Marc avait totalement oubliĂ© qu’il avait permis Ă sa fille, Maud, d’inviter une copine Ă elle pour le week-end. Ce ne fut qu’en poussant la porte de chez lui, après une Ă©nième — et longue — garde Ă l’hĂ´pital, qu’il s’en rappela, en voyant les deux jeunes filles en pleine discussion sur le canapĂ©. A l’entente de la porte d’entrĂ©e qui s’ouvrait, leurs regards s’Ă©taient tournĂ©s vers lui.- Papa, t’es rentrĂ©! Tu te souviens d’Olivia?Sa fille entraĂ®na son amie avec elle jusque dans l’entrĂ©e, un grand sourire sur le visage. Olivia et elle Ă©taient de vrais opposĂ©es au niveau physique : Maud Ă©tait brune, lĂ©gèrement bouffie, et surtout très peu Ă l’aise avec son corps. Olivia, en revanche, avait pris conscience de sa beautĂ© depuis bien longtemps, et comment en jouer… Il fallait dire qu’elle avait de quoi : entre ses longs cheveux blonds, ses mensurations semblant tout droit sorties d’un mannequin de magazine, et cet Ă©clat taquin qui ne semblait jamais quitter ses yeux, elle avait l’habitude d’obtenir tout ce qu’elle voulait — ou en tout cas, c’Ă©tait ce qu’il en avait compris selon ce que sa fille lui avait racontĂ©.- Bien sĂ»r. Bonjour Olivia. Tu as tout ce qu’il te faut pour le week-end?- Oui Monsieur Roussel. Et… Je voulais vous remercier pour me permettre de rester ici ce week-end. Je serais bien restĂ©e chez moi, mais ma mère fait faire des travaux dans la cuisine alors autant dire que ça ne sera pas très calme.- Pas de problème. Tu es la bienvenue. Et par pitiĂ©, appelle-moi Marc, rĂ©pondit-il simplement avec un sourire poli avant de reprendre. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, je meurs d’envie de prendre une douche.- Dure nuit Ă l’hĂ´pital? demanda Maud alors qu’il se dirigeait en direction du couloir qui menait Ă la chambre et la salle de bain.- Ça serait un euphĂ©misme!Lançant un dernier regard amusĂ© aux deux amies par-dessus son Ă©paule, le mĂ©decin n’attendit pas plus longtemps pour sauter dans la douche. La chaleur de l’eau coulant sur son corps aida Ă dĂ©nouer ses muscles malmener par le stress de travailler aux urgences presque tous les jours depuis maintenant sept ans, et il ferma les yeux un moment sous le jet, se dĂ©tendant au possible.Après plus de temps dans la douche qu’il n’en aurait probablement fallu pour ĂŞtre propre, Marc ressortit de la cabine, et attrapa sa serviette pour enlever l’eau de sa peau. Son reflet dans le miroir, observable après avoir chassĂ© la buĂ©e sur celui-ci, lui tira un lĂ©ger rire dĂ©pitĂ© : il ressemblait Ă un zombie. HĂ©ritage de longues annĂ©es sans suffisamment de sommeil, mais avec beaucoup trop de cafĂ©.Enroulant et nouant la serviette autour de sa taille, il ressortit finalement de la salle de bain, et poussa la porte de sa chambre, la pièce juste Ă cĂ´tĂ©.Ce Ă quoi il ne s’attendait pas, en revanche, et qui le fit sursauter, c’Ă©tait d’y trouver Olivia, assise sur le lit. Elle le regardait avec un petit sourire en coin, les mains de part et d’autre de ses jambes, qu’elle dĂ©croisa et recroisa devant lui.- Olivia, bon sang, lança-t-il en posant une main au milieu de son torse pour calmer son cĹ“ur qui avait fait un bond sous la surprise. Qu’est-ce que tu fais lĂ ? Il y a un problème?- Aucun problème, Monsieur Roussel. Au contraire…Confus, Marc ne sut mĂŞme pas quoi rĂ©pondre, et se contenta alors de se racler la gorge.- Dans ce cas-lĂ , si tu veux bien sortir… J’aimerais m’habiller et avaler un truc.- Vous voulez vraiment que je sorte?Le mĂ©decin leva un sourcil, ne comprenant pas ce qui lui prenait : rien de ce qu’elle disait ne semblait faire sens. Mais Olivia ne parut pas lui en tenir rigueur, car elle se leva et marcha lentement dans sa direction, rejoignant la porte de la chambre derrière lui. Mais au lieu de la passer, la jeune femme attrapa la poignĂ©e et la fit se fermer. Dans un mouvement Ă©lĂ©gant, elle se retourna vers lui, renvoyant sa chevelure blonde en arrière.- Olivia, qu’est-ce que tu fais?Sans rĂ©pondre, l’intĂ©ressĂ©e se rapprocha Ă nouveau de lui, jusqu’Ă ĂŞtre suffisamment proche pour poser ses mains sur son torse et le caresser. Par rĂ©flexe, Marc attrapa ses poignets, la stoppant dans son mouvement.- Olivia, mais qu’est-ce qu’il te prend?!- Je me disais juste que je pourrais vous aider Ă vous dĂ©tendre, après cette garde aussi… Ă©puisante, rĂ©pondit-elle en se penchant, dĂ©posant un baiser sur son torse.L’attrapant par les Ă©paules, Marc la fit reculer de quelques pas, plantant son regard dans le sien. Il ne savait pas quelle mouche avait bien pu la piquer, mais elle n’Ă©tait pas dans son Ă©tat normal.- Ecoute, je… Je ne sais pas ce que tu t’es imaginĂ©, mais rien n’est possible entre nous. Enfin, tu… Tu as l’âge de ma propre fille, bon sang!- Exactement, Ă savoir, 18 ans. Aucune barrière lĂ©gale ne nous en empĂŞche…- Ce n’est pas la question, Olivia…Celle-ci poussa gentiment les mains de Marc, toujours sur ses Ă©paules, couvrant de nouveau la distance qu’il avait mis entre eux deux. Laissant ses mains courir sur son torse, la blonde lui lança un sourire charmeur, comme si cela suffirait Ă le convaincre.- N’y pense pas trop… Laisse toi juste aller.Le passage au tutoiement ne le surprit mĂŞme pas, trop perturbĂ© par la proximitĂ© et la sensation de ses mains sur sa peau : c’Ă©tait agrĂ©able, trop agrĂ©able… Il se surprit mĂŞme Ă fermer les yeux lorsque la bouche d’Olivia vint Ă son tour se poser sur la peau de son torse, laissant une traĂ®nĂ©e de baisers le long de sa clavicule.- Olivia, je…- Chut… le coupa-t-elle dans un murmure, une de ses mains descendant le long de son torse jusqu’Ă arriver au niveau de ses abdominaux. Je sais que tu en as envie aussi… Tu crois que je ne t’ai pas vu lorgner sur mes seins, mes fesses, mes jambes, Ă chaque fois que je viens voir Maud?Le pire Ă©tait que Marc ne pouvait mĂŞme pas nier ce dernier point. Dans un moment de faiblesse, son regard s’Ă©tait bien perdu sur les courbes de la jeune femme… Il fallait avouer qu’elle savait en jouer, et se mettre en valeur. Il croyait bien ne l’avoir jamais vue couverte de la tĂŞte aux pieds…- Je suis sĂ»re que tu as dĂ©jĂ pensĂ© Ă moi lorsque tu jouais avec cette belle petite chose… rajouta-t-elle en osant mĂŞme glisser sa main entre les pans de la serviette autour de la taille de l’homme, touchant son membre qui, dĂ©jĂ Ă moitiĂ© Ă©rigĂ©, trahissait qu’elle avait raison.Marc lâcha un lĂ©ger grognement sous le contact, ne rĂ©sistant mĂŞme plus.- Et j’en ai besoin. Cela fait un petit moment que je n’ai pas goĂ»tĂ© aux plaisirs de la chair…- Je suis sĂ»r que n’importe quel garçon de ta classe se dĂ©vouerait en un instant…- Certes, mais ce sont des garçons. J’ai besoin d’un homme, un vrai. Quelqu’un qui y connaisse quelque chose… Pas d’un mec qui ne sache pas se retenir plus longtemps qu’une pipe.Sa deuxième main se plaqua sur la nuque du mĂ©decin, poussant sur celle-ci pour pouvoir poser ses lèvres contre les siennes. Sans mĂŞme y rĂ©flĂ©chir, Marc rĂ©pondit au baiser, sentant toute la flamme que la jeune femme avait en elle.Mais brusquement, une pensĂ©e s’imposa de nouveau dans son esprit, le poussant Ă attraper Olivia par les Ă©paules et la reculer lĂ©gèrement, une nouvelle fois.- Non, je… Je ne peux pas prendre le risque, pas avec Maud qui pourrait dĂ©barquer Ă tout moment.- Relax, elle n’est pas lĂ .- Comment ça elle n’est pas lĂ ?- Un problème avec son petit copain, elle a dĂ» filer… Mais en bonne amie qu’elle est, elle n’a pas voulu m’embĂŞter avec leurs petites histoires, alors elle m’a permis de rester ici. En m’assurant que cela ne dĂ©rangerait pas son père un seul instant… M’aurait-elle menti?N’attendant visiblement pas de rĂ©ponse de sa part, Olivia profita de la très lĂ©gère distance entre leurs deux corps pour se dĂ©barrasser de son haut, couvrant Ă peine sa poitrine. Et c’Ă©tait par ailleurs la seule chose qui la couvrait, par ailleurs, car la jeune femme ne s’Ă©tait pas embarrassĂ©e d’un soutien-gorge. Il fallait dire qu’elle n’en avait pas vĂ©ritablement besoin, vu la manière dont sa poitrine, dĂ©licate et gĂ©nĂ©reuse Ă la fois, tenait toute seule en place.- Je ne crois pas qu’elle m’ait menti. Je pense mĂŞme que son père va grandement apprĂ©cier d’ĂŞtre seul Ă seul avec moi pour quelques heures…Olivia attrapa ses mains, venant les poser sur ses seins. Le contact de sa peau si douce le subjugua, Ă tel point que s’il avait Ă©tĂ© capable d’ĂŞtre rationnel, il se moquerait de lui-mĂŞme pour rĂ©agir comme un adolescent dĂ©couvrant tout juste les plaisirs de la chair. Les yeux rivĂ©s sur la poitrine de la jeune femme, Marc la malaxa, profitant de la beautĂ© de celle-ci. Lui qui avait jetĂ© çà et lĂ des coups d’Ĺ“il dans son dĂ©colletĂ©, il n’aurait jamais cru pouvoir un jour les sentir sous ses propres mains.- Je ne sais pas Olivia, c’est… Tout ça, c’est…L’intĂ©ressĂ©e poussa un soupir en guise de rĂ©ponse, mais elle n’avait pas l’air Ă©nervĂ©e ou mĂŞme vĂ©ritablement agacĂ©e. PlutĂ´t… amusĂ©e, comme si elle apprĂ©ciait de le voir visiblement en pleine bataille entre le petit ange et le petit diable sur chacune de ses Ă©paules.- Je vais m’employer Ă ĂŞtre plus convaincante, alors…Sans rien rajouter de plus, elle fit demi-tour et fit glisser sa jupe, entraĂ®nant avec elle sa culotte. Les yeux de Marc se posèrent alors sur ses fesses parfaitement galbĂ©es, et sur son intimitĂ© lorsqu’elle se pencha en avant pour rĂ©cupĂ©rer les vĂŞtements. Elle lui jeta un regard amusĂ© par-dessus son Ă©paule, avant d’ouvrir le tiroir de la table de chevet et d’y glisser sa petite culotte.- Au cas oĂą tu t’ennuierais de moi un de ces soirs…La jeune femme lui adressa un clin d’Ĺ“il entendu, ne retenant pas un petit rire, puis se hissa sur le lit, ouvrant les jambes. Une nouvelle fois, son intimitĂ© fut exposĂ©e aux yeux de Marc, qui sentit son sang pulser contre ses tempes Ă la seconde oĂą Olivia posa ses doigts contre cette dernière, n’attendant pas plus longtemps pour commencer Ă se toucher.Il brĂ»lait d’envie de remplacer ses doigts par les siens, de sentir sa peau sous ses lèvres, d’ĂŞtre celui qui ferait monter son plaisir comme elle s’employait Ă faire actuellement. Instinctivement, sa main s’immisça entre les pans de sa serviette de bain toujours nouĂ©e autour de sa taille, attrapant son membre et le caressant, les yeux rivĂ©s sur le spectacle devant elle.- Ose me dire que tu n’as pas envie de moi et j’arrĂŞte tout, lança la blonde, un petit sourire en coin sur ses lèvres.Elle savait dĂ©jĂ qu’elle avait gagnĂ© : le regard de Marc, la main qu’il avait sur son sexe, et son incapacitĂ© Ă l’arrĂŞter dans ce qu’elle Ă©tait en train de faire? En aucun cas il ne serait capable de mettre fin Ă tout ça maintenant. C’Ă©tait trop tard…Sans mĂŞme attendre la rĂ©ponse, Olivia s’arrĂŞta alors, se redressant et se remettant ses pieds.- C’est bien ce que je pensais.De nouveau postĂ©e juste devant lui, elle glissa de nouveau sa main entre les pans de la serviette, reprenant ses mouvements sur son membre dĂ©sormais bien Ă©rigĂ©, faisant monter le plaisir de l’homme jusqu’Ă ce qu’il ne soit plus capable de continuer Ă ĂŞtre rationnel. Laissant ses besoins les plus primaires prendre le dessus sur tout le reste, il plaqua Olivia contre le mur de la chambre, dĂ©posant des baisers dans son cou et laissant ses mains courir sur tout son corps. Son odeur, la douceur de sa peau, tout chez elle lui faisait complètement perdre la tĂŞte.- Attends, murmura-t-elle avec un sourire, le poussant lĂ©gèrement par les Ă©paules. Je veux goĂ»ter Ă cette belle chose.Très lentement, pour l’embĂŞter, la blonde se baissa jusqu’Ă se retrouver sur ses genoux. Elle saisit son membre d’une main, commençant par l’observer sous tous ses angles. Et au moment prĂ©cis oĂą Marc crut que la frustration allait le faire exploser, sa langue vint effleurer l’extrĂ©mitĂ© de son sexe, lui tirant un gĂ©missement prononcĂ© d’apaisement. Mais Olivia Ă©tait visiblement dĂ©cidĂ©e Ă ne pas lui donner satisfaction tout de suite, se contentant de sucer l’extrĂ©mitĂ© et non tout le reste. La main du mĂ©decin vint se glisser dans les cheveux de la jeune femme, l’invitant Ă aller plus loin, mais ce n’eut pour effet que de le faire se redresser et relever des yeux amusĂ©s vers lui.- Un peu de patience… Les bonnes choses se mĂ©ritent, Marc.Les minutes suivantes lui parurent ĂŞtre une Ă©ternitĂ© : Olivia savait s’y prendre pour le rendre fou, faisant grimper son plaisir et son espoir, sans jamais s’y employer rĂ©ellement. Mais tout cette attente fut rĂ©compensĂ©e lorsqu’enfin, la jeune femme prit, cette fois-ci clairement, en bouche son membre. SubmergĂ© par la sensation mĂŞlant plaisir et dĂ©livrance, Marc dĂ»t appuyer une main contre le mur derrière elle pour empĂŞcher ses jambes de ployer.Et bon sang que c’Ă©tait bon. La blonde avait beau ĂŞtre jeune, elle savait s’y prendre, et sa bouche dĂ©licieuse lui procurait un plaisir inouĂŻ. Pourtant, elle Ă©tait bien loin d’ĂŞtre la première Ă lui avoir fait une fellation… Mais celle-ci avait une saveur particulière, peut-ĂŞtre du fait de la connotation interdite qui caractĂ©risait leur relation.Mais il s’y arracha, dĂ©clenchant un regard interrogateur chez sa partenaire du jour. Sans rĂ©pondre, il l’attira Ă lui en la faisant se relever, et la fit se retourner, la plaquant gentiment contre le mur. Il ne voulait pas venir sans avoir pu goĂ»ter Ă ce fruit si dĂ©licieux qu’il avait aperçu plus tĂ´t.- Hun hun hun… l’arrĂŞta pourtant Olivia en se retournant presque aussitĂ´t.Elle posa une main sur son torse, le faisant reculer jusqu’au niveau du lit. Passant juste Ă cĂ´tĂ© de lui, elle se mit Ă genoux sur celui-ci, et lui jeta un regard par-dessus son Ă©paule, secouant ses fesses comme s’il avait encore besoin d’ĂŞtre convaincu une dernière fois.- Sur le lit, Monsieur Roussel. Je crois que je l’ai bien mĂ©ritĂ©, non?Sans mĂŞme lui rĂ©pondre, l’intĂ©ressĂ© couvrit les derniers millimètres qui les sĂ©parait encore, glissant son membre entre les lèvres intimes de la jeune femme. Leurs deux gĂ©missements respectifs se firent entendre dans une belle harmonie, poussĂ©s exactement au mĂŞme moment. Marc commença Ă faire des va-et-vient, mais la cadence ne fut rapidement plus satisfaisante pour son amante du soir.- Tu crois quoi, que je suis vierge? Plus fort!Le brun agrippa ses hanches, accĂ©lĂ©rant la cadence et la vigueur de la pĂ©nĂ©tration, laissant cette fois-ci la frĂ©nĂ©sie prendre la place de l’extase qu’il avait ressenti en laissant libre cours Ă cette envie interdite.- Oui, comme ça… Hun! approuva-t-elle, ne pouvant retenir un petit rire lorsqueMarc attrapa sa chevelure, la tirant vers l’arrière. J’ai toujours su que tu avais ce cĂ´tĂ© dans ta personnalitĂ©… Ça fait du bien de le laisser sortir, pas vrai?- C’est de ta faute, tenta-t-il de se dĂ©fendre, continuant Ă la marteler.Entre deux gĂ©missements de plaisir, Olivia poussa un petit rire, secouant gentiment la tĂŞte.- Je n’ai rien fait de plus que te pousser vers tes limites… C’est toi qui a toujours eu… envie de me baiser. Je… te parie ce que tu veux que ce n’est pas la première fois que tu y penses… très cher.Marc ne rĂ©pondit pas tout de suite, se concentrant sur le plaisir que les va-et-vient dans l’intimitĂ© de la blonde lui provoquait.- Tu es vraiment une salope, grogna-t-il finalement avant de se pencher vers l’avant, Ă©pousant la forme de son dos avec son torse.Sa main vint agripper sa poitrine, titillant ses tĂ©tons tout en augmentant la cadence de la pĂ©nĂ©tration. Les gĂ©missements de son amante se firent d’autant plus forts, jusqu’Ă ce que son orgasme la prenne tout entière, bientĂ´t suivi par le sien. Marc se vida sur son dos, ne pouvant pas prendre le risque de venir en elle, et resta immobile quelques instants, le souffle court.- Ce week-end commence drĂ´lement bien, lança Olivia en se remettant debout, venant dĂ©poser un petit baiser sur sa joue avant de disparaĂ®tre dans le couloir.Les yeux du mĂ©decin tombèrent sur sa table de chevet, oĂą le tiroir mal refermĂ© laissait entrapercevoir sa petite culotte. Une chose Ă©tait sĂ»re, cela ne serait pas la première fois qu’il penserait Ă une scène de ce genre en se masturbant, mais ça ne serait pas la dernière non plus…