Au dessert
A ses heures perdues, mon mari s’improvise cuisinier. MĂŞme s’il ne joue pas dans la catĂ©gorie des chefs Ă©toilĂ©s, il sait nous mitonner des valeurs sĂ»res et ses plats sont toujours apprĂ©ciĂ©s. Cette fois-ci, il s’est surpassĂ© et je ne suis pas prĂŞte d’oublier ce qu’il m’a servi ce soir-là …
Proposée le 6/03/2022 par Georges Mbamba Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Après avoir dinĂ©, mon mari m’avait invitĂ© Ă m’asseoir sur le canapĂ©, auprès du feu. C’Ă©tait encore l’hiver, mĂŞme si le printemps commençait Ă poindre Ă peine. J’aime ce moment de l’annĂ©e, car le dĂ©sir renaĂ®t en moi en mĂŞme temps que la nature se rĂ©veille. Il avait dĂ» le sentir, ou est-ce les allusions sexuelles que je n’ai pas arrĂŞtĂ© de lui faire ces derniers jours ?…Une fois assise, je le vis venir vers moi avec des coupes, une bouteille de champagne et un jeu de cartes, le sourire en coin. Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais tant de mystère m’excitait dĂ©jĂ .Il ouvrit la bouteille de champagne et nous servit une coupe Ă chacun. Après qu’il eut complètement rempli les verres, il dĂ©clara « Jouons Ă la Bataille. Jouons plusieurs fois. Mais celui qui perd boit son verre en entier et retire un vĂŞtement ! ». Petite canaille ! Tu avais dĂ» calculer ton coup, car je n’Ă©tais pas habillĂ©e bien chaudement pour un soir d’hiver. D’ailleurs, tu n’avais pas l’air bien plus vĂŞtu que moi… Je savais comment ça allait finir et ça m’Ă©moustillait, alors j’acceptai, mais avec calme pour masquer tant bien que mal mon excitation.J’Ă©tais dĂ©cidĂ©ment une piètre joueuse ou alors je le faisais exprès, qui sait ?… Après Ă peine quelques parties, je me retrouvais presque nue et alanguie sous l’effet de l’alcool. Je ne savais pas quelle image je donnais de moi, dĂ©lassĂ©e sur ce divan. En face, mon homme n’Ă©tait pas en reste : quand il ne me restait que mon soutien-gorge, lui se retrouvait en caleçon, dans la plus grande difficultĂ© Ă maintenir son ardeur. J’avais la tĂŞte qui tournait, je n’arrivais plus Ă me concentrer sur le jeu… et bien sĂ»r, je perdais cette dernière partie ! J’avais chaud, j’attendais maintenant qu’il vienne me retrouver, moi qui Ă©tais complètement dĂ©nudĂ©e, pour que nous faisions l’amour au coin du feu sur ce grand canapĂ©. Mais hĂ©las ça n’Ă©tait que le dĂ©but, il avait prĂ©vu autre chose pour moi…Il me contempla un moment et je le sentis jubiler intĂ©rieurement, je le voyais dans son regard. « Nous n’avons pas pris de dessert ce soir ma chĂ©rie, et j’aimerai prĂ©parer quelque chose. » me dit-il Ă ce moment-lĂ . C’Ă©tait vrai, mais lĂ tout semblait s’interrompre et ça me dĂ©stabilisait, j’avais peur que la fièvre retombe… IngĂ©nue, je m’en remis Ă lui malgrĂ© tout, prĂŞte Ă une nouvelle surprise. Il m’aida Ă me relever avec douceur et m’invita Ă passer sur la table. Sur la table ?! Oui, les choses devenaient plus claires, je devenais le dessert !AllongĂ©e nue sur le dos, de tout mon long sur la table du salon, j’attendais ce qui allait devenir de moi… Il disparut et revint coiffĂ© d’une toque, ce qui ne manqua pas de me faire rire. Il avait aussi rĂ©cupĂ©rĂ© un siphon Ă crème fouettĂ©e. Mon imagination allait vite et j’exultais. Bien vite, je senti une première expulsion et une pression douce au-dessus de ma poitrine. Il avait coiffĂ© mes seins de deux pyramides crĂ©meuses. Il prit le temps de les contempler avant de les happer dĂ©licatement d’une bouchĂ©e. Comme une cerise sur (sous) le gâteau, je pus sentir ses dents pincer les tĂ©tons qui se trouvaient en dessous.Je fermais les yeux pour me concentrer et mettre mes autres sens en Ă©veil. J’attendais la suite avec impatience… Soudain, je sursauta quand je sentis un glaçon parcourir mon bas ventre. Mon amant dĂ©crivait lentement des petits trajets de bas en haut. Cette sensation glacĂ©e m’Ă©lĂ©ctrisait. J’Ă©tais submergĂ©e de sentiments contraires, entre gĂŞne et plaisir. J’adorais ça et je m’y abandonnais. Mon corps chaud fit bien vite fondre le glaçon, l’eau coulait de part et d’autre. Mon homme l’aspirait en quelques lampĂ©es Ă des lieux opportuns. Mais il dĂ©laissa mon entre jambe pour le moment, il semblait avoir d’autres plans pour cet endroit. Je dĂ©sirais qu’il les concrĂ©tise Ă grande hâte et j’ouvrais mes jambes pour qu’il comprenne.En une ligne verticale franche, je sentis la crème fouettĂ© recouvrir mon sexe. C’Ă©tait un beau gâteau qui se prĂ©sentait Ă mon mari et j’Ă©tais heureuse de le lui offrir. Je le sentis faire glisser mon corps vers le bout de table et agripper mes cuisses. J’attendais sa langue avec dĂ©sespoir, ces quelques secondes avant qu’il y parvienne me semblaient une Ă©ternitĂ©. Mais ce ne fut pas sa bouche qui se prĂ©senta !…J’ai d’abord ce très clair souvenir de sentir son sexe rentrer lentement en moi, avec une grande dĂ©licatesse. Je me souviens ensuite d’une crème Ă©paisse entre nos deux corps accolĂ©s, comme lĂ pour adoucir, feutrer et Ă©mousser notre Ă©bats.Après plusieurs secondes de mouvements tendres et dĂ©licats, il a joui et il est restĂ© en moi. Je me suis ensuite caressĂ©e pendant qu’il m’observait, jusqu’Ă atteindre l’orgasme Ă mon tour. Je me souviens avoir senti son sexe très fortement Ă ce moment-lĂ . Je l’ai regardĂ©, droit, beau et fier. Je fĂ©licitais son imagination et je rĂŞvais dĂ©jĂ de sa prochaine fantaisie.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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