Un soir, Caro, une copine de fac, est venue dans ma chambre.Caro s’est assise en tailleur sur mon lit et nous bavardions, mais je sentais que l’atmosphère était un peu spéciale… comme si une intimité nouvelle se créait entre nous. En fait, nous avions de bons rapports et appartenions au même cercle de copains mais cela n’allait pas plus loin que quelques discussions liées à nos études.Caro avait hérité de sa mère, disait-elle, un physique très méditerranéen, elle était brune, la peau mate avec les yeux verts, on aurait pu la croire originaire de Kabylie, quoique ses ancêtres soient des paysans du Morvan. Elle était plutôt mince, presque maigre.Ce soir-là, à un moment, nous parlions de l’une de ses copines, et elle me dit, tout à trac :— Elle a une super poitrine, quelle chance !Je lui répondis aussitôt que la sienne était mignonne et qu’au moins, elle paraissait tenir parfaitement. À partir de là, notre conversation a pris un tour plus intime. Elle m’a demandé si je regardais souvent la poitrine des filles lors des cours dans l’Amphi. J’ai répondu que oui, et aussi que je matais beaucoup les filles à la piscine. Mais que j’aimais tout leur corps, les fesses aussi étaient un endroit attirant, ainsi que les bras, la bouche, les pieds, bref… j’aimais TOUT !Caro m’a alors demandé si j’avais déjà flirté avec une copine.— Non, je n’ai encore jamais fait cela.— Moi non plus, tu sais, a-t-elle murmuré.Caro avait vingt ans comme moi, mais je crois que j’étais le plus averti sur les choses sexuelles, surtout depuis ma relation avec Kevin évidemment mais de cela je ne pouvais parler, j’avais peur de la choquer. La suite montra que je me trompais…Notre discussion se poursuivit sur les choses du sexe. J’ai demandé à Caro si elle savait comment ça fonctionnait, un homme. Elle m’a répondu qu’elle lisait des livres avec des « scènes » de temps en temps, qu’elle arrivait parfois à se procurer la revue Union que les parents d’une copine achetaient, et donc qu’elle n’était pas si naïve que cela !Comme il faisait chaud, j’ai proposé à Caro de se mettre en tenue plus légère ; j’ai donc enlevé mon tee-shirt et mon jean pour rester en slip ; elle a hésité puis elle a enlevé les siens, et s’est retrouvée en petite culotte et soutien-gorge.Je me suis rendu compte que j’avais la gorge sèche… Nous avons continué à discuter mais je ne pouvais m’empêcher de lorgner sur sa poitrine ; elle avait un joli soutien-gorge très simple, mais qui moulait de très près sa petite poitrine. À un moment, elle m’a regardé dans les yeux puis m’a demandé :— Tu regardes mes seins ? Ils sont trop petits, non ? Tu le vois bien maintenant.J’étais pétrifié.— Euh, non, ils me semblent très beaux au contraire.— Tu veux les voir ? murmura-t-elle.— Oui.Elle abaissa alors ses balconnets ; j’en eus le souffle coupé. Ses seins étaient petits, mais les tétons étaient gros par rapport au sein et très en relief, comme si de petits fruits étaient attachés au bout ; ils étaient très clairs, ce qui m’a surpris chez une brune. Je restai sans voix. Je m’étais assis de façon telle qu’elle ne puisse voir mon érection, mais je bandais comme un fou !— Tu peux les toucher si tu veux.J’avançai la main lentement vers cette merveille. Je pris un sein dans la main et fit jouer doucement le téton avec mon pouce. Caro poussa un gémissement. C’est idiot mais je me souviens que je me disais : tu touches ton premier sein. J’ai aussi pris l’autre avec ma deuxième main. Caro s’est avancée. Je ne pouvais plus cacher mon érection, mais elle n’avait pas encore regardé. Elle fermait les yeux pendant que j’entamais un doux massage.— Tu aimes que je te masse les seins, Caro ?— Oh oui, c’est très agréable. Continue… continue…La texture de ses petits seins me paraissait extraordinaire ; plus tard, avec la pratique, j’ai pu constater que Caro avec une très belle poitrine malgré ses petits seins : ferme et douce. J’adorais froisser les tétons et la faire gémir. Le silence était total. Au cœur de la nuit, je n’entendais que ses doux gémissements… et mon souffle court.À un moment, elle a voulu changer de position. Elle m’a tourné le dos est s’est laissée aller contre moi.— Reprends mes seins. C’est bon ce que tu me fais, tu es si doux.Je repris ses seins des deux mains en l’entourant de mes bras, ce qui fait que je la serrais un peu. Elle ne pouvait plus ignorer ma bandaison… si dure… si dure… Je me contenais pour éviter tout mouvement. J’ai commencé à étirer doucement chaque téton, attentif aux réactions de Caro.La coquine commença à tâter dans son dos le dur relief qu’elle sentait.— C’est moi qui te fais cet effet ?Elle se tourna alors vers moi :— Dis, tu me la montres ?J’en eus le souffle coupé. Elle était face à moi, souriante mais un peu rouge cependant, et son regard allait de mon slip, tendu à l’extrême, à mon visage, guettant ma réaction…Sans répondre, je me levai alors et baissai mon slip en lui tournant le dos. Puis je me suis tourné vers elle, lentement, pas dans un esprit strip-tease, mais simplement parce que j’étais très intimidé. J’allais montrer mon sexe pour la première fois à une fille. Je me suis agenouillé et me suis retrouvé face à elle, la queue tendue remontant légèrement, le gland déjà humide. Elle resta silencieuse tout en fixant attentivement ma chair gorgée de sang…— Elle est belle !— Tu peux toucher si tu veux.Elle tendit alors la main pour prendre la verge entre ses jolis doigts ; elle n’arrivait pas à en faire le tour, ma verge étant plutôt courte mais épaisse.— C’est doux et chaud. C’est dur aussi. Comme c’est étrange, tu mouilles toi aussi, alors ?— Oui, je mouille… Tu mouilles, toi en ce moment ?— Je crois, oui. Tenir ta verge me rends toute chose…— Tu peux aussi toucher les testicules si tu veux.— Je ne vais pas te faire mal ?— Non, au contraire.Sans lâcher ma verge, elle arrondit doucement les doigts de son autre main pour envelopper délicatement mes bourses duveteuses. Je ne me rasais pas à l’époque.— Elles sont chaudes… hum, j’adore te tenir ainsi.J’ai poussé un soupir et me suis allongé sur le lit ; sans lâcher mes couilles mais sans plus tenir ma verge, elle s’est allongée contre moi en posant sa tête sur ma poitrine ; nous sommes ainsi restés silencieux quelques minutes ; ses doigts enveloppaient mes bourses et bougeaient lentement ; elle devait les sentir vibrer sous ses doigts… c’était délicieux.— Tu aimes ? murmura-t-elle.— J’adore.Elle se mit à malaxer doucement mon paquet ; à titiller chaque testicule l’un après l’autre ; à fouiller mes bourses ; je bandais comme jamais.— Tu mouilles beaucoup. Je vois des gouttes sortir de ton gland, c’est beau.Tout en continuant à jouer avec mes testicules, elle abaissa la tête vers mon gland.— Je veux voir de plus près.À un moment elle lâcha mes testicules et se mit à étaler mon liquide sur le gland avec son doigt. Je soufflais très fort. Je me mis à gémir lorsqu’elle commença à ouvrir le méat ; je sentais son doigt insister sur le bout du gland et m’ouvrir comme si elle voulait augmenter le flux de mouille.— Elle est drôle cette petite ouverture, dit-elle, on dirait une petite bouche.Et l’impensable arriva : je sentis sa langue titiller le bout de mon gland… forcer le méat…Puis elle fit entrer mon gland dans sa bouche, doucement ; c’était divin ; j’avais pris l’habitude d’être sucé par Kevin, mais là, l’idée que ce soit une fille décuplait mon plaisir. Elle faisait glisser doucement ses lèvres le long de ma verge sans pouvoir aller trop loin car mon gland est gros par rapport à ma queue. Elle reprit mes couilles avec ses doigts si fins, étirant la peau des bourses, séparant les testicules, tout en aspirant ma mouille. Pour sa première fellation, elle suçait à merveille déjà, je pus m’en rendre compte par la suite.Elle continuait sans se lasser mais j’avais peur de venir trop vite, j’espérais bien couler dans sa petite bouche comme je le faisais à Kevin mais j’avais peur de la choquer. J’ai donc relevé sa tête puis, sans lui demander son autorisation, sans même lui parler, j’ai plongé dans son entrejambe.Ce fut un moment de grande découverte, un moment intense :Je lui écarte doucement les jambes. Elle frémit, elle sait. J’approche mon visage de sa petite culotte. Elle est soigneusement épilée sur les côtés, mais on devine une toison noire et épaisse sous le tissu. Je pose mon front sur le mont de Vénus. Je descends en le frottant légèrement. Je redresse la tête et je remonte. Je frotte avec mon nez ; la vulve est humide et chaude, l’odeur enivrante.Je remonte très lentement en appuyant le nez juste à l’endroit où je devine que les grandes lèvres se rencontrent. J’appuie, comme pour les séparer. Elle gémit doucement ; son bruit de gorge m’excite ; je remonte encore. Pression sur le clitoris ; elle gémit plus fort. Je la lèche juste entre la cuisse et la culotte, je lèche aussi de l’autre côté, le goût est délicieux, salé.J’écarte doucement le tissu, juste pour faire apparaître une grande lèvre. Je la lèche de bas en haut en laissant reposer le bord de la culotte à la jointure des grandes lèvres. Je suce, je mâchouille cette lèvre. Je prends mon temps. Je tiens ses cuisses, elle exerce une pression de plus en plus forte, ma langue descend le long de la lèvre, à l’intérieur, là où c’est très doux, entre la grande lèvre et la petite lèvre.Dieu, tant de douceur ! Je lèche l’autre lèvre en écartant le tissu. Maintenant, une étroite bande de tissu cache la rencontre des lèvres, et je suce alternativement chacune d’elles. J’utilise mes dents car j’adore mordre, doucement, sans faire mal. Ses poils ne me gênent pas.Soudain, elle me repousse un peu brutalement, soulève ses fesses, enlève sa culotte. J’appuie maintenant mes lèvres et ma langue sur sa vulve brûlante. Moment délicieux, divin baiser. De la langue, je sépare les deux grandes lèvres qui ne demandent qu’à s’ouvrir et je lèche les petites lèvres qui sont très discrètes, comme à peine dessinées.J’enfonce ma langue. Mon nez appuie sur le haut, sur le clitoris et je lape… Elle gémit fort maintenant. J’aspire le liquide, sa mouille, c’est bon. Je tiens fermement ses cuisses et j’aspire les petites lèvres, je les mâchonne, ma langue s’enfonce dans la grotte brûlante, ressort, descend entre les petites lèvres, va à la racine des grandes lèvres.Je lèche le périnée puis plus bas et je sens les petites stries de sa rosette mais là je ne m’attarde pas trop et j’enfonce doucement ma langue dans son vagin en appuyant mon doigt sur son petit trou entre les fesses. Il entre, c’est très chaud. Elle gémit fort alors j’entre mon doigt au maximum et avec ma main gauche j’appuie fortement sur le haut des cuisses. Elle bouge au rythme de mes caresses. Je lèche le clitoris. Je l’aspire.Maintenant, je la branle littéralement entre les fesses et, dans le même temps, j’enfonce mon pouce dans son vagin. Ainsi, les deux doigts se rejoignent au travers de la fine paroi. Alors je deviens fou, je fais aller mes doigts, l’un à travers l’anus, l’autre entre les lèvres et dans le vagin. Je serre sur le périnée et je mordille doucement le clitoris. Elle se cabre et feule. Je mets un deuxième doigt dans l’anus alors que mon pouce reste dans le vagin, puis j’aspire le clitoris, je l’écrase lentement avec ma langue.Elle halète littéralement et je remonte ma main gauche pour saisir un sein, un téton que j’étire doucement vers le haut. Je tire, je tire, je suce, je branle le con et le cul, elle se cabre.Jouissance.L’anus se contracte sur mes doigts.Spasmes.Elle mouille énormément, ma langue lèche très légèrement la vulve et le clitoris. D’une main elle repousse ma tête mais la maintient sur sa toison.Nos respirations sont saccadées. Je retire mes doigts de ses orifices et je les mets dans ma bouche, je ne bouge plus.Elle a repris son souffle. Puis, toujours dans cet étrange silence qui nous enveloppait, elle a repris ma verge dans sa bouche, jouant avec le gland. Elle s’est mise à sucer, sucer tout en malaxant mes bourses. J’ai senti qu’elle voulait que je lui donne tout. J’ai senti mon jus monter, monter, MONTER, puis j’ai explosé dans sa bouche en me retenant de crier, ce qui décuplait la puissance de mon orgasme.Je suis resté tout pantelant, sans rien dire pendant que Caro suçotait ma verge ; elle faisait tourner tout doucement sa langue autour du gland, l’enfonçait parfois dans le méat comme pour aller y chercher les dernières gouttes. Ce faisant, elle pressait doucement mes bourses. Puis elle s’est relevée, nous nous sommes regardés et embrassés très tendrement. Elle s’est habillée pendant que je restais nu sur le lit, la queue amollie, et elle est partie en me faisant un petit signe d’au revoir, sans un mot.Le lendemain, nous avons parlé de tout et de rien au café, juste avant d’entrer en cours, comme si tout cela n’avait été qu’un rêve. Mais je voyais au fond de ses yeux une lueur nouvelle, une intensité du regard qui me fascinait, un lien intime.