Première tentative d’Ă©criture d’une courte histoire Ă©rotiqueLes premiers rayons de soleil traversaient la chambre obscure et frappaient les paupières d’Adam. Le rĂ©veil brutal paraissait interminable et Adam s’Ă©tiraient de tout son corps Ă travers le lit du couple. Ses mains rencontraient le fessier de Rebecca. Il esquissa un sourire taquin. Le mâle prit la place de l’homme et commença un lent travail de caresses et d’effleurement Ă travers le drap. Les courbes de sa petite amie encouragea le gĂ©omètre coquin Ă explorer d’autres formes, tel un enfant redĂ©couvrant les joies d’un jouet maintes et maintes fois palpĂ©s.Le cul ferme et bien charnu laissa la place Ă des hanches chaudes. La main, envoĂ»tĂ©e par la douceur de la peau fĂ©minine, cria famine sur le tissu fin et, encouragĂ© par des yeux sans cesse obsĂ©dĂ©s, retira les draps soigneusement. Evitant de rĂ©veiller sa compagne, Adam continua son exploration. Le matin d’Ă©tĂ© Ă©tait toujours frais et la peau de RĂ©becca montra des signes de petits hĂ©rissements. Frileux, l’homme hĂ©sita entre se prĂ©parer pour aller au travail ou caresser sa femme en repos mĂ©ritĂ©. DĂ©cidement, chaque lundi Ă©tait un dĂ©fi difficile. Son entrejambe prit le relais et la main poursuivit sa quĂŞte diffĂ©remment.Plongeant sous le drap au niveau de l’Ă©paule fĂ©minine, Adam rĂ©chauffa sa peau, par sa main affamĂ©e. Le bras conquis, suggĂ©rĂ© par le petit mouvement fĂ©lin d’une tĂŞte gĂ©missante, ouvrit la voie Ă un trĂ©sor gĂ©nĂ©reux : les collines de la poitrine. Les formes laissĂ©es par le drap Ă©taient fidèles aux nombreux souvenirs laissĂ©es les nuits et jours prĂ©cĂ©dents. Tentant, mais il ne fallait pas transgresser le dĂ©sir cachĂ© de la femme, aussi assoupie qu’elle Ă©tait.Notre hĂ©ros continua son pĂ©riple vers les hanches puis le cul gĂ©nĂ©reux. La quĂŞte secondaire s’avĂ©ra payante puisque après avoir dĂ©licatement tirĂ© le fin tissu de sa culotte, les doigts permirent Ă l’ensemble de l’univers fĂ©minin de se tourner vers lui, tel un temple qui s’ouvre Ă l’explorateur intrĂ©pide. Sourire aux lèvres, l’Ă©pĂ©e commençant Ă se glorifier, Adam fut rattrapĂ© par son destin.Le rĂ©veil de son portable sonna. Bruyamment. Le dragon de son rendez-vous terrassa tout espoir de victoire dans l’heure qui suit, voire la matinĂ©e ou la journĂ©e. Tout dĂ©pendait de l’humeur de sa girouette, enfouie sous l’Ă©norme oreiller, mais trahi par l’Ă©pouvantable crispassion des mains le maintenant.Adam mit rapidement en dĂ©route l’animal mais le jeu Ă©tait terminĂ©. L’oreiller laissa Ă©merger un visage accablĂ© mais souriant, ses yeux le pardonnaient, il le savait.– Bonjour, mon chĂ©ri– Bonjour, ma belleElle tendit sa main sous les draps vers l’aine et saisit le glaive amenuisĂ© pour le ranimer par un mouvement qu’elle seule savait maĂ®triser. Le rĂ©sultat ne se fit pas attendre.– Dommage que je ne suis pas disposĂ©e pour cette semaine, mon coeur.Pas la matinĂ©e, ni la journĂ©e, mais une semaine entière. Notre hĂ©ros rĂ©digea son Ă©pitaphe et se rappela son obligation. Il embrassa sa petite amie et se retira de sa douce main.– J’ai un rendez-vous dans une heure– DĂ©cale-le– Je l’ai fixĂ© il y a 3 mois, ça ne peut pas attendre.– Qui fixe un rendez-vous un lundi matin dès 8h30?– Au moins deux personnesRegardant fixement le chibre semi-Ă©rigĂ© qui s’Ă©loigna du lit conjugal, elle lui demanda :– Tu ne tiendras pas la matinĂ©e.Elle se releva de sa position allongĂ©e pour se tenir sur ses coudes. Il se retourna pour lui rĂ©pondre mais vit, entre-temps, le drap rĂ©vĂ©ler les magnifiques jeunes seins, fermes et volumineux de sa compagne. L’Ă©tendard poussa sur le prĂ©puce, le gland commença Ă Ă©clore. Les yeux de RĂ©becca restaient figĂ©s sur le but de sa manoeuvre. Adam releva ses yeux vers son visage.– Je vais prendre une douche, dit-ilL’invitation Ă©tait lancĂ©e.Adam avança d’un pas lent vers la cabine, s’Ă©tirant les muscles. Son travail de jeune menuisier de 23 ans lui a permis de sculpter une silhouette avantageuse. Sa dĂ©termination lui a permis d’obtenir la confiance de son patron et de pouvoir gĂ©rer sa clientèle et ses projets. Tout lui souriait dans la vie etson applomb naturel lui assura le dĂ©roulement de la prochaine heure.Adam prĂ©para ses affaires de toilettes, fit couler l’eau pendant une dizaine de secondes puis s’engouffra lentement en pensant Ă RĂ©becca. Son gland gonflĂ© reçu en premier le jet d’eau. Il resta un petit moment pour apprĂ©cier l’eau chaude s’Ă©couler le long de sa queue puis s’enrouler autour de ses boules remontĂ©es autour de sa colonne Ă©rigĂ©e, spasmant par la chaleur. Sa bite s’Ă©leva et toucha son abdomen au-dessus du nombril, signe qu’il pouvait entrer dans la douche.Le menuisier frotta Ă©nergiquement ses cheveux imbibĂ©s de shampoing face au robinet Ă©teint. Il commença Ă se rincer abondamment, puis se retourna. Les yeux fermĂ©s, il ne pouvait pas voir RĂ©becca mais savait qu’elle Ă©tait prĂ©sente, face Ă lui. Le jeu avait beau ĂŞtre bien rodĂ©, Adam sentait toujours la respiration rapide de sa compagne. Il Ă©carta lĂ©gĂ©rement ses jambes pour laisser dĂ©finir les contour de son appareil gĂ©nital excitĂ©. Le souffle fĂ©minin se rapprocha du torse d’Adam, puis son gland fut saisi dĂ©licatement par de fins doigts par le prĂ©puce Ă©tirĂ© avec un mouvement de bas en haut pour exciter le gland puis de haut en bas pour bien le dĂ©calotter. Les bourses soulevĂ©es par la raideur du mat procurait une sensation de lourdeur, bientĂ´t soulagĂ© par une autre main dĂ©licate.L’Ă©nergie qu’Adam se donnait pour se rincer fondait Ă vue d’oeil Ă mesure que RĂ©becca accĂ©lĂ©rait et amplifiait ses va-et-vient. Il respirait lourdement et attendit le moment oĂą il oublierait sa douche. La langue pointait autour de son urètre, doucement. Aucune goutte d’eau de la douche ne put dissimuler la douceur de cet impact. Les petits mouvements circulaires grandissant ont laissĂ© place aux lèvres de feu au-dessus de la base Ă©vasĂ©e du gland. Puis la langue se logea sous le frein tendu. La main continua son va-et-vient et descendait lentement le long du chibre humide.RĂ©becca fit des bruits de succion sur le gland comme ferait une fillette avide de terminer une glace fondante. Elle tourna sa bouche autour de l’imposant gland suintant de prĂ©-sperme de façon Ă pouvoir le gober. Elle ne pouvait pas ouvrir davantage sa machoire et devait faire en sorte de faire le moins mal possible avec ses dents. Elle regarda Adam fixement pendant sa tâche. Il comprit qu’il fallait arrĂŞter la douche pour qu’elle ne soit pas gĂ©ner par la pluie. BientĂ´t, le bruit de l’eau laissa place au bruit de saliveEnfin, le gland entra entièrement dans sa bouche. Rebecca s’arrĂŞta pour reprendre ses esprits. Elle fut rĂ©compensĂ© par une main viril sur sa joue gonflĂ©e, le pouce caressant le bord de ses yeux humides. Elle reprit sa respiration difficile par le nez et saliva autour du dĂ´me turgescent toujours suintant d’une quantitĂ© impressionnante de prĂ©-sperme. Elle dĂ©gluttit souvent le mĂ©lange salive et liquide prĂ©-sĂ©minale puis commença Ă pomper la majestueuse colonne de chair brĂ»lante. Les veines se dessinaient dĂ©sormais distinctement dessus, elle pouvait sentir par sa main chaque relief du tronc. Elle essayait d’enfoncer la queue plus profondemment, mais pour celĂ il fallait passer par les amygdales puis la gorge. Sa main serrait la grosse queue au niveau du pubis, mais ses lèvres n’arrivaient pas Ă l’atteindre, gĂ©nĂ©es par l’Ă©norme chair Ă©pais. Elle fora sa tĂŞte autour du gland pour s’enfoncer de quelques millimètres. Elle devait relâcher sa gorge pour accepter l’Ă©norme intrus.Les lois de la physique luttaient contre sa dĂ©termination, chaque fois qu’elle lui procurait une fellation.Puis, elle dĂ©tendit sa bouche mais oublia d’avaler le mĂ©lange liquide, ce qui provoqua une Ă©norme toux bouchĂ© par l’imposante poutre. Le liquide sortit par grosse giclĂ©e Ă travers le moindre interstice laissĂ© par les lèvres. Le menton gerba tout le flux baveux vers sa poitrine, la queue resta impassible. Rebecca ne put retirer sa bouche pour prendre un meilleur envol, la main d’Adam saisit l’arrière de son crâne. Il avait atteint le point d’excitation de non-retour, il prenait dĂ©sormais la chose en main.Rebecca eut Ă peine le temps de reprendre sa respiration par le nez, que le liquide prĂ©-sĂ©minal envahissait sa bouche dĂ©jĂ bien remplie par l’imposant gland.Adam força son propre rythme lent mais assurĂ©. Il recula la tĂŞte de sa femme pour qu’elle puisse avaler et respirer, ses lèvres Ă©taient collĂ©es le long de son chibre, Ă©tirĂ©s. Puis, il enfonça comme un bĂ©lier le fond de la gorge, la bite glissa très facilement entre ses lèvres, sur sa langue, entre ses amygdales endolories. Puis, il recommença avec plus d’insistance. Plusieurs fois. Plus violamment.Et la gorge cĂ©da enfin.La femme avait les cuisses serrĂ©es contre son pubis rasĂ©, se tortillant comme une envie de pisser. Mais elle n’avait qu’une envie : celle qui Ă©cartelait sa petite bouche luisante. Une main sur des testicules endurcis, l’autre main retenait le pilonnage insistant d’Adam et bientĂ´t ses dents frappaient avec douleur le bord de sa main. Elle le retira du tronc imposant par rĂ©flexe ; mais par besoin, elle le dirigea vers les lèvres de sa chatte affamĂ©e, vomissant du lubrifiant sur le carrelage de la salle de bain. Son clitoris excitĂ© Ă©tait dĂ©sormais triturĂ© par une main connaisseuse. Rebecca finit par jouir. Ses yeux tournaient Ă l’intĂ©rieur de leur orbite, ses jambes tremblaient par l’orgasme intense qui envahissait son corps et son esprit. Elle laissa Adam terminer le travail, n’ayant pas le temps de rĂ©cupĂ©rer, bavant de larges quantitĂ© de salive.Sa machoire s’Ă©largit, la queue gonflait, le pilonnage s’accĂ©lĂ©rait, son nez s’enfonçait dans le pubis qui puait la luxure, sa gorge se dĂ©formait par le haut. Un lĂ©ger Ă©largissement au niveau de l’oesophage trahissait la brutalitĂ© de la fellation. La bite dĂ©goulinait de salive et de prĂ©-sperme sur les boules scotchĂ©s Ă elle. Quand allait-il commencer Ă jouir? Se demanda Rebecca.Adam ne pensait plus qu’Ă la sensation de la chaleur buccale de sa partenaire autour de son pieu rigide. Il accĂ©lĂ©rait de plus en plus ses coups de bĂ©lier. La gorge avait cĂ©dĂ© depuis longtemps et il pouvait sentir les tissus mous au fond. Il souleva ses talons, sentant l’orgasme arrivĂ©. Rebecca sentit le mouvement et se releva pour permettre Ă Adam de mieux s’introduire dans sa gorge et ainsi dĂ©verser directement sa charge dans l’oesophage.Puis, Adam enfonça avec force une dernière fois sa grosse queue dans la gorge Ă©troite de sa petite amie tremblante.Adam se courba, la main crispĂ©e sur le crâne de Rebecca. TĂ©tanisĂ©e par l’orgasme de son homme, sa main lâcha les couilles, qui barattaient avec force, et resta suspendu dans les airs. Son autre main inondĂ©e de mouille avait explosĂ© le clitoris gonflĂ©. Tout semblait immobile dans la salle de bain : leur position, le temps. Mais tous leurs sens Ă©taients en alerte, en attendant le fin de l’extase, interminable. Quand allait-il terminer de jouir? Pouvait se demander Rebecca, mais elle n’en fut pas capable.Sentir l’orgasme de son mec Ă©tait sa seule prioritĂ© ; son besoin de respirer suivait. Elle pouvait sentir un ralentissement du rythme mais, comme Ă chaque fois, elle ne pouvait pas compter sur ce dĂ©tail pour espĂ©rer sortir de l’Ă©tau.Puis, chacun se rĂ©veilla de son orgasme. Les yeux de Rebecca revirent Adam.Il dĂ©serra son emprise sur elle, satisfait, et commença Ă retirer sa queue diminuante. Elle la prend Ă deux mains afin de l’aider Ă la retirer. Puis, une fois, une fois le gland retirĂ©, elle put tousser et reprendre sa respiration.Adam reprit une douche en compagnie de Rebecca, en se nettoyant mutuellement. Sans un mot, elle manipula sa queue flasque en le regardant avec un sourire, puis l’embrassa.Il se prĂ©para Ă sortir, regarda sa montre. Il n’avait pas pu manger un morceau avant de partir, mais Ă pu nourrir sa femme pour la matinĂ©e. Il l’embrassa :– A ce midi, ma belle!– A ce midi! Dit-elle en se tâtant l’estomac, avec la pensĂ©e de devoir une nouvelle fois lui vider ses grosses couilles après le repas.Il lui sourit puis ferma la porte derrière lui, l’esprit lĂ©ger.