— » C’était formidable! »Je suis encore toute pantelante, affalée sur le canapé, les cuisses ouvertes et la moitié de ma vulve à nu, je n’ai pas pris la précaution de réajuster mon string.— » Tiens fini ton verre, ça t’aidera à te remonter. »Natacha me tend ma coupe de champagne entamée et je la bois d’un trait. C’est vrai que j’ai besoin de me remettre de mes émotions.— » Tu veux voir ma collection maintenant? »— » Oui. »— » Alors retire ta culotte et viens me rejoindre dans la chambre. »Elle sourit toujours mais le ton est sans appel, presque autoritaire. Je ne me pose même pas de question, je me débarrasse des quelques centimètres de tissu qui tentaient de protéger encore mon intimité et cours la rejoindre. Elle vient d’ouvrir une armoire sur les étagères de laquelle s’étalent une foultitude d’objets qui, si pour certains sont sans ambiguïté, pour d’autre au contraire, me semble pour le moins énigmatiques.Je reconnais plusieurs phallus de taille et de couleurs différentes dont certain semblent reliés à des fils ou des poires, d’autre au contraire semblent ridiculement petit et disproportionnés. J’en prends un dans ma main qui à vaguement la forme d’un pénis, mais d’à peine 5 cm de haut et autant de large.— » Qu’est- ce c’est? »Elle rit— » C’est un Plug. »— » Un plug? »— » Oui regarde, il y en a de plusieurs tailles et de plusieurs formes. Ce sont des godes anaux qui te permettent de te détendre l’anus. Pour certain on pourrait même dire te distendre l’anus. La partie plate et large à la base permet de le garder sans les mains et sans risque de « l’avaler » si tu vois ce que je veux dire!Par exemple, je ne conseille pas de commencer par celui que tu as dans la main. »Je repose le plug en question immédiatement comme si j’avais été prise en train de faire une bêtise. Je me sens ridicule et incroyablement niaise devant tous ces objets bizarres.Nat se saisit d’un autre à la forme encore plus saugrenue. Une sorte de tube fin, souple et transparent, déformé de 5 ou 6 boules de couleurs différentes dont le diamètre semble progressif.— » Celui-ci est également un jouet anal, les mouvements des boules te massent à l’intérieur à chaque va-et-vient. La sensation est divine mais cela nécessite un peu d’entraînement. Si tu n’as pas le petit trou bien dilaté, tu ne peux pas l’enfoncer.Ca aussi, c’est rigolo. Elle me présente deux petites boules en latex jaune reliées par une ficelle. Ce sont des boules thaïlandaises. »— » Ca sert à quoi? »— » Regarde, à l’intérieur de chaque boule, il y en a une autre en métal plus petite qui bouge. Tu te les introduis entre les grandes lèvres et à chaque mouvement, elles te massent. Il m’est arriver de jouir en marchant dans les couloirs du métro, dans la rue ou dans les magasins avec ça. C’est très troublant d’être obligée de s’arrêter et d’avoir un orgasme au beau milieu de la foule. Je te les prêterai à l’occasion. »Je suis atterrée par tant d’imagination. Mon regard est attiré par la penderie où sont accrochés des vêtements qui me semblent très sexy.— » Et ça, c’est quoi? »— » Ah ça! C’est pour se déguiser, mettre les corps en valeur, les rendre plus sexe.Tiens regarde cette combinaison. Tu ne voudrais pas la passer pour moi? »Elle me tend une masse informe qui ressemble à des bas résilles noirs mais à larges mailles. Je le prends en main sans oser répondre. Je me sens tellement désarçonnée devant tant de nouveautés pour moi.Natacha décroche une combinaison de cuir.— » Et moi, tu n’aimerais pas me voir habillée avec ça? »— » Heu! Si bien sûr. »— » OK, voilà ce que je te propose, tu enfiles ta combinaison et moi je vais me changer dans la salle de bain. Et ensuite, on se découvre plus sexe et salope que jamais. Tu veux? »— » Je ne peux rien te refuser »— » oh, oh attention je peux être très exigeante! » Rit-elle en s’emparant de son ensemble et d’une boite dont il ne m’est pas permis de voir le contenu, avant de disparaître de la chambre.Je me retrouve avec mon morceau de tissus dans les mains, quelque peu empotée.Bon, elle a plein de chose à m’apprendre et n’étais-je pas venu là pour cela aussi?Allez ma fille, du courage et essaie de ne pas avoir l’air trop bête.Je déplie mon « filet de pêche » et repère les jambes, les bras et le trou pour la tête.C’est aussi facile à enfiler que des bas très fins. Au fur et a mesure que le nylon recouvre mes cuisses, je me découvre beaucoup mieux vêtue que je ne l’avais imaginée. La deuxième cuisse ainsi gainée, je remonte les mailles sur mes hanches avant d’enfiler les bras. Enfin je termine par une fine fermeture éclair dans le dos.Je me retourne et me découvre dans le miroir. Quel choc!Je suis entièrement couverte de résille à l’exception de mes seins, de mon sexe et des mes fesses qui sont exposés de manière très impudique. Je ressemble à une vraie pute et cette idée me trouble profondément. Me trouble, mais en même temps, m’excite. Je me surprends en train de m’essayer à des poses osées devant la glace, remontant mes seins avec mes mains comme pour les offrir, écartant les cuisses, le ventre en avant pour exposer ma chatte, et me tournant et me cambrant pour faire saillir mon fessier.C’est en me retournant que je me rencontre que Natacha m’observe le sourire aux lèvres.Je reste la bouche ouverte en la découvrant. Elle est vêtue de cuir des pieds au raz du cou dans une combinaison qui la moule comme une seconde peau. Des ouvertures sur les cuisses, les bras et le haut des seins laissent apparaître des parcelles de peau nue. Elle est chaussée de hautes bottes noires à talons d’au moins dix centimètres qui lui donnent une silhouette de vamp. Les seins, remontés haut sur la poitrine et à demi découverts, semblent vouloir faire exploser la peau de cuir qui les emprisonne.A la main, elle tient une sorte de martinet de cuir, noir également. Elle est légèrement déhanchée et le visage volontairement mutin.— » Alors, tu te plais habillée comme ça? »— » Je… Oui… c’est très osé. Je dois faire pute là dedans non? »— » Non pas pute, mais femme qui aime le sexe et qui en veut. Je ne connais pas un seul mâle capable de te résister plus de trente secondes, vêtue comme ça. Tu es très excitante. Tu me fais même mouiller » rajoute–elle en se frottant l’entre cuisse avec le manche du martinet.En suivant des yeux les mouvements de l’objet, je découvre que l’entre cuisse est pourvu d’une ouverture permettant au bâton d’atteindre la peau nue du sexe de mon amie.— » Elle me sourit en s’exhibant, ouvrant la bouche elle fait tourner sa langue en me fixant droit dans les yeux.La situation m’excite et je ne peux retenir un passage rapide de ma dextre sur mon sexe qui recommence à couler.— » Et le martinet, c’est pourquoi? » Demandais-je presque timidement.— » C’est pour jouer. Tu n’aimerais pas être mon esclave dans un jeu très érotique? Sans vraie contrainte bien sûr. »Il se dégage de cette femme un tel charisme, une telle sensualité, que je ne me sens pas la force de lui refuser quoi que ce soit.— » Si bien sûr. » Répondis-je sur le même ton timide.— » Bien alors à partir de maintenant, tu me vouvoieras ».Rentrant dans la peau de mon personnage, je réponds:— » Bien Maîtresse. »— » Madame sera suffisante. Mets-toi à quatre pattes et tourne toi pour bien exposer ta croupe. »Je m’exécute de plus en plus excitée par ce jeu.— » Ecarte les cuisses et cambre-toi bien. Fais comme si tu voulais proposer ton cul de petite salope ».J’écarte donc mes genoux et creuse mes reins tout en lui tournant le dos.— » Regarde droit devant toi et ne bouge plus. »Le ton est sec et autoritaire, aussi j’obéis.Soudain, je reçois un coup de martinet sur la fesse droite, pas très appuyé, il est vrai, mais qui me surprend et je sursaute.— » Bien, alors es-tu prête à être ma chose et obéir à tous mes désirs? »— » Oui madame. »Je sens entre mes cuisses et dans ma raie, un objet froid glisser avec lenteur. Je reste concentrée et continue de regarder devant moi, mais je devine qu’il s’agit du manche du martinet qui me fouille ainsi. Puis rapidement une main vient remplacer l’objet et me caresse la chatte.— » Hum tu mouilles déjà! C’est très bien. »— » Merci Madame. » Je commence à vraiment me prendre au jeu et le contact de sa main ravive des décharges électriques au creux de mon ventre.Après avoir joué quelques instants avec mon sexe, la main s’engage entre mes fesses. Un doigt s’intéresse plus particulièrement à mon petit trou. Il le titille et le masse de manière très douce et très agréable. Sans doute lubrifié par ma propre mouille, il s’aventure plus avant d’une phalange sans difficulté.— » Eh bien, ma chienne, on dirait que tu n’as rien contre un petit doigt dans le fondement. Tu aimes mon doigt? »— » Oui madame. »— » Oui quoi? »— »Oui madame, j’aime votre caresse. »Elle me prend soudain par les cheveux et tire ma tête en arrière.— » Dis-moi, tu me prends pour qui? Je ne vais pas t’arracher les mots de la bouche à chaque fois que je te pose une question! Je veux des réponses complètes. Essaie encore! »— » Oui madame, j’aime votre doigt dans mon petit trou. »La tête toujours maintenue en arrière, je cherche dans son regard si ma réponse lui convient. Elle me sourit et me rassure.— » Ouais, c’est mieux, mais n’oublie pas la prochaine fois. Allez, reprend ta position »— » Je vous promets de faire mieux la prochaine fois madame. »Je la sens s’éloigner de moi, fouiller dans son placard aux merveilles puis revenir en plaçant ses jambes de chaque côté de mon corps. Je devine ses bottes placées juste derrière mes bras.Puis elle s’assoit sur mes reins, mais sans faire peser tout son poids. Toujours le jeu, mais sans douleur. Elle reste prévenante dans ses gestes malgré le ton cassant de sa voix.Elle passe autour de mon cou, ce que je reconnais comme étant un collier de cuir, puis se penchant sur mes poignets, les emprisonnent de bracelet également de cuir. Enfin elle effectue la même démarche sur mes chevilles.— » Voilà, comme cela, tu m’appartiens vraiment! Maintenant je vais pouvoir véritablement te posséder. »Elle s’est redressée et parle derrière moi.— » Voyons maintenant ce petit cul. »De nouveau je sens ses doigts me fouiller la chatte et me palper le clitoris, ravivant mon désir qui suinte par tous les pores de ma vulve. Elle poursuit son jeu pendant quelques minutes faisant monter le plaisir eu creux de mon ventre et m’arrachant de petits râles étouffés. L’un de ses doigts s’enfonce en moi sans aucune résistance et me pistonne de trois ou quatre aller- retours.Puis délaissant mon sexe, le même doigt vient retrouver l’entrée de mes reins. Une légère poussée et je sens mon sphincter céder sans rouspétance. Elle appuie encore et me pénètre de toute sa longueur. Cela me rappelle les caresses (si on peut appeler cela comme ça ) de Pierre il n’y a pas si longtemps.Elle me fouille, tourne et dilate mon petit cul qui n’a rien contre au demeurant. Un deuxième doigt vient en renfort et m’écartèle un peu plus.— » Hum tu aimes que je te mette un doigt dans le cul? »— » Oh oui madame, j’aime que vous me possédiez avec vos doigts. »— » Bien et avec ça? »Elle retire ses doigts et je sens buter contre mes fesses un objet froid. Encore le martinet? Je ne le pense pas, cela me semble beaucoup plus gros. L’objet est glissant, sans doute lubrifié par quelque chose que je n’aie pas vu. Malgré tout cela, il résiste et je dois me concentrer pour en accepter la pression. Puis soudain, tout lâche et je me sens envahie comme par une boule, le sphincter largement distendu.Je revoie les plugs et comprends ce qui me défonce l’arrière train ainsi.— » Voilà, tu viens de faire connaissance avec ton premier godemiché. Tu n’as pas trop mal? »— » Si un peu madame, j’ai l’impression qu’il me déchire le trou du cul. »— » Ne t’inquiète pas et garde le un peu, tu vas de te détendre et t’y habituer. Bien, relève-toi maintenant. »Je m’exécute, même si ce que je retiens entre les fesses me gêne. Elle me pend par les épaules et m’expose devant la glace.— » Comment te trouves-tu? »Je me regarde, seins et sexe à nu, un collier muni d’un anneau autour du cou, ressemblant plus à un collier de chien qu’à celui d’une femme. Les bracelets aux poignées et aux chevilles sont également pourvus d’un anneau. J’ai soudain l’impression d’avoir perdu toute personnalité et d’être réduite à un animal de plaisir. Curieusement ce sentiment m’excite et me donne envie d’aller plus loin dans l’expérience.— » Je ne sais pas madame, j’espère vous plaire. »— »Pour le moment, ça peut aller, mais tu dois encore faire des progrès. J’aime les filles très soumises et très cochonnes. Tourne toi et regarde ton cul dans la glace à présent. »Je me retourne donc en me déhanchant pour pouvoir en même temps exposer mon postérieur et le regarder. Je me retrouve dans une position hautement impudique et découvre le rond de silicone qui seul dépasse de mes fesses.— » Alors tu arrives à te décontracter? » Me demande mon hôtesse en me tapotant une fesse.— » Un peu, oui mais pas trop, madame. »— » Bon penche-toi en avant, les jambes tendues. »Je me retrouve donc la tête entre les jambes, ce qui me permet de me voir dans le miroir.Natacha, qui est restée sur le côté, saisit la base de l’objet qui trône entre mes fesses et entreprend de le faire tourner, ce qui m’arrache un cri de douleur.— » Tu as mal? »— » Oui madame, quand vous tournez c’est encore pire. »— » Attends une seconde. »Je sens une traction vers l’extérieur, puis la douleur croît avant que la fausse bite ne me quitte enfin. Alors que je pensais être débarrassée définitivement des cet intrus, je perçois son contact de nouveau sur mon anus. Entre temps, j’ai tout de même eu le temps d’apercevoir l’engin, 7à 8 cm de long et 4 dans sa partie la plus large. Bien plus petit que celui que j’avais pris entre mes mains en découvrant sa collection et pourtant pas si facile de s’y habituer. Ma « Maîtresse » du soir m’introduit de nouveau un doigt puis deux, les faisant coulisser sur eux même, puis effectue des va-et-vient alternativement lents et rapides. Après deux minutes de ce jeu, l’excitation ravive mes sens et je me laisse aller d’un petit « hum » significatif.Elle retire alors ses doigts et les remplace par son substitut de plastique. Une poussée vigoureuse, et la bête est de nouveau au fond de mon cul serré. Dire qu’à cet instant la douleur s’est complètement évanouie serait exagéré, mais elle est bien moins intense que quelques minutes au paravent.— » Bien, maintenant assieds-toi au bord du lit. »— » Avec le ….. Dans le …. ? » M’exclamais-je— » Fais-moi confiance, écarte bien les cuisses et tu ne sentiras plus du tout la douleur. »De nouveau, j’obéis en respectant bien les consignes, et de fait, je me sens toujours remplie et distendue, mais plus de douleur. Au contraire, je fais de légers mouvements de droite à gauche pour bien enfoncer le gode au fond de moi et une douce sensation irradie au creux de mes reins. Je regarde Natacha et lui souris.Elle me rend mon sourire.— » Alors? Je n’avais pas raison? C’est agréable comme cela non? »— » Oui madame, c’est vrai. Je n’ai plus mal du tout et j’éprouve même du plaisir à me sentir écartelée de la sorte. »— » Je te le dis ma fille, bien peu connaissent le plaisir anal, mais pour ceux qui comme toi ont la chance de pouvoir le découvrir, c’est bien supérieur au plaisir vaginal classique. Jouir du cul n’est pas permis à tout le monde, mais les quelques privilégiés ne s’en priveraient pour rien au monde, crois-moi. À toi de me faire une petite gâterie maintenant. »Et s’approchant de moi, elle cambre son ventre en avant, les cuisses légèrement écartées, et écarte les pans de la combinaison qui dissimulent son sexe.J’aperçois deux jolies coquilles roses exemptes de tout superflu pilaire.— » Lèche-moi un peu la chatte, tu m’as bien excitée aussi, petit salope. »La prenant par les hanches, j’approche ma bouche de son petit trésor et aussitôt ma langue découvre le goût sucré salé de son intimité. D’un grand mouvement de haut en bas, j’inonde sa vulve de ma salive. Aussitôt elle se crispe et pousse un grognement de félin. Ma langue coulisse à deux ou trois reprises ainsi, puis se stabilise sur son petit bouton d’amour. Elle me tient à présent par les cheveux, me plaquant contre son ventre et m’invitant à lui brouter le minou avec plus d’enthousiasme.— » Hum, ho oui salope, suce-moi bien la chatte, hum oui c’est bon. Vas- y aspire-moi le bonbon. »La pression de ses mains sur mon crâne se fait de plus en plus forte. Mes lèvres ont emprisonné son joyau de plaisir, mes joues se creusent tandis que j’aspire le clito turgescent et que ma langue le masse à l’intérieur de ma propre bouche. Mes mains ne sont pas en reste et caressent vigoureusement ses fesses à travers le cuir.Natacha semble s’envoler littéralement.— » ho hum ouiiiii continue comme ça chienne, tu vas me faire jouir. Pompe-moi bien la chatte. Vas-y, vas-y, suce salope, encore ho ouiiiii je viiiiiiennns. Haaaaaaaaaaaaa. »Je n’ai pu résister à me branler en même temps et mon doigt s’active férocement sur ma propre chatte qui perle de cyprine. Les contractions de mon sphincter anal autour du plug qui m’écartèle, accroissent d’autant mon plaisir.Et je connais mon second orgasme de la soirée tandis que ma partenaire jouit encore sur mes lèvres.Nous restons sans bouger, ses mains maintenant ma tête au creux de son ventre. Mes lèvres sur son sexe le couvrent de petits baisers tandis que du bout des doigts je frôle le cuir qui recouvre ses fesses.Au bout de quelques minutes, elle redresse mon visage et me regarde en souriant.— » Tu m’as bien fait jouir. » Confirme t’elle en caressant tendrement ma joue.— » Aide-moi à retirer mes bottes. »— » Oui de suite madame. » Dis-je en reprenant ma position à quatre pattes, plus conforme à ma condition d’esclave, tandis que ma Maîtresse s’assied à ma place sur le bord du lit. Elle me tend un pied que je m’empresse de déchausser après avoir pris soin de faire coulisser la fermeture éclair. Je conserve le pied nu dans mes mains, le caresse avec tendresse puis prends l’initiative de l’embrasser. Une légère contracture des orteils me laisse penser qu’elle n’est pas insensible à cette nouvelle marque de soumission, aussi m’enhardiais-je à lécher le pied sur toute sa longueur, descendant jusqu’aux doigts, lapant comme le ferait un bon petit chien. Puis tout naturellement j’absorbe le pouce et le suce comme je l’aurais fait d’un minuscule pénis.Nat tend son autre pied et ajoute:— » Lèche aussi ma botte. »Sans complexe ni retenue, je m’exécute, laissant quelques traces de salive sur le cuir, remontant vers le mollet.— » Bien, maintenant tu peux la retirer. »Comme précédemment j’obéis sans sourcilier et prodigue le même traitement.Ma maîtresse semble satisfaite de ma prestation, ce qu’elle confirme en se redressant.— » Aide-moi à retirer ma combinaison. »Me redressant à sa hauteur, je cherche les fermetures qui autoriseront le retrait du vêtement. Après quelques tâtonnements je parviens à dégager le cou et les bras, le torse suit tout naturellement et je découvre que les seins restent prisonniers d’un mini soutien-gorge qui met en relief sa petite poitrine plus qu’il ne la cache.Je laisse courir de brefs instants mes doigts sur le doux épiderme de son ventre et entreprends de décoller la double peau sur les hanches, ce qui n’est pas sans difficultés. Nat doit même m’aider tant le cuir est serré sur ses fesses et ses cuisses.Quand enfin je parviens à la débarrasser de sa combinaison, je constate que son minou est recouvert d’une fine toison brune, taillée avec soin d’où émerge les grandes lèvres sombres et fines.— » Comment trouves-tu ma chatte ma chérie? » Le ton est plus doux, plus tendre.— » Hum, très appétissante Madame. »— » Tu aimerais pouvoir jouer avec? »— » Oh oui Madame, j’aimerais beaucoup. »— » Ah mais c’est un privilège qu’il faut mériter. »— » Que dois-je faire Madame? »— » Je dois aller faire pipi, suit moi, tu m’essuieras. »Ce disant elle se dirige vers les toilettes. Je la regarde s’éloigner, les fesses nues ondulant au rythme de la marche. Elle prend place sur la cuvette, écarte largement les cuisses et attend que je vienne me placer juste devant elle avant de laisser partir un long jet dru d’urine. D’aussi loin que je me souvienne, je ne me rappelle pas avoir jamais vu une autre femme uriner devant moi. Cette vision me trouble au plus haut point, mais finalement je trouve cela assez excitant.Nat dirige le jet vers le bas de la cuvette en appuyant d’une main sur son mont de venus. Elle me fixe, ses yeux plantés dans les miens, surveillant mes réactions.Enfin, la source se tarit et un ou deux petits jets complémentaires annoncent la fin de la séance.— » Essuie-moi maintenant. »Je m’empare d’une feuille de papier et dirige ma main vers le sexe ouvert et humide quand elle me saisit le poignet.— » Non pas comme ça, avec ta bouche. »Je la regarde, surprise et décontenancée, incapable de prononcer une seule parole.Mon ventre se contracte, mon cœur bat la chamade. Jamais je n’aurais osé imaginer une telle demande. Mais ma Maîtresse me rappelle à l’ordre.— » Essuie-moi la chatte pisseuse avec la langue. » Réclame t’elle en positionnant ses fesses sur le bord de la cuvette et en écartant largement les jambes pour bien exposer l’objet du délit.Mécaniquement, comme hypnotisée, je me sens me mettre à genoux, prendre appui sur ses cuisses et tendre mon visage vers son ventre. La tension est palpable dans ce petit réduit, mes membres tremblent, le sang cogne dans mes tempes. Mes lèvres sont maintenant à moins de 3 cm de son sexe.Sa main bloque soudain ma nuque.— » Ainsi tu étais prête à aller jusqu’au bout pour m’obéir? »Je regarde ses yeux et ce que j’y vois me donne envie de pleurer. Il y a tellement de douceur et de tendresse, j’ai presque envie d’écrire « d’amour ».— » Non, pas pour t’obéir, pour te plaire. »Je plonge brusquement mon visage entre ses cuisses et bouche ouverte, le laisse aller ma langue sur sa vulve souillée. Le goût est âpre et fort, mais je prends plaisir à prouver ma détermination et ma soumission.Au premier coup de langue, le bassin de Natacha s’est projeté en avant, ses cuisses se sont crispées et elle a laissé échapper un râle de bonheur.Encouragée par cette réaction, je poursuis mon œuvre de nettoyage, faisant pénétrer ma langue au plus profond de son intimité. Rapidement le goût de l’urine a disparu, laissant place à des écoulements beaucoup plus excitants.Mais Nat ne me laisse pas poursuivre et me repousse tendrement.— » Non, je ne veux pas jouir comme cela pour le moment. »J’aurai tellement aimé la sentir jouir encore sur mes lèvres, me sentir maîtresse de son plaisir. Mais elle en a décidé autrement et j’obéis.Natacha me caresse la joue illuminant son joli visage d’un sourire affectueux.— » Tu es une fille formidable, je n’oublierai jamais notre rencontre et cette soirée. »Puis passant ses mains derrière mon cou, elle entreprend de me libérer du collier. Aussitôt après elle me défait de mes bracelets.— » Je n’ai plus envie de jouer, je te veux comme amante et t’offrir tous les plaisirs que tu désires, et même ceux que tu ne désires pas encore. Viens, retournons dans la chambre. »Elle me saisit par les hanches, les caresse et offre sa bouche à la mienne. À mon tour je l’enlace et la serre fort contre moi. Ivre de bonheur et de tendresse, je l’embrasse à pleine bouche.Nous regagnons le lit sans nous décoller, sans même que nos langues ne se disjoignent. Nat fait alors jouer le zip de la fermeture éclair de ma combinaison en maille de nylon et m’en débarrasse. Au fur et à mesure que l’étoffe quitte ma peau, je sens ses doigts me frôler, me cajoler, exciter mes tétons et réveiller le feu ardent qui m’habite. Lorsque je me retrouve définitivement nue, mon sexe brille de toute mon excitation. D’un geste rapide, elle ôte son soutien- gorge et me dévoile enfin ses petits seins, hauts placés et ornés de tétons dressés.— » Allonge-toi sur le ventre, je vais te libérer des outrages que je t’ai fait subir. »C’est vrai que mon anus est toujours maintenu ouvert par le plug que j’avais fini par oublier.Je m’étends donc comme demandé offrant avec délectation la partie pile de mon anatomie.Nat caresse mes fesses, les écarte, les lèche électrisant tout mon corps. Une légère traction sur mon sphincter me fait comprendre qu’il va bientôt retrouver toute son autonomie.A peine libérée, ses doigts viennent câliner mon petit œillet brun et le pénétrer sans la moindre résistance.— » Ton petit trou est bien ouvert maintenant. Tu as encore mal? »— » Non plus du tout, au contraire, j’aime ce que tu me fais. J’ai l’impression qu’il est au moins aussi sensible que ma chatte à présent. »Je ne peux voir son visage, mais je suis sûre qu’elle sourit. Elle continue de me sodomiser de ses doigts et j’aime ça. Je me cambre, redresse les fesses pour l’encourager à continuer, et elle ne s’en prive pas, me fouillant sans vergogne le rectum.Je me redresse encore, me mettant à genoux, les cuisses bien écartées et le visage enfoui dans l’oreiller. Ses lèvres viennent en renfort, et tandis que ses doigts s’égarent sur ma vulve en feu, je sens sa langue me fouiller le postérieur, me léchant la raie sur toute sa longueur pour revenir inexorablement buter contre mon petit trou.Je crie mon plaisir:— » Ho oui, ma chérie, j’aime ce que tu me fais. Te sentir me sucer le fion tout en me branlant le clito. Oui continue, je ne suis qu’une petite salope qui aime se faire prendre par tous les trous. »— » hum c’est vrai que tu es une chienne en chaleur. Et moi j’aime sucer ton gros cul et te bourrer la chatte avec mes doigts. »Les mots crus décuplent ma libido, j’ai envie de continuer à l’entendre me parler sur ce ton.— » Oui je ne suis qu’une grosse chienne avec un gros cul, fait moi ce que tu veux, c’est trop bon. »— » Retourne-toi, salope, tu vas me bouffer la chatte aussi. »En une fraction de seconde je suis sur le dos, aussitôt elle enjambe mon visage et pose son sexe sur mes lèvres, puis se penche en avant et reprend ses jeux avec mon entre cuisse.J’avale immédiatement son minou qui coule littéralement et macule mon visage. J’aspire, je fouille, j’avale tout ce que je peux. Elle m’écrase de son bassin qui ondule dans tous les sens.— » Oui, oui vas-y comme ça, pompe-moi le con petite vicieuse. Et n’oublie pas mon petit cul. Il aime aussi être sucé et maltraité.Ce disant elle se dégage légèrement et me propose sa raie bien écartée. Je n’hésite pas une seconde et ma langue disparaît immédiatement dans l’orifice proposé alors que mon index s’engouffre dans le boyau trempé de sa chatte en furie. Nous geignons à l’unisson sentant que l’extase est toute proche.Ma bouche reprend possession de son sexe et c’est maintenant mon majeur qui s’enfonce librement dans son anus. Elle aime et le crie mais ne me délaisse pas pour autant. Je ne sais plus ce qu’elle me fait, mon ventre explose, ma chatte mon cul, je ne fais plus la différence. Chacun de ses mouvements, chacune de ses lèches me procurent des milliers de décharges électriques. C’est à mourir.Et soudain, nos corps se figent dans un synchronisme parfait. Tous nos muscles se tétanisent. Plus un son ne vient troubler le silence. Les respirations sont restées en suspend. Les yeux fermés et la bouche grande ouverte, je savoure avec délice l’instant parfait de la jouissance totale. Une formidable boule d’énergie inonde mon ventre, mes reins et mon cerveau. Je n’existe plus. Je suis en lévitation, hors de mon corps dans une sorte d’extase intégrale.Puis peu à peu, j’établis un atterrissage en douceur. Je reprends conscience du poids de son corps sur le mien, je redécouvre la vue de ses fesses qui me surplombent, je réapprends le goût de son sexe sur mes lèvres.Doucement, nos âmes réintègrent nos corps.Natacha s’est détachée et vient poser ses lèvres sur les miennes.— » Il y a bien longtemps que je n’avais ressenti un pareil plaisir. » Me souffle t’elle.Exténuée, je me blottis contre elle et prends un de ses seins au creux de ma main. Je ferme les yeux et sombre dans un sommeil profond.