Résumé de l’épisode précédent :J’ai rencontré une jeune femme très demandeuse de sexe après un concert. Cette rencontre fut si chaude que nous sommes allés faire l’amour dans les toilettes de la salle. Nous sommes ensuite rentrés continuer notre aventure chez elle jusqu’à épuisement. Le lendemain matin, insatiables, nous recommençons. Finalement, nous nous quittons sur la promesse d’un dîner. Dans l’attente de ce dîner, nous nous excitons à distance pendant la journée. Le soir, nous dînons au restaurant puis allons danser. Au club, chacun se fait draguer par des inconnus. Nous en profitons chacun de notre côté mais comme cela se passe moyennement pour Sandra, nous finissons ensemble avec une autre fille. Rentrés chez Sandra, nous profitons l’un de l’autre. Puis dérangés par Christelle, nous terminons la nuit à trois.Au petit matin, je me réveille entouré de mes deux belles créatures endormies. Il n’y a pas eu de nouveau round pendant la nuit mais ma forte érection matinale traduit des attouchements nocturnes.Je me lève sans bruit, laissant dormir mes amantes de la nuit, et je passe mon boxer. Je me rends dans le salon tout en faisant un peu le ménage des différents préservatifs usagés que nous avons consommés cette nuit.J’ai besoin d’une bonne douche. Je passe directement dans la salle de bains et emprunte une des serviettes à disposition. Elle était bienfaisante cette douche après les événements de la nuit. Une fois nettoyé, je passe à la cuisine pour voir si je peux faire du café. Malheureusement, je ne trouve pas les capsules et, n’étant pas d’un naturel fouilleur, je laisse tomber. Cela attendra le réveil des filles.J’aperçois cependant des clés accrochées à un clou près de la porte d’entrée. Bingo ! Ce sont les clés de la porte d’entrée. Je décide de faire une surprise aux filles en allant chercher des croissants. Je me rhabille avec mes affaires de la veille puis je sors dans le quartier. Par chance, Sandra et Christelle habitent le 5e et les commerces de bouche de la rue Mouffetard sont ouverts en ce samedi matin.Je reviens les bras chargés de croissants et de capsules de café… au cas où ! Je rentre sans bruit dans l’appartement, mais des gémissements caractéristiques m’indiquent que cela était inutile, visiblement les filles sont réveillées et bien réveillées. Je dépose mes achats sur le bar de la cuisine et je jette un œil dans la chambre de Sandra. De ma position, je ne vois que la couette qui ondule et je n’entends que des gémissements étouffés. Cette vision provoque une érection immédiate dans mon pantalon.Je suis tiraillé entre l’envie de les mater faire l’amour et celle de les rejoindre, nu. Je tranche en me déshabillant entièrement. Je collecte également dans mes poches quelques préservatifs dont j’espère bien me servir, puis je me dirige doucement vers la chambre. Celle-ci est baignée dans un clair-obscur donnant à la scène un érotisme torride.Je reconnais la voix de Christelle :— Oui, oui, baise-moi, chérie, ah, ah, ah, oui, c’est bon !L’activité sous la couette semble intense.Arrivé au niveau du lit, je devine que Christelle est sur le dos et que Sandra est entre ses jambes… peut-être sont-elles en ciseaux ? Je m’avance encore un peu et Christelle m’aperçoit. J’ai pris mon sexe en main et je me masturbe doucement. Christelle rejette la couette et tend la main vers moi. Je pose les genoux sur le lit. Christelle lève la tête pour me prendre en bouche.Sandra lève les yeux vers moi et me sourit. Elle reprend néanmoins son activité et je m’aperçois qu’elle est harnachée d’un gode-ceinture et qu’elle pilonne le sexe de Christelle.Christelle remonte encore plus ses jambes pour faciliter la pénétration. Elle ne quitte pas mon sexe de la main et de la bouche, elle est parfois rejointe par la bouche de Sandra qui n’a qu’à se pencher pour participer.La sensation de ces deux bouches sur mon sexe est terriblement excitante. Je ne peux réprimer des gémissements de plaisir :— Hum, hum, c’est bon les filles, continuez !Au bout d’un moment, Sandra lève les yeux vers moi et m’ordonne :— Jean, viens derrière moi et prends-moi. On va baiser ensemble cette petite garce.— Oui, en plus, j’en avais pas terminé avec ton cul cette nuit.Je quitte à regret les bouches de mes amantes et viens me placer derrière Sandra.J’enfile l’un des préservatifs que j’avais apportés, puis je viens placer mon sexe à l’entrée du cul de Sandra. Celle-ci cesse ses mouvements dans la chatte de Christelle un instant. Cette dernière désapprouve l’arrêt des va-et-vient du sexe en plastique :— Humm, non, n’arrête pas ! Continue à me faire jouir !— Ne t’inquiète pas, ma belle. Juste le temps que je prenne cette belle bite dans mon petit trou et on va te faire partir loin, lui répond Sandra.D’une poussée, je pénètre le fondement de Sandra grâce à sa lubrification naturelle et à celle du préservatif. Ma poussée se propage dans le gode et le fait pénétrer loin dans le sexe de Christelle. Par-dessus l’épaule de Sandra, je vois les yeux de Christelle qui s’écarquillent et sa bouche s’ouvrir en grand pour chercher de l’air.— Oooh, c’est bon ce que vous me faites ! Vous m’excitez grave, nous dit Christelle.Je commence mes mouvements dans les fesses de Sandra. Celle-ci se laisse berner pour que nos mouvements soient synchrones et que nous ressentions la même chose.— Oui, oui, Jean, baise-nous, m’encourage Sandra.— Oh, oh oui, baisez-moi, c’est bon ! enchérit Christelle.Sandra se penche sur sa colocataire pour l’embrasser. De mon côté, je sens que l’excitation monte très vite et très fort et que mon plaisir est proche. J’accélère mes mouvements avec pour objectif d’emporter tout le monde avec moi dans l’orgasme.Le volume crescendo des gémissements des filles me font penser que je suis en bonne voie. Sandra a collé sa poitrine sur celle de Christelle et m’encourage à continuer :— Oui, c’est bon, je vais venir. Le gode va me faire jouir avec ta bite dans mon cul.— Moi aussi, je sens que je viens, nous annonce Christelle.Sandra est finalement la première à lâcher les digues du plaisir. Ses mains s’accrochent aux épaules de Christelle et je sens son cul qui palpite autour de mon sexe.— Ouiiii, ouiii, aaah !Elle entame des mouvements saccadés du bassin, ce qui a pour effet d’emporter Christelle dans le plaisir.— Ooooh, ooooh oui, ouiii, je jouis !La beauté de ce moment, couplé aux mouvements de l’anus et du bassin de Sandra, me fait également atteindre les rives de l’orgasme et j’éjacule ma semence dans la protection et le cul de Sandra.— Aaaah, aaah, moi aussi je jouis les filles.Mes forces m’abandonnent un instant et avant de m’écrouler sur mes amantes, je me retire de Sandra. J’enlève le préservatif. Sandra se retire également de Christelle et j’apprécie la belle taille du gode qu’elles ont utilisé. Sandra s’allonge sur le dos aux côtés de Christelle.La vision de Sandra sur le dos, encore harnachée de son gode luisant et turgescent, me donne envie de la sucer. C’est ce que je fais tout en lui retirant l’accessoire. Sandra m’aide en soulevant les fesses pour faire passer les lanières. Elle me caresse les cheveux et dit :— Je vois que toi aussi tu es ouvert à plein de choses. C’est bon à savoir.— Tu es tombé sur un vrai coquin Sandra. Je t’envie ! dit Christelle.— Je crois qu’il n’est pas contre le fait que je te le prête de temps à autre, lui répond Sandra.Elles rient puis s’embrassent. Pour ma part, j’en ai terminé avec le nettoyage du gode et je viens les embrasser l’un après l’autre.— Merci pour ce moment les filles. Je n’avais pas aussi bien baisé depuis longtemps.— Tu n’y es pas étranger, me répond Christelle.Sandra se caresse un instant la poitrine et le ventre. Elle passe négligemment sa main sur son sexe puis elle nous dit :— Je crois que j’ai besoin d’une bonne douche. Je suis courbaturée de partout à cause de nos galipettes. En plus, j’ai du sperme partout.Elle se lève dans toute la splendeur de sa nudité et part vers la salle de bains. Christelle et moi restons un instant allongés pour savourer le moment. Depuis la chambre, nous entendons :— Oh, c’est chou, tu es allé aux croissants. Et aussi au café. Génial, merci, Jean, j’ai trop faim !Christelle se penche vers moi, m’embrasse et me dit :— Ça, c’est vraiment trop sympa.Elle passe la main sur mon sexe et me dit :— Tu as encore combien de cartouches en réserve ? Je crois que moi aussi j’ai envie d’un moment à deux. Et je profiterai bien de la douche de Sandra pour ça.— J’avoue une baisse de régime, mais si je peux compter sur toi pour relancer le moteur alors la cartouche est à toi. Mais avant je crois qu’il faut changer ces draps.— Je suis d’accord, virons ces draps souillés et allons dans ma chambre.Christelle et moi, nus comme des vers, démontons les draps du lit de Sandra pour les mettre à la machine. Une fois terminés, Christelle s’avance vers moi pour venir déposer un baiser sur mes lèvres. Elle me dit :— Viens, Jean, viens me faire l’amour ! Il y a longtemps que je n’ai pas été baisée avec force et tendresse, et je crois que tu peux faire cela.— Je te suis et je ferai mon possible pour te satisfaire.Christelle prend ma main puis nous nous dirigeons vers sa chambre. Celle-ci est légèrement plus petite que celle de Sandra mais semble plus ordonnée. Contrairement à celle de Sandra, les rideaux sont ouverts et la chambre est baignée de lumière.La couette du lit est tirée à son pied, ce qui va nous faciliter la tâche. Christelle me pousse à m’allonger sur le lit et je me cale bien au milieu. Christelle se met à ramper dans ma direction. Elle prend mon sexe en main et l’observe un instant.Elle me sourit puis embouche mon sexe. Sous l’action de la bouche de Christelle et de sa langue taquine, mon sexe grossit admirablement. Ces deux filles sont très douées pour la fellation même si leur technique est différente. Christelle suce mon sexe comme si c’était une glace. Sa bouche branle mon gland et sa langue vient titiller mon méat. Sandra est plus une lécheuse et agit plus en branlant la base de mon sexe. Cela présente l’avantage de lui permettre de plus s’occuper de mes bourses. En tout état de cause, les techniques de ces deux femmes sont divines et je sens mon plaisir monter dans ma hampe.Mes doigts s’accrochent dans les draps pour ne pas venir et Christelle le voit. Elle doit également sentir mon gland qui grossit dans sa bouche. Je suis cependant bien aidé dans ma résistance par mes précédentes éjaculations.— Hum, hum, oui, tu me suces bien. C’est tellement bon ce que tu me fais. Oui ! oui !Ne souhaitant pas que nous nous arrêtions en si bon chemin, Christelle cesse sa fellation puis elle attrape un préservatif dans son chevet. Ses filles sont décidément très prévoyantes. Elle me met la capote puis elle vient présenter son minou au-dessus de mon sexe. Elle joue à exciter son clitoris avec mon gland puis me dit :— Tu vas me faire jouir, Jean. Hein que tu vas me faire jouir ?— Oui ma belle, on va se prendre un méga pied ensemble.Elle sourit pour elle-même puis elle vient s’empaler sur mon sexe dans un gémissement :Arrivée en fin de course, elle marque une pause puis elle plante ses yeux dans les miens. Christelle entame des mouvements du bassin pour frotter son clitoris sur mon pubis. Nos poils pubiens se mêlent dans une chevauchée épique. Je sens en plus son sexe qui absorbe le mien. Mon gland frotte contre l’intérieur de son vagin. Tout cela rend la situation hautement torride pour nous deux.Christelle vient poser ses mains sur mon torse pour s’appuyer. Les miennes viennent se poser sur ces seins et je titille ces mamelons. Christelle semble apprécier la douce torture car ses gémissements s’amplifient :— Oui, oui, oui, ah, ah oui, c’est bon !Cette situation dure quelques minutes jusqu’à ce que son bassin s’accélère tout d’un coup. Dans un cri, Christelle annonce son arrivée au plaisir :— Aaah oui ! je viens, oui, oui, oui !Doucement, son bassin ralenti, et Christelle vient s’effondrer sur moi. Je la laisse reprendre son souffle en continuant à bouger légèrement mon sexe dans le sien. Lorsqu’elle revient, Christelle relève la tête et me dit :— Tu n’as pas terminé, j’espère ? J’ai encore envie de ton sexe.— Je te confirme que nous n’en avons pas encore terminé.Christelle sourit puis se descelle de mon sexe. Elle s’allonge sur le dos en travers du lit et me dit en écartant ses jambes avec ses mains :— À toi de jouer, mon chéri. Viens me prendre. Viens me faire jouir à nouveau.À genoux, je me place entre ses jambes et présente mon sexe à l’entrée du sien. Christelle ouvre son sexe avec ses doigts et me dit :— Viens ! Viens en moi ! Fais-moi jouir encore.Je regarde son corps ouvert avec envie et commence à jouer avec mon sexe sur son bouton. Christelle prend ma bite et la place d’autorité entre ses lèvres.— Ne me fais pas languir et viens s’il te plaît !D’une poussée, je la pénètre. Christelle m’accueille dans un soupir :— Ah, oui, c’est bon, tu vas loin !J’attrape Christelle sous les fesses et elle vient placer ses jambes sur mes épaules. Ainsi soudés l’un à l’autre, j’entreprends de pistonner ardemment son sexe. Christelle exprime son contentement avec joie et entrain :— Oui, oui, continue ! Prends-moi fort ! Baise-moi vite !Elle prend l’un de ses seins en main et descend l’autre vers son sexe pour se branler avec force. Christelle rejette sa tête en arrière pour laisser libre cours à ses gémissements. J’accélère mes mouvements dans le vagin de Christelle, cela a pour effet de faire monter un peu plus mon excitation. Malgré mes précédents orgasmes de la nuit, je sens que je risque de ne plus pouvoir me maîtriser longtemps. Afin de me donner un temps de répit, je décide de changer un peu de position. Je place les jambes de la dame derrière mes bras et me penche plus avant sur elle. Ainsi je peux d’une part profiter de sa bouche ou embrasser sa poitrine. D’autre part, cela a pour effet de permettre à nos pubis de se rejoindre et de s’exciter mutuellement.Pendant un temps, Christelle laisse sa main entre nos pubis puis la retire. Je recommence à la pistonner avec d’amples mouvements de frottement de nos pubis. Je prends sa tête en posant ma main derrière sa nuque. Sa bouche collée à mon oreille, j’entends que Christelle apprécie notre cavalcade.— Ah, ah, ah, oui, oui, oui, continue, oui, c’est bon.Je la sens proche du plaisir et amplifie encore mes mouvements en concentrant les frottements sur son bouton. Elle ne semble néanmoins pas vouloir partir toute seule et je sens la main qui était précédemment sur son sexe venir prendre mes couilles et les caresser. La sensation de sa main est irrésistible et le plaisir monte en moi. Ne pouvant me retenir plus longtemps, le plaisir me saisit et j’explose mon plaisir dans la capote :— Aaaah, oui, tu me fais jouir, ma belle, c’est bon !Je continue néanmoins à pilonner le sexe de Christelle pour lui permettre de me rejoindre dans le plaisir. Ce qu’elle fait sans attendre. Son corps se tend dans mes bras et elle pousse un long gémissement :— Oh, oh, oh, oooooh oui, je jouis aussi !Lorsque nos vagues respectives sont passées, je me relève sur mes mains. Christelle me prend voracement la bouche en recommençant à onduler du bassin.— Tu m’as tuée, Jean, tu m’as littéralement tuée.— Toi aussi tu m’as tué. Tu es un coup génial.— J’aime le cul, c’est pour ça. Et c’est très bon le cul avec toi. Bon choix de la part de Sandra.Je roule sur le côté, enlève le préservatif et j’entends des applaudissements. Christelle et moi levons la tête et apercevons Sandra nue dans l’embrasure de la porte :— Bravo ! Vous étiez beaux, les chéris ! C’était tellement torride que j’ai hésité à vous rejoindre. Mais ça n’aurait pas été pareil.— Tu as raison, mon chou, j’avais besoin d’un moment d’intimité avec ton mec… Bien qu’on ait visiblement raté le côté intime, lui répond Christelle.— Tu n’as qu’à pas jouir aussi bruyamment, ma chérie. Et Jean n’est visiblement pas exclusivement mon mec, lui rétorque Sandra.— Je n’ai pas l’impression que tu es tout à fait exclusivement ma meuf, réponds-je à Sandra.— On est visiblement pas très exclusif d’une manière générale, les enfants ! conclut Christelle.J’annonce que je vais reprendre une douche et me lève dans le plus simple appareil.— J’irai après toi, nous signale Christelle.— Je vais faire du café, annonce Sandra.Je sors de la douche et entre dans le salon. J’y retrouve les deux filles toujours nues en pleine discussion autour du café et des croissants que j’avais rapportés.— Avec Christelle, on se demandait si ça t’intéresserait de passer la journée d’aujourd’hui avec nous ? me demande Sandra.— Avec plaisir. Qu’est-ce que vous avez envie de faire ?— On se disait qu’un pique-nique dans le bois de Vincennes serait une bonne idée, propose Christelle.— Cela dépend des endroits du parc, mais il y a de chouettes coins et j’y ai fait des supers free-parties, lui réponds-je.— Chouette, on fait comme cela. Je prends une douche et on va faire des courses ! nous dit Christelle.Je regarde Sandra qui m’observe derrière sa tasse de café et je lui demande :— Alors, on ne se quitte plus ? — Jusqu’à nouvel ordre, non, on ne se quitte pas. Je passe du bon temps avec toi. Christelle aussi. Tu nous fais du bien et c’est cool ! me répond Sandra.— Alors si c’est cool pour vous, ça l’est pour moi…Christelle sort de la douche et nous interpelle :— Vous comptez aller au parc dans cette tenue ? Remarquez, c’est pas moi qui vais être dérangé, mais enfin.Nous rions puis les filles vont se choisir leur tenue. Pour ma part, je vais devoir reporter les mêmes affaires. Sandra apparaît tout d’abord dans un ensemble short et top sans manches. Je devine que sa poitrine est libre sous le top. Elle me le confirme en tournant sur elle-même car le top n’est pas complètement fermé à l’arrière. Elle a chaussé ses pieds avec des spartiates.— J’ai dû mettre un string sinon on voyait trop ma chatte, minaude-t-elle.Puis arrive Christelle dans une robe d’été fermée sur le devant. Je devine également que la poitrine est libre. Elle est chaussée de sandales légèrement compensées.— Moi je n’ai pas eu ce dilemme, rétorque Christelle.Je les regarde alternativement en me disant que je vais passer la journée avec deux femmes magnifiques et que je suis assez chanceux.— Mesdames, nous y allons ? demandé-je.— Oui Jean ! répondent-elles en cœur.Et nous voilà partis pour un pique-nique dans un lieu propice aux rencontres. C’est peut-être d’ailleurs le but recherché par ces dames.À suivre…