Chapitre 3 La visite médicale.A 11h, nous étions dans le réfectoire, les cuisiniers et les serveurs étaient à table.Notre installation s’était bien passée. Sans avoir le grand luxe, notre chambre était confortable. Les lits étaient bons, un grand lit par personne.La gouvernante vint nous rejoindre— Bien, fit elle, j’ai pas à vous attendre. Le programme : 14h30, visite de l’hôtel, prenez des notes, je n’y reviendrez pas. 15h30, visite du spa. 16h30, visite médicale. 18h00, dîner. Demain : rendez vous à 6h30. Jusqu’à 10h vous assurerez le service du petit déjeuner. Ensuite vous irez faire des chambres… Chignon pour les filles. Rasé de prêt pour vous, jeune homme. Je vous donnerai vos uniformes à la visite médicale.La gouvernante nous laissa. Après avoir pris un plateau, nous nous installâmes à une table.Le restaurant du personnel était plein, environ une centaine de salariés.Nous discutâmes un moment, histoire de mieux faire connaissance.— Elle a l’air sévère, fit Naomi.— Je l’imagine bien en lesbienne, fit Emma.Je n’osais pas trop parler, intimidé par les deux beautés.— Vous venez de Lausanne, fis je ?— Oui, on sort de l’école hôtelière, mais maintenant il nous manque la pratique.— Et toi, fit Emma, de qu’elle école viens tu ?— Moi, j’ai jamais bossé dans l’hôtellerie, fis je.— Te fais pas de soucis, fit Naomi, on te donnera des conseils.J’avais trouvé deux alliées, aussi deux belles amies.L’après-midi, la grande Sophie, nous fit découvrir les lieux, de la suite royale aux cuisines, l’économat, la lingerie, les bureaux, les salles de réunion, les bars, les restaurants, les boutiques, jusqu’au local poubelle, les jardins, les plages.— Là bas, on y va pas, fit elle, c’est la plage naturisteEnsuite, visite de centre de remise en forme.La visite se termina à 16h.— Vous avez 30 minutes pour prendre une douche, ensuite rendez-vous, bureau 122, premier étage pour la visite médicale. Déshabillez vous, slip, et soutien-gorge, pour les filles. Soyez à l’heure !Nous fîmes rapidos, dix minutes par personne.Nous sommes montés à l’étage par un des ascenseurs, les couloirs étaient spacieux. Le très grand luxe.Nous entrâmes dans le bureau, trois chaises étaient disposées, un peu comme une salle d’attente.Une autre porte donnait dans la pièce. Nous nous dévêtîmesJ’observais mes amies.Emma était plutôt petite, style bout de chou, très bien proportionnée malgré sa taille, une belle poitrine remplissait son soutien-gorge.Naomi, bien plus grande, exotique, la peau mate, les cheveux noirs, tirant sur le bleu nuit, des petits seins en poire, de larges hanches. Un petit tatouage dépassait de sa culotte.Toutes deux étaient belles, attirantes. Je les sentis aussi curieuses envers moi, me détaillant des pieds à la tête.Les regards stoppèrent un bref instant sur mon petit slip grenat. Elles se regardèrent et pouffèrent de rire. Je sentis mes joues rosir.La porte s’ouvrit sur la gouvernante— Naomi, à toi, entre.L’asiatique se leva, la porte se referma.— Elle est chinoise, fis je à son amie ?— Non fit Emma, elle est coréenne. Ses parents vivent à Zurich depuis vingt ans. Elle est belle, n’est-ce pas ?— Oui, elle est canon, ne puis je que dire.— Et moi, fit elle, tu me trouves à ton goût ?— Arrête de m’embêter, tu sais très bien que tu es jolie.Après 30 minutes d’un profond silence, la porte s’ouvrit. Naomi en ressortit les bras chargés de vêtements.— À toi Emma, dépêche-toi.Naomi, commença à se rhabiller.— Alors fis je, inquiet.— Bon pour le service, à plus Polo, faut que j’appelle mes parents.Je me retrouvai seul dans l’anti-chambre, à attendre mon tour. Tout était réglé, montre en main, trente minutes…Emma sortit aussi, les mains pleines.— À toi, Paul, fit la gouvernanteJ’entrai dans le salon. Une autre femme, blonde, était installée derrière un bureau, des lunettes sur le nez, la bonne trentaine.— Tiens, voilà le seul mâle, fit la femme, enlève ton slip et monte sur la table d’examen.Devant mon hésitation, elle insista.— Dépêche toi, petit mâle, d’autres patients m’attendent ailleurs.A regrets, je me séparais de mon seul vêtement, mettant mes mains devant mon sexe, je montais sur la table.La doctoresse s’approcha, me fit ouvrir la bouche, me prit la tension. Sophie la gouvernante se tenait à cinquante centimètres de moi.— Il a l’air en pleine forme, ce petit mâle. Voyons la suite. Enlève tes mainsCe que je fis, déconfis, jamais une femme , n’avait vu mon sexe, deux encore moins.— Bel instrument, fit la toubib. Vérifions l’état de marche de l’engin. Approche Sophie, il faut que tu vois cela.La dame posa sa main sur moi, attrapa mes bourses, elle les fit rouler dans sa main.— C’est gorgé de jus, tout cela, commenta-t-elle.Sans que j’y puisse rien, je commençais à bander— Et l’instrument semble réceptif !Elle continua son manège une petite minute, le temps que mon Popol à moi, pointe vers le plafond.— Agréable à regarder, fit la toubib. Sophie aide moi, j’ai besoin de voir le gland.La gouvernante s’approcha les yeux brillants, prit ma tige, et me décalotta complètement.— Bravo Sophie, je vois que tu n’as pas perdu la main.— Avec de si belles carottes, l’automatisme revient facilement.— Touche lui les burnes, fit la femme à lunettes. Moi je m’occupe de son gros tuyau.La doctoresse, s’appliqua à me masturber, avec un savoir-faire digne des plus grandes séductrices.Serrant les dents, je voulu me contenir. Elles étaient trop fortes pour moi. D’une ultime caresse, elles eurent raison de moi. Je me vidais à jets drus, dans les mains des deux perverses.Après s’être essuyée, la gouvernante, me tendit un carton de linge— Remets ton slip, Paul, demain tu mets la tenue sombre.Chapitre 4 Les Premières ArmesOn toqua à ma porte, j’entendis le voix d’Emma— Polo, lève-toi, il est déjà 6h00, faut pas être en retard le premier jour.Purée, j’avais loupé le réveil. Je sautai du lit en slip, la tête dans le gaz, attrapai ma trousse de toilette, et filai vers la douche.Naomi et Emma étaient déjà dans le couloir, en tenue de combat. En me voyant, elles pouffèrent.J’arborais une impressionnante érection matinale. Mon slip pointait vers elles.N’ayant pas le temps de m’apitoyer sur moi-même, j’entrais dans la douche.— On t’attend, firent celles-ci en cœur, n’oublies pas de te raser, sinon la vieille chouette va pas te rater.— Je te prépare ton uniforme, fit Naomi— Tu veux un slip propre fit Emma ?— Oui, fis je complètement paniqué, dans mon sac vert.Je m’activais rapidement, le cheveux en pétard, fallait que je me lave les cheveux.A ce moment là , la porte s’ouvrit sur les deux donzelles.— Tiens fit Emma, je t’ai choisi celui là .Elle me tendit un slip, en profitant pour reluquer mon appendice à peine débandant.— La vache, fit elle, tu m’étonnes Polo, mignonne la quéquette.Naomi, ne disait rien, mais profitait aussi du spectacle, les yeux rivés sur ma virilité.— Je peux me laver, les filles !!!J’attrapai la porte et la claquai sur moi. Dans le couloir, je les entendis glousser.Une fois propre je sortis de la douche pour m’habiller. Mes amies étaient en train de feuilleter un magazine.— C’est avec cela que tu t’excites, fit Emma en se marrant.Je regardai de quoi, il s’agissait. Pas vrai, elle avait trouvé dans mon sac, un bouquin que m’avait repassé un copain : Hot magazine. Elles étaient plongées dedans— T’as vu, fit Naomi en s’adressant à son amie, le truc énorme qu’il a.— Polo en a une, à peu près pareil, fit EmmaJe leur retirai le puits de science des mains.— Vite, fit Emma, on va être en retard.Je sautai dans mon uniforme. Naomi plaça correctement ma cravate. Emma me tapa sur la joue.— Petit cachottier, tu risques d’avoir de la visite cette nuit.Naomi me tapa sur les fesses.— Allons travailler, sinon Cruella va nous manger tout crus.A 6h29, nous étions en salle de petit déjeuner. Nous fumes accueillit par Lilian, un jeune de 25 ans, blond comme moi. Plutôt cool, il était responsable de salle.Il nous expliqua brièvement le travail : Alimenter le buffet, servir les clients qui le souhaitaient, débarrasser les tables. Pas compliqué.A un moment, Lilian me prit à part :— Tu t’emmerdes pas gamin, deux poulettes comme cela pour toi tout seul, c’est vraiment gâcher la marchandise.Je fis le fanfaron :— Pour moi, c’est juste ce qu’il me faut.L’autre n’en croyait pas ses oreilles.Les clients étaient exigeant, profitant de notre statut de loufiat. Ils n’hésitaient pas à nous sommer.Une fois le service terminé, nous dûmes débarrasser, puis redresser les tables pour le lendemain.Lilian me tendit les sacs de nappes et serviettes sales.— Va en lingerie, refile-leur toutes ces saletés. Remonte illico avec la même quantité de linge propre.Je filai en lingerie au sous sol, chargé comme un baudet.Deux femmes la trentaine étaient occupées à plier des draps. En m’apercevant, l’une d’elle dit :— Regarde-moi le petit gars que nous adresse Lilian. Salut gamin, moi c’est Esméralda, ma copine Mona. Pose le linge sur la table.Mona examina la fiche autour du sac— 30 nappes et 80 serviettes, suis moi petit gars.Je suivis la jeune femme derrière des étagères où était stocké le linge.— Tu sais que t’es plutôt agréable à regarder ?— Merci madame, fis je intimidé— Je te ferai bien le coup de la lingerie, moi.Mona était une belle femme, sûre de son charme. Vu son accent elle était portugaise.— Tu m’aides à monter, fit elle .Elle posa un pied sur la première étagère,— Pousse moi aux fesses.Délaissant son derrière, je la pris par les hanches et la soulevai. Elle grimpa, me dévoila toutes ses cuisses. Curieux je baissais la tête, pour reluquer sous sa blouse rose. Les jambes légèrement écartées, j’aperçus une énorme touffe de poils sombres. Elle n’avait pas de culotte.Mon sexe nargué, en fit des siennes, releva de la tête. Mona me passa la pile de serviettes puis redescendit. Elle se retourna, collée contre moi.— Je sens un drôle de bâton fit elle moqueuse.Sa main s’empara de mon entrejambe et la malaxa avec habilité.— C’est ma chatte qui t’a fait bander, mignon.Elle prit mes lèvres pour y déposer un baiser. De sa main libre, elle prit la mienne et la dirigea vers son sillon.— Rentre-moi un doigt, petit gars, tu vas voir comme c’est chaud.Pendant ce temps, elle s’activait sur ma braguette. Elle réussit à sortir ma queue de son écrin.— Jésus, Marie, Joseph, fit-elle, ça valait le coup de te chauffer.Elle me fit entrer un doigt dans une douce moiteur, alors que sa main courait sur toute la longueur de ma tige.— Fais aller ton doigt petit page.Plus mon doigt bougeait dans son cratère, plus elle mouillait. Mona s’accrocha à mon cou, sans cesser de me stimuler. Mon doigt curieux la fouillait avec de plus en plus de plaisir. Je la sentis se raidir, elle accentua sa prise sur ma queue. Dans un soupir, elle réussit à me faire éjaculer, pendant qu’elle jouissait.Après cet intermède plutôt réjouissant, je remontais au resto. Je croisai Emma dans un couloir— Magne-toi fit elle, Lilian est à fleur de peau et on doit se changer avec d’aller faire les chambres.Après un petit stress matinal, je filais rapidement me changer pour revêtir presque un habit de clown. Costume rouge et petit chapeau rouge, je ne savais plus où me foutre.Nous montâmes dans les étages, au premier, lieu de rendez-vous. Sophie nous attendait.— Pas trop tôt, fit elle énervée. Emma au premier. Naomi au second. Toi, Polo, au troisième. Présentez-vous aux responsables d’étage, ils vous diront votre tâche.Je laissai mes amies à leur boulot. Arrivé au troisième, je me présentai à la buanderie.Une jeune femme black y régnait.— Je suis Polo, fis-je, penaud, l’apprenti.La jeune femme, 25 ans pas plus, m’accueillit avec un large sourire.— Tiens, un garçon, c’est rare, moi c’est Clotilde, tu tombes bien, il y a 17 chambres à faire pour 16h. Au boulot suis moi. Nous, on fait seulement les lits. Les salles de bain et l’aspi, d’autres s’en chargent.La vraie usine, pensais je.A 15 h, il ne nous restait plus que deux chambres à faire.— Faisons une pause fit Clotilde, je suis en nage.J’étais dans le même état. Elle fila dans la salle de bain et démarra la douche. Elle revint dans la chambre, ôta un à un ses boutons de blouse. Mis à part une culotte, elle était nue dessous.— On va prendre une douche, ça nous fera du bien.Puis Clotilde se dirigea vers moi, commença à enlever ma veste, elle déboutonna ma chemise, desserra mon ceinturon, baissa ma braguette. Mon pantalon tomba à terre, ses mains se débarrassèrent de mon slip.La responsable d’étage en fit de même, sa culotte fila au sol. Son pubis était fraîchement désépaissi.— Viens fit elle, ça va nous faire du bien.Elle me prit par la main, m’attirant vers la salle de bain. Nous montâmes dans la baignoire, Clotilde me tendit un savon.— Vas y, badigeonne-moi de savon.Je tartinai son corps de mousse.— Sur les seins, me fit elle, et aussi plus bas.J’obéissais. Après tout, j’étais là pour apprendre. Ce corps doux me fit me réveiller, très vite j’étais dans tout mes états.Clotilde le remarqua, posa la main sur moi.— Jolie tige, fit elle enjouée, digne d’un black.Sur ce, elle me tourna le dos, me tenant toujours par la queue.— Enfonce-toi, petit blanc, n’aies pas peur, ma chatte a faim, mais je vais pas te manger.Elle me plaça à l’orée de sa chatte, puis me dit :— Vas-y, petit, défonce-moi.J’entrai en elle, j’y laissai mon pucelage. Peu importe, le fruit était juteux, j’en prenais pleins les yeux.Je la limai avec acharnement, un peu comme un jeune chiot à qui on donne son premier os. Gourmand, pas vraiment sûr de moi, j’y allais au feeling, je captais ses sensations.Clotilde était vaginale, ma queue lui faisait du bien, rapidement elle commença à haleter pour enfin se lâcher :— Pine-moi, gros cochon, elle est bonne ta queue.Fortement stimulé par ce langage fripon, j’osai défoncer cette chatte gourmande.Enfin, Clotilde s’agrippa aux rideaux de douche, en pleine extase, elle prenait son pied. Heureusement, car moi, je n’en pouvais plus de la limer. D’un ultime coup de rein, je me vidai dans le doux fruit mouillé.Je libérai mon foutre, à peine reconstruit des émotions matinales.Bon début d’apprentissage !Vos avis, vos commentairesoup51@hotmail.fr