Ah! les clientes… surtout les difficiles…
Une fin de journée qui ne finissait plus d’en finir… en détail…PREMIÈRE PARTIEUNE VOIE INTÉRIEUREÉtant chef restaurateur dans un coin tranquille de notre belle grande ville, la soirée de ce froid lundi d’hiver traînait en longueur. Presque sans client et ayant déjà renvoyé chez eux tout le personnel de soutien, j’avais simplement le goût de fermer la place et d’aller voir ailleurs si j’y étais. Un petit couple en était rendu au troisième café et n’avait même pas regardé la facture, déjà posée sur la table depuis plus d’une demi-heure.Je traînais ici et là , sans âme, lorsque se présentèrent à la porte deux jeunes femmes qui semblaient frigorifiées La première s’excusa de l’heure tardive et me demanda s’il me restait un petit quelque chose de bon pour apaiser leurs appétits. J’avais le goût de fermer au plus tôt mais une voie intérieure me dit d’avoir pitié de ces deux belles créatures que le destin avait placées sur mon chemin. Je leurs répondis alors que je ferais tout en mon possible pour satisfaire leurs désirs. Les débarrassant de leurs manteaux, j’eus quand même le temps d’observer, du coin de l’œil, les lignes pures et belles de leurs silhouettes respectives.La plus petite avait les cheveux d’un blond roux et les yeux d’un bleu à faire pâlir le ciel. Une bouche fine, petit nez et un joli visage arrondi. Un corps tout délicat, toute petite poitrine mais bien à sa place, blouse blanche laissant entrevoir un soutien-gorge de dentelle. Ce dernier laissait imaginer des mamelons durcis par le froid sibérien qui sévissait à l’extérieur. Ses hanches fines, ses jambes minces et effilées. Ce devait être une femme à prendre avec douceur tellement elle semblait fragile et délicate. Elle rougit un peu en remarquant que mes yeux, l’espace d’un instant, l’avaient délicieusement parcouru de la tête aux pieds et que je semblais vraiment apprécier ce que j’y avais pu admirer.Celle qui m’avait adressé la parole était plus grande. Elle avait de longs cheveux couleur de jais, des yeux brillants et une bouche charnue. Elle donnait l’impression d’attendre que quelqu’un y dépose délicatement un baiser ou même, qui sait, de déguster un gland juteux jusqu’à ce qu’il s’y répande de plaisir. Sa poitrine était généreuse, bien enveloppée par un chemisier noir serré, parsemé ici et là de petits trous qui laissaient entrevoir un soutien pigeonnier et la chair rose et tendre de la partie supérieure. Sa jupe était relativement courte et un peu relevée sur les hanches. Elle s’empressa de remettre de l’ordre à sa tenue en rabaissant rapidement sa jupe mais non sans que j’aie eu le temps de voir ses cuisses couvertes d’un bas diaphane, surmonté d’un porte-jarretelles de même couleur que ce qu’on pouvait imaginer de son soutien-gorge.Ne regrettant pas d’avoir écouté cette voie inconnue qui m’avait subtilement soufflé de laisser entrer ces deux charmantes dames, je suis allé chercher les menus et la liste des vins. De retour à la table, j’ai initié la conversation par un simple « Bonsoir mesdemoiselles, je me présente, Alex, votre hôte, chef et serviteur pour cette charmante fin de soirée. » Avant de me laisser poursuivre, la femme à la belle chevelure noire me tendit la main et se présenta sous le nom d’Annie. Enchanté que je m’entendis répondre sans même ouvrir les lèvres. Elle me présenta ensuite sa copine Valérie. Doublement enchanté d’avoir deux si jolies dames dans mon établissement. Elle me retournèrent, un joli « merci » d’une voie tout aussi mielleuse l’une que l’autre.Je poursuivis mon introduction en leur demandant si elles désiraient un apéritif, le temps de faire leur choix? Annie me répondit que, revenant d’une soirée donnée en l’honneur de l’anniversaire de son amie, ici présente, qui n’était en vérité que le lendemain, elles en étaient probablement à leur cinquième apéro et qu’elles désiraient plutôt se garder de la place pour une bonne bouteille de vin. Je répondit, regardant la jubilaire d’un regard admirateur, que se devait certainement être son vingt-cinquième tout au plus, supposant très bien qu’elle soit sur le point de franchir le cap de la trentaine et qu’elle n’avait pas du tout le goût de se le faire dire par un inconnu, pas plus que de rentrer chez elle avant les petites heures du matin, question de savourer la dernière nuit de sa vingtaine. Mon compliment la fît rougir et elle baissa les yeux en ajoutant qu’elle était ravie du compliment, que c’était très gentil de ma part. Le regard qu’elle lança à son amie me fît comprendre qu’elle ne semblait pas habituée à de si joli compliment et que son conjoint était probablement très peu attentif à sa beauté, à moins qu’il n’y ait actuellement personne avec qui cette délicate petite femme ne partageait ses nuits.Sur l’entrefait, le petit couple, ayant terminé de se dévorer des yeux et décidé de passer à l’étape suivante, revint à la vie. Le jeune homme introduisit sa carte dans le dépliant de la facture et sans même en regarder le total, me fit signe de la main. Attitude sans équivoque sur son intention de profiter de l’état second de sa compagne et d’aller partager quelques plaisirs de la vie avant qu’elle ne change d’idée. J’ai pris rapidement le tout et me suis dirigé vers la caisse pour fermer la transaction et ainsi les voir quitter les lieux le plus vite possible. Pourboire inscrit, coupon signé, facture rendue, je tendis galamment son manteau à la jeune femme pour l’enfiler. Je lui remis de façon à la placer dans une position où, je pourrais plus facilement jeter un œil à sa poitrine. Ses mamelons étaient bien tendus, dans l’attente de caresses plus élaborées et peut-être même d’une longue nuit, pleine de tendresse et d’amour. Elle me fit alors un clin d’œil et me fît comprendre qu’elle avait apprécié cette soirée et qu’elle ne s’attendait à rien de moins que d’aller terminer cette soirée dans les draps chauds de son lit. Elle semblait certaines que ses draps, après cette nuit, garderaient l’odeur des plaisirs partagés jusqu’au petit matin.Il ne me restait plus que ces deux jolies dames à servir pour finir cette soirée et, à bien y penser, rentrer chez moi pour m’écraser sur le divan en attendant que le soleil ne se lève sur une autre journée.Sans plus attendre, m’adressant à celle à qui c’était l’anniversaire, je lui demandai ce qui lui ferait plaisirs à savourer afin de bien terminer cette belle soirée d’anniversaire?Oh! Quelque chose de simple… vous avez? Il est tard et je ne voudrais pas abuser de votre hospitalité. Vous êtes déjà très gentil de nous avoir reçues en cette heure tardive.Alors, peut-être qu’une entrée de fruits de mer pour bien commencer ce petit goûté et qu’ensuite on pourrait voir si vous désirez poursuivre avec quelque chose de plus élaboré ou en rester là ?Très bonne idée, me répondirent-elles en chœur … Desquelles de ces merveilles disposez-vous ce soir?J’ai un peu de pieuvre et son encre, du calamar, quelques palourdes, des huîtres bien fraîches, bien sûr, un petit spécial pour votre anniversaire. J’ai trouvé quelques « flions » au marché ce matin. Le tout vous va?Très bonne idée me répondit la petite blonde, celle qui s’appelait Valérie… Mais c’est quoi un « flion »?Un flion? C’est un petit coquillage d’environ 2,5cm sur 0,5cm, blanc nacré, de forme oblongue. C’est un coquillage très fin, de plus en plus difficile à trouver malheureusement et qui se mange autant cru qu’en sauce délicate. Vous allez voir… c’est le nec plus ultra, vous ne regretterez pas…Pieuvre et son encre? On m’a déjà dit que c’était aphrodisiaque… est-ce vrai?À ce qu’on dit que je lui répondis. Mais on dit aussi que l’effet peut être différent d’une personne à l’autre.Elle me répondit alors que ma proposition les intéressait puis elle ajouta du même souffle : Faites-en donc un peu plus et disposez aussi une troisième place à notre table. Nous sommes vos seules clientes alors vous ne pouvez pas me refuser, la veille de mon anniversaire, de venir partager tout cela avec nous. Ma mère me disait que le jour de son anniversaire, on a tous les droits. Disons que je prends quelques heures d’avance.L’invitation ne permettait aucune discussion ni refus. Alors je répondis que je revenais dans la minute mais à la condition que le vin serait mon cadeau d’anniversaire. J’ai eu alors droit aux deux plus beaux sourires qu’il ne m’avait jamais été permis de voir depuis bien longtemps.Ces femmes étaient vraiment séduisantes et d’un raffinement sans égal. On aurait dit qu’une brise soufflait de leurs lèvres et que leurs regards étaient de miel. Rien que d’y penser, j’en avais des frissons jusqu’au bas du ventre et il me fallut orienter mon attention sur le plat à préparer car je sentais déjà monter en moi des picotements au niveau des testicules, précédent sans aucun doute l’approche d’une érection.Quelques minutes plus tard et j’étais de retour à la table. J’ai trouvé le mariage parfait au plat que je vous apporterai dans une dizaine de minutes. Meursault 1996, un petit bijou de vin blanc, très savoureux à dominante beurre et crème, quelque chose à la hauteur de l’événement, dis-je simplement, tout en dévorant des yeux celle dont s’était l’anniversaire. Elle avait profité des quelques minutes de mon absence pour défaire un bouton au haut de sa blouse, me révélant un peu plus sa poitrine dont les mamelons semblaient vouloir percer le corsage. À la fêtée à goûter au bonheur, dis-je, tout en versant un peu de ce divin nectar dans sa coupe.Mais c’est tout simplement sublime! Annie, goûtes-moi ça, dit-elle à sa copine les yeux exorbités par le bonheur qui parcourait toute sa bouche et sa poitrine. Elle savourait le tout avec extase et semblait parcouru de longs frissons sur tout le corps. La voyant ainsi, mon imagination alla jusqu’à sentir son sexe qui commençait à mouiller tellement elle semblait apprécier ce vin.Annie, elle aussi explosa. Je n’ai jamais goûté quelque chose de plus tendre, de plus savoureux. C’est vraiment incroyable tous les parfums et les saveurs qui se dégagent de ce vin. Vous avez fait un choix vraiment super, me dit-elle, tout en se parcourant les lèvres du bout de la langue afin de rien perdre, ni du goût ni des vapeurs qui se dégageaient de divin nectar. Les mouvements de cette langue étaient si suggestifs que je l’aurais prise entre mes lèvres afin de la goûter en silence. Elle était très sensuelle, à se demander si elle ne voulait pas faire compétition aux avances de sa belle amie dont, dit-on, s’était l’anniversaire.Reprenant mes esprits, j’enchaîna avec un simple, Je reviens avec les fruits de mer dans quelques minutes, ne bougez surtout pas. Et un peu plus vite si je le pouvais bien sûr. Ne vous en faites pas, je n’aurais pu quitter cette table sans un regard au plus profond du corsage de Valérie. Cette dernière semblait avoir anticipé mes intentions car elle rapprocha ses bras de chaque côté de ses seins afin d’ouvrir son corsage un peu plus et ainsi faire plonger mon regard plus profondément dans le décolleté de sa blouse.Elle voulait certainement me faire voir presque entièrement ses seins, si mignons et qui devaient être tellement savoureux. Je pus alors en voir les pointes tendues et durcies à travers son soutien-gorge de dentelle. J’avais le goût d’y plonger et de les enrouler de ma langue, de les sucer tout doucement, d’en caresser l’auréole avec le bout de la langue. Avec mes doigts, jouer avec ces mamelons et ces petits seins qui ne semblaient rien demander de mieux.Sur le chemin de la cuisine, je descendis les yeux vers mon pantalon et m’aperçut que, à la vue des seins et de la coquinerie de cette femme, mon pantalon se tendait, prêt à faire sauter ma fermeture éclair à chaque pas. J’avais toute une érection et il m’était difficile de le cacher. Quelques petits chuchotements me provenaient de la table. Les deux amies parlaient à voix bases, me reluquant le pantalon et ricanant entre elles. Valérie se leva, passa devant moi, m’effleurant le pantalon du revers de la main et se dirigea vers la salle de bain des dames. Comprenant que ces deux dames avaient, hors de tout doute, remarqué mon état, je ne pus m’empêcher de rougir en regardant vers Annie toujours assise, face à moi, heureusement seul dans mon coin. Tout en préparant ce délice de fruits de mer, je fantasmais à l’idée de savoir Valérie glisser sa main au bas de son ventre afin d’apaiser un peu le feu qui s’était installée dans cette partie de son corps, l’entendre couiner doucement de plaisirs en sentant son doigt tourner sur son clitoris, s’insérer profondément dans sons vagin, de jouer avec la petite boule de chair à texture de noix qui se trouve tout juste au haut de l’entrée principale, de masser doucement ce point si tendre et intime, puis plus vigoureusement jusqu’à ce que la cyprine s’écoule sur les cuisses, preuve qu’elle avait jouie du plus profond de son corps. Cela n’améliora en rien l’état dans lequel j’avais quitté la table. Si j’avais eu des visions en y revenant, là il n’y avait plus de doute. J’avais la queue tellement dure qu’elle semblait vouloir exploser d’une minute à l’autre.Ayant pris quelques instants pour me calmer un peu le membre, j’étais de retour à la table, portant fièrement l’assiette à partager. Valérie revint quelques secondes plus tard de la salle de bain. Alors qu’elle reprenait sa place à table, Annie lui demanda, sourire en coin, si ça allait mieux. Elle lui répondit oui et que cela lui avait fait du bien. Avait-elle vraiment joué avec sa minette pendant que j’étais à la cuisine? Il me fallait chasser rapidement cette pensée, sans quoi j’en serais quitte pour me tenir, la queue bien dure sous un slip déjà humide et un pantalon prêt à se rompre d’un instant à l’autre. Ce me serait alors difficile, voir impossible d’aller reprendre mes esprits à la cuisine. Pendant qu’elles échangeaient ces dernières paroles et quelques sourires en coin qu’elles ne dissimulaient plus vraiment, j’ai entreprit de servir ces dames en commençant par notre fêtée bien sûr.Après avoir disposé diverses bouchées dans l’assiette de Valérie, m’apprêtant à placer l’assiette devant elle, j’ai soudainement remarqué qu’en allant à la salle de bain, elle avait retiré son soutien-gorge et que ses seins pointaient doublement au contact de tissus vaporeux de sa blouse. On pouvait y voir les détails de ses mamelons qui perçaient presque le tissu. Ce dernier devait agir comme une caresse sur ces tétons qui semblaient prêt à exploser tellement ils étaient gros. Ils devaient avoir au moins deux centimètres de long et avaient l’air encore plus délicieux ainsi presque dénudés. On aurait dit qu’ils appelaient mes lèvres chaudes à les sucer tout doucement puis à les dévorer jusqu’à l’extase. J’ai dû tourner légèrement l’assiette pour que la présentation soit impeccable, marque de commerce de mon petit resto sans prétention. Au même moment, elle s’avança de façon à ce que mes doigts effleurent un de ses seins. À ce contact, elle ferma les yeux comme pour sentir, en privé, cette touche bien accidentelle de ma part mais désiré de la sienne. J’avais les doigts qui me démangeaient et qui voulaient se porter à la caresse de cette poitrine sans plus attendre.Annie s’empressa de nous ramener à la réalité, me demandant si elle pouvait en avoir, elle aussi. Cette phrase sonnait à mes oreilles comme si elle avait voulu demander si elle y avait droit elle aussi. Reprenant mes esprits, je lui fit un sourire, que moi-même je ne me connaissais pas, mi-gêné et mi-provocateur. Elle baissa les yeux afin de réviser sa position et ainsi se placer encore plus près de la table, de façon à ce que je ne puisse, d’aucune façon, déposer son assiette sans entrer directement en contact avec ses seins. J’ai alors vu qu’elle avait pris soin d’en sortir les bouts de son demi-buste et qu’ils semblaient tout aussi prêts à recevoir une caresse égarée que ne l’avaient été, quelques instants plus tôt, ceux de Valérie. Enfin la composition de son assiette terminée, je m’apprêtais à la poser devant elle, mais en prenant bien soin d’y aller lentement car je voulais qu’elle sente bien ma main se jouer d’une si belles poitrines qui ne demandaient rien de moins. Tenant l’assiette du bout des doigts, main retournée vers l’intérieur, je me suis ainsi retrouvé avec un de ses seins bien calés dans la paume de ma main, le serrant doucement afin d’en palper tout le désir qui pouvait s’y trouver. Son mamelon glissa gentiment entre mon pouce et le creux de ma main et j’ai ainsi pu le presser délicatement, le tirer un peu et sentir sa poitrine se presser encore plus au creux de ma main. Annie avait les yeux mi-clos, savourant ce moment délicieux, empreint de tendresse.Plongé dans un autre monde, j’entendis Valérie nous dire : Bon! On mange et on continuera après OK? Ce petit jeu m’a ouvert l’appétit et j’ai le goût de manger tout ce qui se trouve dans cette place. Cette fin de soirée s’annonçait, on ne peut plus intéressante que celle anticipée avant l’arrivée de ces deux déesses.Je fis alors la suggestion de nous déplacer un peu plus vers l’arrière où se trouvait un petit salon privé et ainsi de nous mettre à abri des regards indiscrets. Ma suggestion ne requit aucune réponse. Nous avions tous trois la même pensée.J’ai alors pris les trois assiettes dans mes mains et me suis dirigé vers l’endroit. Valérie m’arrêta en plein milieu de la salle à manger et Annie, qui me suivait, se serra contre moi et me dit à l’oreille de ne pas bouger si je ne voulais pas échapper les assiettes et toutes les bonnes choses qu’elles contenaient. Je la sentis relever son chemisier, m’entourer de ses bras et se coller sur moi. Elle avait les seins chauds et les bouts durcis par l’excitation et le désir de poursuivre un peu plus loin ce petit jeu qui s’était installé entre nous.Valérie me barrant le chemin se pencha vers l’avant, se mit à genoux et entrepris de défaire mon pantalon. En moins de temps qu’il ne faille pour le dire, je me retrouvais, les culottes à terre, avec une main qui s’insérait dans mon slip à la recherche de mon pénis déjà juteux de l’excitation des derniers moments. Sans crier gare, elle pris le bout entre ses lèvres, le suçant doucement, puis tout le gland, suçant de plus belle, le mordillant même au passage. Pendant ce temps, Annie m’avait relevé la chemise et je sentais déjà la pointe de ses seins me perforer le dos tellement elles étaient dures et empreintes au désir charnel le plus fou. Valérie, toujours occuper à me sucer et me lécher le membre, qui lui prenait des proportions jamais égalées, commença un mouvement très lent de va-et-vient, pris de l’autre main mes testicules et se mit à jouer avec comme s’il s’agissait de boules chinoises, les faisant tournoyer dans sa paume, les écrasant doucement à l’occasion. Plus le temps avançait, plus elle suçait avec énergie et plus j’avais de la difficulté à tenir les assiettes. Pendant ce temps, Annie toujours collé à moi, me mordillait l’oreille, me léchait la gorge, me parcourait le torse de ses mains douces et agiles, griffant au passage mes chairs en transe, triturant mes mamelons qui eux aussi étaient durcis de plaisir. Elle me donnait des frissons incroyables. Valérie ne se lassait pas de déguster ma verge. Elle me donnait ainsi un plaisir. Je me sentais les couilles bouillir sous ses caresses. Ma queue avait alors des proportions inhumaines. Plus elle me suçait, plus la queue me grossissait. C’était tellement délicieux d’être ainsi traité que j’en perdais presque la notion du temps.Annie me dit alors à l’oreille; Allez mon beau, fais-lui le plus beau cadeau qu’un homme puisse lui faire. Cette belle suceuse a le goût de boire tout ce que tu pourras lui éjaculer dans la bouche. Allez, allez, viens mon grand, laisses-toi aller et dis à cette belle queue de venir très fort, de lui gicler tout ce qu’elle a. C’est sa fête et ma copine veut tout avoir, elle veut tout boire, jusqu’à la dernière goutte. Sur ces derniers mots je ne pus me retenir, me vidant les couilles au fond de sa gorge en plusieurs jets. Lorsqu’elle me senti venir, elle me pressa les couilles afin de ne pas m’en laisser une seule goutte qu’elle n’aurait pas dégustée. J’entendis une voie lui dire: Encore, je veux t’en donner encore, continue, il m’en reste encore un peu… OUI! … AH! Que c’est bon !Mes esprits à peine repris, je m’aperçus qu’Annie, me sentant venir, avait sécurisé les assiettes pour ne pas que toute cette bouffe ne se retrouve dans la chevelure de Valérie. Je me sentais les couilles complètement vidées, voir presque asséchées tellement elle en avait si savamment extrait tout le jus. Elle avait sucé tellement fort, tellement bien que j’aie l’impression qu’elle était venue m’en chercher une partie du cerveau et qu’elle avait avalé le tout. Je me sentais flotter dans les nuages.Annie me remit alors les assiettes dans les mains et alla embrasser à pleine bouche sa copine afin de me goûter à travers ce mélange de langue. Ce baiser dura plusieurs minutes et toutes deux semblaient savourer la semence soutirer de cet homme qui se tenait toujours devant eux. Puis, se retournant et me voyant toujours, la queue à l’air, encore bandée suite au plaisir reçu, debout en plein milieu de la place, elles éclatèrent de rire. Ne pouvant pas vraiment bouger ayant toujours les assiettes dans les mains et les pantalons sur les chevilles, Annie s’approcha pour me prêter main forte. Arrivé à la hauteur de mon pénis, elle ne put s’empêcher d’y donner un petit coup de langue et lui dire : tu ne perds rien pour attendre mon beau. Ça va être mon tour tout à l’heure, et crois-moi, tu n’es pas près d’oublier tout le plaisir que je vais te donner. Puis elle l’enfourna sans crier gare, l’avala d’un trait jusqu’au fond de sa gorge en me prenant les fesses à pleines mains afin de s’assurer qu’elle n’avait rien laissé à découvert et qu’elle en sentait bien le gland planté profondément entre ses dents.Elle remis mon pantalon en place et nous reprirent tous trois le chemin du petit salon. Tout en commençant à déguster ce plat délicieux dont nous n’avions pas vraiment besoin des propriétés aphrodisiaques pour imaginer tout ce que nous ferrions subir aux deux autres dans les minutes qui viendraient, je me dis qu’il était peut-être temps d’aller voir ce qui se cachait dans ces corsages si invitants.DEUXIÈME PARTIEJOYEUX ANNIVERSAIRE VALÉRIEJe dis alors à Valérie qu’étant donné son anniversaire, je me devais de la servir jusqu’au bout. Alors elle se recula et je me suis assis tout à côté d’elle de façon à ce que je puisse ainsi la gaver des bonnes choses qui se trouvaient encore dans son assiette. Au premier essai, un filon au bout de ma fourchette, je lui ai tendrement fait le tour des lèvres, la laissant y toucher du bout de la langue. Elle me joua un tour en s’avançant rapidement et l’engloutis au fond de sa bouche avec un sourire vainqueur. Comme deuxième bouchée, je vis une petite pieuvre qui n’attendait que d’être déguster par cette bouche avide et délicieuse. J’ai eu alors l’idée qu’il vaudrait mieux lui servir sans fourchette, la faire manger au bouche à bouche quoi. Étant donné que cette petite bestiole était encore gorgée d’encre, je lui dis qu’il valait mieux lui retirer sa blouse afin de ne pas la salir car je prévoyais quelques éclaboussures possibles. Elle me fît un sourire et approuva sans mot dire. Je la déboutonna tout doucement, un à un les boutons glissèrent sous mes doigts, effleurant à chaque mouvement le tissu fin et tout ce qui se trouvait en dessous. Elle semblait vraiment apprécier, si je me fis à l’état assez chair de poule de sa chair et l’orientation de ses mamelons durcis de plaisir. Je lui ai retiré tout doucement sa blouse en laissant traîner le tissu sur le bout de ses seins pour les exciter encore plus.Ainsi le haut de son corps mis à nu, j’ai pris la pieuvre entre mes lèvres et me suis rapprocher de sa bouche en lui disant que celle-là , nous devrions la savourer ensemble. Elle entrouvrit à peine les lèvres pour bien sentir les miennes s’y poser et ma langue s’introduire tout doucement à l’intérieur de sa bouche, allant à la rencontre de sa langue qui ne demandait pas mieux que d’entrer en contact avec la mienne. Après avoir transférer la pieuvre dans sa bouche, je la sentis croquer dans le mollusque bien tendre. Avec un petit rire, elle transféra rapidement toute l’encre de sa bouche à la mienne. Je sentis alors un petit filet de ce liquide noir me couler au coin de la bouche et probablement lui couler sur le sein qui se trouvait juste au-dessous. Me reculant afin d’observer les dégâts, je vis qu’elle avait un petit sourire en coin, découvrant par le fait même ses dents qui, quelques secondes plus tôt, étaient toujours blanches. J’ai alors compris que ses intentions, en mordant dans la pieuvre, n’étaient que de m’en teindre la langue et les dents. Ah bon! Lui dis-je d’un sourire vengeur.Je quittais sa bouche pour descendre directement à ces seins qui pointaient de plus belle, une belle petite coulisse noire en plein centre. J’y ai posé mes lèvres et fait tremper les mamelons un à un afin qu’ils prennent bien la couleur noir-bleu que j’avais en bonne quantité dans la bouche. Puis, je revins à ses lèvres afin de les embrasser tendrement et mélanger tout ce liquide entre nos deux bouches avides de désirs.Annie s’apercevant de la teinte qu’avaient pris les mamelons de sa copine ne pus s’empêcher de rire et de lui faire remarquer, en enlevant elle-même son chemisier, que ses mamelons étaient maintenant de la même couleur que les siens. Elle rirent toutes deux et je pus constater qu’elle avait dit vrai, mon regard passant d’une poitrine à l’autre. Je dis alors à Annie que je devais finir de nourrir notre fêté et que je prendrais tout aussi bien soin d’elle par la suite.Me laissant glisser sous la table, j’eus la surprise de voir, qu’en plus d’avoir enlever son soutien-gorge à la salle de bain, elle avait aussi enlevé son slip et que sa chatte dégoulinait tellement ce petit jeu l’avait excité. Alors j’écartais bien ces cuisses si délicate et glissa tout doucement ma langue entre ses lèvres. Quel parfum et quelle saveur s’en dégageaient! Savourer un tel nectar était un plaisir merveilleux. Elle avait les chairs tendres et la vulve tout aussi délicate que le reste de son corps. Son clitoris était déjà gonflé au premier coup de langue et il ne demandait qu’à être doucement sucer et croquer tout à la fois. Elle gémissait à chaque coup de langue et frémissait au contact de mes dents sur son clitoris. Tout cela m’encourageait à continuer encore et encore afin de me venger de ce qu’elle m’avait fait subir au beau milieu de mon restaurant, la faire jouir jusqu’à ce qu’elle me demande pardon…Je sentis tout à coup un pied se glisser, par l’arrière, entre mes cuisses, me souvenant ainsi que j’avais laissé Annie au plat pour quelques instants. Elle commença un doux mouvement, me compressant délicatement les testicules sur la base du pénis, provoquant, dans la minute même, une de ces érections que l’on n’a pas tous les jours. À cette vue, elle descendit derrière moi, me défit, sans m’en demander la permission, la ceinture, baissa le pantalon et le slip et se mit à astiquer cette queue qu’elle avait remise en forme en moins de deux. Après quelques va-et-vient, elle s’étendit sur le dos et pris le fruit de son travail entre ses lèvres. Elle me suçait tout aussi merveilleusement que sa copine quelques instant auparavant.Après ce détournement de mon attention, je me remis à me délecter, de plus en plus avidement, de la chatte de Valérie qui, en passant, me fondait dans la bouche. Après maints gémissements elle me dit : Allez, mets-la-moi, je te veux au fonds de moi, je veux te sentir en moi, allez, baises-moi jusqu’à ce que je n’en puisse plus de venir.Annie avait alors ses lèvres de mon gland en feu. Je puis alors me relever et me placer directement devant Valérie. J’ai alors approché ma bite de sa vulve toute juteuse de son état et des coups de langues que j’y avais déposé. Avant d’y entrer, je l’ai alors chatouillé de mon gland, touchant ainsi chaque centimètre de son contour. Elle gémissait, couinait en me disant d’entrer en elle. Un peu impatiente de la suite, elle me prit par les épaules et me tira vers elle d’un coup.Je n’eus pas le temps de réaliser ce qui se passait que j’étais bien enfourné dans cette belle chatte brûlante qui voulait de l’homme. Alors d’un mouvement lent, j’explorais l’intérieur de cette femme en chaleur. Entrant et sortant tout doucement afin de lui faire bien sentir que j’étais en elle et que je n’en sortirais pas sans l’avoir épuiser et fait jouir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.Ne pouvant plus de rester passive, Annie alla alors se placer à côté d’elle. Elle commença à l’embrasser à pleine bouche, partageant ainsi les orages de plaisirs et sensations fortes créées par les mouvements de l’homme en elle. Elle lui triturait en même temps un des mamelons, le tirant pour l’allonger, le tournant entre ses doigts. Elle avait tellement de plaisir que ses auréoles étaient tout simplement devenues mamelons, bleu-noirs bien sûr, résultat de la séance de teinture des minutes précédentes. J’en pris alors un entre mes lèvres. Quelques minutes plus tard, le contact de ma bouche toute chaude sur son mamelon durci de plaisir, additionné aux doigts d’Annie qui tiraient sur l’autre, de cette langue profondément ancrée au fond de sa gorge, de ma queue qui lui fourrageait la chatte à un rythme d’enfer, elle ne pus se retenir. Elle nous cria son plaisir dans un long gémissement et m’éjacula tellement de cyprine sur les genoux que j’eus l’impression d’être tombé à genoux au fond d’une piscine. Annie et moi nous regardions, tout surpris de la quantité de ce liquide de plaisir expurgé par cette toute petite femme. Nous étions tous deux, souriant du plaisir que nous avions eu à participer à cette corvée qui nous semblait quand même être du travail bien fait. Cette Valérie n’oublierait probablement jamais cette dernière soirée de sa vingtaine. Valérie avait la gorge sèche et me demanda un peu de vin. Je pris moi-même le reste de sa coupe et le lui transféra dans un long baiser, tendre et langoureux. Elle me communiqua ainsi combien elle avait jouis et toute la satisfaction qu’elle avait de ce que nous lui avions fait vivre dans ces derniers instants. Ce baiser n’étant même pas terminé, Annie se souvenant que je n’étais pas venu en même temps que Valérie, repris ma queue dans sa main. Après avoir détaché son regard de la mare de jus que sa copine avait laissé sur le plancher, elle se pencha rapidement pour me la goûter, en disant : Tu viens de lui faire un beau cadeau d’anniversaire. Cette pensée semblait la transporter au coin le plus reculé d’un de ses fantasmes le plus présent en ce moment. Après quelques lichettes, laissant ma queue quelques secondes, elle lançant un petit: WOW Ça a du goût cette queue là , faudrait bien que je me la fasse moi aussi.Mais Valérie, encore un peu dans les vaps, avait quand même entendu cette phrase. Elle lui dit alors: Oui, tu vas te la faire, mais pas où tu penses ma belle petite chattone.TROISIÈME PARTIELE TOUR D’ANNIECouches-toi sur la table, on va s’occuper de ce petit cul et, crois-moi, ce ne sera pas long que tu vas y goûter toi aussi. Annie se releva et s’étendit sur le dos, la jupe remontée à la taille et les seins qui se balançaient d’un côté à l’autre à chacun de ses mouvements. Elle commença à se les pétrir elle-même, faisant comprendre à Valérie qu’elle était prête.Elle avait des seins, qui de par cette caresse, semblaient vraiment habituer à réagir rapidement. Elle les pétrissait avec force, en écrasait le bout jusqu’à ce qu’il lui écrase entre les doigts. Elle semblait vouloir en faire de la purée tellement elle les pinçait de plus en plus fort. Après deux trois minutes de se triturage, elle dit à Valérie : Vas-y ma belle, tout ce que tu veux, vais moi venir comme jamais je suis venu. Puis en se tournant vers moi, elle me dit, manges-moi, j’ai déjà la chatte toute juteuse. Je suis certaine que tu n’en as jamais mangé d’aussi bonne, regarde comme elle est charnue ma belle chatte, et bien rasée en plus. Tu as de quoi manger pour le reste de la nuit. Elle entrouvrit les cuisses et me présenta officiellement sa belle petite vulve toute mouillée.WOW, il y en a de la peau là -dedans. Elle devait avoir les grandes lèvres qui dépassaient d’au moins cinq centimètres. En, comme Annie venait justement de la dire, elle était déjà toute dégoulinante de plaisir. La pensée de ce qui allait se passer dans les prochaines minutes l’avait mis dans tous ses états.Sans perdre une seconde, je me mis à genoux, j’enfouis ma tête entre ses cuisses et promena ma langue tout doucement sur cette chair tendre mis à ma disposition. Il y en avait tellement que j’avais l’impression que j’en aurais pour toute la soirée à la lécher sans jamais passer deux fois à la même place. En plus, elle était d’un goût très sucré, parfumée à la lavande, quel délice pour une langue avide comme la mienne. Je suçais cette chair en l’aspirant de plus en plus tout doucement dans ma bouche afin de bien sentir toutes les vibrations de son corps. Je m’emplissais chacune des joues de chacune de ses lèvres, suçant de façon à provoquer un lent va-et-vient de ces lèvres à l’intérieur de ma bouche. Après avoir tout englouti, j’ai enfin rencontré son clitoris du bout de la langue. Il était déjà tout gonflé et ne demandait qu’à être dévoré afin de faire sortir de ce monde son heureuse propriétaire. Annie gémissait alors comme une folle. Après deux ou trois minutes de ce traitement, Valérie me dit, en me repoussant vers l’arrière, « STOP, ne me la fait pas venir comme ça, j’ai ma façon bien à moi de la faire gicler cette belle chatte. Tu vas voir ça. Retires-toi un peu et on va y faire sa fête à cette belle grande noire. Elle va en crier, tu peux me croire. Donnes-y ta queue à sucer pendant que je m’enduis la main de quelque chose de miraculeux et prépares-toi, tu n’en croiras pas tes oreilles. Elle va nous supplier d’arrêter. Mais nous, on va continuer jusqu’à ce quelle n’ait plus une goutte de jus dans le corps, elle va nous inonder le plancher ça c’est certains. »Elle sortit de son sac à main un petit tube, l’ouvrit et s’en enduisit généreusement la main droite. Elle commença ensuite à lui jouer autour de l’anus, lubrifiant parfaitement cette partie du corps d’Annie. Cette dernière me suçait de plus en plus fort à mesure que Valérie lui tournait autour du petit trou. Elle faillit m’avaler en entier lorque son amie introduisit son majeur profondément dans le domaine de sodome. On aurait dit que de sentir ce doigt dans son petit cul étroit l’avait fait sursauter et qu’elle en appréciait la présence au fond de ses tripes. Valérie le ressorti et en entra deux puis trois, elle bougeait vivement, entrant et ressortant à un rythme de plus en plus rapide. Annie en gémissait et me suçait à me faire entrer les couilles dans le corps. Puis elle se retira et me dit : Viens, c’est ta place, je t’ai ouvert la route.Après m’avoir faire quelques branlettes, histoires de bien me lubrifier le manche, elle me dit: Mets-lui bien au fond et ne te gêne pas pour la transpercer jusque dans la gorge si tu peux. Elle est bien en chaleur et adore ça se faire prendre à fond. Ce n’est pas sa fête mais elle va s’en souvenir de ma dernière nuit dans la vingtaine. Elle me prit alors la queue de sa main gluante et la pressa sur l’entrée de l’anus d’Annie qui s’ouvrit immédiatement, ne demandant pas mieux que de recevoir le même traitement qu’il venait de vivre dans la minute précédente.Je n’avais pas encore terminé de parcourir mon chemin en elle, qu’elle commençait déjà à m’étrangler en resserrant son petit cul sur ma queue. Je la soupçonnais donc de vouloir me la faire grossier encore plus en empêchant le sang d’en ressortir et ainsi pouvoir la sentir encore plus grosse tout au fond du palais de Sodome.Après l’avoir pénétré jusqu’à ce que mes couilles s’écrasent contre ses fesses, Valérie lui dit : Maintenant tu vas goûter à ma médecine et avec cette grosse queue tout au fond de ton beau petit cul, tu vas venir en moins de temps qu’il ne faille pour le dire. Suite à ces paroles, je sentis encore plus les muscles de son rectum se contracter autour de mon membre, bien ancré au fond d’elle. Valérie me dit alors : Ne bouges pas mon beau, je vais lui enfiler mes doigts tellement et assez profond que je pourrai lui tirer la langue par en dedans. Écartant les grandes lèvres de la chatte d’Annie, elle introduisit dans son vagin un puis deux puis trois puis finalement les quatre doigts, la fourrageant énergiquement. Après une ou deux minutes de ce va-et-vient infernal, elle ressortit ses doigts, inséra son pouce au centre de sa main et poussa le tout, tout doucement à l’intérieur de la chatte de sa copine qui elle, en criait de plaisir. Valérie lui dit alors : Tu aimes ça ma belle, attends que je te branle le col, tu vas venir comme jamais tu e s venus. Elle ferma alors sa main à l’intérieur du vagin d’Annie et je sentis ses jointures se presser sur ma queue au point de la tordre vers le bas. Puis sans que je ne bouge, elle commença un court mouvement de va-et-vient sur le bout du col de sa copine. Annie se mit à chialer et à rugir comme une folle. Elle dit alors à Valérie : C’est la première fois que je me fais branler comme si j’avais une queue en dedans. Continue, c’est tellement bon que je vais VVVVVvenirRRRRR.Elle ferma alors les yeux et s’envoya la tête en arrière. Puis en avant en sifflant entre ses dents, ses cheveux venaient me fouetter les mains qui avaient empoigné, sous les ordres de Valérie, ses deux gros seins et qui les pétrissaient sans ménagement. La salive lui coulait de la bouche tellement elle était dans tous ses états. Elle balançait la tête de tous côtés, sifflant et gémissant sans même reprendre son souffle. Puis la tête lui retomba sur la table. Elle souffla alors plusieurs fois comme si elle venait de courir les 100 mètres en 5 secondes. Dans un long gémissement, elle prononça quelques mots, complètement inaudibles tellement sa respiration était saccadée et ses lèvres complètement engourdies des derniers moments qu’elle venait de vivre.Alors Valérie me dit : Viens ici mon beau, avec tout le plaisir qu’elle a eu, même si elle n’a pas droit à ta queue dans sa petite chatte toute mouillée car cela ne nous est réservé que le jour de notre fête, elle a quand même droit à un petit jet de ta part, mais sans pénétration. Elle commença à me branler très vite et avec ce que je venais de ressentir lorsque Annie était venue, il n’en fallut qu’une dizaine de longs et rapides va-et-vient pour que la queue m’explose alors que Valérie, m’orientant le jet directement dans la chatte d’Annie, sans m’y laisser pénétrer, je fis mouche au premier jet et lui injecta tout le sperme que j’avais, tout en grognant comme un diable tellement s’était bon que de sentir ce liquide s’écouler à travers tout mon corps.Ce petit manège terminé, Valérie releva les jambes d’Annie vers le plafond, pris la bouteille de vin et lui versa dans le vagin tout ce qui y restait. On va voir si ce vin est toujours aussi bon qu’il ne l’était au début de cette soirée. Vas-y mon homme, prends-en une bonne gorgée et ensuite tu iras la partager avec la propriétaire de cette belle chatte toute pleine de ton foutre. J’y boirai ensuite probablement tout ce qui va rester dans son beau trou car j’ai l’impression que ça va avoir tout un goût. Un si bon vin mélangé avec du sperme et de la cyprine, ça doit avoir un goût unique au monde. Moi, je pense que, même les grands crus devront aller se rhabiller. Ils ne sont pas de taille contre à un si beau grand cul.N’ayant que le temps d’ouvrir la bouche, Valérie écarta et descendit les cuisses d’Annie et un flot de ce jus tout mélanger m’emplis et m’inonda le visage. AIE! Que Valérie me dit, n’en gaspilles pas, il n’y en a pas tant que ça dans cette belle chatte. Vite, va lui faire goûter le jus de ce plaisir pendant que je prends ce qu’il reste.Ce drôle de jus avait un goût, un goût vraiment spécial. Le sucré du vin mélangé au salé du sperme et l’acide de la cyprine lui donnait un petit quelque chose de bien balancé. C’était à simplement dire, tout à fait magique. Après avoir versé entre les lèvres d’Annie encore dans les vaps une bonne rasade de ce nectar d’amour, elle revint à la vie et me demanda, tout en avalant le tout, c’est quoi ça? M! C’est vraiment bon, tu as ouvert une autre bouteille sans me le dire mon petit coquin…Alors Valérie qui venait à peine de finir de s’emplir la bouche, pouffa de rire et aspergea Annie de la chatte à la tête de ce liquide unique. Elle se dépêcha à avaler ce qu’elle avait pu garder et lui dit : Mademoiselle, un peu de retenu s’il vous plaît, il s’agit du jus des couilles de monsieur agrémenté de celui de votre chatte, relevé d’un reste de ce vin blanc que vous avez, il y a quelques heures, trouvé délicieux. Annie, encore sous le choc ouvrit grand les yeux et sembla maintenant déguster avec plus de patience ce liquide si doux et savoureux.Elle dit alors à Valérie : Mais on devrait le commercialiser. Ça se vendrait un prix fou ce jus là . Valérie perdant le peu de sérieux qui lui restait poussa un grand rire et dit : C’est ça, on va mettre une annonce dans la presse afin de recruter des candidats éjaculateurs et des candidates jouisseuses. Les hommes feront la queue devant les chattes en chaleur. Mais ça va en prendre en titi pour rencontrer la demande. Y as-tu pensé.Bon OK lui répondit Annie, on s’en fait deux trois fois par semaine et on se le garde tout pour nous alors. Un rire général rempli la salle et tous trois avons partagé un superbe baiser, bien mélangé des langues de chacun, entrant et ressortant des bouches collées l’une à l’autre.Bon, dit enfin Annie, si on se prenait un petit dessert et un bon café afin de ne pas s’endormir, la nuit ne fait que commencer. N’est ce pas ma chouette. Un simple clin d’œil fût la réponse qu’elle reçut de Valérie.Alors, que dis-je, si je nous faisais un plateau de toutes sortes de choses à partager? Va pour le partage que mes deux minettes répondirent en cœur. Alors, essayant de retrouver mes morceaux parmi ce fouillis de vêtements, je me suis dirigé vers la cuisine pendant que mes deux muses entreprirent de se revêtir.Alors que j’étais à la cuisine, la porte avant s’ouvrit et une dame entra. Ne voyant personne dans la grande salle mais entendant du bruit un peu plus à l’arrière, elle s’avança un peu plus loin à l’intérieur du restaurant. Lorsqu’elle a vu les deux jeunes femmes assises, semblant attendre la suite du service, elle les salua poliment et demanda si le resto était fermé. Annie lui répondit qu’elle n’avait qu’à prendre une chaise, que le proprio ne devrait pas tarder à revenir de la cuisine.QUATRIÈME PARTIEOUPS! ON A DE LA VISITEQuelle fût ma surprise lorsque j’entrai dans le petit salon ! Une troisième femme s’y trouvait, assise, sans même avoir prise le temps d’enlever son manteau. Bonsoir que je lui dis. Je suis à vous dans un instant. Me dirigeant vers la dans de mes deux compagnes de plaisirs, j’entendis Valérie me dire. Mais tu n’avais pas barré la porte? On aurait pu nous surprendre en pleine action. OUF! On l’a échappé belle. Sans autre réponse qu’un saut des épaules, je mis devant elles un superbe plateau de fondant au chocolat, marquise à l’érable et aumônière de fruits frais ainsi que trois expressos frais fait. Annie dit à Valérie, Je vais bien prendre 10 livres juste à regarder ce plateau. Annie de lui répondre, tout bas: De la façon dont tu as jouit, tu les as déjà perdus, alors à toi de les reprendre.À l’expression qu’avait la petite dame toujours emmitouflée, je me sentis rougir, étant certains qu’elle avait tout entendu de la conversation de mes deux autres clientes. Je lui dis alors, nous sommes fermés mais si je peux vous rendre un service, il me fera plaisirs de vous satisfaire.Simplement un café s’il vous plaît Monsieur qu’elle me dit. Je dois aller chercher mon mari à l’aéroport, mais son avion a été retardé jusqu’à 8 :00 heures demain matin. Je suis de Magog et n’ai pas vraiment le goût de retourner chez moi et revenir dans une heure.M’apercevant qu’il était déjà une heure du matin, je compatis avec cette dame, un peu plus âgée que les deux autres. Elle devait faire dans la mi-quarantaine et à la taille du manteau, elle devait être toute menue elle aussi.J’ai ça pour vous que je lui répondis. Merci qu’elle me répondit tout en se levant pour retirer son manteau. Je me suis alors avancé d’un pas afin de prendre son manteau. Elle portait un jean bien serré et un t-shirt moulant. Sa poitrine, petite mais bien soutenue, était mise en évidence par le stretch du chandail. Le froid en avait un peu raidit les mamelons et elle frissonna un instant avant de se frotter les épaules de ses mains.Je lui dis que le café était en route et qu’il la réchaufferait en un instant. Elle dit à voix basse, ne croyant pas que j’entendrais, qu’elle aurait besoin d’autre chose qu’un café pour la réchauffer mais que pour l’instant, elle devrait se contenter de ce café. Levant les yeux, elle s’aperçut que j’avais tout entendu, et à la couleur que ses joues avaient prise, j’eus la confirmation qu’elle en était très inconfortable. Je la laissai à son gène et me retira pour aller lui préparer un café bien tassé.De retour dans le petit salon, mes deux amoureuses avaient déjà tout englouti le plateau de dessert. Se dénichant, Annie lança : Dodo ma belle, c’est ta fête demain. M’approchant, je dis qu’il est déjà trop tard, car demain est maintenant devenu aujourd’hui. Alors dodo aujourd’hui ma belle d’enchaîner Annie, montrant du doigt la porte à Valérie. Cette dernière ajouta : La nuit est jeune ma chèreet avec ce que nous venons de vivre, nous en avons pour quelques heures avant que se rallume en nous la flamme du désir. Viens ma noire, on va se trouver un petit bar sympa où nous pourrons siroter un dernier verre avant d’aller au lit et de me laisser cajoler jusqu’au petit matin.Je les ai reconduit sur le pas de la porte. Annie me faisant la bise poliment, Valérie m’embrassant goulûment, encore empreinte des plaisirs partagés dans les dernières heures de sa vingtaine. Évidemment que je les ai invités à revenir, même sans réservation, en ajoutant que j’espérais qu’elles avaient aimé… parce que moi, j’avais adoré… Elles m’ont toutes les deux sourit et sont repartis d’où elles venaient, main dans la main, bras dessus bras dessous, ricanant, sentant l’amour causé par l’humidité des plaisirs que nos ébats avaient laissés dans leurs petites culottes.Un petit saut à la cuisine et hop! Le café était tiré. Chaud et savoureux comme il se faut. Je servis alors la dame qui me remercia gentiment de ses beaux yeux. Alors je lui souris en ajoutant un petit regard coquin afin de lui faire sentir qu’elle ne m’était pas indifférente. J’eus alors droit à un sourire un peu gêné mais laissant transparaître une sensualité et une volupté incontestable. Un frisson me passa de bas en haut de la colonne vertébrale, provoquant une chaire de poule sous mon cuir chevelu et, je l’imagine, un rayonnement sensuel de mes yeux. Elle le remarqua probablement puisqu’elle baissa les yeux et s’arrêta sur mon bas ventre qui était prêt à entrer en érection dès le premier contact.Elle avait un petit sourire taquin en me regardant alors je lui demanda de quel endroit son mari revenait. Elle me répondit qu’il était de retour après 10 jours d’absence, national sales meeting à Las Vegas. Belle endroit pour un meeting lui répondis-je et longue période d’attente pour une femme si charmante. Pour l’attente, je ne vous le fais pas dire et pour le charmante, vous savez qu’il y a d’autre moyen de s’occuper de soi. Elle avait dit cela en me regardant avec tellement d’intensité que j’avais eu l’impression qu’elle essayait de lire dans mes pensées.Je me sentis un peu désorienté et ajouta simplement qu’il me restait un peu de ce fondant au chocolat et qu’il me ferait plaisirs de lui offrir gracieusement. Service inclus? Qu’elle me répondit ! J’ai alors ajouté que le tout serait personnalisé mademoiselle. Elle me fit un clin d’œil et sourit savoureusement.J’ai alors presque couru à la cuisine afin d’en reporter un morceau. Ce n’était pas le dernier mais il me devait de la garder dans cette impression, question de coquetterie. Qui sait… De retour avec un bon morceau, une seule cuillère, je me suis assis en face d’elle et j’ai ramassé un peu de fondant avec la cuillère et la porta à sa bouche. Elle les entrouvrit et aspira ce délice. Ses yeux tournèrent sur eux-mêmes, elle savourait le tout en se pourléchant les lèvres. Je pris alors la fourchette et trancha un coin du gâteau, le trempa dans le fondant et porta le tout vers ses lèvres. Cette fois-ci, elle entrouvrit à peine les lèvres un le contact fît glisser le gâteau qui refoula un peu de chocolat à l’extérieur de la cuillère, tomba sur son t-shirt et y laissa une traînée de quelques centimètres. Oups que je dis. De la façon dont elle me regardait, je me suis demandé si le geste avait été intentionnel ou vraiment accidentel. HUM! Qu’elle ajouta, il faut vite nettoyer avant que cela ne tache. Ici je n’ai que des détergents à vaisselle mais en haut j’ai ce qu’il faut. Je me suis levé afin de faire le plus vite possible pour revenir avant que ses esprits ne se refroidissent. Je n’avais même pas fait trois pas qu’elle me dit : Attendez, je vais avec vous, ce sera plus facile. Elle m’emboîta le pas jusqu’à la porte du fond. Je l’ouvris et la laissa passer. Le corridor étant assez exigu, elle n’eut pas le choix que de se frotter un peu sur moi en passant. J’ai senti un peu d’insistance de sa part à ralentir son passage et ainsi profiter du contact, si petit soit-il, au maximum.Rendu en haut, je lui ai indiqué le chemin de la salle de bain et lui ai signifié de m’attendre une minute, que je revenais avec ce qu’il fallait pour réparer le tout. Lorsque je suis revenu, elle avait déjà mouillé l’endroit où le chocolat s’était répandu et m’attendait avec le savon. J’en ai mis un délicatement sur la tache qui s’est immédiatement étendu un peu plus. Il faudra laver le tout que je lui dis. Attendez, je vais vous chercher quelque chose pour vous couvrir et je vais mettre votre chandail à la laveuse. Dans une heure il sera redevenu comme neuf. Sans attendre l’accord ou le désaccord, je pris un de mes ouaté et lui tendis. Me retournant pour quitter la pièce, histoire de la laisser se changer en toute intimité. Je n’avais même pas franchi la porte qu’elle me dit : Voilà , c’est fait. Je pris alors son chandail et le mis à laver.Je vous sers un verre le temps que ça lave? Avec plaisirs fût sa réponse. Vous avec du porto? Mais bien sûr. Venez au salon, je nous en sers chacun un verre. Le haut du resto n’était qu’un pied-à -terre que je me servais comme dépannage, les soirs de fermetures tardives et des ouvertures hâtives. Un loft sans mur ni porte autre qu’un îlot central qui abritait la salle de bain. Elle fît le tour des yeux et me félicita de la beauté de l’endroit. La remerciant, je lui tendit son verre. Avançant le mien, je lui dis : chin-chin, à la santé de tous ceux qui sont heureux en ce moment. Elle me sourit et me répondit : À la nôtre alors. Vous m’avez enlevé les mots de la bouche. Moi c’est Alex, j’ai l’honneur de faire le plaisirs de qui ce soir? La petite dame me répondit qu’elle s’appelait Roselyne mais qu’elle préférait Rosy. Alors je dis : Roselyne, mais c’est un nom très doux, doux comme une rose. Alors à ta santé, douce Rose.J’ai du provoquer quelque chose de spécial en elle. J’eus l’impression que personne ne l’avait jamais appelé ainsi. J’avais touché dans le mille car elle me dit : Merci, personne ne m’a jamais appelé ainsi et pour moi, c’est un grand compliment. Mais je ne dis jamais de chose que je ne pense pas que j’ajoutai. Elle rougît un peu et porta la coupe à ses lèvres.Après une bonne demi-heure de discussion, sur tout et sur rien, lui remplissant généreusement son verre, je lui demandai si elle me permettait de la laisser seule un petit cinq minutes car la journée avait été longue et que mon allure de petit-chef laissait à désirer. Elle me répondit alors que cinq minutes était le maximum et que si j’en prenais plus, qu’elle viendrait elle-même me sortir de la douche. Alors je vais en prendre au moins dix que je lui dis tout en éclatant de rire. Elle fît de même et me dit que je pouvais prendre tout mon temps, qu’elle se sentait bien ici et qu’elle n’avait rien de prévu avant demain matin.Alors je l’ai laissé à son verre et à ses pensées, dans mon chandail qui lui donnait un petit air très coquine. Mettant de côté mes vêtements, j’entrai dans la douche en entrepris de me laver afin d’enlever toutes traces d’activité et ainsi rayonner d’un arôme plus frais, voir plus savoureux. Me savonnant énergiquement, j’ouvris les yeux. Faisant dos à l’entrée sans porte de la salle de bain mais face au miroir, je vis alors Roselyne qui profitait du spectacle donné, à son insu, par un homme prenant sa douche. Alors je me dis à moi-même : Tiens tiens, je vais lui en donner pour son argent et l’avenir nous dictera la suite.Sans lâcher le miroir du regard, j’ai pressé la distributrice de savon-crème et m’en remplis les mains. Je descendis alors jusqu’à mon sexe et commença à le laver intensivement. L’astiquant doucement, faisant des mouvements de haut en bas, en m’assurant que cette belle rose ne manquait rien du spectacle. Cette crème était toute douce et me moussait dans les mains, faisant gonfler la fourrure du pubis, provoquant ainsi des petits frissons tout le long de mon pénis et des picotements au niveau de mes couilles. On aurait dit que du sperme me coulant entre les doigts. Rose porta alors sa main à son entrejambes et commença à presser doucement, ne se doutant aucunement que je la voyais me voir me masturber devant elle. La voir ainsi répondre, sans s’en rendre compte à mes avances, la queue se mit à me grossir et à allonger jusqu’à atteindre ce qu’on appel une belle grosse érection.Mon but semblait se rapprocher car elle fermait maintenant les yeux, pressant son sexe de sa main et faisant tourner ses doigts sur le jeans qui devait sûrement commencer à s’humidifier. Son autre main glissa lentement sous le chandail que je lui avais prêté. Lorsqu’elle atteignît sa poitrine, je vis son visage gagner en couleur, passant du blanc au rose puis rapidement au rouge.Alors, ne pouvant plus tenir, je lui dis doucement : Tu devrais venir me rejoindre, je suis certains que tu vas aimer. Ouvrant subitement les yeux, elle s’aperçut que je la regardais maintenant directement, une main tendue vers elle et l’autre toujours occupée au va-et-vient sur ma queue, toute grosse, prête à se répandre de plaisirs. Elle rougit alors que son regard passait de mon visage à mon membre pointé vers elle. Elle hésita quelques secondes puis décida de vivre, pour elle, les moments qui s’en venaient.Elle se défît alors de ses bottes, s’extirpa en moins de deux de ses jeans, fît voler en l’air, coton ouaté et soutien-gorge et sautilla vers la douche alors qu’elle terminait de se défaire de son slip. Je l’ai reçu entre mes bras et nos bouches se rencontrèrent. Elle pressa son ventre déjà bouillant contre mon membre gonflé à bloc, le pressant tellement fort que j’avais l’impression qu’elle voulait en prendre l’empreinte en sa poitrine. Ainsi pressé et étant beaucoup plus petite que moi, je me retrouvais alors, le gland bien niché à la base de ses deux seins aux mamelons durcît d’excitation. Elle se laissa glisser quelques pouces et l’engouffra au fond de sa bouche. Elle le suçait avec tellement d’énergie et de savoir-faire que j’ai du la repousser pour ne pas lui jouir à la figure. Elle vît alors l’état dans lequel j’étais, se retourna et se pencha en avant, me présentant, par derrière, sa vulve toute juteuse et prête à me recevoir sans autre préliminaire.J’y présenta le gland, le poussa délicatement à l’intérieur et vît disparaître dans cette petite chatte, jusqu’au dernier centimètre de mon membre. J’eus l’impression que si j’avais poussé un peu plus fort, mes deux couilles y auraient trouvées place aussi. Cette petite chatte était tout simplement divine. Chaude et serrée comme je les aime. Elle m’entourait et me serrait la queue avec tellement de douceur que je sentais que je ne pourrais survivre longtemps à un tel traitement. La position de ses lèvres était parfaite, elles étaient tellement juteuses qu’elles me permettaient des mouvements lents et délicieux, et ce même si les jets de la douche réussissaient à s’y rendre de temps en temps. Après quelques dizaines de ces lents mouvements, j’ouvris les yeux et vît dans le miroir que la belle dame avait une main entre les jambes et qu’elle se jouait avec le clitoris à un rythme tellement rapide qu’elle ne résisterait plus bien longtemps. Alors je décidai d’accélérer mon va-et-vient entre ses reins, provoquant ainsi encore plus de plaisir à cette belle femme qui commença à se plaindre des traitements de plaisirs qui lui étaient ainsi infligés. Cette douce rose commença à râler tout doucement. Je la sentais prête à venir quant tout à coup, je reçus, du fonds de ses entrailles, une douche brûlante de cyprine qui m’enveloppa le gland et me coula sur les testicules. Il n’en fallait pas plus pour qu’un frisson me parcoure le corps. L’orgasme était tellement fort que j’avais de la difficulté à tenir sur mes jambes. Même les fesses appuyées sur le mur, mes genoux s’entrechoquaient et je devais me tenir à elle pour ne pas m’effondrer au fond de la douche. Dans un état second, je nous entendais tous deux gémir et râler de plaisirs. C’était tellement bon que je désire que jamais ne s’arrête ce bonheur d’une puissance inconnue de ma part.À bout de souffle, toujours emboîté l’un dans l’autre et accroché, de chaque côté, aux parois de la douche, il nous a sûrement fallu trois ou quatre minutes pour retrouver nos esprits. Rose fît alors glisser sa main jusqu’à mes testicules et les pressa doucement. Elle ajouta simplement, précédé d’un MMMMMM qui en disait long, Oh! Que c’était bon, je ne me souvenais pas qu’on pouvait jouir à ce point. J’ajoutai : Oh que oui, lorsque je t’ai senti venir, j’ai explosé en toi tellement fort que nous avons failli nous retrouver au fond de la douche. Elle ajouta qu’elle avait l’impression d’avoir cessé de respirer pendant plusieurs minutes et qu’elle avait dû faire l’aller-retour au septième ciel au moins deux ou trois fois sans jamais reprendre son souffle. On aurait dit que mon corps voulait reprendre le temps perdu en une seule fois. Puis, ouvrant les yeux et nous retournant, nous avons partagé un baiser comme il est rare d’en vivre, baiser, tendre et sensuel, fort et plein de passion, tout comme l’extase que nous venions tous deux de vivre, extase que nous semblions avoir oublié la puissance, sinon que nous ne l’avions pas vécu depuis des lunes.J’accrochai une serviette, en enveloppa ma douce rose et la serra tendrement contre ma poitrine. Je la sentis comme fondre en moi. Sans même me sécher, je la pris dans mes bras et me dirigeai vers le lit, tout à l’autre bout de la pièce. En route, elle posa sa tête contre mon épaule et ferma les yeux comme pour me dire qu’elle appréciait le moment présent et qu’elle n’avait aucune intention de se retrouver ailleurs avant le levé du soleil.CINQUIÈME PARTIESON PLAISIR FÛT LE MIENArrivé au lit, écartant la couette du bout du pied, je l’ai déposé doucement, comme un pétale de rose qu’on dépose sur l’eau d’un ruisseau. Elle s’est étiré un peu les bras en me faisant sentir que la fatigue la gagnerait bientôt. Alors je lui dis : Laisses-moi faire, ne fais que profiter… Elle me sourit et leva les bras comme si elle était liée au haut du lit avec un fil invisible et ferma les yeux comme pour me dire que son corps m’appartenait.Je pris quelques instants sans bouger, je me délectais de la regardé ainsi étendu sur mon lit, sans vêtement, sans couverture et sans pudeur. Elle était belle, elle était douce, elle était tendre. Son visage portait le sourire de la Joconde, ses seins étaient ceux d’une nymphe, ses hanches celles d’une vierge et son corps en entier appelait à la caresse, douce et tendre.Je me suis penché sur elle et j’ai déposé un simple baiser sur le bout de ses lèvres. Elle tourna alors la tête de façon à me montrer son cou. Alors du bout des doigts, j’ai commencé à l’effleurer au coin du menton, allant et revenant sur sa joue, remontant jusqu’à l’oreille. Elle s’étira encore plus le cou afin de sentir toute la sensualité de cette caresse. Descendant lentement sur sa gorge en provenance de l’arrière de son oreille, je pus apercevoir quelques frissons lui parcourant la nuque et le haut des épaules. Continuant cette balade sur son corps, j’ai atteins ses clavicules en y grattant un peu les ongles de façon à la faire frissonner encore plus. Remontant sous son menton, elle me refit face, me présentant ainsi son visage. J’ai alors glissé mes deux mains de chaque côté de ses joues, fait le tour de ses yeux, redescendu sur l’arrête de son nez et viré sur le bout de ses lèvres. Elle vivait tellement ces caresses que ses lèvres en vibraient. Elle entrouvrit alors la bouche comme pour m’inviter à y entrer et j’ai alors pu toucher du bout du doigt à sa langue toute moite. M’approchant le visage du sien, j’introduisit le bout de ma langue tout doucement à l’intérieur de sa bouche, y trouvant la sienne. Après quelques mouvements de la langue, je suis ressorti et j’ai dessiné ses lèvres avec ma langue, y glissant comme si j’y peignais le désir qui était contenu au fond de moi.Ma langue glissa ensuite sur son cou puis le côté de sa gorge. Elle détourna le visage et me permit de lui mordiller la nuque et l’oreille. Elle avait alors des frissons sur tout le corps, savourant au maximum tout ce que je pouvais lui donner. Descendant au bas de ses épaules, je me suis redressé et je repris mes caresses des mains, frôlant chaque centimètre de ce corps abandonné à mes caresses. Me retrouvant tout près de sa poitrine, j’en ai fait le tour plusieurs fois, passant sous ses seins, les entourant de mes doigts pour finalement les faire glisser dans mes paumes, tout doucement. Du pouce, je pus toucher à ses mamelons en érection. Ils glissaient sous mes doigts, me fuyaient mais revenaient immédiatement en position, prêt à rencontrer mes doigts au prochain passage. Poursuivant ma route, je pris alors le chemin de ses côtés, faisant frétiller ses chairs à chaque fois que je glissais sur une de ses côtes. Arrivé à ses hanches, je virais brusquement pour aller rejoindre son petit nombril, j’en fis le tour, y glissa un de mes petits doigts qui, en en ressortant, rejoignît mon autre main, en route vers le bas de son ventre.Rencontrant les premiers poils, mes mains reprirent alors chacun leur chemin, de chaque côté de ses côtes et rapidement firent un haut et bas, effleurant ses côtes au passage. Cette belle et douce femme, tout en frisson, ouvrit les yeux et me regarda avec tellement de désir que je ne puis lui dire autre chose que cela ne faisait que commencer. Elle me sourit, ferma les yeux pour ainsi replonger dans son monde de plaisir.Les mains revenues au niveau de ses hanches, j’ai continué doucement à glisser sur ses cuisses, du côté au-dessus, virant vers ses genoux et revenant sur le côté de ses mollets. Atteignant ses chevilles, je les pris entre mes indexes et mes pouces et y glissa sans presque y prendre contact. Continuant à descendre, j’ai alors tourné sous ses talons, remontant sur le côté de ses pieds, sur le dessus de ses chevilles, l’os à l’avant de ses jambes. Arrivant à ses genoux, je sentis d’elle un mouvement de ses genoux, son corps désirait les ouvrir afin d’offrir à ma vue et à mes caresses la partie la plus intime de son corps.N’ayant pas eu le temps, sous la douche, d’en observer la beauté mais sans arrêter mes effleurements de ses cuisses, je pris quelques minutes pour admirer cette fleur, offerte à mes yeux. Tendres et humides, ses lèvres intérieures dépassaient quelque peu ses grandes lèvres. Elles étaient toutes roses, prêtes au plaisir. Il m’était presque impossible d’en détacher le regard tellement j’avais le goût d’y poser les lèvres.Cette douce rose offerte à mes plaisirs, elle laissa échapper un petit gémissement, plein de désir à ce que je poursuive sans plus attendre. M’apercevant que mes mains avaient arrêté de bouger et que mon regard était demeuré figé par la beauté de cette vulve si bien dessinée, je repris lentement mes touchés délicats. Montant jusqu’à ses épaules, j’avais alors la bouche à la hauteur de ses chairs si tendre, prêtent à mes caresses. J’y ai approché la bouche, j’ai pris entre mes lèvres la chair tendre de ses petites lèvres, l’ai sucé doucement quelques instants, histoire de bien savourer le goût de cette femme. Sa vulve dégageait un baume d’amour, plein de tendresse et d’odeurs relatant les quelques minutes sous la douche ensemble. Je pris bien mon temps pour y glisser ma langue, ne laissant aucune partie sans la sucer délicatement, sans la savourer délicieusement. Quelques centimètres plus loin, j’ai enfin rencontré un petit bouton tout rose et tout dur, attendant impatiemment l’arrivée de ma langue. Il était bien bandé et pointait tout à travers cette chair si délicate. De mes lèvres, je l’ai découvert puis aspiré doucement entre elles. Je la sentis se cambrer sous cette caresse qu’elle semblait apprécié au plus haut point. Ayant joué avec son bouton d’amour pendant les quelques secondes qui suivirent, je le faisais glisser entre mes dents tout doucement, afin qu’elle profite bien de ce frisson qui lui parcourrait le corps lorsque son clito ressortirait d’entre mes lèvres. Elle avait alors la peau couverte de chair de poule, me démontrant que mes caresses étaient douces et que ses plaisirs étaient grands.Continuant doucement la lécher son petit bouton qui ne demandait pas mieux, j’ai cru sentir au creux de ses reins un courant électrique passer. Elle était sur le point d’éclater. Je poursuivis alors le contact de ma langue sur son clito, passant lentement de haut en bas puis de bas en haut, ne laissant jamais le contact avec son petit bouton et je la sentis monter et monter, se cambrant vers l’arrière, les fesse bien appuyer sur le lit et le ventre qui semblait vouloir toucher le plafond. Enfin… elle laissa aller son corps à ce plaisir intense que seule une vraie femme peut sentir, râlement, frisson, chaleur, bonheur, extase et enfin, la détente… Elle était à bout de souffle, vidée de tout son énergie, l’esprit très loin dans les nuages, quelque part entre ce lit et l’infini.Je me suis remonté alors près d’elle, l’entoura de mes bras, tira les couvertures sur nos deux corps et il n’en fallut pas plus pour qu’elle tourne de l’œil et qu’elle sombre dans un profond sommeil.SIXIÈME PARTIEQUELQUE CHOSE DE SPÉCIALSentant la chaleur de la chair de sa vulve rasée contre ma cuisse, j’ai tout à coup pensé que je pourrais profiter du fait qu’elle dormait profondément pour lui faire goûter à quelque chose de bien spécial.Descendant ma main lentement vers sa vulve, j’ai recommencé lentement à masser son clito. Il n’en pris que quelques secondes pour se regorger et devenir dur et pointu sous mes caresses. Sans se réveiller, ma douce rose écarta les genoux afin de me laisser plus de place pour la caresser. Alors je me suis glissé un peu plus vers le bas et j’ai introduit au creux de sa chatte, encore lubrifier de son orgasme précédent, un doigt. Tout de suite à l’entrée de son vagin, j’y ai rencontré une petite boule de chair. Elle était tendre et ne demandait qu’à être sollicitée de mes caresses pour emmener sa propriétaire au septième ciel.En le massant doucement, passant et repassant mon majeur dessus, elle prit une texture plus rude, s’ouvrant ainsi encore plus au plaisir. Elle devint de plus en plus rugueuse et de plus en plus juteuse, comme le noyau d’une pêche. Se gonflant à chaque passage de mon doigt, les aspérités glissant doucement sur le bout, mon doigt le pressant doucement de haut en bas et de gauche à droite, je pouvais le sentir se gonfler encore et encore. Après deux ou trois minutes de ce traitement qui, à voir la couleur du visage de sa propriétaire, semblait faire son effet, ma belle rose s’éveilla brusquement, pris mon poignet de sa main et me dit : Mais qu’est ce que tu me fais là ? NON, Arrêtes pas, Dieu que c’est bon, continue, oui encore, encore. AH! Que c’est bon, je n’ai jamais jouie comme ça, AH! Que c’est bon, OUI, JE VIENS, JE VIENS OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII! Je sentis alors dans toute ma main, couler le jus de son plaisir, elle avait éjaculé dans la main une petite mare de belle cyprine dorée. N’hésitant même pas, je me suis penché et en quelques lapées, j’ai dégusté ce jus de miel, tendre et savoureux. Pendant ce temps, ma belle et douce rose s’effondra, rompu du plaisir subit dans les derniers instants.Ne voulant pas garder cette saveur pour moi seul, je me suis alors tiré à sa hauteur lui faire goûter le parfum de son plaisir. Terminant ce baiser, je me suis détourné de sa bouche pour aller boire une petite larme qui perlait au coin de son œil. Je me doutais que ce n’était pas une larme, source de peine ou de douleur mais bien une larme résultante d’un plaisir intense, plaisir directement sortie du plus profond de ses entrailles. Bon, dodo maintenant, même si j’adore ça et que j’ai le goût de te faire jouir ainsi toute la nuit, il y a du boulot demain.Elle me regarda sans rien dire, les yeux scintillants, se demandant probablement sur quel spécimen elle était tombée et comment se finirait cette nuit au paradis des plaisirs.SEPTIÈME PARTIEMON PLUS GRAND FANTASMEJe dois ici vous avouer qu’il ne m’en prit moins d’une minute pour sombrer dans un profond sommeil.Complètement dans les nuages, me remémorant probablement l’une ou l’autre de ces belles aventures de la soirée, sentant une paire de lèvres monter et descendre, une langue me bien sucer la queue, je profitais simplement de ce plaisir d’un rêve bien orchestré au point de me demander s’il n’était pas réel. Les images devenaient de plus en plus claires, c’était Valérie qui, en plein milieu du resto, tel qu’il était arrivé il y a quelques heures, voulait recevoir tout ce que mes couilles pouvaient contenir. Mais… elle suçait différemment cette fois-ci, c’était plus velouté, moins brutal, plus sensuel et combien meilleur. OH! Que c’était délicieux !Sentant monter et monter le plaisir, cette langue me suçant goulûment le gland, montant et descendant sur le frein de ma queue, je me suis senti prêt à exploser. À ce moment, plus rien, la langue n’y était plus, pas plus que les chaudes lèvres qui m’astiquait le membre depuis je ne sais trop combien de temps. J’ouvris alors les yeux pour m’apercevoir que ma belle rose était assise à mes côtés, les lèvres pleines de salive et gonflées par l’action, les yeux pétillants et le regard embrumé. Elle me dit qu’il n’était pas question que je vienne si vite et qu’elle avait le goût de cette queue en elle pour une dernière fois.N’ayant même pas le temps de cligner des yeux, elle s’était accroupie au-dessus de moi, me présentant sa chatte, encore toute juteuse des plaisirs passés, à la hauteur du visage et me la plaqua carrément contre les lèvres. Manges-moi comme tu l’as si bien fait cette nuit, car après, je me vais te nous faire jouir mon doux Alex, tu n’en reviendras pas…Après seulement quelques minutes de dégustation vaginale, elle se releva, descendit juste à ma queue encore bien droite, se souleva au-dessus et sans crier gare, se l’engouffra directement au fond des entrailles. Elle s’était empalée sur ma queue et j’étais absolument certains qu’elle ne me la rendrait pas avant d’avoir jouit plusieurs fois.Un coup bien placé au fond de son corps, elle commença à monter et descendre sur ma queue toute juteuse. Cette femme avait la chatte tellement lubrifiée qu’elle aurait pu monter et descendre au rythme d’une ’Formule 1’ sans même faire chauffer le piston. Elle montait et descendait sur ma queue, les yeux fermées, savourant chaque mouvement de mon membre en elle. Puis elle se pencha légèrement vers l’arrière, posant ses mains à la hauteur de mes genoux, continuant ses allées et retours sur ma queue qui ne demandait pas mieux. J’ai alors baissé les yeux vers le spectacle qu’elle venait de mettre sous mes yeux. Ma queue entrait et sortait d’elle, étirant les lèvres de sa chatte vers l’extérieur puis les refoulant profondément vers l’intérieur. Cette vue ne faisait qu’augmenter mon excitation. Je me trouvais privilégié de pouvoir m’observer, fourrageant de long en large une si belle femme qui n’en désirait rien de moins. Je sentais, à chacun de ses mouvements, mon gland se frotter contre l’intérieur de sa vulve, raclant au passage le point G qui l’avait tant fait jouir plus tôt dans la nuit. À chacun de mes passages, je pouvais sentir les aspérités de cette boule de chair devenue rugueuse me gratter la couronne du gland, s’y coller, s’y accrocher à chaque fois de plus en plus, profitant ainsi au maximum de cette intrusion masculine dans son monde entièrement féminin.Plus elle bougeait, plus elle semblait éprouver du plaisir. Après deux ou trois minutes de ce manège, elle porta un doigt à son clitoris, se mit à jouer avec. Tantôt le frottant doucement, tantôt énergiquement, l’étirant doucement, le pressant tendrement. J’avais le spectacle d’une femme en train de se masturber, allant et venant à son rythme sur un homme qui n’avait pour goût que de se laisser faire et d’admirer la scène.Elle se mit à gémir de plus en plus, bougeant son doigt de plus en plus vigoureusement, montant et descendant de plus en plus rapidement. Puis elle atteint le top des top, le plaisir des plaisirs. J’ai alors senti son intérieur devenir bouillant. Elle s’égorgeait à geindre et à gémir de plaisirs, savourant le plus longtemps possible cet état de parfait bonheur, ce passage dans un monde incomparable, le monde de l’orgasme.Telle une femme qui connaît parfaitement son corps, elle s’était fait jouir sur moi, devant moi, par moi et sans que je ne fasse rien autre que de la laisser se faire jouir.Après ces quelques instants passés dans l’autre monde, elle ouvrit les yeux et me regarda. Ses yeux étaient devenus scintillants, elle possédait un regard incomparable et unique, celui d’une femme qui venait d’atteindre LE plaisir. Je la regardais sans même oser parler, de peur de la faire sortir de cet état second.Avant de sombrer dans un sommeil profond, nous avons échangé un tendre et long baiser qui, nous guidé dans le monde de Morphée, nous a transporté au petit matin.Au réveil, le temps était à la douche rapide et au départ. Elle se devait d’aller quérir son charmant époux à son avion qui devait se poser d’une minute à l’autre.nda : J’aurais pu continuer mais le temps me manque… peut-être plus tard…