LES PUTAINS VOYAGENT 3—————————————Leur travail est terminĂ© Ă Marseille, Louis et Angelina prennent le train Ă la gare Marseille Saint Charles direction Montpellier. Le trajet n’est pas très long.Pendant le parcours, enhardit par la facilitĂ© avec laquelle la fille Ă©carte les cuisses, le reprĂ©sentant estimant qu’il a un droit de cuissage pose une question Ă la catin ou plutĂ´t lui fait une demande.- en attendant de nous rendre chez le prochain client nous avons le temps de prendre un peu de bon temps ensemble — oui! nous pourrions visiter Toulouse se serait un passe temps intĂ©ressant — je ne parlais pas de ça mais de quelque chose de plus intime -La putain qui n’est pas idiote avait compris.- si tu as les moyens de payer le tarif qu’en gĂ©nĂ©ral je demande alors pourquoi pas — pourquoi je devrais payer. Je suis sur que tu as fait ça gratuitement avec Mathias — c’est normal tu sais très bien que ta sociĂ©tĂ© paie pour que je couche avec vos potentiels futurs clients — je suis au courant et cela ne doit pas s’Ă©bruiter, je suis sur qu’en tant que commercial et faisant partie de l’entreprise qui te rĂ©munère je suis compris dans le deal — toi et tes collègues ne faites pas partie de l’accord passĂ© avec votre direction commerciale — et combien tu me demanderais — deux cents cinquante euros pour une heure ou mille cinq cents pour le soirĂ©e et la nuit -Le prix qu’elle annonce calme rapidement Louis qui vexĂ© boude en faisant semblant d’ĂŞtre absorbĂ© par la lecture d’un journal.Enfin c’est l’arrivĂ©e en gare de Montpellier. Ils prennent un taxi et vont dĂ©marcher une sociĂ©tĂ©, ayant rendez-vous ils sont rapidement reçus . Après une brève discussion, leur interlocuteur qui louche sur les cuisses que Natacha montre ostensiblement. Il est intĂ©ressĂ© mais sans motif valable il ne peut pas rompre le contrat en cours avec son fournisseur actuel.Louis lui laisse des documents et lui dit qu’il le recontactera dans neuf mois puis le duo quitte l’entreprise et va prendre son repas Ă cĂ´tĂ© de la gare avant de reprendre le train direction BĂ©ziers.ArrivĂ©s sur place c’est de nouveau en taxi qu’ils se rendent dans une zone industrielle et se prĂ©sentent Ă l’accueil d’une sociĂ©tĂ© et ils doivent attendre un bon moment avant d’ĂŞtre reçus par leur interlocuteur qui les Ă©coute mais doit interrompre l’entretien suite Ă une urgence.C’est le lendemain matin qu’ils reprennent les discussions qui ne trainent pas et aboutissent Ă un maigre contrat avec la promesse d’un Ă©volution si les produits proposĂ©s et livrĂ©s en faible quantitĂ© conviennent et sont fiables.Leur interlocuteur ne semble pas s’intĂ©resser Ă Angelina qui pourtant fait des efforts pour qu’il la remarque par ses attitudes Ă©quivoques et ses sourires, il faut dire qu’un problème familial le prĂ©occupe.Il est dix heures quand ils montent de nouveau dans un train pour gagner leur prochaine Ă©tape.ArrivĂ©s en gare de Toulouse, comme il est près de midi ils se restaurent près de celle-ci profitant de la spĂ©cialitĂ© de la rĂ©gion puis après avoir louĂ©e une voiture c’est le trajet jusqu’Ă l’hĂ´tel oĂą sont rĂ©servĂ©es leurs chambres.Leur après-midi est libre, ils flânent et visitent les endroits intĂ©ressants de la ville.Le lendemain matin c’est de nouveau en voiture et s’aidant du GPS qu’ils gagnent la zone oĂą est implantĂ©e l’entreprise qu’ils doivent dĂ©marcher.Maxence Lebrun le directeur du service achats, un homme assez âgĂ© et Ă la limite de l’obĂ©sitĂ©, les reçoit. Avant que les discussions ne commencent il fait venir deux personnes assez jeunes qui prennent des notes pendant que Louis vante les produits qu’il veut leur vendre.- Didier Roux et Aaron Berman mes collaborateurs vont Ă©tudier les documents et vos tarifs, ils me communiqueront leurs conclusions et nous nous reverrons demain en dĂ©but d’après-midi -Maxence retourne dans son bureau laissant le couple aux prises avec ses deux adjoints.Après un bon moment de parlote Louis dit qu’il a faim et lance une invitation acceptĂ©e par Didier et Aaron.Ce sont donc les deux adjoints du directeur des achats qui faut convaincre. Angelina que ce sont des jeunes loups aux dents acĂ©rĂ©es qui cherchent Ă se faire remarquer et Ă gagner leur place au soleil.Elle cherche le moyen de les sĂ©parer afin de pouvoir s’attaquer Ă l’un d’entre eux puis Ă faire de mĂŞme avec le deuxième. Elle se demande si ils seront rĂ©ceptif Ă son charme ou si ce n’est que leur carrière professionnelle qui les intĂ©resse.La solution arrive quand les (peut ĂŞtre) futurs clients dĂ©cident de faire le trajet pour aller manger dans leur propres vĂ©hicules disant qu’ils doivent voir avec leurs sous traitants la possibilitĂ© d’adaptation des composants proposĂ©s sur les produits que eux commercialisent.A l’instigation de Louis la putain monte dans la voiture d’Aaron pendant que lui monte avec Didier.Pendant le trajet Angelina, en plus d’exhiber ses cuisses comme elle en a l’habitude elle prend Ă©galement des airs de chatte en chaleur et drague le conducteur qui ne reste pas insensible et lui propose de l’accompagner lors de sa visite chez le sous traitant.Pendant qu’ils roulent dans l’autre voiture Louis parle technique avec Didier puis quand celui-ci pose des questions concernant Angelina et son rĂ´le il saute sur l’occasion.- ma collègue vous plait — elle est belle — ça vous Dirait de passer la soirĂ©e avec elle — aucun homme ne refuserait encore faudrait il qu’elle soit d’accord ce qui n’est certainement pas le cas — vous n’avez pas besoin de la draguer. De la façon dont elle vous regardait vous ne devez pas lui dĂ©plaire et d’après ce que je sais elle n’est pas du genre Ă refuser une relation avec un bel homme — je n’oserais pas lui proposer de la voir en dehors du travail et je ne veux pas risquer de passer pour un homme qui cherche Ă coucher avec toutes les femmes qu’il croise dans son travail — je peux arranger la chose et lui faire comprendre que vous souhaitez passer la soirĂ©e avec elle — je ne peux pas mĂ©langer travail et plaisir — quel mal y a t’il Ă prendre un peu de bon temps, une occasion comme celle-lĂ ne se rate pas. Je vais parler Ă ma collègue et lui dire qu’elle vous plait — vous n’allez pas faire ça.- si! et ce soir je suis sur qu’elle vous recevra dans sa chambre ou vous retrouvera ailleurs Ă votre convenance — je suis dubitatif, je ne sais pas, ce n’est pas très correct — tant pis, je suis sur que votre collègue profitera de l’occasion car j’ai vu Ă ses regards qu’elle lui plaisait et il ne me semble pas ĂŞtre un homme Ă laisser passer les occasions qui se prĂ©sentent -LĂ Didier est touchĂ© dans son orgueil et comme avec son collègue c’est une compĂ©tition permanente c’est vite rĂ©flĂ©chi.- je pense que ce n’est pas correct mais je suis d’accord, dites moi ce qu’il en est quand vous aurez parlĂ© Ă votre collègue -Louis est satisfait: il a rĂ©ussi Ă caser la putain qui a refusĂ© une relation avec lui. Elle va en prendre plein le cul mĂŞme si elle n’en avait pas envie, ça l’apprendre Ă le laisser lui avec les envies qu’il a d’elle.Pendant le repas Didier et Aaron n’ont d’yeux que pour la catin qui par avec ses sourires, ses regards de chatte en chaleur et ses attitudes provocantes fait le nĂ©cessaire pour les allumer. Les pensĂ©es des hommes voyagent imaginant le plaisir qu’ils pourraient avoir avec elle.Sortis de table Louis demande Ă Didier de le dĂ©poser Ă son hĂ´tel disant qu’il a des choses Ă faire et des coups de tĂ©lĂ©phone Ă passer.Aaron qui ne veut pas dire qu’il emmène Angelina avec lui prĂ©texte qu’il a promis de faire un dĂ©tour pour la dĂ©poser en centre ville car elle a envie de faire des achats et de visiter les lieux.La visite des ateliers et les discussions techniques qui s’en suivent, bien que ne durant pas longtemps, n’intĂ©ressent pas la putain mais quand ils sont en voiture sur le chemin du retour elle attaque posant une main sur la cuisse droite du conducteur qui bien que surpris ne dit rien.Elle en profite pour caresser la cuisse et laisser remonter sa main et la poser Ă l’endroit oĂą elle sait trouver le sexe de l’homme.- non pas ça! c’est dangereux pour la conduite d’ĂŞtre distrait -Elle retire sa main mais a eu le temps de constater Ă la bosse qui dĂ©forme son pantalon qu’il n’est pas insensible.- je ne veux pas ĂŞtre la cause d’un accident mais je recommence si tu refuse de me ramener Ă l’hĂ´tel et de m’accompagner dans ma chambre. j’ai des envies qui ne peuvent pas attendre — ce ne serait pas correct, votre collègue pourrait dire que je profite de la situation et que je conditionne une signature de contrat Ă des relations sexuelles — il n’a rien Ă dire concernant ma conduite, je fais ce que je veux et lĂ j’ai envie de faire l’amour avec toi et puis comme on dit il faut toujours essayer les produits locaux pour les apprĂ©cier — tu es directe et je n’ai pas l’habitude qu’on me propose de coucher de façon aussi brutale mais je ne vais pas dire non Ă une jeune et belle femme comme toi — alors suis moi, allons dans ma chambre Ă l’hĂ´tel — d’accord -Pendant le parcours l’homme excitĂ© a une conduite loin d’ĂŞtre exemplaire et ils risquent l’accident plusieurs fois , la putain n’arrange pas les choses en retroussant sa jupe puis sans honte en enlevant son string et le posant sur le tableau de bord avant de rester les jambes Ă©cartĂ©es.Le sourire aux lèvres elle regarde Aaron qui n’arrĂŞte pas de mater ses cuisses et son sexe qui est bien apparent. Maintenant qu’elle l’a ferrĂ© elle ne veut pas qu’il se ressaisisse et se ravise.- tu aime — oui mais c’est très osĂ© et un peu indĂ©cent — c’est pour te faire plaisir et te montrer de quoi tu vas pouvoir profiter cet après-midi -Le comportement de la putain n’amĂ©liore pas celui d’Aaron qui ne peut plus se concentrer sur la conduite du vĂ©hicule, elle a mis le feu en lui.Brutalement il freine, traversa la route et s’engage dans un chemin forestier.- c’est un raccourcis que tu prends lĂ — non! je ne peux plus conduire dans ces conditions — si je comprends bien tu ne peux plus tenir et on va faire ça ici — tu l’as cherchĂ© -Trouvant l’endroit discret il stoppe et coupe le moteur.Angelina se dĂ©barrasse de la ceinture de sĂ©curitĂ©, elle s’approche d’Aaron et se penche vers lui. Tout en posant une main sur son pantalon, lĂ oĂą elle sait trouver une belle bosse, elle pose se lèvres sur celle de l’homme et fait pĂ©nĂ©trer sa langue dans la bouche de sa proie qui rĂ©pond Ă son baiser. Les deux langues se mĂŞlent pendant que la catin fait durer l’Ă©change tout en caressant l’endroit oĂą se trouve le sexe de l’homme.- on sera mieux Ă l’arrière — oui -Il dĂ©boucle sa ceinture, tous les deux sortent de la voiture puis il va s’asseoir sur le siège arrière pendant qu’avant de le rejoindre Angelina retire ses vĂŞtements et se prĂ©sente totalement nue devant lui.Après l’avoir laissĂ© un peu regarder son corps elle prend immĂ©diatement l’initiative.Elle baisse le zip du pantalon et dĂ©fait la boucle de la ceinture puis entrouvre la braguette avant de mettre une main dans le caleçon et de malaxer le sexe de l’homme.- dis donc c’est gros — Ă qui la faute — je sais mais je vais remĂ©dier à ça -Elle extrait du caleçon le membre qui se dresse fièrement, elle se penche et constate qu’il est circoncis.Angelina lèche et embrasse le pĂ©nis partout en se contorsionnant un peu et tout en malaxant les bourses puis elle se concentre sur le gland qu’elle lèche, suce et aspire excitant sa proie dont le corps tressaille et remue sur le siège.Pendant qu’elle prend la verge dans sa bouche Aron met les mains sur ses Ă©paules. Pendant que la fille fait aller et venir ses lèvres sur le membre les doigts de l’homme se referment et se crispent, ses ongles ont tendance Ă pĂ©nĂ©trer dans la chair.Angelina n’a pas besoin de se dĂ©mener longtemps car il est trop excitĂ© et rapidement la queue tressaute dans sa bouche et des jets de sperme frappent sa gorge. Elle attend qu’il ait fini d’Ă©jaculer avant d’ouvrir la portière et de recracher le liquide sur le sol.Elle recommence Ă sucer la queue qui est toujours en Ă©rection puis s’adresse Ă Aaron qui caresse ses seins et Ă©nerve les mamelons avec ses doigts.- pour la suite on sera mieux dehors — si tu veux -Angelina se retrouve jambes Ă©cartĂ©es, le corps cambrĂ© en arrière contre le capot de la voiture, collĂ© contre elle son partenaire introduit sa verge dans la chatte puis les mains agrippĂ©es aux hanches de la fille il donne des coups de reins.La fille contemple le paysage et attend patiemment pendant que la queue va et vient dans son ventre. Elle commence Ă s’intĂ©resser Ă ce qui se passe quand les mains de l’homme se crispent sur son corps et que le membre se met Ă trembler puis Ă envoyer par saccades du sperme dans son vagin.Il se retire et la putain se relève, sans se soucier de la semence qui s’Ă©chappe de sa grotte et coule sur le sol elle s’approche d’Aron.A genoux sur le sol la putain s’en prend au sexe d’Aaron. Elle caresse ou masturbe avec une main la rĂ©trĂ©cie qui pend pendant qu’avec l’autre main elle triture les bourses. L’homme qui ne semblait pas avoir envie de continuer ne peut que subir.Elle s’active pendant un moment et la torture qu’elle inflige au pĂ©nis finit par payer, il reprend des dimensions plus honorables. Elle le prend dans sa bouche et c’est Ă une longue fellation qu’il a droit avec des aller retour rapides des lèvres.A la demande de son partenaire Angelina se met Ă plat ventre contre le capot et la tĂŞte posĂ©e sur ses bras repliĂ©es sur celui-ci l’homme la prend en levrette, la verge fait des aller retour dans la vulve pendant un bon moment avant d’ĂŞtre agitĂ©e par des tremblements, il jouit dans la vagin de la putain.Aaron se retire et va essuyer sa queue avec des mouchoirs en papier puis se rhabille.Debout Angelina les jambes Ă©cartĂ©es laisse le sperme sortir de sa chatte et couler sur le sol puis elle essuie son sexe avant de remettre elle aussi ses vĂŞtements comprenant que les envies de l’homme sont assouvies.Une fois qu’ils sont assis Ă l’avant la voiture dĂ©marre et ils prennent la route du retour.- dis moi, tu es content de ce petit arrĂŞt — c’Ă©tait super — tu trouve que je suis une bonne salope — je ne peux pas dire le contraire et tu suce super bien — tant mieux si tu es satisfait — oui mais il ne faut pas que Didier mon collègue sache ce qui s’est passĂ©, il me ferait des ennuis — ne t’inquiète pas, je ne vais pas me vanter que tu m’as sautĂ©e -Pendant qu’Angelina et Aaron en sont encore Ă leur petite rĂ©crĂ©ation Didier est revenu de sa visite chez un des sous traitants de sa sociĂ©tĂ©, il a rĂ©cupĂ©rĂ© Louis qui recommence Ă le baratiner.Lorsque les trois hommes et la putain se retrouvent en fin d’après midi pour faire un point Louis s’isole pendant quelques minutes avec Angelina et lui parle de ce qu’il a complotĂ© puis il revient glisser discrètement quelque mots Ă Didier.Le soir vers vingt et une heures Didier se pointe Ă l’hĂ´tel et demande si Angelina est lĂ , le rĂ©ceptionniste prend son tĂ©lĂ©phone et appelle la chambre. La fille rĂ©pond.- Un monsieur veut vous voir, il dit se prĂ©nommer Didier et affirme que vous attendez sa visite — ah oui! effectivement je lui avais donnĂ© rendez-vous mais j’ai complètement zappĂ©. Je suis sur un dossier urgent le concernant lui aussi, j’ai Ă©talĂ© les documents et le mieux est qu’il me rejoigne dans ma chambre pour en discuter.Peu de temps après l’homme frappe Ă la porte, la putain qui a revĂŞtu un peignoir ouvre et le fait entrer.- tu sais pourquoi je suis lĂ — oui! Louis m’a dit ce que tu attends de moi –