Antonella & Georges
Histoire vraie oĂą ceux qui se ressemblent, se reconnaissent et s’assemblent et oĂą le soleil et la pluie sont de la partie…
Proposée le 6/12/2020 par Michka Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: Mer, piscine, plageType: Histoire vraie
Et puis il y eu Antonella, Antonella et Georges…Je ne me souviens plus oĂą nous les avions rencontrĂ©s (Ă l’Ă©poque nous sortions beaucoup)
mais d’entrĂ©e la sympathie fut rĂ©ciproque. RĂ©trospectivement, je me demande si nous ne nous Ă©tions pas reconnus pour ce que nous Ă©tions, des libertins.Antonella, d’origine italienne, comme son prĂ©nom l’indique, Ă©tait une jeune femme enjouĂ©e de vingt cinq ans remarquablement belle, assez petite, aux cheveux noir de jais de mĂŞme que ces yeux brillants.Georges Ă©tait un grand mec, nettement plus âgĂ©s que sa compagne, environ 40 ans, assez massif, au visage constamment illuminĂ© d’un sourire enjĂ´leur.
Tous les deux parlaient français avec aisance, lui architecte, elle employée de banque.
Nous nous sommes rencontrés peu avant les pâques grecques et nous les avions invités à cette occasion au traditionnel méchoui au fond de notre jardin.
Depuis ce jour, pas de semaine ne se passa sans que nous ne nous rencontrions soit pour dîner, soit pour sortir.
Puis vint le mois de juin, les premières chaleurs et les premiers bains de mer.
Très vite nous nous mĂ®mes Ă la recherche d’une plage isolĂ©e sur la partie nord de l’Attique et bientĂ´t nous finĂ®mes par dĂ©couvrir une petite crique bien abritĂ©e des regards (Ă cette Ă©poque c’Ă©tait encore possible).
Il faisait très chaud lors de notre seconde visite Ă notre petit paradis. Après la baignade, Françoise et moi nous rĂ©fugiâmes Ă l’ombre du parasol que nous avions apportĂ© tandis que Georges et Antonella s’allongeaient sur leurs grandes serviettes qu’ils avaient Ă©talĂ©es sur un rocher plat lĂ©gèrement surĂ©levĂ©. Très naturellement les deux femmes avaient retirĂ© leurs soutien-gorges mouillĂ©s. Françoise me fit remarquer la beautĂ© des seins d’Antonella, ce que j’avais dĂ©jĂ notĂ© Ă©videmment. Et elle ajouta « pas mal le Georges, hein ? ». « Il te plait ? » lui demandais-je. « vraiment pas mal » fut la rĂ©ponse.
De lĂ oĂą nous Ă©tions, on ne voyait que le corps allongĂ© de Georges et vaguement, quand elle bougeait, la chevelure noire d’Antonella, parfois ses fesses rondes et fermes.
Je somnolais, mon avant bras couvrant mes yeux quand J’entendis le souffle de Françoise dans mon oreille : « Regarde ! ». Je tournai le regard vers le rocher.
Je ne vis tout d’abord que la chevelure d’Antonella comme posĂ©e sur le ventre de Georges.
Puis la main d’Antonella se glissant entre le maillot de bain et le bas ventre de Georges, soulevant le tissu, le repoussant vers le bas, dĂ©gageant ainsi le gland de Georges aussitĂ´t cachĂ© par la tĂŞte d’Antonnela qui après un moment se mit Ă bouger en cadence.
Nous vĂ®mes alors la main de Georges, ou plutĂ´t ses doigts, faire glisser son maillot vers ses cuisses dĂ©couvrant de ce fait la totalitĂ© de sa grosse queue bandĂ©e et de ses couilles volumineuses. Antonella s’Ă©tait dressĂ©e sur ses coudes, ses cheveux dĂ©nouĂ©es cachaient en grande partie son visage mais on pouvait quand mĂŞme voir parfois sa bouche monter et descendre, s’arrĂŞter, repartir ; parfois seules les lèvres sur le bout du gland ou la vision fugitive de sa langue lĂ©chant toute la queue de Georges, qu’elle serrait dans son poing, et mĂŞme ses couilles.
Nous Ă©tions mĂ©dusĂ©s, Ă tel point que nous n’osions plus bouger. La scène ne dura pas plus de deux minutes. Soudain, nous vĂ®mes le corps de Georges se tendre, ses reins se soulever, la bite de Georges disparut dans la bouche qui l’encerclait tandis que sa main se posait sur la tĂŞte d’Antonella. Le temps s’arrĂŞta pendant de très longues secondes puis le corps s’affaissa, la chevelure noire disparut, la queue aussi.
Alors, Georges tourna vers nous son visage. Il savait que nous avions tout vu. Il nous gratifia d’un grand sourire accompagnĂ© d’un clin d’œil dĂ©jĂ complice.
Bien sĂ»r ce qui devait arriver, arriva.Quelques temps après nous fĂ»mes invitĂ©s non loin d’Athènes, chez Georges et Antonella. Ce jour lĂ , le temps menaçait mais il faisait chaud et l’air Ă©tait chargĂ© d’humiditĂ© et d’électricitĂ©. Françoise portait une simple jupe Ă godets, ajustĂ©e aux hanches et s’évasant Ă la hauteur des cuisses, et un top blanc, assez ample, assez transparent, laissant deviner sa poitrine et qui dĂ©gageait ses belles Ă©paules rondes. Je conduisais prudemment tout lui en jetant de rapides coup d’œil, admirant son profil et ses genoux nus sur lesquels je posai soudain ma main. Au troisième feu rouge, je glissai mes doigts entre ses jambes qu’elle Ă©carta lĂ©gèrement. Je remontai lentement jusqu’à la douceur tiède de son entrecuisse et constatai qu’elle ne portait pas de culottes. J’allumai le plafonnier. Il y avait beaucoup de circulation et nous avancions par petits bons successifs. Françoise ne me regardait pas, elle regardait par la fenĂŞtre ouverte sur sa droite. Sa jupe Ă©tait maintenant remontĂ©e et je pouvais voir le triangle sombre de son sexe. Un 4×4 vint se ranger Ă notre hauteur. La circulation Ă©tait bloquĂ©e. J’en profitai pour glisser mon mĂ©dius entre les grandes lèvres dĂ©jĂ humides de Françoise qui Ă©carta encore plus les jambes. Je vis le visage du chauffeur du 4×4, assis plus haut, se tourner, plonger son regard vers nous et sa bouche s’ouvrir d’étonnement. Je vis aussi Françoise se passer la langue sur les lèvres tout en fixant l’inconnu. Deux minutes se passèrent ainsi. Je faisait aller et venir mon doigt dans le vagin de Françoise puis, de deux doigts, Ă©cartait les lèvres de son sexe, l’exposant totalement aux yeux de notre voisin. Le feu passa au vert… Je retirai ma main et passai la première. Françoise poussa un long soupir. Des Ă©clairs zĂ©brèrent le ciel noir. L’orage menaçait et de grosses gouttes commencèrent Ă tambouriner sur le pare- brise. Le 4×4 avait disparu. Maintenant, nous approchions de notre destination. Il pleuvait Ă verse, une lourde pluie chaude et drue. L’incident du 4×4 avait mis du rouge aux pommettes de Françoise qui posa sa main gauche sur ma braguette et commença Ă me masser la verge Ă travers mon mince pantalon de toile beige. Je trouvai Ă me garer Ă une cinquantaine de mètres de la maison de nos amis. Il pleuvait toujours autant. La petite rue Ă©tait sombre, Ă©clairĂ©e de loin en loin par des rĂ©verbères aux lumières anĂ©miques. Naturellement, pas de parapluie. Après nous ĂŞtre concertĂ©s du regard, nous ouvrĂ®mes les portes et presque en courant nous nous dirigeâmes vers notre destination. Il pleuvait de plus en plus belle et nous n’avions pas fait vingt mètres que nous fĂ»mes trempĂ©s. Soudain Françoise me pris la main et m’attira sous un grand acacia qui semblait vouloir nous protĂ©ger de l’averse. Elle plaqua son dos sur le tronc rugueux et m’attira contre elle. D’une main fĂ©brile, elle descendit la fermeture Ă glissière de mon pantalon et de ses doigts mouillĂ©s fit jaillir ma verge. Je pris sa bouche et l’embrassai tout en remontant sa jupe. Ses cheveux, qu’elle avait coupĂ©s rĂ©cemment, Ă©taient collĂ©s sur ses joues. Son chemisier mouillĂ© Ă©tait devenu transparent. Elle remonta sa cuisse Ă la hauteur de ma hanche. Je la saisi des deux mains sous les fesses et d’un seul coup, m’enfonçai dans la chaleur moite de son con. Elle poussa un cri rauque… Des pas prĂ©cipitĂ©s se firent entendre et je vis du coin de l’œil un couple venir Ă notre rencontre. Je fis nĂ©anmoins deux aller et retour dans le vagin aimĂ©. Ils nous avaient vus et ils marquèrent un temps d’arrĂŞt. Je me retirai lentement, me laissai descendre le long du corps de Françoise et collai ma bouche sur sa vulve. Le couple nous dĂ©passa en courant mais en se retournant sans cesse. Ils nous crièrent quelque chose que le bruit de la pluie nous empĂŞcha d’entendre.
Dégouttant d’eau, j’appuyai sur la sonnette. La porte s’ouvrit immédiatement. Notre ami Georges nous fit pénétrer dans le petit hall. Quand il nous vit dégoulinant d’eau, il éclata de rire et nous dirigea vers la salle de bain. « Vous ne pouvez pas rester comme ça. Allez vous sécher ! On est entre nous Prenez nos sorties de bain qui sont pendues derrière la porte ». Nous nous déshabillâmes. Nus, nous nous contemplâmes dans le grand miroir qui couvrait tout un mur. Je bandais, Françoise se mit à genoux et me prit dans sa bouche chaude. Je la regardais me sucer dans la glace avec amour. Je me retirais à temps…Nous arrivâmes dans le salon/salle à manger vêtus de nos seuls burnous, pieds nus.
C’est alors que Georges, un verre de vin Ă la main, nous annonça qu’Antonella ne dĂ®nerait pas avec nous Un coup de tĂ©lĂ©phone de sa sĹ“ur malade l’avait contrainte Ă se rendre Ă son chevet. Rien de grave, nous rassura-t-il. Comme nous Ă©tions dĂ©jĂ en route, il n’avait pas voulu nous prĂ©venir, gâcher notre soirĂ©e. Nous fĂ®mes honneur au dĂ®ner bien arrosĂ©. Celui-ci achevĂ©, Françoise et moi nous affalâmes sur le vaste divan du salon. Georges mit de la musique douce et se mit en devoir de dĂ©barrasser la table.
Françoise me prit la main. Les pans de son peignoir de bain, un peu grand pour elle, s’étaient écartés et dévoilait très haut ses cuisses blanches. Le haut, lui même entrebâillé laissait voir un sein dont je voyais le bout érigé. Elle se tourna légèrement vers moi, me fit un sourire malicieux, glissa une main entre les pans de mon burnous et me saisit la verge. Son mouvement m’avait dénudé. Georges était dans la cuisine d’où l’on pouvait entendre le cliquetis des couverts dans l’évier. Françoise se pencha sur moi et commença à me donner des petits coups de langue sur le gland… C’est alors que je vis Georges entrer dans la pièce.
Je le vis se figer, un torchon Ă la main. Je mis un doigt sur mes lèvres et lui fit un clin d’œil complice. Nous connaissions Georges et Antonnella depuis un certain temps, lui, un bel homme costaud, intelligent, dans la quarantaine. J’avais vu ses regards apprĂ©ciateurs quand je lui avais prĂ©sentĂ© Françoise j’avais aussi notĂ© que celle çi n’était pas insensible au physique et Ă l’humour de Georges. Je lui fis signe de s’asseoir dans le fauteuil qui nous faisait face Ă deux mètres. Il vint s’y poser sans bruit. Françoise se mit Ă me sucer profondĂ©ment. Je dĂ©nudai ses fesses rondes et les exposai au regard de Georges. Il ne tint pas longtemps le choc. Je vis ses mains s’affairer sur la braguette de son jean et après quelques secondes sa verge considĂ©rable et dressĂ©e apparue.C’est alors que Françoise , m’abandonnant, se redressa. Elle tourna la tĂŞte vers Georges qui se masturbait lentement. Elle voulut se lever mais je la retins d’un bras ferme et me penchant Ă son oreille lui murmurai « N’ai pas peur, laisse toi aller, je t’aime et il te plait». Un instant d’hĂ©sitation. Elle me regarda droit dans les yeux. Je lui souris tendrement et l’embrassai Ă pleine bouche. Je dĂ©fis la ceinture de son peignoir et en Ă©cartai les pans largement. Elle fit glisser les bras hors des manches et se trouva entièrement nue. Georges n’esquissa pas un geste vers nous, Il nous fixait tout en se caressant.
Je me laissai glisser au pied de mon amour. Je lui écartai les cuisses et plongeai ma tête dans leur moiteur odorante. Elle bougea son bassin en avant pour mieux me recevoir. Elle mouillait abondamment et je lapai ce jus avec délectation, effleurant parfois, mais très légèrement, son clitoris gonflé. D’une main je lui pinçai le bout durci des seins, de l’autre je me masturbai. Relevant parfois la tête, je vis que son regard était fixé sur la verge de Georges tout près de nous. Je me relevai enfin, me mis sur le dos dans le canapé et attirai Françoise sur moi de telle manière qu’elle me chevaucha à rebours. Je m’enfonçai en elle tout en lui caressant les seins et le ventre.
Maintenant, nous regardions Georges tous les deux. Le regard braqué sur nos deux corps, il se leva et se mit nu. Il fit deux pas et se trouva présentant son sexe au gland violet devant le visage de Françoise.
Elle ne fit rien pour le prendre dans sa bouche, se contentant de le regarder, de regarder la main qui faisait aller et venir la peau sur le gland enflammĂ© de Georges, Ă quelques centimètres de son visage. Je me retirai au bout de quelques secondes, au bord de l’orgasme.Je fis basculer Françoise sur le canapĂ©, la positionnai Ă quatre pattes. Elle cambra les reins pour mieux me prĂ©senter sa vulve que je commençai Ă lĂ©cher ainsi que son anus.Georges avait mis un genou sur le divan. Il passa une main sous le menton de Françoise, lui releva la tĂŞte et de nouveau prĂ©senta son membre Ă la bouche entre ouverte de ma femme/amante. Elle consenti cette fois Ă le prendre… Je rentrai enfin en elle oĂą je restai immobile, savourant le spectacle de mon amour suçant maintenant Georges avec ardeur. Je senti les doigts de Françoise sur mes couilles puis touchant de ses petits ongles pointus la verge enfoncĂ©e en elle. Une fois de plus, je failli Ă©jaculer. Je me retirai de nouveau. Françoise prenant l’initiative, se mit sur le dos, les cuisses largement Ă©cartĂ©es. Je la suçai, m’attardant cette fois sur son clitoris, suivant son rythme. Je l’entendais haleter de plus en plus vite. Ses cuisses en Ă©tau me serraient spasmodiquement la tĂŞte. Je senti que son orgasme n’était plus loin. Je l’abandonnai pour m’enfoncer en elle. Je me mis Ă la labourer puissamment. Elle ne suçait plus Georges, Elle le branlait au dessus de sa poitrine. Soudain Georges Ă©jacula avec force sur les seins, le cou, les lèvres de Françoise, je senti mĂŞme quelques gouttes chaudes s’Ă©craser sur ma poitrine. Françoise tenait toujours Ă quelques centimètres de mon visage la queue de Georges dans sa main. Je n’eus qu’Ă me pencher un peu pour la prendre toute chaude, maculĂ©e de sperme, dans ma bouche puis l’ayant nettoyĂ©e je me penchai un peu plus et lĂ©chai le foutre encore tiède sur les seins de ma femme adorĂ©e. Soudain, sous moi, je senti trembler tout le corps de Françoise puis de violentes contractions autour de ma queue. Ma femme Ă©tait en train de jouir avec force. Alors, je m’enfonçai d’un seul coup de rein, tout au fond d’elle, et Ă©jaculai, moi aussi, avec un immense bonheur.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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