Je viens de recevoir un simple SMS de Pascal, un de mes amants réguliers: « Dispo demain midi pour plan à plusieurs ? ». Comme ça fait déjà un moment que l’idée me fait fantasmer, mais que je n’ai encore jamais osé sauter le pas, je lui réponds : »Possible, mais on serait combien ?’ », histoire de ne pas débarquer dans un plan délire où je pourrais regretter d’être venu. « 4 ou 5, appelles moi pour les détails » me répond-t-il.Bon Ok, je l’appelle et je lui pose la première question qui me brûle les lèvres « J’espère que je ne suis pas le seul passif ? ». Soyons francs, j’adore la queue et l’idée de me faire prendre à la chaîne par plusieurs mâles en rut me titille depuis longtemps, mais comme j’offre quand même rarement mon petit cul, il n’est pas préparé à recevoir 4 ou 5 étalons montés comme des ânes, donc je préfère m’en assurer avant pour ne pas regretter après. »On sera 5 ou 6 si tu viens, actifs et passifs » me dit-il , ce qui achève de me décider. Nous prenons donc rendez vous pour le lendemain midi chez un copain à lui, je note l’adresse et je raccroche. Difficile de recommencer à bosser après ça… Je fantasme déjà sur la situation, en essayant d’imaginer comment ça va se passer et je me mets à surfer sur le Web, sur mes sites d’histoires ou de photos préférés, pour lire des récits de partouzes ou voir des photos de mecs en train de s’enfiler à 3, 4 ou plus, et en m’imaginant à leur place. Je me caresse en même temps, sans exagérer, parce qu’au bureau ce n’est pas très discret… Et puis il vaut mieux que je me réserve pour demain.Je suis maintenant en train de me demander quel look je vais prendre demain, insoupçonnable bien sûr à l’extérieur, mais dessous ? Parce que j’ai aussi un faible pour la lingerie, je trouve ça à la fois très sexy et très agréable à porter.Rien que de sentir sur ma peau une culotte en satin ou en dentelles, assortie d’une paire de bas et je suis déjà tout excité. Etant bisexuel, j’ai besoin d’être soit très mâle avec les femmes, soit très femelle avec les hommes.J’en ai très envie, mais en même temps, j’hésite. Je sais que de nombreux homos préfèrent les mecs habillés en mecs, et n’apprécient pas trop les dessous affriolants qui ne les excitent pas, au contraire. Je ne voudrais pas non plus être délaissé dans une occasion pareille. On verra bien demain matin, à l’inspiration.8H, je suis en train de m’habiller après avoir pris une douche encore plus méticuleuse que d’habitude, comme un gamin qui irait à son premier rendez- vous. Bon finalement, je craque pour un string en résille blanche très fine, un peu transparent ,mais assez discret, avec juste un petit motif de dentelle en haut, qui ne fait pas trop étalage de lingerie féminine. Il est très agréable à porter et très doux au toucher pour celui qui va me caresser et le découvrir. Comme ça, même si les présentations ne sont pas faites au départ, le premier à m’approcher saura rapidement que je fais partie des femelles. Humm, rien qu’à cette idée, mon sexe commence déjà à durcir. On se calme !Il faut d’abord aller faire un tour au bureau, même avec les pensées qui vagabondent ailleurs. Je sens que la matinée va être longue..9H, j’arrive au bureau , je suis déjà assez excité, rien qu’en sentant la ficelle du string entre mes fesses et la douceur de la résille qui entoure mon sexe. Je ne résiste pas à faire un tour aux toilettes, heureusement pourvues d’une glace, pour regarder le résultat. J’ajuste la dentelle autour de mes hanches et je me regarde de profil, le string met bien en valeur la rondeur de mes fesses, j’espère secrètement que ça va les exciter encore plus.12H30, pile à l’heure. Je suis en bas de l’immeuble quand Pascal arrive. Je suis soulagé, même si je brûle d’envie de monter, je préfère arriver avec quelqu’un que je connais. On arrive à l’appartement, la porte s’ouvre et Denis nous accueille, il est en peignoir et nous sommes les premiers. À peine le temps de faire les présentations, la sonnette retentit et Olivier entre dans l’appartement. Je ne sais pas trop qui est qui, mais en 2 temps 3 mouvements, ils sont déjà tous en slip et alors que Pascal se jette presque sur moi pour me déshabiller, commençant à faire courir ses mains partout et sa bouche avec, les 2 autres larrons se roulent de longues pelles en promenant leurs mains partout où ils le peuvent.Pascal me caresse et finit par me faire mettre à genoux pour le sucer. Comme il est plutôt gâté par la nature, j’ai beaucoup de peine à chaque fois à m’occuper de lui comme ça, impossible de tout rentrer. Mais je lui prodigue néanmoinsTous mes talents buccaux, qui lui arrachent pas mal de soupirs de contentement. Les 2 autres sont juste à côté de nous, toujours debout et nus comme des vers cette fois, avec leurs 2 queues bien dressées, toujours occupés à se caresser.L’une est de taille normale, l’autre encore plus longue que celle de Pascal et bien droite. Hummmm, ça donne envie !!Comme le type voit bien que je mate sa longue queue, il me la présente à sucer. J’abandonne celle de Pascal pour engouffrer la sienne avec délectation et je commence à lui faire un pipe d’enfer. Il me prend par les cheveux et m’enfilesa queue tout au fond de la gorge, manquant de m’étouffer plusieurs fois, mais visiblement très excité. C’est à ce moment que la sonnette de l’entrée retentit encore et qu’un cinquième larron, dont je ne connaîtrai même pas le prénom, vient se joindre à la fête. Il est rapidement à poil et vient prendre ma place en embouchant la queue de Pascal. Denis toujours debout à côté de moi me tend sa queue à son tour et lui, je n’ai pas de mal à l’avaler en entier, ce qui lui tire des grognements de satisfaction. Pour ne pas faire de jaloux, je prends les 2 glands dans ma bouche et sur mes lèvres et je les caresse à tour de rôle. Je tourne les yeux de temps en temps pour voir mon « homologue » s’activer sur la queue de Pascal, qui grogne de satisfaction. Mes deux compères me caressent les cheveux, le dos, les hanches, ce qui ne manque pas de m’exciter encore davantage.Après plusieurs minutes de ce manège, Olivier et Denis me font relever et m’entraînent vers le lit. Leurs mains en profitent pour me caresser tout le corps, insistant sur la courbure de mes fesses. Olivier s’allonge sur le lit, la queue fièrement dressée et Denis me pousse a genoux sur le bord du lit, ses mains collées sur mes fesses. Je me retrouve la tête au-dessus du sexe d’olivier que je reprends en bouche. Les mains de Denis caressent mes fesses, mes hanches, l’intérieur de mes cuisses, et remontent le long de mon ventre vers mes tétons, déjà bien durcis par l’excitation de la situation. Après m’avoir caressé longuement et doucement, il revient à ma croupe entièrement offerte à son regard, et l’une de ses mains écarte la ficelle de mon string tandis que sa langue commence à me lécher la rosette, insistant bien sur mon intimité qu’elle finit par pénétrer. Sa langue tourne, fouille, et me fait pousser des gémissements de plaisir. après m’avoir soigneusement fouillé du bout de la langue, je sens un doigt enduit de gel tourner autour de mon petit trou avant d’y pénétrer sans difficulté, et de tourner lentement mais en élargissant son mouvement petit à petit, rejoint par un second puis un troisième doigt. J’apprécie la caresse et instinctivement je me cambre pour mieux les accueillir. Mes mouvements de hanches ont dû donner le signal à mon caresseur, car je sens ses doigts sortir de moi et immédiatement une queue se colle pour les remplacer à l’entrée de mon sphincter. Deux mains agrippent mes hanches et d’une poussée lente, mais déterminée, elle me pénètre. L’engin doit être de belle taille car je me sens rempli par cette queue, qui après quelques secondes commence un lent va-et-vient. Une fois habitué à la grosseur de l’engin, je me laisse aller et mon étalon augmente la cadence, tenant fermement mes hanches, si bien que ma bouche finit par lâcher sa proie et que relevant la tête, je me mets à gémir sous les coups de boutoir.Le mâle qui me chevauche semble satisfait de sa monture, car il pousse de grands râles tout en me pilonnant le cul, s’écrasant à chaque mouvement contre mes fesses. Ouvrant les yeux, je vois que Denis est à côté de moi, ce n’est donc pas lui qui en profite. C’est Pascal qui a décidé d’ouvrir la voie et se laisse carrément aller. Il finit par jouir en poussant des cris rauques et en me collant à lui, puis se retire. « Alors les gars » dit-il, « voyez comme elle est bonne, à vous maintenant ! »Des mains me poussent pour m’allonger sur le dos et me retirent mon string. Le dernier arrivant s’allonge à côté de moi, et Olivier et Denis viennent devant nous, nous relevant les jambes, et nous pénètrent en même temps.La grosse queue de Pascal a bien préparé le passage et je sens à peine la pénétration de Denis. Celui-ci commence un lent mouvement, sortant presque entièrement à chaque fois, et c’est bon. Je ferme les yeux et me laisse aller à cette caresse, après la sauvage chevauchée que je viens de subir. Mon camarade de lit soupire de contentement et sa main vient lentement me caresser la queue avant de me masturber carrément. Bien élevé, je lui rends la pareille et c’est un long moment de volupté, les fesses remplies par un mâle tendre et viril, et les ondes de plaisir que me procure sa main. Après plusieurs minutes, Denis et Olivier décident de changer de partenaire et changeant de capote viennent réinvestir notre cul. Olivier me prend d’un coup sec sans difficulté, mon petit trou étant devenu une chatte béante et humide. Après plusieurs minutes de va-et-vient, il décide de changer de position et me revoilà en levrette au bord du lit. Il écarte mes fesses et me reprend d’un grand coup de reins. Décidé à bien se faire sentir, il me pilonne à son tour, pendant que ses mains me claquent les fesses à tour de rôle, m’arrachant des cris de surprise et de plaisir. Je ne cherche pas à résister ou à réfléchir, Je me laisse aller au rôle d’objet de plaisir pour cet homme, rôle que j’apprécie pleinement. Je m’abandonne complètement à sa virilité, mes reins se cambrent pour mieux l’accueillir, mes yeux se ferment et je me mets à pousser de petits cris au rythme de ses pénétrations.Encouragé par de telles manifestations de plaisir et de docilité, mon amant entreprend de longs va-et-vient, sortant presque entièrement pour mieux rentrer en s’écrasant contre mes fesses, ce qui achève de me libérer. Je pousse maintenant carrément des cris, ondule des hanches et creuse le dos, offrant à tous un spectacle de soumission aux assauts de cet étalon. Je sens d’autres mains caresser mon dos, mes cheveux, mon ventre et me prodiguer des encouragements et des commentaires sur mon endurance.Après un long moment, les caresses pratiquées sur mon sexe finissent par me faire jouir avec violence, quelques instants avant de sentir mon étalon se contracter pour jouir à son tour. Je m’écroule sur le lit, épuisé par tant d’ardeur. Mes compagnons de jeu sont venus s’asseoir ou s’allonger autour de moi et me caressent le corps en me disant des mots gentils. Malgré quelques douleurs à un endroit que vous devinerez, ils m’ont donné beaucoup de plaisir. Vivement la prochaine fois.Vous avez des propositions ??