Anna 6, l’ultime nuit.

Anna 6, l’ultime nuit.
Nous avons pris l’habitude de nous voir elle et moi, chaque fois dans un lieux différent, un lieux extérieur. Mais cette fois-ci c’était différent.
Proposée le 22/10/2020 par Lolita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFLieu: A la maison, intimeType: Fantasme

Anna n’a pas donné signe de vie depuis deux semaines. Je pensais au début que c’était à cause de ses règles ou un truc dans le genre mais elle m’a ignoré à plusieurs reprises même lorsque nous étions seules dans les couloirs. Je me suis demandé un instant si je n’avais pas imaginé tout ce qu’il s’était passé entre elle et moi. Après tout, c’était un sacré fantasme et imaginer que tout ça ait eu lieux peut vraiment laisser perplexe. Mais ces suspicions furent chasser par son dernier message:  » Mes parents ne sont pas là, tu passes la nuit à la maison. » wow, une nuit chez elle. Loin des gens, loin de toute cette pression de faire l’amour dans des endroits publiques.Je me suis rasée de près, j’ai mis mes plus beaux sous-vêtements et je me suis parfumée avant de filer chez elle. Ma mère m’a souhaité bonne soirée et m’a dit de profiter chez mon amie, elle ne savait pas à quel point j’allais profiter.
Arrivé à l’adresse qu’Anna m’a indiqué j’ai directement sonné, le portail s’est ouvert et je suis entrée. La propriété est resplendissante, à l’image d’Anna. Arrivée à la porte, je trouve cette dernière vêtue d’un body noir en dentelle et d’un peignoir en soie de la même couleur.
– Tu as faim ? Demande-t-elle en me montrant un bol de fraise.
Je la suis jusqu’à l’intérieur de la maison, elle m’explique que ses parents sont partis dans la ville d’à côté passer la nuit chez des amis. Je suis flattée que je sois la première personne qu’elle ait pensé à inviter. Elle me tend une fraise que je tente d’attraper, elle retire sa main.
– Ouvre la bouche. Je m’exécute, Anna sourit et passe la fraise dans ma bouche avant de la ressortir. Puis la fait glisser encore sur ma langue et me répète à quel point je suis obéissante. Elle finit par me laisser croquer la fraise et me demande de la suivre jusqu’à l’étage.
Nous arrivons dans une immense chambre, dont les couleurs des murs ne sont qu’un assortiment de beige simple. Le lit d’Anna est au centre de la pièce, prêt à accueillir notre nuit de sexe. Anna monte directement sur son lit et ouvre le tiroir de sa table de chevet, elle en sort un vibromasseur plus gros que ma main. Elle appuie sur le bouton pour l’allumer et un vibrement léger se fait entendre. Anna écarte les jambes et le pose sur le tissus fin de son body, à l’endroit où se trouve son clitoris. Elle mime des grimace de plaisir en bougeant l’objet sur elle lentement. Je la regarde avec excitation.
– Déshabille toi, demande-t-elle.
Je n’attends pas une seconde de plus pour jeter mon t-shirt et mon jean sur le sol.
– Sexy, dit-elle en remarquant mes sous vêtements en dentelle.
Elle me regarde en passant l’objet encore et encore sur son entre-jambe. Je ne sais pas si je suis supposée me toucher aussi ou simplement la regarder. Son plaisir augmente avant que je n’ai eu le temps de réagir, elle se met à se contracter et à gémir en bougeant le vibro plus vite contre elle. Voilà qu’elle vient de jouir.
– Ce truc c’est mon meilleur ami, informe-t-elle.
Elle se lève du lit et me demande d’approcher. Elle s’assoit par terre sur sa moquette douce et me demande d’écarter les jambes près d’elle. Je me trouve face à son lit, les genoux collés à celui-ci. Anna assise en tailleurs sous moi. Elle allume à nouveau son jouet qu’elle passe directement sur ma culotte, j’ai un soubresaut de surprise. Je n’ai jamais rien utilisé d’autre que mes doigts pour me faire du bien et c’est vrai que c’est surprenant. Anna accélère le mouvement et appuie un peu plus contre le tissus de ma culotte, je me trouve à me pencher et appuyer mes paumes de mains contre sa couverture pour me tenir. Le plaisir monte bien trop vite et mon orgasme implose à une vitesse incroyable. Anna retire le jouet et je m’assois à califourchon sur elle, toutes deux sur la moquette.
– C’était cool hein ?
Je hoche la tête, encore émoustillée. Anna baisse immédiatement les bretelles de mon soutient gorge et libère mes seins qu’elle prend tout de suite en bouche. Son regard se fait séduisant, elle ne me lâche pas des yeux en suçant mes tétons chacun leurs tour.
Anna claque ensuite une de mes fesses pour me signaler de me lever. Elle m’ordonne d’aller me coucher sur le lit, ce que je fais sans hésitation. Nous ne sommes pas là depuis une heure que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle arrache littéralement mon string qu’elle met ensuite entièrement dans sa bouche. Un geste simple et qui pourtant à un effet incroyable sur moi. Elle lève les yeux au ciel.
– Ta mouille est vraiment délicieuse.
Elle jette ensuite le string et se défait de son body, je ne peux pas détacher mon regard de ses seins magnifiques et de cette chatte que j’ai hâte de retrouver.
Anna regarde la mienne aussi et tapote gentiment dessus en se léchant la bouche. Alors que je m’attends à recevoir ses doigts, ou mieux sa bouche, la voilà en train d’écarter mes jambes et se placer entre elle pour que nos chattes se trouvent coller l’une à l’autre. Elle se replace à plusieurs reprises et finit par trouver la position idéale. Nos clitoris sont l’un contre l’autre, toutes deux trempés. Anna commence gentiment à bouger contre moi, c’est aussi agréable que si sa langue venait jouer entre mes lèvres. Je la regarde bouger en se mordant les lèvres, elle attrape mes seins sans douceur aucune et commence à me lancer des trucs plus salaces les uns que les autres. J’agrippe alors ses fesses et l’aide dans sa cadence. C’est la meilleure position que nous ayons fait jusqu’ici, nos mouilles se mélangent et nos gémissement sont en parfaites harmonies. Anna accélère encore en me demandant de lui mettre la fessée, je ne me retiens pas et claque ses fesses de toutes mes forces ce qui a pour effet de l’exciter d’autant plus. Anna relève encore plus ma jambe à laquelle elle se tient pour se frotter à ma chatte, elle ne pourrait pas aller plus vite si elle le voulait. Ses cris traversent la chambre et nos orgasmes montent en même temps, je la supplie de continuer en claquant encore et encore ses petites fesses. Nos deux clitoris gonflés s’embrassent encore et encore dans un torrent de cyprine. Anna s’agrippe à mon mollet en hurlant quant à moi je serre une de ses fesses si fort que je croirais lui arracher. C’est le plus bel orgasme qu’elle m’ait offert.
Le reste de notre nuit n’a pas été moins intense, nous sommes passés par tout ce qui était possible de faire. De doigtage, à caressage de clito, en passant par cunnies intenses, soixante neufs endiablé, vibromasseurs à ne plus en avoir de pile.
Ma voix est usée d’avoir tant gémie, Anna et moi nous trouvons toutes les deux côtes à côtes, nues, épuisée. La lumière du levée de soleil pointant le bout de son nez. Je ne sens plus rien en dessous de la ceinture et les fesses d’Anna sont assez meurtries pour qu’elle ne puisse plus s’assoir correctement pour au moins deux jours.
Elle pose une main sur ma joue et sourit.
– Merci, pour tout ça.
Je ne saurais pas comment le dire, mais je savais que cette merveilleuse nuit signait la fin de tout ce rêve incroyable, mais je n’étais pas triste. Anna m’avait fait connaître ce qu’était le vrai sexe et je ne comptais pas m’arrêter ici. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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