J’avais rencontré Linda chez des amis communs. Elle était la sœur de la jeune femme qui composait le couple officiel de cette maison. Squattant l’appartement, elle profitait ainsi de l’hospitalité de mon ami. À dix huit ans Linda était une jeune femme épanouie, aux formes parfaites. Un véritable mannequin si ce n’était sa taille. En effet son mètre 60 lui interdisait l’accès a cette profession. J’appris par la suite qu’elle se livrait a des séances amateurs très chaudes pour ne pas dire hard. D’origine magrébine, ses yeux marrons et sa chevelure brune faisait l’admiration des uns et des autres. Je venais d’être libéré du service militaire et je fus invité en cette fin d’après midi à partager la soirée de mes amis autour d’un délicieux repas. Durant la soirée au hasard de la conversation Linda qui d’habitude monopolisait la salle de bains et la chambre de sa sœur, se joignit a nous. La conversation allait bon train sur de multiples sujets humoristiques, c’est alors que Linda s’approchant de moi me demanda si je pouvais lui masser le dos. Je ne sut que répondre sur le moment, mais mon hésitation fut de courte durée. La première fois que je put détailler Linda a moitié nue ce fut l’été dernier sur la plage toujours avec ces mêmes amis. À cette époque encore mineure, j’avais des scrupules à la voir ainsi dans toute sa juvénile beauté, alors que profitant du soleil elle exposait ses seins nus sur la plage. Des seins d’une telle beauté que j’en avais eu le souffle coupé à leur révélation. Par la suite plusieurs rêves très chauds hantèrent quelques une de mes nuits. Ce soir-là , alors que je n’avais aucune velléité de séduire celle qui sortait tout juste de l’adolescence, l’incroyable se produisit. Linda me demandait de la masser. Timidement au départ j’entrepris de passer ma main sous son pull et remontait le long de son dos. Mes doigts hésitants et mal habiles se firent bientôt de plus en plus caressant. Au bout de quelques secondes de ce traitement sentant l’effet que celui ci me procurait alors qu’elle s’était assise sur mes genoux, elle me demanda de cesser et s’éloigna en me décochant un sourire moqueur. Patrick, mon ami remarquant mon trouble prononça alors une phrase qui me fit tressaillir de bonheur. « et si tu restais avec nous ce soir, Arno, après tout nous pouvons déplier le clic clac, Linda découche tu prendras sa place. Je me rendais compte soudainement de tout l’attrait qu’exerçait sur moi cette magnifique jeune femme. La seconde partie de la phrase m’enthousiasma nettement moins surtout qu’au terme découcher, une brûlante sensation de jalousie s’empara de moi. Alors que j’acceptais, Linda revint et toujours d’un air moqueur s’écria. « il se peut que je reste ce soir, mais ce n’est pas grave nous passerons la nuit ensemble sagement dans le même lit, je peux te faire confiance Arno ? . Ce a quoi je répondis avec un air contris. Le pire c’est qu’ elle avait raison. « Bien sur Linda je suis un gentleman, mais ça sera un plaisir que de partager en tout bien tout honneur le même lit que toi.La nuit survient rapidement et après avoir souhaité le bonsoir à mes hôtes je me dirigeais vers le clic clac. Préparé et dressé le lit n’attendais plus que ses invités. Je me dirigeais vers la salle de bain croisant Linda qui vêtue d’une simple chemise de nuit un peu transparente resplendissait de sensualité dans toute la splendeur de ces 18 ans. J’en avais 23, et je me sentais tellement plus vieux qu’elle. J’avais quelques scrupules à la détailler ainsi de la tête au pied, surtout à son insu. Volant ici et la des postures, des déhanchements sensuels qui ne m’étaient pas forcément destinés. Après avoir procédé à mes ablutions je la rejoignis et me couchait près d’elle. Visiblement exténué et me souhaitant une bonne nuit, elle coupa court a toute velléité de discussion ou de tentative de ma part pour la séduire.Elle avait déjà rejoint les bras de Morphée. Elle me laissait seul au prise avec mes désirs, inassouvis, mon tumulte intérieur, et mes fantasmes débridés. Au bout de quelques minutes que je jugeais interminables, j’entrepris néanmoins une approche et glissait ma main doucement en direction de Linda. je posais ma main sur le haut de sa croupe magnifique suant et hoquetant intérieurement tant le trouble en moi était grand.Esquissant un geste de rejet elle maugréa et en grommelant me souffla « pas ce soir, Arno, je suis complètement vidée !!! Pas ce soir, Arno, comme si nous étions des amants !!Cette réflexion me donna du baume au cœur et loin de me décourager me remplit d’une joie immense. J’allais attendre le bon moment, celui ou le sommeil est assez fort pour que la sensation d’une caresse passe inaperçu en tout cas au départ. Alors que je percevais le souffle régulier de sa respiration m’indiquant qu’elle était plongé dans un profond sommeil, cette fois-ci ma main se posa décidé sur sa fesse gauche, et resta en position d’attente, pas de réaction. Mon cœur battait a se rompre je sentais enfin le douce texture de sa peau, c’était au delà de ce que j’avais imaginé a la fois souple et ferme d’une infinie douceur, j’étais aux anges , et mon excitation ne cessait de croître. J’entrepris alors une douce caresses et bientôt je caressais très légèrement mais avec application toute sa fesse imprégnant mes doigts de ses formes sublimes. Ce traitement ne la laissa pas indifférente, dans une semi inconscience elle se mit sur le ventre m’offrant ainsi ses deux globes délicatement doré par le soleil. Je tentais un léger baiser que je déposais tour a tout sur l’une des deux fesses puis ma bouche embrassa la peau ferme et rebondie de l’objet de tous mes désirs. Je pétrissais et embrassais moelleusement ce corps qui me rendait fou dans un mélange d’excitation et de retenue, de peur de la réveiller, mais elle ne bougeait que très peu, probablement elle rêvait……peut être de ce que j’aurais pu ou voulu lui faire. Soudain, alors que je m’enivrais de ce seul contact, elle se retourna et cette fois révéla une superbe poitrine fièrement dressée sous sa chemise de nuit. Je n’en pouvais plus mon érection me faisait mal tant elle tendait les fibres de mon boxer. Que faire ? je posais la main sur un sein hummmmmmmmm mon dieu que c’est bon dire que j’ai attendu tout ce temps, je la retirais car je prenais conscience de ce que je faisais, c’est alors que sa main prit la mienne, et ouvrant les yeux d’un air moqueur elle me dit « Pourquoi t’arrête tu en si bon chemin ?Ma main un instant figée se mit à trembler. Cette jeune femme, objet de tous mes fantasmes m’invitait à partager ce que je n’avais jamais osé espéré. Quelques instants auparavant sa fatigue m’avait ôté quelques espoirs, et même si je m’étais montré entreprenant c’était plus en désespoir de cause qu’autre chose.Sa main prit la mienne, et la douceur de ses doigts délicieusement fuselé achevèrent de m’électrifier.Secoué de multiples tremblement je bafouillais, « excuse moi Linda je me suis emporté probablement je devais rêver et inconsciemment je t’ai caressé. »Taratata fit elle: « je ne te crois pas ! Un ange passa, puis deux enfin toute une troupe. « Tu crois que je suis aveugle Arno ? je suis tout a fait consciente de l’effet que je te fais et si j’étais fatigué tout à l’heure tes caresses ne m’ont pas laissée insensible » continua t’elle en cillant des paupières de la façon la plus merveilleuse qui soit.Tu as raison repris je. Linda s’étira, dévoilant complètement son ventre exquis à mes yeux enamourés. Alors, fit elle ! Que dirais tu d’un petit remerciement pour ces douces caresses ?Je bredouillais et joignant le geste à la parole, Linda s’approcha de moi et déposa un baiser furtif sur mes lèvres. « Ca te va comme ça » fit elle ? Enhardit je répondais « non ça ne me convient pas du tout ! » . Comment ça ? Ca ne te fais pas plaisir ?Je répliquais avec un sourire et une assurance nouvelle, « Non ! je n’ai absolument rien senti ! ».« Si tu n’as rien senti j’en suis navré, moi j’ai trouvé ça plutôt agréable. » Linda prit l’air faussement vexé et se retourna dans ses draps . Je m’approchais alors d’elle et cette fois décidé je déposais un baiser sur le haut de son épaule dénudé puis je glissais doucement vers la base de son cou. Linda ne souffla mot et n’opposa aucune résistance bien au contraire elle se lova contre mon corps qui était devenu une vraie bouillotte et nous nous emboîtâmes l’un dans l’autre quelques instants , derniers moment avant l’inexorable, dernière complicité amicale avant ce qui deviendrait peut être une histoire passionnelle.Je ne trouvais pas les mots pour décrire l’effet que me fit la sensation de ses seins gonflés par le désir et les mamelons fièrement tendu vers les miens lorsqu’elle se pressa contre ma poitrine avec son merveilleux 90B . La sensation des deux poitrines se frottant l’une contre l’autre dans un tendre corps à corps drainait vers mon cerveaux des décharges électriques de plaisirs et de bonheur partagé. Nos lèvres se joignirent en un baiser passionné. Nous échangions Linda et moi le baiser le plus fougueux qui soit. Nous nous dévorions littéralement mes lèvres jouaient avec les siennes les emprisonnant parfois goûtant leur substance délicate, mordillant la texture charnue de celles ci puis je l’embrassais aux différents coins de sa bouche merveilleuse . Nos langue enfin se découvrirent et se mêlèrent elles aussi au ballet. Cela dura plusieurs longues minute ou nous découvrîmes nos propres saveur. Puis prenant appui sur le lit interrompant ce baiser ma mais se posa sur sa poitrine et commença à la pétrir, à la caresser englobant parfois les deux seins somptueux entre mes mains agaçant et léchant les tétons dressés . Linda prenait un évident plaisir à toutes ces attentions et son corps arc bouté se livrait complètement à mes assauts passionnés. Je descendais le long de son ventre et bientôt ma langue et mes mains atteignirent le mont pubien finement protégé par un exquis morceau de dentelles noires transparente qui m’arrachèrent un soupir de contentement. Je jouais un instant avec la papillote subtile qui trônait au milieu de la dentelle puis avec la bouche entrepris de baisser celui ci tout en caressant de ma joue et de mon nez le ventre adorable de Linda. Elle appréciait et soupirait d’aise. Je la fis mijoter une peu en tardant un peu, mes mains était passé dessous ses fesses et titillait la ficelle du string entre ses fesses, déclenchant chez Linda des ondes de plaisirs. Elle frétillait et une certaine humidité prouvait a quelle point ce traitement lui convenait. J’adorais sentir cette douceur intime et j’étais comblé. Mon esprit et mon cœur virevoltaient sur des nuages d’extases. Enfin j’abaissais le sous vêtement et ma bouche se posa sur un sexe délicatement épilé. Lèvres contre lèvres ma langue s’insinua dans la fente charnue et odorante imprégné d’une saveur excitante et atteignit rapidement le bouton exquis qu’elle entreprit de caresser puis de lécher avec ferveur. La tète complètement enfouie entre ses cuisses toute en caressant ses fesses je lapais son jus merveilleux et faisait l’amour avec Linda, avec ma langue mes doigts , mes joues , ma tête durant de longues minutes , puis ôtant ma langue ,un puis deux doigts la remplacèrent la caressèrent encore explorèrent sa grotte d’amour puis ceux ci trouvant rapidement la paroi dure ou se cachait son point g , un doigt agile entrepris de la caresser tendrement puis avec vélocité, déclenchant chez Linda un premier orgasme. « Arnooooooo c’est si bon continue ……………… »ouiiiiiiiiiiiiiiii fit elle lorsque celui ci secoua tout son êtreUn rayon de lumière particulièrement agaçant acheva de me réveiller il était 8H00 du matin et déjà le brouhaha de la circulation emplissait l’espace clos de ma chambre d’étudiant. Je logeais dans une petite rue isolé dans une inextricable dédale de sens unique et de voies sans issu dans l’une de ces cité que l’on qualifiait de sensible. Aucune sensibilité pourtant dans ces rues grisâtres alignés au cordeau. De vieille bâtisses que les intempérie et les négligence avaient achevé d’édifier en décor de cinéma. Puis soudain quelques vestiges de mon rêve et surtout le sentiment désagréable d’être poissé me firent prendre compte que j’avais passé une nuit agité et surtout que ce magnifique rêve n’avait été qu’une illusion, pourtant si réelle. La douceur de la peau, la texture de ses lèvres, tout m’était apparu si réel. Que c’était bon et frustrant à la fois car jamais je ne pourrais redécouvrir ces sensations a moins d’un miracle. La sonnerie du téléphone m’arracha à mes rêveries, et à l’autre bout du fil la voix d’ Eric, mon ami de toujours me tira de cet état de somnolence dans lequel je gravite plusieurs longue minutes à chaque réveil. Alors Arnoooooooo pas encore levé ? Linda t’attend mon vieux !!!!! Rappelle toi! Tu dois la conduire en Belgique, aujourd’hui ! La seule évocation de ce prénom déclencha une érection aussi violente que douloureuse dans mon boxer humide, Linda bredouillais je ? Bien sur j’avais promis de la dépanner et de la conduire ou elle voulait, mais je ne m’attendais pas à une demande aussi rapide et puis la dure réalité des sensations et des sentiments que j’éprouvais pour elle me firent réagir maladroitement. Tu sais ? Dis je à Éric je ne sais pas si je pourrais me libérer aujourd’hui ! C’est urgent ? Ça ne peut pas attendre ? . J’en sais rien me répondit il !! Débrouille toi avec elle je te la passe. Mon cœur se serra une brutale sué m’envahit et des tremblements m’agitait. Heureusement elle ne pouvait voir le trouble dans lequel je me trouvais. Arno ? Fit une voix douce et incroyablement sensuelle. Alors Arno Tu ne veux pas me voir ? Si si réussis je à balbutier bien sur que je veux te voir Linda, mais tu me prends au dépourvu . Ceci dit ma décision était déjà prise et sans même lui laisser le temps de me répondre je rajoutais « ne t’en fais pas je vais me débrouiller je suis chez Eric dans une demie heure. Ouf fit elle contente. Je n’en attendais pas moins de toi. Je t’adore tu sais ! Oui moi aussi je t’adore Linda (et plus encore soufflais je ) plus quoi ? me dit elle en pouffantTout le monde t’adore mentis je. J’arrive Linda, fais toi belle !