voyeur et très excitĂ© par toute cette mise en scène.Sans surprise, tu te penches pour l’avaler. Tu as comme un regard de dĂ©fi lancĂ© vers moi, qui semble dire : « Je peux aller plus loin encore » et tu baves sur cette queue dont quelques centimètres Ă©chappent Ă ta gloutonnerie. Je sais d’avance que c’est peine perdue si tu crois pouvoir tout gober. Il est Ă peu près pareil que moi et je sais par expĂ©rience que, pleinement bandĂ©, tu n’arrives pas Ă m’engloutir en entier. L’homme a passĂ© une main derrière ta nuque et rythme le travail de ta bouche qui l’avale avec entrain. Du micro, faiblement, me parviennent quelques borborygmes Ă©loquents.Je sais Ă quel point tu aimes sucer. Tu n’as pas le clito au fond de la gorge mais parfois je me demande si tu ne pourrais pas jouir ainsi, tant tu frĂ©tilles quand tu bois mon foutre.En tout cas, toute entière Ă ta fellation, tu n’oublies pas que je te regarde, Ă©cartes les pans de ton dĂ©shabillĂ©, tends tes fesses vers moi et de deux doigts, ouvres ton sexe qui luit dĂ©jĂ d’une belle excitation.VoilĂ un spectacle dont je ne me lasse pas ! Ses petites lèvres sont si dĂ©veloppĂ©es, ce n’est pas une vulve, c’est une image provenant du test de Rorschach ! De part et d’autre de son vagin, comme deux ailes maintenues par ses doigts, ses lèvres sont vĂ©ritablement indĂ©centes, de quoi me hanter et souhaiter ne jamais avoir Ă passer ce test, j’imagine très bien l’accueil du psy si je rĂ©pondais : « Les lèvres Ă©cartelĂ©es de la chatte de ma femme » en dĂ©signant la tache sur la feuille que chacun identifierait comme un papillon ou que sais-je encore.Je vois que tu t’appliques, tu le recraches, dardes la langue sur son gland, le reprends en bouche en soupesant ses bourses. Je me demande si dĂ©jĂ , tu as pu le goĂ»ter, si quelques gouttes de son foutre ont dĂ©jĂ perlĂ©. En tout cas, il fait preuve d’un sang froid de bon augure, j’en connais plus d’un qui se serait dĂ©jĂ vidĂ© au fond de ta gorge. D’ailleurs il semble que cela soit le rĂ©sultat recherchĂ©, tu le branles maintenant Ă©nergiquement tout en coiffant son gland de tes lèvres. Il est allongĂ©, je ne vois plus son visage, tu l’amènes au plaisir, les fesses levĂ©es vers moi, deux doigts figĂ©s dans le vagin. Et voilĂ que son foutre fuse, abondamment, en longues traĂ®nĂ©es qui s’étalent sur son torse.Ravie, tu ne bats pas des mains en gazouillant comme une gamine qui s’esclafferait devant la surprise d’un diablotin montĂ© sur ressort jaillissant d’une boĂ®te Ă malices, mais presque – « La belle giclĂ©e ! » – alors que celui-ci reprend ses esprits. AllongĂ©e contre lui, tu attrapes une serviette, essuies le sperme, rejettes la serviette, te loves plus près de lui encore. Vous ĂŞtes alors allongĂ©s, imbriquĂ©s, nus, lascifs.Un autre moment se prĂ©pare, plus langoureux après cette joyeuse mise en bouche. Je soupçonne ma belle d’avoir voulu s’assurer un moment long et intense grâce Ă cette première dĂ©charge qui devrait permettre Ă l’instrument de notre libido de mieux contrĂ´ler ses ardeurs.Tu lui parles alors et je crois entendre :— J’aime voir les hommes gicler, c’est très excitant. Une belle queue dans la main, la sentir palpiter, la voir rougir… Hummm.Je le vois t’enlacer, prendre ta bouche, une de ses mains empaume un sein, il roule sur toi, la bouche soudĂ©e Ă tes lèvres dans un long baiser profond, il semble vouloir prendre l’initiative, ce que confirment les deux doigts qu’il glisse en toi sans cesser de t’embrasser. Ton bassin se soulève.— Fouille-moi, oui, profond !Il lâche ta bouche, mordille tes seins tandis que tu passes tes mains dans ses cheveux. Ton visage prend de belles couleurs, tu gĂ©mis et on se tortille tous les deux, toi sous les caresses de cet homme pas maladroit et moi sur la chaise du bureau, dans mon jean, Ă l’étroit.L’homme rapproche son visage de ta chatte ouverte, rasĂ©e mais je me mĂ©prends sur ses intentions. Il saisit Ă deux mains tes hanches.Tu obĂ©is et te retrouves le visage dans l’oreiller, les fesses Ă l’air, cambrĂ©es Ă l’extrĂŞme. Pour moi, c’est la posture la plus impudique, celle qui livre tout au regard… et pas qu’au regard, d’après ce que je vois. PlacĂ© derrière toi, les deux mains sur tes fesses, il les Ă©carte et y glisse presque tout ce qui peut servir chez lui Ă goĂ»ter, lĂ©cher, fouiller, forer, remplir.— Mais quel affamĂ©Â ! je m’écrie quand je constate la fringale qui est sienne.Je ne distingue pas le nombre de doigts qui te pompent la chatte, au moins trois ! Et sa langue qu’il darde sur ton anus offert !Vlam fait le bruit de la ceinture de mon jean quand celui-ci et le caleçon qui va avec tombent Ă mes chevilles. DĂ©cidĂ©ment trop Ă l’étroit, je me libère. Après tout, il faut prendre soin de ses outils, m’a souvent dit mon grand-père et lĂ , j’étais au bord de la congestion.VoilĂ que le bougre s’aide de ses pouces, de chaque cĂ´tĂ© de ton cul dressĂ© pour faire plus de place au passage de sa langue, tu t’ouvres. Ă€ ce stade je sais qu’il pourrait glisser deux doigts dans ce fourreau gĂ©nialement si extensible sans que tu en souffres, bien au contraire. Parfois il semble soudĂ© Ă toi, je devine sa langue au fond des replis de ta chatte, son nez plantĂ© plus haut. Je souris, j’ai presque envie de me mettre Ă compter pour voir combien de temps il va tenir dans cette posture qui le prive d’air.C’est vraiment chouette, la vie ! Je suis lĂ , peinard, en train de me masser lentement la queue, je regarde ma femme se faire dĂ©vorer les fesses avec une technique de fort belle facture, comme dirait un commentateur sportif cĂ©lèbre et, par-dessus tout, je sais que tu te rĂ©gales. Tu adores les feuilles de rose que je te prodigue. La preuve, le petit solo de clito langoureux que tu te joues en douce pour accompagner cette langue inquisitrice dès qu’il cède un peu de place Ă tes doigts. Solo langoureux, solo langoureux… peut-ĂŞtre mais pas longtemps ! Car lĂ tu passes la quatrième ! Je me retiens difficilement d’en faire autant, non pas encore ! Et tu t’emmènes jusqu’à l’orgasme comme l’attestent petits cris, feulements, le roulis de tes fesses…Break, la posture se casse. Il Ă©tait temps car moi je commençais Ă frire. Ă€ ce moment, je m’attends Ă ce qu’il t’enfile sans autre finasserie, mais tu reprends les rĂŞnes sans lui en laisser le temps et vous voilĂ tous les deux Ă genoux sur le lit, face Ă face, partis dans un de ces baisers voraces que tu apprĂ©cies tant. Tu lui parles doucement. SaletĂ© de micro pas assez sensible pour que j’entende ce que tu lui dis ! Qu’importe, je comprends vite la teneur de tes paroles quand je le vois prendre une posture particulière, la mĂŞme que la tienne quelques minutes auparavant. Alors ça, cela m’éclate et je commente l’action comme un supporteur qui se tape un match devant la tĂ©lĂ©Â :— Pas mal, chĂ©rie ! Original !Cet homme me surprend Ă accepter cette pose, Ă genoux, bien cambrĂ©, le visage dans les bras Ă hauteur des draps. Tu as fait en sorte que son cul me regarde. LĂ aussi, pas un poil et si ce n’est la verge lourde qui pointe vers le matelas, intimidĂ©e par cette pose inhabituelle et le paquet remontĂ© par l’excitation, rien d’autre ne le distingue de certaines femmes que j’ai prises ainsi. VoilĂ qui dĂ©note d’une certaine souplesse, non pas physique, cette position n’étant en rien acrobatique, mais psychique, et je connais peu d’hommes qui seraient prĂŞts Ă accepter de se lâcher ainsi. Après tout c’est ainsi que depuis des centaines de milliers d’annĂ©es, les mâles quadrupèdes saillissent les femelles de leur espèce.Passant derrière lui, tu saisis sa queue, tu la lâches, tu viens flatter ses bourses, tu le reprends en main dans un branle lent et vigoureux. Je devine alors ce que tu as en tĂŞte quand je te vois plonger entre ses fesses pour lui lĂ©cher l’anus. VoilĂ qui me rappelle de dĂ©licieux souvenirs ! Vas-tu poursuivre comme avec moi ou n’est-ce qu’un interlude vers une suite plus conventionnelle ? Suspense ! En tout cas, tu as l’air bien dĂ©cidĂ©e Ă l’humecter et Ă l’élargir de la langue, un bon point pour lui car s’il n’avait pas Ă©tĂ© d’une propretĂ© absolue, tu n’aurais pas poursuivi, alors que lĂ , tu insistes. Je comprends le message que tu m’adresses : « Vois, il s’offre sans retenue, il m’offre son cul ». Je vais vite savoir si tu as vu juste. Tu lui dis de ne pas bouger et tu attrapes dans le tiroir de la commode proche un des godemichĂ©s de notre collection. Celui que tu as choisi est long et plutĂ´t fin, idĂ©al pour la topologie des lieux qu’il va explorer. Je suis Ă cent pour cent attentif Ă ce qui se passe sur l’écran, Ă©patĂ© par ta manière de mener le bal, conscient que le fait que je mate influence ton attitude. Le message est clair : tu testes notre futur jouet, ce qu’il accepte, son savoir-faire. Cela t’excite au plus haut point, tu es bien dĂ©terminĂ©e Ă jouir Ă fond de la situation et Ă la partager avec moi afin que mes dernières rĂ©ticences tombent.Ă€ suivre…