Deux mois après ma rencontre avec Kamal, qui a été mon premier amant, je me retrouve à l’université. J’entreprends des études de psychologies qui ne me serviront à rien dans mon futur métier. J’ai obtenu une chambre universitaire, compte tenu de la faiblesse des revenus de mes parents. Difficile, cette nouvelle vie. Je me sens isolée, ayant uniquement des rapports liés aux études. J’ai peu d’argent et c’est quasiment impossible de sortir sans risquer de mettre en péril mon petit budget.Ma vie sexuelle est au point mort. Kamal est loin et il n’a jamais été question d’aller au-delà d’un amour de vacances, si bien que je m’occupe seule de mes envies sexuelles, même si je vois bien que je peux faire envie aux jeunes hommes dont je surprends parfois les regards sur mes gros seins ou mes hanches.Un midi, après un cours dont l’un des sujets abordés est le fantasme dans la construction de la sexualité chez le préadolescent, deux garçons s’approchent de la table où je me suis installée. Ils sont drôles, voire pétillants, et me font rire. Le repas est agréable. Nous n’avons pas cours l’après-midi et quand Mickaël et Stéphane me proposent de réviser ensemble, je réponds par l’affirmative.Leurs chambres sont « un vrai bordel » (Ah, les jeunes hommes !). Je leur propose de venir dans la mienne, parfaitement rangée, elle.Je nous fais un café et nous discutons du cours, notamment de sa partie croustillante sur les fantasmes. Les garçons se regardent et me désarçonnent quand ils évoquent tous le deux que leur plus gros fantasme serait de pouvoir découvrir une femme nue qui se déshabillerait devant eux et qu’ils commenteraient.Mon visage se ferme. Je me sens excitée par ce qu’ils disent. J’adorerais me mettre à poil devant des hommes et qu’ils me disent crûment ce qu’ils aiment, voire qu’ils me montrent leur queue dressée et qu’ils me baisent. D’un autre côté, je n’ai pas envie de passer pour la salope de la cité universitaire.Ils voient mon embarras et me demandent si j’ai des tentations pour l’exhibitionnisme, arguant qu’ils m’ont bien confié leur fantasme. J’avoue qu’être vue à poil par des inconnus est un fantasme que je ressens fréquemment. J’hésite toujours. Ils le sentent, ils le devinent.— Allez, cela restera entre nous. On peut s’amuser un peu, tu ne crois pas, lance Stéphane.— Tiens, je te montre ma bite, comme ça tu auras de quoi me tenir si je décide d’en parler, renchérit Mickaël.Il s’exécute, baisse son pantalon et son slip. Il est un peu bedonnant. Son sexe de taille moyenne est au repos. Rien de très excitant. Stéphane fait de même. S’il est plus mince, son membre n’est pas plus motivant que celui de Mickaël.Ils se rhabillent tous les deux et m’interrogent :— Alors, tu décides quoi ? On s’amuse, ou on en reste là ?Je suis tentée et je me sens tellement excitée à l’idée que je décide d’accepter, sans savoir qu’elle sera la finalité de tout cela.Ils me demandent de me mettre debout, tout simplement. Cela m’excite au plus haut point de retirer mes vêtements et de voir leurs yeux parcourir les parties de mon corps dénudées. Oui, je suis excitée à l’idée qu’ils vont me dénuder, me toucher et surtout commenter mon physique, voire même plus, qui sait !Ils retirent mon t-shirt et mon pantalon pour m’observer en sous-vêtements. Un ensemble tout simple en coton, pas très sexy.— C’était évident, mais elle a vraiment une grosse poitrine. Rien que de voir son soutif, je bande, s’exclame Stéphane.— Oui, c’est vrai, on a envie de les empoigner, de les malaxer, confirme Mickaël.— Belle taille fine. Sa poitrine ressort bien… un bon 95 C, je dirais. Vire son jean !— De très belles hanches, assez larges, pas désagréables à regarder, commente Mickaël.— Oui, et ses fesses ont l’air bien fermes.— Une silhouette vraiment bandante. — Des courbes affolantes, je dirais, conclue Stéphane.Me voici donc en sous-vêtements devant eux. Je sens que je mouille. L’idée qu’ils vont retirer les derniers voiles qui masquent le plus intime de ma féminité, ce qui transforme les hommes en mâles, les fait bander, m’excite. Certes, je suis réduite à l’état d’objet, mais cette mise à nue sans affect flatte mon goût pour l’exhibitionnisme. Mickaël s’approche de moi à nouveau.— Allez, je dégrafe son soutif. J’ai hâte d’examiner en détail ses seins. Stéphane empoigne à pleines mains mes seins :— Ils sont gros et fermes. Ils se tiennent vraiment bien.— Des aréoles granuleuses, assez larges, de gros tétons, renchérit son copain.— Ses gros tétons sont durs et dressés. La demoiselle est excitée à l’idée de montrer ses mamelles, on dirait. Me voici les loches à l’air et deux mecs qui me soupèsent les seins, me les malaxent et tripotent mes tétons. Délicieux ! Ils sont près de moi et me touchent comme des gamins devant une bonbonnière ouverte. Ils sont tout à leur affaire, examinant mes seins sous toutes leurs coutures. Je suis rouge comme une pivoine, dans un mélange d’excitation et de honte.Ils lorgnent maintenant le seul rempart à ma nudité complète. Je mouille comme une folle et sans pouvoir le voir, j’imagine que ma culotte en coton doit le laisser voir ? Stéphane tire ma culotte vers lui et jette un œil sur ce qu’elle dévoile.— Elle n’est pas épilée, notre Maelys. Notre étude va nécessiter qu’on la place dans une position propice. Complice, Mickaël tire ma culotte vers le bas. Me voici toute nue devant eux, mes gros seins dardés et ma toison pubienne assez fournie, bien qu’entretenue.Ils me conduisent vers mon lit d’étudiante sur lequel je m’assieds, toute rouge d’excitation, sans mot dire.— Allonge-toi et écarte les jambes, qu’on se fasse une idée sur comment tu es faite intimement, demande Mickaël.Les deux s’agenouillent et les voici placés entre mes cuisses. Stéphane pose la main sur mon pubis qu’il caresse et entreprend d’écarter mes poils avant de s’aventurer dans ma fente qu’il écarte sans ménagement. C’est curieux et excitant de voir ces deux jeunes hommes entre mes cuisses écartées en train de visiter ce que j’ai de plus intime.— Ses petites lèvres violacées dépassent de ses grandes lèvres quand elle est excitée, commente Mickaël.Stéphane, posant son index sur mon clitoris : — Elle a un bouton bien dur. Tu vois, il est assez long.— Elle est très excitée. Regarde la cyprine qui s’écoule de son vagin ! Stéphane, introduisant deux doigts, en moi, les ôtant et les montrant fièrement : — La situation l’excite : elle est trempée et prête à recevoir des queues.Mickaël prend la suite, fait glisser trois puis quatre doigts : — Elle se dilate bien. C’est intéressant ! Je pourrais la fister sans problème ! Je m’attends, j’espère même qu’ils vont sortir leur queue et qu’ils vont me prendre chacun leur tour. Je devine leur sexe durci aux bosses que soulignent leurs jeans. Mickaël s’exclame alors :— C’est bon. Rhabille-toi ! Tu es très bien faite, très excitante…C’est déroutant. Ils me déshabillent, me décrivent comme un objet, de façon froide et presque médicale et lorsque je suis nue, offerte, les cuisses ouvertes, ils ne cèdent pas à leur envie physique manifeste de jouir de mon corps. Je comprendrai plus tard pourquoi._______________________Quelques jours après, je suis abordée à la fac par Mickaël. Il me propose de venir à une soirée jeudi, histoire de fêter la fin de semaine avec Stéphane et six autres que je ne connais pas. Je ne sais que répondre. J’hésite après ce qu’il s’est passé, qui fut excitant pour moi, mais très désarçonnant. Ai-je à faire à une secte ou à un groupe d’étudiants malsains qui veulent organiser une tournante ? Je choisis la prudence en lui disant que je n’ai pas très envie.Dans l’après-midi, c’est une étudiante qui m’aborde. Elle se présente, s’appelle Aurore. Elle est tout simplement magnifique. Ses vêtements soulignent sa silhouette parfaite, une taille de guêpe, une poitrine avantageuse et un visage d’ange. Elle me propose d’aller boire quelque chose au café d’à côté. Je ne la connais pas. Je ne sais pas ce qu’elle me veut. Je suis surprise, mais curieuse.Nous prenons un café toutes les deux. En deuxième année de licence de psychologie, elle aime ce qu’elle étudie et vit seule dans un appartement qu’ont acheté ses parents. Je lui indique à mon tour que je suis en première année de psychologie et que j’ai un logement étudiant à la résidence universitaire.Je sens bien qu’elle tourne autour du sujet qu’elle veut aborder, mais qu’elle ne sait pas comment s’y prendre. Elle sent bien que je suis dans l’expectative. Me drague-t-elle ? Que veut-elle de moi ?Elle glisse enfin dans la conversation quelque chose qui me met sur la piste… Tous les jeudis, elle organise des soirées chez elle et elle veut m’inviter. Tiens ! Tiens !Quand elle me dit qu’elle connaît Mickaël et Stéphane, je me raidis et je me mets à rougir. Elle sent que je m’apprête à partir. Ces deux salauds se sont permis de raconter partout qu’ils m’avaient mise à poil ! Que j’étais une salope ! Dans quelle merde je me suis fourrée ! Je m’apprête à me lever. Aurore pose une main sur la mienne pour me retenir et me tend une enveloppe :— Ne t’inquiète pas, Maelys, nous sommes pareilles. Nous aimons le plaisir que peut nous donner le sexe. Tous les jeudis ou presque, nous nous réunissons à sept pour donner libre cours à nos désirs. C’est vraiment très cool, mais aussi très excitant et tout reste entre nous. Nous avons des règles qui nous permettent de vivre nos fantasmes sans conséquence pour notre vie personnelle. Dans cette enveloppe, tu trouveras un document que nous avons rédigé pour cela et mon adresse, si tu veux venir jeudi. Tu fais comme tu veux. Si tu ne veux pas te joindre à nous, pas de soucis. Je te demanderais dans ce cas de ne pas parler de nous… et que tu supprimes ce document.Je me lève et quitte le café avec juste un salut distant. Arrivée dans ma chambre universitaire, je me souviens de ce moment où je me suis mise toute nue devant ces deux jeunes hommes. Ma curiosité est piquée au vif et j’ouvre l’enveloppe. Un document de deux pages, très bien rédigé et structuré, me permet de découvrir précisément de quoi il retourne. Le groupe organise tous les jeudis soirs des jeux sexuels. Le groupe de filles et le groupe de garçons sont chargés de les organiser alternativement. Il est question du respect de l’intégrité physique et de l’acceptation des participants d’y adhérer. Une hygiène irréprochable est demandée et le port de préservatif est obligatoire pour toute pénétration.Les conditions de confidentialité sont très strictes également. Pas de couple dans le groupe, pas de sexe entre les membres en dehors des soirées, interdiction d’en parler à son ou sa petite amie. Interdiction d’en parler à qui que ce soit. On est libre de quitter le groupe à la condition de ne pas en parler ensuite. L’entrée dans ce groupe coquin se fait par cooptation sur proposition d’au moins un des membres. Mickaël et Stéphane ont dû sans doute me proposer après mon examen particulier.Je suis à la fois très excitée par les possibilités de liberté sexuelle qu’offrent ces pratiques, mais aussi un peu inquiète par le côté confidentiel, secret même, et paradoxalement rigide, de l’organisation de ces soirées libertines, loin des partouzes qui sont organisées au sein de la cité universitaire. L’adresse se situe dans un quartier chic de la ville. J’ai plus d’une journée pour décider et je m’autorise à ne pas le faire de suite._______________________Je passe une nuit agitée, peuplée de rêves érotiques durant lesquels je suis prise à la chaîne, par plusieurs hommes, où des filles me lèchent et me doigtent. Je me réveille la chatte trempée.Jeudi matin, aucun des trois membres de ce groupe que je connais ne m’approche. Pas d’insistance, et c’est plutôt un bon point pour eux. À moi de prendre ma décision. J’y pense toute la journée et ne suis pas du tout dans mes cours par la pensée. J’avoue que je suis très tentée d’essayer, sans activité autre que la masturbation depuis deux mois. Par ailleurs, je suis sur mes gardes, tant cette proposition me paraît curieuse, inquiétante quand je tente de pousser ma réflexion pour savoir si je tente le coup.Sans être décidée, je prends une douche à 17 h 30 et me parfume, comme pour un rendez-vous galant. Jean moulant et petit haut blanc… Rien de provocant, mais on voit bien comment je suis faite. Toute prête, je réfléchis néanmoins jusqu’à 18 h 30. Finalement, je pense que je vais y aller, ne serait-ce que pour me rendre compte si je suis capable d’assumer ma sexualité devant d’autres personnes, en me promettant de décamper si j’estime que cela risque de prendre une mauvaise tournure pour moi.Je chemine vers ce quartier chic dans lequel je n’ai jamais mis les pieds. Des maisons bourgeoises du 19e siècle côtoient des demeures spacieuses et modernes. J’arrive à l’heure à l’adresse indiquée. C’est un petit immeuble moderne de deux étages avec des balcons. Les extérieurs sont très bien entretenus, arrosés.Je sonne et à l’interphone, c’est la voix d’Aurore qui m’accueille :— Oui— C’est Maelys— Génial. Entre ! Au deuxième à droite, porte 207.Je frappe. Elle m’ouvre la porte et m’embrasse comme si nous nous connaissions depuis des années. Son haut noir échancré met en valeur sa poitrine et une petite jupe qui révèle des jambes parfaites. Elle est vraiment magnifique.Elle me précède jusqu’à la pièce principale, sobrement meublée, mais avec des meubles de goût et visiblement coûteux et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Deux étudiants que je ne connais pas y sont déjà assis.— Je vous présente Maelys. Je suis très contente qu’elle ait accepté de se joindre à nous. Stéphane et Mickaël nous proposent de l’accueillir.Boris, un grand gaillard musclé, facilement 1,80 m, blond, assez joli garçon me salue en me parcourant de la tête aux pieds.— Bonjour, ravi de faire ta connaissance. Boris. Je suis en deuxième année de psycho.— Maelys, en première année, dis-je en rougissant un peu.— Moi, c’est Samuel, je suis en deuxième année de sciences.Samuel est beau mec. C’est un jeune homme de couleur, bien bâti, un peu moins grand que Boris.On sonne et bientôt apparaît une jeune femme en compagnie d’Aurore, plus grande que moi, un peu plus ronde sans être grosse. Petit pull et jean avec une poitrine phénoménale, un bonnet G apprendrais-je plus tard.— Nadine, je te présente Maelys, notre nouvelle.— Ravie de recevoir une fille de plus dans le groupe.On sonne encore. Stéphane et Mickaël font leur entrée. Mickaël transporte un sac de sport qu’il dépose à l’entrée.— Chouette que tu aies accepté de te joindre à nous. Tu ne vas pas le regretter, et de ce que l’on a découvert de toi nous non plus, me dit Stéphane en m’adressant un clin d’œil.Quelques minutes plus tard, c’est Sophie, les cheveux frisés, brune et, semble-t-il, aussi réservée que moi. Elle est mince et un peu plus grande que moi, habillée d’une robe au-dessus du genou, sans soutien-gorge à voir ses tétons qui pointent. Elle a de petits seins qui n’ont pas vraiment besoin d’être soutenus.Aurore nous demande un coup de main pour transporter sur la table basse des salades composées, des chips, petites saucisses, des bières et d’autres boissons. Nous mangeons et buvons. L’ambiance est décontractée. Les discussions vont bon train : les parents ; les cours de la fac… en psychologie surtout puisque sept d’entre nous suivent ce cursus. Cela ressemble pour l’instant à une soirée étudiante banale, agréable. Ils sont tous très sympas. C’est à se demander si ce qui m’a été présenté n’est tout simplement pas un canular. La seule chose curieuse à laquelle j’assiste, c’est Samuel qui prend une carte à jouer dans sa poche et semble écrire quelque chose dessus. Il est un peu plus de 21 h quand Aurore propose de débarrasser, ce qui est vite fait, presque avec empressement. Aurore s’adresse à Samuel :— Sam, c’est votre soirée et c’est toi qui as organisé. À toi de jouer !Les garçons se lèvent et commencent par déplacer la table basse pour la mettre de côté et vont chercher la table de cuisine et deux oreillers dans la chambre d’Aurore. Manifestement, ils connaissent parfaitement les lieux. Ils placent la table face au canapé et alignent les deux oreillers. Mickaël ouvre son sac de sport et en sort un petit marchepied, qu’il place près de la table, et trois godes… un énorme, en latex, qui imite une très grosse verge, un plus mince, vibrant, et un « Rabbit », lui aussi vibrant.Samuel présente deux jeux de cartes. Le premier jeu comporte des avatars dessinés des filles et leur prénom. La mienne est une carte vierge avec mon prénom dessus. Sur le second, on voit les dessins d’une main deux doigts dressés, un gode, une langue et un sexe masculin.Samuel prend la parole :— Tout est prêt ! On va s’occuper de vos petites chattes, les filles ! Commençons par désigner la première d’entre vous. Notre petite nouvelle va tirer l’une des cartes.Il me présente un éventail des quatre cartes. Je tire celle de Nadine.— Tu vas inaugurer notre soirée, Nadine ! Fais-nous tirer les quatre cartes actions !Chacun des garçons hérite d’une carte. Ils se regroupent et se concertent quelques instants avant de revenir vers nous.— Bien, Nadine… Penche-toi sur la table !Elle s’exécute.— Bon maintenant, tu déboutonnes et tu laisses tomber ton jean !Nadine déboutonne son jean qui tombe sur ses mollets. Sa petite culotte et ses jambes, très blanches, apparaissent. Elle a un cul très large, rebondi, mais assez excitant surtout dans cette position.— Bien ! Ta culotte maintenant… Et tu seras à notre disposition cinq minutes chacun. Notre défi : te faire jouir en moins de vingt minutes.Elle baisse doucement sa culotte et nous montre son cul. Sa chatte est rasée et sa vulve charnue attire l’attention de nous tous, filles comprises.Chaque garçon présente une de ses quatre cartes action. Tous sauf Boris qui a choisi la carte « sexe » et qui présente une carte « gode ». Je vois des sourires se dessiner sur les bouches des filles quant au choix de Boris. Je comprendrai plus tard. Ils jouent aux dés pour se départager et c’est Mickaël qui l’emporte. Selon les mêmes règles, Samuel est retenu pour le cunni et Stéphane pour le godage.Les garçons s’entendent sur l’ordre de passage et Samuel se place à genoux derrière le cul de Nadine qu’il empoigne. Il écarte ses fesses et son visage plonge dans sa fente. C’est excitant de voir la tête de Samuel entre les cuisses de Nadine. Mes camarades femmes n’en perdent pas une miette. Nadine gémit un peu. Le chrono arrive au bout des cinq minutes et Samuel se retire. La chatte de Nadine est dégoulinante. Sans doute un mélange de salive et de cyprine.C’est Boris qui s’approche de notre Nadine, maintenant. Il déboucle sa ceinture, largue son jean et ôte sa culotte. Les filles me regardent, lisent la stupéfaction sur mon visage et rient en voyant ma réaction. Le sexe de Boris est en érection. C’est impressionnant ! 23 cm de long et 8 cm de diamètre, apprendrai-je au détour d’une conversation avec les filles. Elles me confieront que seule Nadine prend plaisir à le recevoir. Aurore se souvient encore des douleurs, le lendemain, et Sophie dans une moindre mesure, lorsqu’elles ont essayé d’accepter ce membre exceptionnel. Pourtant un vagin se dilate, mais elles me disent qu’elles avaient sans doute des appréhensions et que cela avait contribué à leur crispation. Seule Nadine apprécie cette poutre, ce qui frustre un peu notre Boris. Je comprends pourquoi ils m’ont testé en me doigtant. Ils devaient penser à leur copain.Pour ma part, je n’ai connu qu’un homme, Kamal, pourtant bien membré. Je mouille d’excitation devant une telle queue. Ce ne sera pas lui qui me pénétrera ce soir puisqu’il va s’occuper de Nadine, mais je meurs d’envie qu’il me prenne. Ce désir est renforcé par la manière dont Boris investit la chatte de Nadine. Elle est certes déjà bien lubrifiée, mais après avoir enfilé un préservatif, il la prend d’un coup et la besogne avec de grands coups de boutoir qui font bouger la table. Il se retire parfois pour assener de grandes claques sur les fesses d’une Nadine qui apprécie, avant de la pilonner à nouveau avec force. Je vois ses cuisses puissantes se contracter. J’entends Nadine crier sous ses assauts. Avant les cinq minutes « réglementaires », c’est Boris qui pousse un grognement et éjacule. Il reste un instant en elle et se retire. Sa queue débande, comme celle d’un cheval qui vient de saillir une jument. Le bout du préservatif est rempli de sperme.Mickaël prend la suite à l’aide du plus gros gode couleur chair en latex. Nadine est une gourmande et nous l’entendons gémir tandis qu’il la gode en accélérant le rythme des va-et-vient. Les cinq minutes sont atteintes et Nadine n’a pas encore joui. Stéphane doit achever cette mission collective en la doigtant. Il retire le jean aux chevilles de Nadine et sa culotte demeurée sur les genoux jusque-là. Il place ses mains sur ses mollets et fait mine de vouloir écarter les jambes de Nadine :— Ouvre-toi bien, ma grande ! Il saisit le flacon de lubrifiant et applique une grosse dose de gel sur sa main gauche jusque sur son avant-bras. Il introduit son poignet entier dans le vagin laissé béant par le gode et la fiste, d’abord lentement, puis il accélère le rythme. Les cinq minutes sont presque atteintes et, pour emporter l’affaire, il caresse son clitoris de la main droite. In extremis, Nadine gémit de plus en plus fort et exprime un « Oh ! Ouiiiii ! » sonore en même temps qu’elle fléchit presque les genoux, emportée par un orgasme puissant. Il lui faut presque une minute pour se redresser et partir, cul nu, dans la salle de bains pour se rafraîchir la chatte et les cuisses trempées.Je présente les trois cartes « femme » restantes. Trempée, j’espère que cela sera mon tour, mais c’est Aurore qui est sélectionnée. Boris choisit le cunni et les trois autres gars la pénétration. C’était prévisible, mais ils sont tous accroc de cette fille canon. C’est Stéphane qui gagne le privilège de pénétrer Aurore, Samuel devra la goder, et Mickaël, la doigter.Comme Nadine, Aurore enlève le bas et dévoile des jambes magnifiques, légèrement hâlées, des cuisses parfaites et un cul divin, rond et musclé aux fesses hautes. Elle n’est pas rasée et sa toison d’un blond vénitien presque roux est particulièrement excitante, laissant apparaître des grandes lèvres roses. Je me définis à l’époque comme hétérosexuelle, mais avoue avoir eu envie de m’occuper d’elle, de la lécher ou de la doigter.Les garçons connaissent bien la manière de faire jouir leurs camarades, depuis le temps qu’ils organisent leur soirée. Ils choisissent d’envoyer d’abord Mickaël pour la doigter… ce qu’il fait avec deux doigts qu’il recourbe manifestement vers le haut à en juger par la position de sa main, paume en l’air, et les mouvements qu’il effectue.Aurore est très chatte. Elle gémit et prononce des paroles qui nous excitent tous, filles comme garçons : — Oui ! La vie ! Fouille bien ma chatte ! C’est bon ! Continue comme ça ! Stéphane lui succède. Il largue pantalon et culotte. Il a une verge dans la moyenne, 13 ou 14 cm, qu’il protège d’un préservatif. Contrairement à la vigueur de Boris tout à l’heure qui avait véritablement sailli Nadine, Stéphane est délicat. Il parcourt ses courbes de sa taille, ses cuisses, lui caresse les fesses, passe sa main entre les jambes et lui caresse le pubis. Il se place derrière sa croupe. Il entre en elle tout doucement. Ses va-et-vient sont lents. Son visage est crispé. Il lui fait véritablement l’amour avec douceur et attention. On le sent très excité et se retire plusieurs fois du vagin d’Aurore et se crispe. En moins de deux minutes, il ne peut se retenir et éjacule dans son préservatif… Ça fait un peu rire les filles qui me confient que tous les mecs sont amoureux d’Aurore et qu’ils ont du mal à la baiser correctement pour l’amener au plaisir, car ils ne tiennent pas longtemps quand ils sont en elle.— Encore une baise qui ne restera pas dans mes annales ! lance Aurore moqueuse.Samuel prend la suite et utilise un gode de forme simple, mais vibrant. Il l’allume d’ailleurs, choisissant d’emblée une vibration au maximum. Il le place à l’entrée du vagin d’Aurore. Il le manipule particulièrement bien. Fouille bien sa chatte dans tous les recoins en inclinant, le tournant le faisant aller venir dans son vagin. Notre Aurore commence à gémir. Toujours aussi indécente, elle encourage Samuel.— Oui ! Là, c’est bon. Continue à appuyer. Tu vas me faire jouir. Nous avons une belle vue sur la vulve d’Aurore et cet objet qui la fouille.On arrive au bout de cinq minutes. Si Aurore est au bord de l’orgasme, elle ne l’atteint pas encore. Boris se précipite pour enchaîner sur un cunnilingus. Il lui dévore carrément la chatte. On ne peut pas avoir grand-chose, mais on imagine que sa langue pénètre l’entrée de son vagin. De ses grandes mains, il saisit les deux globes des fesses Aurore comme pour les agripper. Celle-ci gémit, son souffle s’accélère et bientôt, elle pousse un cri de plaisir. Comme anéantie, elle se redresse, titube un peu, se dirige vers la salle de bains pour se faire une petite toilette.Il reste deux cartes, celles de Sophie et la mienne, je présente à Boris qui doit désigner la suivante. Connaissant le traitement qui nous attend, je suis à la fois excitée et espère que ça va être mon tour, un peu gênée à l’idée de montrer mon intimité et surtout la manière de goûter mon plaisir. Depuis le mois d’août, depuis Kamal qui a pris ma virginité, aucun homme ne s’est occupé à me faire jouir et je suis impatiente de goûter à autre chose qu’au plaisir solitaire.C’est ma carte qui est choisie. Je me lève doucement du canapé, sans me presser. Mon cœur bat à cent à l’heure. Samuel et Michael présentent leur carte pénétration. Ils ont très envie de saillir la petite nouvelle que je suis. Boris souhaite me goder et Stéphane me doigter. Finalement, c’est Samuel qui me gagne aux dés et qui sera le premier du groupe à me visiter de sa verge. Michael devra me lécher.Je suis très émue. Je me penche sur les oreillers disposés sur la table après avoir déboutonné ma ceinture et enlevé les boutons de mon pantalon. J’imagine tous les regards, des filles comme des garçons, sur ma petite culotte et mes cuisses. Le moment est venu de baisser ma culotte et de dévoiler ce qui est de plus intime pour moi à ces spectateurs qui ne doivent pas en perdre une miette. Je dois mouiller comme une folle tellement cela m’excite. Tandis que je fais descendre doucement ma culotte, j’imagine tous ces regards sur mes fesses puis sur ma vulve que seuls Mickaël et Stéphane ont pu voir.Ils ne connaissent pas mes goûts et choisissent de me la faire très classique. C’est Mickaël qui est chargé de venir me lécher pour commencer. Comme pour se soulager de sa frustration lors de mon « initiation », et sans doute aussi pour me faire découvrir aux autres, je le sens caresser mes fesses, en écarter les globes et leur présenter mes orifices. Il me caresse la chatte du plat de la main : — Elle a une toison très douce. Il dégage mon jean et ma culotte. Il écarte mes cuisses, se met à genoux et empoigne mes fesses. Je sens sa langue lécher mes grandes lèvres et se frayer le chemin dans ma fente. Naturellement, elle se place sur mon vestibule et me pénètre avec. C’est délicieux et je soupire, stimulée par le plaisir qu’il me donne. Peu après, je sens sa langue glisser vers mon clitoris, qu’il titille d’abord avant de le téter.C’est délicieux. Je gémis. Il paraît que j’ai une voix très sensuelle quand j’exprime mon plaisir. Il n’est pas loin de m’amener à l’orgasme quand il arrête de me goûter la chatte.Samuel est le chouchou des filles. Quand je me retourne, je comprends pourquoi. Il a retiré son pantalon et son slip. Il a une très belle queue, quasiment aussi longue que celle de Boris, mais plus fine, qu’acceptent volontiers Aurore et Sophie, me diront-elles plus tard. La vue de mon cul et de ma chatte trempée l’a mis en pleine forme. Sa queue est dressée à la verticale. Il s’approche de moi et la place à l’entrée de ma grotte qui n’attend que cela pour l’accueillir. Enfin de nouveau pénétrée !Il me prend vigoureusement, mais de façon plus raffinée que Boris, variant les angles, la vitesse et surtout restant parfois entièrement en moi durant quelques secondes. Contre toute attente, je m’aperçois que je peux la prendre en entier, même si je le sens toucher le col de mon utérus. Il baise vraiment très bien. Indépendamment du fait que je suis plutôt novice en matière de sexe et que je suis plutôt en manque, il me visite bien de sa queue et stimule à merveille mon vagin. Il m’achève en une série très rapide de va-et-vient et je crie un « oui ! » des plus sonores, avant même la fin des cinq minutes. Gentleman, il se retire de moi, enlève sa capote et se masturbe. Je sens bientôt les jets brûlants de son sperme sur mes fesses.S’adressant à Boris, il lui dit qu’il y a de la marge et que je devrais apprécier qu’il me prenne. Je ne demande que ça. Comme pour vérifier cette déclaration, Boris prend le plus gros gode, celui qui a été utilisé sur Nadine et qui a été nettoyé. Après avoir répondu par l’affirmative à sa question qui était de savoir si je m’étais remise de l’orgasme procuré par Samuel, il introduit ce gros morceau de latex en moi. Je l’accepte parfaitement comme ce fut le cas de Nadine. Il accélère le rythme et j’enchaîne bientôt sur un deuxième orgasme sonore.Je suis anéantie et Stéphane a la gentillesse de me demander s’il peut me doigter. Je décline la proposition, me sentant incapable de supporter une troisième pénétration, ne serait-elle qu’avec ses doigts.Sophie me succède et jouit à son tour._______________________Je pourrais vous décrire quelques soirées qui ont marqué cette période de découvertes sexuelles de la novice que j’étais alors dans ce domaine, dont celle organisée par les filles qui portait sur un concours de fellation, celle où nous nous sommes occupés d’un puceau, ou encore celle où j’étais la reine de la soirée, indépassable par le plaisir que j’ai pris.Deux ans après, j’ai mis fin à ma participation à ce groupe d’étudiants coquins lorsque j’ai rencontré Marc qui m’a permis de découvrir bien d’autres plaisirs, mais là c’est une autre histoire aussi.