Nous nous levons afin de ranger les affaires de my love.Quand il ouvre sa valise, je peux admirer à loisir ses jolis petits boxers.Puis je découvre deux petits paquets emballés dans du papier cadeau.-Aaron: « Ce etre petits cadeau de moi pour tes parents. »Je lui propose d’aller les leur offrir tout de suite.Mes parents sont dans le salon regardant la télé.-Aaron: « Ce etre petits cadeaux pour vous, pour remercier vous de accepter moi. »-Ma mère: « Mais il ne fallait pas, merci, tu es trés gentil. »Mon père: « Merci beaucoup Aaron. »Les cadeaux sont ouverts, pour mon père, une montre avec un joli bracelet argenté.Pour ma mère c’est une boite de chocolats.Les pauvres ils ont du morfler toute la journée dans sa valise.Mes parents embrassent Aaron pour le remercier et nous retournons dans ma chambre.A ce moment là, je m’attend à ce qu’il me sorte un petit cadeau rien que pour moi de sa valise.Mais il n’en fait rien, il range ses vêtements dans mon placard.J’avoue être un peu déçu, quoi que, il m’offre son amour et le fait d’etre là auprés de moi et ça, ça vaut bien tout les cadeaux du monde.Une fois tout son petit linge bien plié, bien rangé, il se met à regarder les photos qui sont affichées sur les murs de ma chambre.Soudain, en regardant l’une d’elle de plus prés, il me regarde et dit:-Aaron: « Beeeerk, ce quoi etre cette photo? »La tof en question date de mon année de cinquième et sur celle-ci on peut m’y voir sur un terrain de foot tenant la main de……Grégoire.La belle époque ou nous étions encore amis et où nous aimions aller jouer au foot le mercredi aprés-midi.Aaron me fixe, le regard interrogateur.Je lui raconte alors notre rencontre en 6ème, notre ancienne amitié et les raisons de notre brouille.Plus je parle et plus Aaron semble surpris.Qui ne le serait pas en ayant connu comme moi Grégoire avant, et en le voyant agir maintenant ?A la fin de mes explications, Aaron me pose une seule question, la même que celle que je me pose depuis si longtemps à savoir comment quelqu’un peut changer comme ça du tout au tout.Je crois qu’en fait seul Grégoire connait la réponse.Et qui sait peut etre qu’un jour, un évènement nous rendra l’adorable Grégoire, mais j’ai franchement de en plus de mal à y croire.J’ai tellement tenter de le rammenner à la raison, en vain.Bref, la pendule me fait remarquer qu’il est presque 18h30.Il est l’heure de penser à faire nos devoirs.Aaron s’installe à mon bureau, tandis que je m’asseois tout prés sur le lit.Il décide de me faire réviser le cours de maths.J’avoue ne pas avoir compris grand chose, enfin surtout ne pas avoir suivi grand chose.Aaron décide donc de m’expliquer. Je m’aperçois alors avec le plus grand des plaisirs qu’il a parfaitement compris le cours et ce malgré nos pensées évasives et l’anglais quelque peu catastrophique de mr Barbey.Une fois la leçon expliquée à sa manière (un bisou à chaques bonnes réponses), je fais les exercices donnés par le prof, bien plus vite que je ne l’aurais imaginé.Un magnifique sourire illumine son visage, rayonnant de pouvoir jouer au prof avec moi. De plus, la récompense s’accentue, il me couvre de bisous à chaque exercice réussi.A mon tour je lui explique des trucs qu’il a moyennement compris en français.Perso, ses fautes me font totallement fondre, mais je ne suis pas certain que mme Segoin (notre prof de français), voit les choses du même oeil.Il a vraiment besoin d’aide en orthographe.Je lui donne une feuille et lui demande de me raconter notre journée sous forme d’un petit texte.Evidement le résultat n’est pas génial, de vrais hiéroglyphes.Sur une autre feuille, je ré écrit son texte dans un français correct et lui fais comparer les deux.Puis je reprend les feuilles, lui en donne une nouvelle et lui demande de recommencer en lui promettant une récompense au cas où il ne ferait pas beaucoup de fautes.Bien sur ce n’est pas en dix minutes qu’il va écrire parfaitement le français et le resultat n’est encore pas super, mais pour ses efforts, il mérite quand même sa récompense. J’approche d’abord mes lèvres des siennes et l’embrasse.Puis je me lève et me place derrière lui tout en déposant mes mains sur sa poitrine. Il dépose à son tour ses douces mains sur les miennes et accompagne ainsi les caresses que je lui prodigue.Nos mains descendent tout doucement vers son ventre.Il les fait passer direct dans son pantalon, puis sous l’élastique du boxer.Je retrouve la douceur de la peau satinée de son sexe.Il pousse des legers soupir de plaisir. Il ne faut presque aucun mouvement pour qu’il éjacule sur nos quatre mains.Je porte aussitot nos doigts à ma bouche pour méticuleusement les nettoyer, et on s’embrasse de nouveau échangeant nos semences.On peut dire que ce « partage de connaissances » a été porté par un amour, par le bonheur total.Je lui indique la salle de bain pour qu’il puisse se nettoyer et se changer.Je l’aurais bien accompagné, mais avec mes parents tout prés, ça aurait été trop risqué. Une fois mon tendre amour, tout beau, tout propre et nos devoirs terminés, nous rejoignons le salon pour regarder la télé en attendant le diner. Au programme, un jeu que je regarde quotidiennement et qui me fait bien rire de part les sketches de son animateur. Mais ce soir, il peut se passer n’importe quoi dans l’émission, je m’en fiche, mes pensées sont ailleurs. Aaron me regarde de temps en temps en me souriant. Je lis dans ses yeux qu’il a envie de prendre ma main, mettre sa cuisse contre la mienne. Mais nous n’en faisons rien, trop peureux que quelqu’un n’entre dans la piece et nous surprenne. Puis, vers 19h50 à la fin de l’émission, ma mère nous appelle pour le repas. Nous rejoignons la cuisine.Au menu, pates bolognaises et en dessert sablés maisons, les biscuits préférés d’Aaron.Tout au long du repas, je n’ai evidement d’yeux que pour Aaron et il me le rend tellement bien.Il est si beau, ses doux yeux bleus plongés dans les miens.Tout est mignon chez lui, même sa façon de froncer les sourcils quand il a quelques difficultés à trouver un mot.Ha ! je suis si heureux de voir qu’il est là, ici chez moi et c’est rien de le dire.A voir leurs mines réjouie mes parents semblent etre définitivement sous son charme. Soudain, de sous la table, je sens quelque chose se poser entre mes jambes.C’est le pieds nu d’Aaron.Il sait que j’aime qu’il me fasse ce coup là et il en profite.Il se met à doucement caresser mon sexe au travers de mon pantalon, puis du bout de ses doigts il masse mes couilles, exactement comme ce matin en anglais.Immenquablement je me mets à bander.A ce contact avec mon sexe dur, Aaron sursaute discretement sans pour autant couper la conversation et un petit sourire malicieux s’affiche sur sa bouche. Je suis epoustoufflé par le risque qu’il prend avec mes parents à tout juste quelques centimetres de nous.Ses caresses sont si douces qu’elles me font frémir. Il m’oblige à faire quelques petits mouvements de bassin tellement c’est bon.Oui, c’est bon mais le danger est si proche que je me dois d’arreter Aaron. Mes parents sont si captivés par son charme que plus rien autour ne semble exister, et pourtant…… Je descend le plus discretement possible ma main sous la table et attrape ce pied responsable de mon plaisir.Il me lance alors un de ses regards qui me font fondre.En réponse, je lui caresse doucement la cheville et repose son pied par terre. A cet instant, ma mère quand même pas aveugle, me dit : -Ma mère: « Mais enfin, peux-tu me dire ce que tu as à gigoter comme ça sur ta chaise? » -Ma mère: « Mais enfin, peux-tu me dire ce que tu as à gigoter comme ça sur ta chaise? »-Moi: « Euh…., non rien….., rien du tout. »Je suis rouge de honte, mais ouf, par chance ma mère n’enchaine pas et reprend la conversation avec Aaron. Quelques instants plus tard, Aaron se met à bailler.Il est fatigué mon pauvre chou, enfin pas trop j’espère.Mes parents nous autorisent à sortir de table pour aller nous coucher.Nous sommes déjà dans le couloir en nous embrassant furtivement. Aussitot la porte de ma chambre passée, je la ferme à clef. Avant toute chose je ferme les rideaux de manière à nous isoler totalement de la rue. Puis je le prend dans mes bras et l’enlace serrant son corps tout contre le mien. Nous sommes là à nous embrasser tout en nous disant des mots d’amour. Puis d’un coup je pousse Aaron sur mon lit et me place au dessus de lui. Il se met à rire et ses yeux brillent. On continue de s’embrasser allongés l’un sur l’autre. Mes yeux son plongés dans l’océan des siens. -Moi (en riant): « Toi, tu vas me payer le coup de tout à l’heure. » Mes mains viennent alors à passer doucement sous son pull.Aaron se relève afin que je puisse le lui retirer. Ah ce que j’aime le déshabiller. Sentir mes doigts toucher sa peau si douce. Re découvrir à chaques fois son petit corps d’ado si parfait que j’aime à la folie. Sans compter les sourires et les regards qu’il me lance à ce moment là et qui m’exitent tant. Je m’agenouille maintenant à ses pieds lui retirant doucement pour faire durer le plaisir, ses chaussettes et ses chaussures. Puis mes doigts viennent se poser sur le bonton de son pantalon que je defais d’un geste lent. Aaron me regarde ouvrir alors sa braguette, mettant sa tete en arrière et en poussant de légers soupirs. Le pantalon glisse lentement sur ses jambes et va rejoindre son pull sur son lit. Je m’attaque alors à l’élasitque de son boxer. Aaron me donne une légère tape sur les doigts et me dit : -Aaron: « No, no, no, me now. » Nous échangeons nos places, tout en échangeant aussi un petit baiser et je laisse les douces mains de mon coeur s’aventurer sous mon pull. Il me fait relever les bras afin de me le retirer et ce aussi doucement que j’ai pu le faire. Rien que la sensation de ses mains sur moi, j’ai le coeur qui bat la chamade et le sexe qui commence à se trouver un peu à l’étroit. Celui d’Aaron ne doit pas etre trés à l’aise non plus vu la jolie bosse qui déforme son boxer. Lorsqu’il s’agenouille pour s’occuper de mon jean, je pose mes deux mains sur sa tete et caresse ses cheveux soyeux.Mon pantalon tombe sur mes chevilles et rejoint les autres vetements. Nous nous relevons et nous prenons dans les bras afin d’échanger un nouveau baiser sucré.J’en profite pour promener mes mains sur ses fesses. Puis je fais glisser plusieurs fois un de mes doigts du creux de ses reins jusqu’a sa nuque. Aux soupirs qu’il pousse Aaron a l’air de beaucoup aimer ça. Pendant ce temps sa main procure au travers de mon boxer de douces carresses à mes couilles et à mon sexe bandé. Puis je reprend ma caresse sur son dos, mais cette fois ci mes doigts s’introduisent sous l’elastique de son boxer. Je tire doucement dessus et le boxer glisse le long de ses jambes. Son érection est incroyable. Je commence par embrasser ses testicules imberbes, Aaron fretille. Puis je prend sa friandise à pleine main et la glisse dans ma bouche. C’est chaud, c’est doux sous ma langue, hummmmm c’est bon. Je titille son gland parfaitement décalotté avec ma langue, ce qui fait gémir mon amoureux.A présent, je prend son sexe au complet dans la bouche.