Je m’appelle Marie, et suis Anglaise d’origine. Je viens d’un milieu très BCBG, et j’étais à l’époque très studieuse. Je n’avais, bien sûr, reçu aucune éducation sexuelle. Physiquement? Je suis blonde, pas très grande (1m65), mes yeux sont bleus clairs, et à l’époque, j’avais de petits seins en poire, qui n’avaient pas encore fini de se développer (je fus assez tardive sur ce point).L’histoire que je vais vous conter se passa alors que j’entrais à l’université. Ce fut un déchirement pour moi, à l’époque: en effet, je voulais devenir (ou plus exactement, mes parents avaient décidé pour moi) doctoresse, et la seule fac’ préparant à la médecine se trouvait à quelques 60 miles de chez moi. Mes parents me placèrent donc à l’université d’Oxford, en internat. Il faut vous dire que je n’avais jamais quitté les jupes de ma mère, et que je me sentais complètement perdue. De plus, les universités anglaises sont très strictes (nous portions l’uniforme, chemises écolières et bas blancs); mes premières journées furent donc assez terribles, et, étant de nature assez timide, je ne m’étais pas vraiment fait d’amies.C’est au bout de quelques jours que tout a commencé. J’étais, comme souvent, seule dans ma chambre (je logeais avec trois autres étudiantes), plongée dans mes cahiers. Je n’étais pas vraiment concentrée, mais plutôt occupée à broyer du noir sur ma situation actuelle. J’entendis la porte s’ouvrir, et j’y jetai un rapide coup d’œil. C’était Allison, une de mes camarades de chambrée. Dès le premier jour, je l’avais remarquée. Oh, pas que je fus attirée par elle (j’étais bien trop prude et innocente des choses du sexe), mais elle était simplement impossible à manquer: une rousse flamboyante aux cheveux ondulés, mi-longs, poitrine 120 C, de beaux ballons qu’elle se plaisait à mettre en valeur, des yeux verts émeraude, peut-être un rien trop maquillée, et sans cesse une moue provocante et blasée. Elle ne se gênait pas pour faire des commentaires en classe, et prit plusieurs fois la porte à ces occasions.Je me remis à mes devoirs, alors qu’elle commençait à se déshabiller, sans pudeur, derrière moi. Gênée, je n’osais me retourner, et je me sentis devenir rouge tomate. Le manège dura quelques minutes, puis elle s’approcha derrière moi. « Pas facile, ce devoir de bio, hein? ». Je me retournai, mais à peine avais-je vu qu’elle n’avait pas reboutonné sa chemise, que je revins aussi sec sur mes cahiers. Mais elle restait là , ses cheveux frôlant mon épaule, attendant une réponse. Je n’osais quitter ma page des yeux, de peur de voir un bout de sein… C’est alors qu’elle posa sa main sur mon épaule, tout simplement. Elevée comme je l’avais été, je n’avais pas l’habitude des contacts physiques, et je me crispai. Mais elle ne s’arrêta pas là , que du contraire: elle se mit à me masser le haut du dos avec ses deux mains. Je ne savais plus où me mettre. Et plus les minutes passaient, plus elle descendait, et s’aventurait plus avant sous ma chemise: elle eut tôt fait de pétrir mes petits seins, puis de descendre vers mon bas-ventre. J’étais tellement tétanisée que je n’osais pas faire le moindre mouvement, et surtout pas la regarder!Elle passa encore de longues minutes à me caresser, tandis que sa bouche m’embrassait le cou tendrement. Ayant d’abord ressenti une gêne atroce, je me troublais, découvrant des sensations inconnues en mon corps (je ne m’étais jamais masturbée, vous pensez!) tandis que mes tétons durcissaient à vue d’œil. Elle finit par arriver à mon pubis, m’écartant les jambes pour pouvoir y accéder plus facilement. J’étais dans un état tellement second que je m’en rendis à peine compte, c’est comme si je flottais à des galaxies d’ici…Alors qu’elle me caressait doucement l’entrejambe depuis quelques minutes, elle s’arrêta soudain. Je me souviens lui avoir jeté un regard implorant, ce qui m’a surpris. Elle me prit la main, et me mena vers mon lit. Là , elle m’y coucha, et je n’opposai aucune résistance. Remontant ma jupe, elle recommença ses caresses, et je m’abandonnai à nouveau sous la sensation de plaisir qu’elle me procurait. Puis, je sentis ses doigts s’immiscer sous ma culotte, et se glisser vers ma vulve.Prise de panique, je l’arrêtai. « Je suis toujours vier… » »Chht.. » me fit-elle, posant son index sur ma bouche. Elle reposa ma tête sur l’oreiller, me passant les doigts dans les cheveux. « Ne t’inquiète pas, je ne te volerai pas ta virginité ». J’étais surprise de tant de douceur de la part d’une fille, qui jusqu’ici, n’en avait montré aucune, pas même de la gentillesse. Mais je fus bientôt reprise par ma transe, et je m’abandonnais une fois de plus à ses doigts se rapprochant toujours plus de ma toison. Ne prenant pas la peine de me déculotter, elle posa alors sa main entière sur ma vulve, qui mouillait déjà abondamment. Là , son majeur entama un va-et-vient diabolique, s’insinuant dans ma fente, l’écartant, allant d’une lèvre à l’autre, remontant vers mes fesses le long de mon entrejambe, coulissant à l’intérieur, esquissant un mouvement de spirale, ressortant pour me tapoter ou me caresser alternativement… Je devenais folle de plaisir. Je commençais à me tortiller en tous sens, ne comprenant rien à ce qui m’arrivait, m’éloignant à chaque instant de la sphère terrestre pour un endroit beaucoup, beaucoup plus haut. Allison accélérait le rythme, ses mouvements se faisant plus saccadés, plus violents. Je ne me contrôlais plus, et commençai à gémir, au début un petit bruit de temps à autre; puis, au fur et à mesure que les doigts de ma compagne se faisaient plus précis, plus intransigeants, des râles de plaisir m’échappaient, sans que je puisse ni ne veuille faire quoi que ce soit pour les empêcher. Après un temps qui me sembla une éternité, je criais, sanglotant à la fois sous la secousse du plaisir. Je sentis alors les lèvres d’Allison se poser sur les miennes, et elle m’accompagna d’un baiser jusqu’à ce que je finisse par jouir sous ses mains expertes. Le plaisir fut si violent que je me cambrais sous la tension, en proie à une vague de plaisir d’une intensité indescriptible, et que je restais ainsi quelques secondes, avant de perdre connaissance.Quand je me réveillai, Allison était allongée à côté de moi, me caressant le visage, les yeux pleins de sollicitude.