A quinze ans j’étais fascinĂ©e par les fesses de femme, moi qui suis juste devenue femme. Enfin je viens avec du retard par rapport Ă mes copines d’être rĂ©glĂ©e. Donc je suis devenue une vraie femme Ă quinze ans. Je ne rĂŞvais que d’une chose, toucher, caresser des belles fesses de femme. Je n’ai pas besoin de frotter longtemps mon bouton pour partir quand je m’imagine Ă embrasser un beau fessier, ou admirer sur les magasines les superbes culs des mannequins. Comme je voudrais que ma bouche s’enfonce dans un postĂ©rieur, mais tout cela n’était que fantasme jusqu’au jour oĂą Karine est venue Ă la maison pour les quelques jours de vacances. Nous avons Ă©changĂ© certains attouchements, le soir dans notre lit, qui se prolongeaient une partie de la nuit, ce qui nous laissaient les yeux cernĂ©s le lendemain matin, mais c’était les vacances heureusement. Karine est ma cousine, elle a pourtant six mois de moins que moi, elle est physiquement plus mĂ»re, mais je crois que je suis beaucoup plus dĂ©lurĂ©e qu’elle. Nous n’avions pas beaucoup l’occasion de nous voir, sĂ©parĂ©es par six cent kilomètres. C’est ainsi que nous avons prĂ©parĂ©es de merveilleuses grandes vacances.Tout a commencĂ© quand je l’ai embrassĂ© dans un coin, elle n’a pas fait la sainte nitouche, bien au contraire. Et le soir, nous sommes allĂ©es plus avant… Bien plus avant… Je l’avais dĂ©shabillĂ© entièrement et elle se laissait faire. Puis je baisotais ses oreilles et murmurais :- Il parait qu’entre femmes, c’est bien meilleur.Elle ne rĂ©pondit pas et me tendit sa bouche. Nos langues s’Ă©taient dĂ©jĂ caressĂ©es une première fois, et lĂ , elle se donna encore plus et s’abandonna sur la couche et durant que nos organes linguaux se titillaient mutuellement avec frĂ©nĂ©sie, j’avais dĂ©jĂ mes doigts sur son minou et mĂŞme Ă l’intĂ©rieur. Puis ce fut Ă mon tour de me dĂ©shabiller puis nous nous sommes enlacĂ©es nues dans les draps. Comme c’Ă©tait bon… Nous nous frottions l’une contre l’autre, nous caressant tour Ă tour et c’est mĂŞme elle qui la première embrassa mes seins puis je sentis sa langue sur les pointes. Je lui dis :- Suce moi… ça me fait du bien…!Nous roulâmes plusieurs fois l’une sur l’autre, ventre contre ventre, nous caressant cette fois les fesses. Je les pressais très fort, rien qu’Ă cette sensation, j’Ă©tais très excitĂ©e.Tard dans la nuit, on s’est caressĂ©es mutuellement, recherchant sur nos boutons une jouissance qui venait doucement mais qui Ă©tait bien meilleure que quand je le faisais moi mème. Puis fatiguĂ©es, nous nous sommes endormies. Puis quand Karine se leva, je l’agrippais. C’Ă©tait la première fois que je voyais ses fesses de si près. Je lui dis :- Oh comme j’ai envie d’embrasser ton corps.Elle se retourna et dit :- Il est tard. Nous devons nous lever car on pourrait s’inquiĂ©ter.Mais j’avais eu le temps d’apercevoir dans son regard une Ă©trange lueur. Elle croyait sans doute que je lui parlais de sa chatte, mais moi c’Ă©taient ses fesses, mais peu importe. J’ai compris que ça ne lui dĂ©plairait pas.Nous devions nous quitter le lendemain et il nous restait donc la nuit, nous n’avons pas attendu le soir. Ma mère Ă©tant sortie pour quelques heures, je ne sais pourquoi, j’eus envie de me prĂ©cipiter avec Karine dans les toilettes alors que nous aurions aussi bien pu aller dans ma chambre ou mĂŞme ailleurs puisque nous entendions forcĂ©ment la voiture revenir. Dans les toilettes, c’Ă©tait plus excitant. Elle s’est assise sur la cuvette, je me suis mise Ă genoux devant elle, j’ai baissĂ© sa culotte alors qu’elle caressait ma chevelure. Bien qu’ayant pensĂ© autrement, je me dis que je devais d’abord lui lĂ©cher le minou. Ce que je fis tout de go en introduisant mes doigts dans le creux de ses fesses. Karine ne se montra pas insensible Ă mes attouchements et je crois bien qu’elle jouit. Après un moment, je la regardais et portais mes doigts Ă mes narines. Je lui dis :- Comme il sent bon ton derrière.Elle me regarda Ă©trangement en se disant certainement que je suis un peu folle, elle remit de l’ordre dans sa toilette et nous sortĂ®mes. J’Ă©tais peu satisfaite et je l’accostais de nouveau alors qu’elle s’asseyait sur le divan. De lĂ , nous pouvions tout voir sans ĂŞtre vues. Nous pouvions apercevoir le portail s’ouvrir et la voiture pĂ©nĂ©trer dans la cour. J’assaillais ma cousine et pris ses lèvres. Elle ne se dĂ©battait pas, mais je la sentais peu enjouĂ©e. Elle s’abandonna tout de mĂŞme Ă mes caresses et Ă ma bouche dans son cou et sur sa gorge. Mais je compris ce qui la retenait. En fait, elle avait une peur bleue de ma mère. Ce qui l’amène Ă me dire timidement :- Nous n’allons pas gâcher nos vacances, attendons ce soir ma jolie, je ne suis pas tranquille comme chez moi.En effet ce soir lĂ , je fis ce que je voulais et elle se laissa faire. Nous nous fĂ®mes jouir manuellement par devant, nues toutes les deux. Plus tard, elle a comprit mes attentes et moi j’ai pu dĂ©chiffrer qu’elle n’était pas si novice qu’elle ne le parait. Elle s’abandonne en se retournant, je regardais les deux mappemondes qui m’attiraient. Je m’installais entre ses cuisses. Je humais Ă plein nez sa douce odeur intime. Je me mis Ă caresser de deux doigts ses lèvres juteuses, les ouvrants dĂ©licatement tel un pistil de fleur. La chair Ă©tait humide Ă souhait. Son bassin ondulait sous ma douce caresse. Je commençais Ă glisser ma langue sur sa chair liquĂ©fiĂ©e. Je buvais sa douce liqueur. Tout en la doigtant, je constatais que mon doigt pĂ©nĂ©trait plus facilement que dans ma petite grotte, je suçais les lèvres. La tĂŞte plongĂ©e dans l’oreiller, aucun son ne sortait de sa bouche Ă part les râles de son plaisir. Elle soulevait son derrière pour me donner plus d’aisance. Je pouvais enfin tĂ©ter son clitoris et employer tout mon art afin de l’amener Ă un orgasme. J’arrivais Ă mes fins et la belle hurla de bonheur me barbouillant de ses liqueurs intimes.Je le sentais très chaude et allais progressivement dans la raie de son derrière. Le goĂ»ter connaĂ®tre la sensation, je m’en rapprochais et ce fut d’abord mon nez qui l’effleura. Sous de tels attouchements, Karine se laissait faire, elle ronronnait de plaisir. Enfin, ma langue explora la rosette dont je forçais l’Ă©cartement. J’Ă©tais folle de joie et de dĂ©sir et je me mis Ă gĂ©mir Ă mon tour.Puis, par petites touches, je suçais, je me rĂ©galais, je serais restĂ©e lĂ des heures, la tĂŞte enfouie Ă cet endroit. Ma cousine apprĂ©cia en remontant davantage son postĂ©rieur. Quand enfin je m’allongeais près d’elle, elle me souffla Ă l’oreille :- C’est bon ce que tu m’as fait… Je serais incapable de te rendre la pareille.- Ça n’a pas d’importance. Moi j’aime tant, et que tu me le fasses ne me procurerait pas autant de joie.
– Mais tu n’as pas joui ?
– Oh si… Je me suis caressĂ©e en mĂŞme temps, je n’ai jamais eu autant de plaisirs.
– Cochonne !
– Qu’est-ce que ça peut te faire si tu aimes.
– Oui, j’aime drĂ´lement.- Alors je te le ferais durant toutes les vacances.
– Tu plaisantes.
– Non ! Je suis folle de tes fesses. J’en avais tellement envie depuis si longtemps !
– De lĂ©cher mon derrière ?
– Oui ! LĂ©cher l’intĂ©rieur de tes fesses, j’ai juste portĂ© mes doigts Ă mon bouton et je suis partie toute seule.- Tu es quand mĂŞme cochonne.- Ca va ĂŞtre comme ça toutes nos vacances, si tu le veux bien !
– Oui Sophie, et ma mère est tellement plus cool que la tienne.
– Je sais que ta mère est mille fois plus sympa que la mienne, c’est pourtant sa sĹ“ur. Ma mère ne tient pas trop que je parte lĂ -bas, elle dit aussi que ta mère aime les femmes, tu crois que c’est vrai ?
– Non seulement je le crois, mais j’en suis sĂ»re. Et c’est pourquoi, mĂŞme si elle nous prenait en dĂ©faut, elle ne nous en voudra pas…… Mais tu verras je pense que tu auras des surprises.*****Alors ces vacances chez ma cousine allaient ĂŞtre pour moi ce que jamais je n’aurais osĂ© ni imaginer, ni espĂ©rer.Cette merveilleuse tante Françoise, trente-huit ans, deux ans plus âgĂ©e que maman, elle a un air de famille Ă©vident, mais on voit dans son visage un très net Ă©panouissement qui n’existe pas chez ma mère. Tante m’embrasse avec tendresse Ă la gare oĂą elle est venue me chercher avec Karine. Durant le parcours qui mène Ă la propriĂ©tĂ©, nous restons enlacĂ©es ma cousine et moi, sa mère n’a pas l’air d’en tenir rigueur. Elle a du nous voir dans le rĂ©troviseur. Ma copine me murmure :- Maman nous laissera faire tout ce qu’on veut, elle a entièrement confiance en moi.
Il faut dire que ma tante habite une très grande et jolie maison dans la banlieue de Montpellier, Elle est divorcĂ©e et mon ex-oncle lui a laissĂ© la maison. Elle vit très Ă l’aise. Le premier soir, je m’en donne Ă coeur joie avec Karine qui s’abandonne nue Ă toutes mes caresses…- Tu crois que ta mère s’imagine pour nous ? Lui demandais-je.- Peut-ĂŞtre, mais quelle importance.
– Je voudrais te demander…
– Oui ?
– J’ai constatĂ© qu’il y a entre vous deux une relation très particulière, tu n’as rien fait avec elle ?Ma cousine parait un instant embarrassĂ©. Puis elle dit :- Juste quelques attouchements mais sans plus. J’aime autant le faire avec toi. Je pense qu’elle doit prĂ©fĂ©rer les femmes de son âge et puis c’est ma mère.La curiositĂ© est plus forte que moi, je veux savoir :- Mais qu’as-tu fait avec elle exactement ? J’ai envie de savoir, dis-moi ?- Avec maman, bof, juste quelques caresses une fois, dans le lit, un jour oĂą nous Ă©tions un peu dĂ©primĂ©es. Par contre, il nous arrive souvent de nous embrasser sur la bouche.
– Tu crois que je pourrais faire quelque chose avec elle, si tu n’es pas jalouse ?- Et bien tu n’as qu’Ă te laisser aller quand elle t’embrasse et tu verras bien. Et je ne suis absolument pas jalouse, au contraire maman m’a appris Ă jouir du bonheur de ceux que l’on aime. Je ferais tout pour que ton sĂ©jour ici soit pour toi un vrai paradis.- Merci ma Karine, j’ai envie de folie, des fesses de femmes, je voudrais en trouver une en particulier, belle avec un fessier d’enfer.
Je n’en finissais pas de poser des questions Ă Karine et après nous ĂŞtres bien faites jouir mutuellement, nous nous endormons.La journĂ©e s’annonce belle et Ă neuf heures et demie, il fait dĂ©jĂ chaud. Nous dĂ©jeunons sur la terrasse. Tante m’embrasse. Je m’abandonne mais elle n’insiste pas trop. Elle porte un dĂ©shabillĂ© qui lui va Ă ravir et sous lequel je devine des formes pleines. Nous sommes face Ă face, Karine sur le cĂ´tĂ©. Ma tante porte des lunettes de soleil et nous regarde sans que nous puissions voir ses prunelles. C’est plus mystĂ©rieux.Tout de suite, je me suis sentie très libre avec tante Françoise. Il y a dĂ©jĂ comme une sorte de complicitĂ© entre nous, pas tout Ă fait la mème entre elle et sa fille. C’est du genre, « moi je vis ma vie, fait de mĂŞme si tu en as envie »- Bien dormi toutes les deux ? Bien reposĂ©es ?
Nous répondons ensemble par l’affirmative. Elle ajoute :- Ici chacun est libre de faire ce qui lui plait ! Tu es ici pour passer tes vacances et pour profiter de la piscine et du bon air. Je te demande simplement ma petite Sophie de ne pas répéter tout ça à ma chère sœur, tu sais comment est ta mère !
Ce soir, je donne une petite soirée avec des amies, si vous voulez en faire partie, vous êtes les bienvenues ? Je sais que mes amies ne sont pas de votre âge, mais ce n’est pas une obligation. Sinon vous pouvez sortir en boite.Karine s’informe auprès de sa mère pour mon plaisir :- Maman, ce soir, il y aura du monde ?
– Je… Je ne sais pas, ce sont presque toujours les mĂŞmes que tu connais. Tu as expliquĂ© Ă Sophie ?
– Heu…Oui… Enfin non. J’ai tout le restant de la journĂ©e pour lui exposer tes soirĂ©es un peu spĂ©ciales.
Tante Françoise semblait un peu gênée sur le moment. Nous passons effectivement la journée à se détendre dans et autour de la piscine, alors que sa mère est allée faire les courses. Karine me raconte ce que sont ces fameuses soirées. Quand tante revient vers dix sept heures, on l’aide à ranger les provisions, elle nous donne quelques précisions :- Ce soir il y aura pas mal de monde, il y aura trois ou quatre nouvelles d’après ce que je sais, ce qui fait que nous devrions êtres une vingtaine. Je vous propose de faire le service en échange d’un bon billet, il suffit d’alimenter les verres à la demande. Vous êtes d’accord ?On se regarde avec Karine et clamons un oui avec la bouche en cœur.- De toutes façons vous ferez ce que vous voulez tant que toutes les invitées ne sont pas en manque de boissons.- Maman, comment on s’habille ?
Il me tardait de vivre cette soirĂ©e malgrĂ© un trac fou. Le soir, nous nous sommes donc vĂŞtues et maquillĂ©es dans la chambre de Karine, peut-ĂŞtre d’une manière trop voyante, mais après tout, nous avions l’air de vraies femmes tout en restant des ados. Nos robes longues et nos maquillages très accentuĂ©s en Ă©taient que plus outrageants. Enfin prĂŞtes, nous descendĂ®mes, Karine me dit:- Il y aura peut-ĂŞtre une jolie femme avec un cul pas possible, qui te tapera dans l’œil.Il y avait seulement deux femmes prĂ©sentes qui babillaient sur un sofa. Nous mettons notre rĂ´le Ă exĂ©cution en leur demandant ce qu’elles dĂ©sirent comme boisson. Les invitĂ©es arrivent tranquillement, les unes seules et certaines en couples. Elles glissent de gĂ©nĂ©reux billets dans une petite tirelire placĂ©e Ă l’entrĂ©e et commandent du champagne. Le grand rĂ©frigĂ©rateur en est pourvu ainsi que d’autres boissons alcoolisĂ©es. Nous avons juste Ă mettre les verres, la bouteille et elles se dĂ©brouillent.Quand tante Françoise fit son entrĂ©e, elle nous fĂ©licita pour notre tenue, je sentis son regard peser sur moi, ne pouvant rĂ©sister, je baissais les yeux. Elle mis son index sous mon menton pour relever mon visage puis dĂ©posa un baiser lĂ©ger sur mes lèvres et alla rejoindre ses amies. Une musique de danse lente et lĂ©gère emplissait le vaste salon. Un couple de femmes Ă©volue dans un slow promettant.Tout en faisant ce qui nous a Ă©tĂ© demandĂ©, j’observais les personnes prĂ©sentes, j’étais folle Ă l’idĂ©e de pouvoir m’en faire une, mais ce n’était qu’un fantasme, puis ma tante qui venait de m’embrasser, j’avais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes.Karine me sort de mes rĂŞves :- C’est chaque fois diffĂ©rent, mais un peu la mĂŞme chose. Les couples se forment, dansent, s’embrassent, se font des choses, enfin se caressent.
Nous observons les invitĂ©es en papotant quand Karine me tape du coude :- Oh Sophie ! Ton rĂŞve… C’est une femme comme ça qu’il te faut.Il n’Ă©tait pas possible que cette magnifique crĂ©ature qu’elle me montre du menton n’ait pas entendu. Je devins rouge de confusion. Je me demandais vraiment Ă quel jeu jouait Karine, je sentis le regard de cette femme peser sur moi. Je baissais la tĂŞte, elle Ă©tait tout près, Ă quelques pas de nous. Elle s’approcha et se mit Ă caresser le cou, mes joues, puis son visage s’approcha du mien et je sentis ses joues me frĂ´ler avant que ses lèvres prennent les miennes en un court mais tendre baiser. J’eus juste le temps de sentir ses lèvres pulpeuses et un peu mouillĂ©es. Puis elle revint Ă sa place comme si de rien n’Ă©tait. Karine semble connaĂ®tre pas mal de monde, elle me prĂ©sente puis les convives cherchent une place pour s’asseoir.Je ne peux m’empĂŞcher d’aimer cette ambiance tamisĂ©e oĂą flottent des odeurs de parfums fĂ©minins. Deux couples Ă©voluent sur la piste. Rien qu’Ă les voir danser, je frissonne, deux femmes entre elles, c’est doux, c’est tendre, joue contre joue, corps contre corps. J’ai envie de danser alors j’invite Karine. La preuve est faite que personne n’a besoin de nous. Les habituĂ©es arrivent, versent leur obole, puis se servent une boisson. Après avoir dansĂ©es tendrement et Ă©troitement enlacĂ©es Karine et moi, retournons dans notre petit coin. J’aime bien car nous pouvons voir tout ce qui se passe. J’admire mon bĂ©guin, je n’ai d’yeux que pour elle dans sa longue robe fourreau de velours noir qui la moule Ă ravir. Elle salue presque toutes celles qui sont lĂ , allant de tables en tables pour enfin revenir près de nous.- Ça va les filles ?
– Oui, oui. RĂ©pond KarineElle nous fait un clin d’oeil puis nous demande de lui servir une autre coupe.- C’est le moment de trinquer. Nous dit-elle en me regardant dans les yeux.
Mon sang ne fait qu’un tour. Je suis gĂŞnĂ©e. Cette merveilleuse femme, les cheveux Ă la garçonne lui donne comme un air rĂ©tro, des seins Ă©mergeant d’un bustier Ă vous en couper le souffle. Tante Françoise me sort de ma contemplation en embrassant la divine crĂ©ature sur la bouche. Ma tante me sourit en voulant dire : « Ne t’inquiète pas ici tout est permis » Elle me prĂ©sente :- Ma nièce Sophie, elle est toute fraĂ®che, alors doucement s’il te plait.
Puis s’adressant à moi :- Sophie, je te présente Fabienne, fait bien attention à elle, c’est une sorcière.
Ensuite ma tante tourne les talons pour rejoindre d’autres personnes. DĂ©cidĂ©ment, je me dis que ce monde de dames est un monde Ă part. Moi, qui suis-je au milieu de toutes ces femmes. Es que je ressens assez d’attirance pour la femme pour pouvoir affirmer que moi aussi je fais partie de cette « gente » toute spĂ©ciale. Je me sens comme frustrĂ©e mais je ne me dĂ©gonfle pas, je m’approche de Karine et plaque mes lèvres contre les siennes. Nous mĂ©langeons nos langues avec dĂ©sir. Je l’entraĂ®ne pour aller danser.Notre complicitĂ© ne fait plus aucun doute. Je voulais montrer Ă cette Fabienne que je ne suis pas de la campagne.Je prends le temps d’admirer les danseuses. Il y en a de très jolies. Tout en dansant, je glane ça et lĂ un sourire, une mimique qui en dit long. Je crois que pour danser avec une autre, il faudrait que nous retournions Ă notre place et attendre. Le rĂ©sultat ne se fait pas attendre. Ma cousine est invitĂ©e la première. La fort jolie femme qui danse avec elle n’en finit pas de la caresser, la cajoler et je croise mĂŞme Ă un moment le regard absolument neutre de sa mère qui l’a vue, elle me jette un petit clin d’oeil et son plus beau sourire. Je ne cesse d’admirer les jeux des danseuses qui se caressent, se pelotent mĂŞme les fesses souvent Ă©troitement gainĂ©es. Plus nous avançons, dans la soirĂ©e, plus l’ambiance se dĂ©tend et c’est peu dire. Des poitrines jaillissent de temps Ă autres, grosses, oblongues, pĂ©tries par des doigts agiles, puis retournent plus ou moins sous le corsage. C’est une ambiance quelque peu Ă©chevelĂ©e et pourtant calme, bercĂ©e par la langueur de cette musique douce.La musique change, laissant sa cavalière, Karine revient Ă mes cotĂ©s. Je lui dis:- Tu sais, j’ai flashĂ© pour cette Fabienne. C’est tout Ă fait mon type.
– Tu veux que je l’appelle ?
– Non. Tu peux lui parler de moi, enfin de nous.- Tu n’as qu’Ă rester lĂ !A peine Karine est repartie qu’une fort belle dame m’aborde.- Je suis Nadine. Une amie de la mère Ă Karine, voulez-vous ?Il n’est nullement question que je me fasse prier, je me lève et la croqueuse m’entraĂ®ne vers la piste. Tout de suite, elle fait en sorte que nous dansions très Ă©troitement serrĂ©es l’une contre l’autre. Je n’ai rien contre, je m’abandonne complètement. Puis elle me dit :- Tu sais que tu me donnes des envies toi ?La femme me serre si tendrement que j’en suis pantoise. Elle me baisote dans le cou puis se met Ă lĂ©cher mes oreilles. Je lui rends la pareille et nous nous parlons comme ça Ă voix basse. J’ai envie de lui dire mille choses, de tout lui dire, mes souhaits ardents. Quand elle me murmure :- Toi, tu as envie de moi.
– Heu. Oui très.Nadine me serre si tendrement que j’en suis pantoise. Elle passe sa langue dans mon cou puis mes oreilles. Je lui rends la pareille certainement très maladroitement. Elle reprend la parole :
– En dehors de Karine, tu n’as jamais Ă©tĂ© avec une femme ?
– Non.
– Tu ne veux pas me raconter ce que tu fais avec elle ?
– Non.- Tu as vu Françoise ?- Elle Ă©tait lĂ tout Ă l’heure.
– Tu te doutes de ce qu’elle fait. Tu aimerais ça toi.
– Quoi ?
– Etre aimĂ©e par une vraie femme.- J’avoue que ça me tente. Mais je ne sais pas trop.
– Alors maintenant, dis-moi ce que vous faites avec Karine.
– Ce que j’aime le plus, c’est la sucer. Jaime bien la faire jouir avec ma langue. Ce que je prĂ©fère, ce sont ses fesses. Je suis folle de ses fesses.
– Oh toi alors, tu m’épates !
– Tu me demandes, alors je te dis.
– Tu lui lèches la raie de son derrière.
– Oui, j’adore. Je passerais des heures Ă le faire.
– C’est fou ça une jeune fille comme toi qui parait si sage ! Tu aimerais le faire Ă une femme ? A moi ?Nadine me serre si fort que je crois Ă©touffer. J’en ai presque envie de pleurer de bonheur. Alors je murmure au creux de son oreille que j’embrasse presque en mĂŞme temps :- Tu me rends folle. Folle de dĂ©sir, du dĂ©sir de toi, de tout ton corps.- Je vois que ton amoureuse te cherche, tu devrais aller la voir.- Oh je t’en prie, reste avec moi !Ma cavalière se dĂ©tache de moi et me laisse rejoindre Karine. Elle a ramenĂ©e Fabienne Ă notre petite table.- Avec Fabienne, nous avons parlĂ© un peu de toi et elle serait ravie de te servir de monitrice dans le domaine qui te tient Ă cĹ“ur.Je pique un phare Ă©norme, une sorte de honte m’envahie, j’aurais voulu fuir, mais Fabienne me prend dans ses bras en me caressant les cheveux. C’est moi, cette fois qui prends la bouche de Fabienne. Nos langues se taraudent un moment. Dans les bras de Fabienne, je fonds littĂ©ralement. Un long moment de silence me permet de me laisser griser par la musique. Nous allons danser joue contre joue et je frĂ©mis Ă la moindre caresse. Je me demande combien de temps nous serions ainsi restĂ©es sans un mot. C’est moi qui approche ma bouche de la sienne pour me mettre Ă la dĂ©vorer par petites touches, Ă plonger ma langue et rejoindre enfin la sienne qui m’accueille en louvoyant. Nos lèvres restent ainsi un moment soudĂ©es alors que nos langues s’en donnent Ă coeur joie en mĂŞme temps qu’elle laisse sa salive que je crois bon d’avaler. Puis je sens ses doigts Ă©craser mes fesses Ă travers le fin tissu de ma robe. Je m’abandonne totalement Ă elle et je sens que je mouille intensĂ©ment. Enfin nos bouches se sĂ©parent, elle me sourit. Pas un mot jusqu’ici, c’est encore moi qui prends l’initiative de murmurer :- Je n’ai encore jamais rendu hommage Ă une vraie femme, je veux bien le faire avec toi !Alors, tout en dansant, Fabienne m’entraĂ®ne vers la porte du fond. LĂ , je connais un peu les lieux. Une petite entrĂ©e qui donne sur deux cabinets et deux autres portes sur deux petites pièces particulières. C’est vers l’une de ces portes que m’entraĂ®ne Fabienne Elle referme la porte Ă clĂ© sur nous deux, puis elle me serre très fort, nous nous vautrons sur le petit lit divan qui est certainement lĂ pour la circonstance et elle me dit :- Ici, on peut faire ce que l’on veut. C’est une règle absolue, on ne sera pas dĂ©rangĂ©es. C’est la première fois que je vais avec une fille aussi jeune que toi. Tu me donnes l’eau Ă la bouche. DĂ©shabilles-toi vite! J’ai une terrible envie de toi !Très excitĂ©e, je fais ce qu’elle me demande alors qu’elle-mĂŞme a dĂ©jĂ retirĂ© la moitiĂ© de ses vĂŞtements. Elle reste en bas et porte-jarretelles. Ses seins sont magnifiques d’opulence et de fermetĂ© Ă la fois. Elle me laisse les pĂ©trir un instant, alors que nos bouches et nos langues s’en donnent Ă coeur joie, puis elle m’allonge sur le divan et se met Ă genoux devant moi. Sa main droite prend ma chatte dont elle caresse les lèvres, puis soudain, elle y plonge son visage. Sous sa langue, je ne tarde pas de partir. Puis elle dit comme une folle :- Oh c’est bon, c’est trop bon !Moi je frĂ©tille de bonheur dans tous les sens. Je sens un doigt pĂ©nĂ©trer mon petit trou. Jamais avec Karine je n’avais joui de cette manière. Le doigt imprĂ©gnĂ© de ma mouille me pĂ©nètre un peu plus, puis soudain, Fabienne le retire et me donne Ă sucer. Ma tĂŞte chavire, je dois avoir les yeux exorbitĂ©s. C’est je ne sais quoi, le vertige, alors je murmure en râlant presque :- C’est toi que je veux !Alors Fabienne place un coussin sous ma nuque puis elle vient Ă califourchon sur mon visage. J’ai juste le temps d’apercevoir ses deux très jolies fesses bien rondes qu’elle Ă©carte, mon nez se retrouve enfoui dans sa raie culière, je m’empare de la coquille toute juteuse, ma langue pĂ©nètre en un « floc » et commence de virevolter. Fabienne s’est redressĂ©e sur moi, elle se contente de me caresser la vulve en criant :- Ho oui… Oui… Ma petite… Comme c’est bon… Comme tu le fais bien.Je n’ai pas eu de mal Ă trouver le bouton que je me suis mise Ă titiller doucement de la pointe de ma langue. Dans le mĂŞme temps, j’écarte d’avantage ce magnifique fessier pour que mon nez tente de pĂ©nĂ©trer l’étoile. Je suis vraiment aux anges. Je mouille intensĂ©ment. Fabienne dit avec douceur tout en se trĂ©moussant sur mon visage :- Tu es bien lĂ ? Ce n’est pas trop fort ?J’extrais juste un instant mes lèvres pour dire :- C’est merveilleux, vous ne pouvez savoir combien c’est bon.- Si je sais mon ange, mais pour toi, je ne trouve pas les mots, tu es si fraĂ®che.
Je ne rĂ©ponds pas mais presse seulement les fesses de mon aimĂ©e. Je me crispe de plaisir alors que ma bouche s’emplit soudain d’une petite coulĂ©e. Je gĂ©mis de dĂ©sir, me crispant toute, remuant du bassin, sentant dans le mĂŞme temps la bouche de Fabienne sur ma vulve. Nous en soixante-neuf. Il n’y a pas de mots pour dĂ©crire ma fĂ©licitĂ©. Une langue agile suce ma chatte que je sens toute coulante. Une sorte de jouissance latente me tient toute en permanence alors que mon visage est enfoui entre les fesses d’une si jolie femme, comme je l’ai tant rĂŞvĂ©. Mes râles emplissent la pièce. J’absorbe, non, je me dĂ©lecte du fluide qui jaillit tout en caressant les magnifiques parties charnues, je les Ă©carte encore plus, introduisant mon nez dans l’anneau qui fleure si bon et dans lequel je voudrais plonger toute entière. Elle se redresse enfin et son visage effleure le mien, puis elle prend mes lèvres nullement dĂ©goĂ»tĂ©es et nos langues se joignent encore, puis elle murmure:- Toi au moins, on peut dire que t’aimes ça.
– Oui et tu ne peux savoir Ă quel point.
– Comment je peux te remercier ?
– Avec une vraie femme comme toi, je ne l’oublierais jamais tu sais.- Beaucoup de femmes ici seraient heureuses de faire ce qu’on vient de faire. Moi j’ai jouis comme pas une. Maintenant, il faudrait qu’on retourne si tu veux bien.
– Oui mais pas avant ça…C’est moi cette fois qui oblige ma chĂ©rie d’un soir, Ă se retourner en se plaçant Ă genoux sur le divan, la croupe bien en Ă©vidence. Je lui murmure Ă l’oreille :- Laisse-moi encore t’admirer et goĂ»ter ton joli petit cul.
– Oh toi alors. Oui, aller, vas, mange bien ma rosette.
Fabienne arrondit du mieux qu’elle le peut toute sa croupe offerte j’enfonce mon visage, je pointe ma langue dans la bague qui s’ouvre. Je ne peux m’empĂŞcher de me caresser tout en gĂ©missant. Nous restons ainsi encore quelques trop courtes minutes. Nous nous sommes vĂŞtues remis de l’ordre dans notre maquillage pour retourner dans la salle. En sortant elle me dit :- Merci pour ce merveilleux moment.
Nous sommes donc Ă nouveau en bonne compagnie, Fabienne reste un moment avec moi avant de rejoindre la piste de danse. Je vois Karine qui est tendrement enlacĂ©e dans les bras d’une jeune femme, elle me fait signe de m’approcher et me dit :- Alors, c’Ă©tait bon ?
– DĂ©licieux !Sur la piste et dans l’ensemble de la salle règne une ambiance aussi dĂ©mesurĂ©e que possible. Beaucoup de femmes sont dĂ©poitraillĂ©es. D’autres exhibent franchement leurs seins. Certaines se frottent Ă leur partenaire d’une manière Ă©hontĂ©e, se malaxant rĂ©ciproquement leurs fesses, leurs cuisses alors que des mains retroussent de courtes jupes ou mises Ă nu des postĂ©rieurs rebondis. Lorsque tante Françoise m’accoste :- Ca va toi ?Elle me pose cette question d’un air moqueur, il est indĂ©niable que Fabienne lui a parlĂ© de moi mais peu m’importe, je suis dans une excitation latente, ma gorge est nouĂ©e en permanence.
– Oui, oui je vais bien merci tante.Je pense que ma petite aventure a dĂ©jĂ fait le tour de l’assistance, ça me fait frissonner. Je sens soudain la main de ma tante qui m’entraĂ®ne vers son canapĂ©. Elle m’invite Ă m’asseoir et en fait autant Ă cotĂ© de moi.
– On continue au Champagne ? Me demande-t-elle les yeux chatoyants.- Oui, il ne faut pas casser le rythme.
Nous sirotons notre verre, puis elle m’entraĂ®ne sur la piste. Je tremble de tous mes membres. La mère de Karine me presse dans ses bras, nous dansons et je me laisse guider, joue contre joue. Je sens ses baisers fous et ardents dans mon cou, elle me prend le menton entre le pouce et l’index, elle me regarde franchement dans les yeux.- Alors ?Son regard est interrogateur, je ne sais quoi dire, je suis trop Ă©mue Françoise le sait.- Je te comprends, c’est tellement nouveau pour toi. Je crois que tu aimes bien cette ambiance n’es pas ?
– Oh oui tante.- Et Fabienne, elle t’a plu ?Je ne sais plus oĂą me mettre tellement je suis rouge de confusion. Mais ma tante me serre plus fort dans ses bras et soudain je sens ses lèvres sur ma bouche, je m’abandonne Ă elle ainsi que tout le reste de mon corps. Elle poursuit:- Tu n’as pas Ă avoir honte, je ne veux que ton bonheur, si tu veux vivre encore des moments de bonheur, alors laisses-toi aller.Je ne peux m’empĂŞcher de murmurer:- Je t’aime tante, tu es tellement diffĂ©rente de maman, tu es ma reine, je donnerais n’importe quoi pour ĂŞtre la sĹ“ur de Karine !
– Je veux que tu sois libre. Libre comme l’air et….. Heureuse.- Il faudra bien que je retourne chez moi.Françoise paraĂ®t songeuse un court instant, puis elle fait:- S’il te plait, tu oublies ta mère le temps que tu vas passer chez moi, d’accord !
Mes yeux sont baignĂ©s de larmes tellement je suis heureuse. Elle ajoute dans un souffle :- C’est toi que je veux….. Oui !…… Oui mon ange !…Elle passe ses doigts sur mes lèvres puis en enfourne deux dans ma bouche. Machinalement, je les suce.- J’ai envie de ta petite bouche partout !Ma tante semble tout aussi excitĂ©e que moi, le champagne, l’ambiance. Je rĂ©ponds du tac au tac- Partout oĂą tu voudras…Tout en dansant on s’approche de la porte du fond, je ne peux m’empĂŞcher de palper son fessier tout en pensant que c’est quand mĂŞme la sĹ“ur de ma maman. Je constate toutefois combien les deux mappemondes sont rondes sous la robe fine de satin. J’en bave d’envie. Nos bouches se joignent encore.
On longe le long couloir qui dessert quelques chambres et autres servitudes pour arriver dans un petite chambre d’amis décorée très coquettement. On s’embrasse, ma tante entreprend vite de me dénuder. Je me laisse faire bien évidemment puis à son tour elle se met nue également. Sous la faible lumière, je vois combien ce corps est merveilleux, j’en reste bouche bée. Des jambes longues, des hanches larges, des seins pas très gros enforme d’obus, à peine plus gros que les miens, impeccablement balancés, un corps intégralement bronzé. Le triangle noir parfaitement taillé sur une peau parfaite,- Tu es sublime tante ! Vraiment, je…- Arrête Chantal, je n’ai plus ton age. Me répond-elle.J’ai une féroce envie de lui sauter dessus pour me régaler d’elle, mais je veux avant tout lui plaire, la séduire, ce n’est pas la même chose qu’avec Fabienne, c’est ma tante et je l’aime……..Presque d’amour. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine tandis que ses mains se mettent à palper mes cuisses..- Qu’est-ce, que t’es bien foutue Sophie, tu es plus douce que de la soie.- Et toi, ta peau et ton odeur m’excitent !
Nos gestes deviennent plus osés, quand sa bouche englobe mes tétons, les croquent et les aspirent.- Tu me laisses m’occuper de toi ? Me demanda t-elleNous investissons le grand lit. Elle m’allonge sur l’édredon douillet, écarte mes cuisses, lui offrant mon minou, elle ne tarde pas à l’assiéger.- Hum… Quelle douceur…La langue de Françoise me lèche avec gourmandise, ce qui me fait gémir assez fort. Ce traitement de choix se poursuit durant une bonne dizaine de minutes avant que je perds patience, exténuée, je manifeste l’envie de goûter à mon tour à ce fruit tant désiré. Je m’approche avec hésitation et commence à lui caresser la chatte avant d’aller plus loin. La touffe bien taillée lui recouvre le pubis jusqu’à l’oeillet et cache à peine les grandes lèvres très charnues. Ma tante ferme les yeux, j’approche mon visage. La forte odeur qui s’échappe provenant de la danse et de la chaleur, m’attire encore plus. Ma langue effleure le clitoris j’écarte ses grandes lèvres de deux doigts, pour enfouir carrément ma langue dans la caverne. Tante sursaute en se prenant vite au jeu et cette odeur âpre qui se renforce de plus en plus finit rapidement par m’exciter terriblement, le jus est aussi généreux que les senteurs ! Je continue de m’en délecter et m’applique à bien faire, je ne veux surtout pas la décevoir.
Tante, s’il te plait, mets-toi à quatre pattes.Sans la moindre contrariété, Françoise se plie à mon désir et m’offre sa magnifique croupe. Je coince rapidement mon visage entre ses fesses, ma langue se remet à l’ouvrage. Cette fois-ci, ma tante se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là , les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute. Je lui saisis les miches, remonte ma langue sur sa rosette. Tante n’objecte pas, pas avant qu’elle ne sente que j’entre un doigt dans son derrière.- Heu…. Sophie,- Qu’y a-t-il ma douce, ce n’est pas bien ce que je te fais ?- Oh si ! Mais…- Alors laisse-toi faire !- Oui !À peine a-t-elle accepté que je lui rentre directement ma langue dans la rosette et deux doigts dans la chatte l’envoient au septième ciel. Ma tante est déchaînée et ce ne sont pas moins de deux orgasmes successifs qu’elle subit et le troisième va être phénoménal.- Oh que c’est bon ! Vas-y, continue, continue, continue… Ouiiiii !Sa jouissance est terrible, mais à peine ses vocalises se sont tues qu’un son étrange siffle à mes oreilles en accord parfait avec une giclée je prends en pleine figure et d’un torrent qui se déverse sur son corps et sur le lit !- Mais qu’est-ce que tu mouilles tante !- Oh pardon Sylvie ! Je ne pensais pas que ça arriverait. C’est que tu m’as tellement fait jouir……..C’était sublime !- C’est que je ne m’y attendais pas. Mais c’est très impressionnant !
On s’est étendu sur le lit, ma tante me complimente :- Eh bien dis donc, si on m’avait dit ça de toi.- Je te surprends à ce point, je pense que je suis comme Karine, j’aime seulement les fesses beaucoup plus qu’elle.- Hum, je suis sûre qu’on va bien s’amuser toutes les deux… Me lance t-elle en me caressant.Je l’embrasse, et approche ma bouche de son oreille.- Tante, je crois que j’ai envie de faire pipi, je reviens dans deux minutes.- Je te suis dans la salle de bain, tu vas adorer !Ma tante me prend par la main, m’entraîne énergiquement dans la grande cabine de douche- Tu vas voir comme c’est bon !Au comble de l’excitation j’obéis avec un plaisir non dissimulé, mais je me demande quand même où elle veut en venir.- Tu vas faire ton pipi sans t’occuper de moi. Vas-y, laisse-toi aller, ne te retiens pas…- Oh je n’ose pas tante !- Vas-y, mon petit chou, vas !Elle met sa main sur mon bas-ventre et exerce une pression pour m’aider à me soulager.- Oh tante, je me sens partir, je peux plus me retenir…
Françoise me saisit fermement et me plaque contre la paroi, elle se colle littéralement contre moi pour ressentir le long jet de liquide chaud qui s’écoule de mon intimité et qui inonde nos cuisses. Sans même toucher nos sexes, nous jouissons, je réalise que je viens encore d’avoir une nouvelle expérience, quelle soirée !
Délicatement, on se laisse choir en se donnant un baiser qui va transformer cette aventure en union de rêve pour toutes les deux.- Je suis contente d’être amoureuse de toi.
Ma tante à cet instant est plus qu’aux anges. Elle m’embrasse tendrement et fait couler la douche, une douche bien réconfortante.
Â
franvel@hotmail.fr
