Au musée
Je travail dans un musée. Un jour, une jeune fille me demande de l’aide et me remercie d’une façon très singulière…
Proposée le 16/04/2015 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
Nous sommes un beau jour d’été, je travaille dans un grand musée, le temps est chaud et le ciel est bleu. Les touristes affluent pour contempler les œuvres du musée. Cela fait quelques temps que je n’ai plus fait l’amour et la vue de jeunes étrangères légèrement vêtues n’est pas déplaisante. Etant nouveau et bosseur je me donne pleinement depuis un mois aux tâches qui me sont confiées.Alors que je fais une ronde dans le hall principal, je t’aperçois munie d’un fauteuil roulant marchant dans ma direction. Tu es de taille moyenne, yeux verts, cheveux châtains, une petite jupe et des talons aiguilles dévoilent de longues jambes bronzées. Ton petit décolleté laisse imaginer des seins fermes et ronds. Ton regard croise le mien et aussitôt un sourire apparaît sur tes lèvres somptueuses.« Excusez-moi, pourrais-je savoir où est l’ascenseur pour monter le fauteuil à une personne qui vient de se blesser ? » me dis-tu. Obnibulé par ton regard et ton sourire je t’indique la direction et décide de t’accompagner.Je notifie ma pause à mes collègues et nous nous dirigeons vers l’ascenseur en question. Sur le chemin nous discutons et nos regards semblent se dévorer l’un l’autre. L’ascenseur est plutôt étroit et nos corps son si proche que je peux sentir le parfum délicat sur ton cou nu. Une certaine excitation s’empare de moi et tu remarques rapidement une bosse sur mon pantalon de costume. Gêné, je m’excuse maladroitement et tu me souris avec un regard pétillant en me disant :
« Ça ne me dérange pas… au contraire ».Arrivé à l’étage, je te laisse sortir de l’ascenseur tout en laissant mon regard descendre sur ta jupe. Tu m’indique le chemin et je te suis tout en ne lâchant pas ton déhanché du regard. Une fois de plus, tu remarques mon regard qui tourne subitement de direction et un sourire se dessine sur tes lèvres.
Au bout de quelques minutes nous retrouvons la personne s’étant foulé la cheville ainsi que ton supérieur.
« Tu en as mis du temps pour venir » te reproche-t-il.
« Désolée mais je me suis perdu et ce jeune homme m’a aidé à retrouver mon chemin ».L’homme me dévisage puis me remercie. Je te tends le fauteuil et nos regards semblent ne pas vouloir se lâcher. Un moment passe ou l’on se dévore mutuellement du regard puis tu me remercie et je me tourne pour retourner à mon poste. Arrivé près de l’ascenseur, je sens une main prendre la mienne. Mon cœur ne fait qu’un tour dans ma poitrine en te découvrant derrière moi.Sans rien dire, tu me tire vers une petite salle réservée au personnel. L’intérieur est petit mais une grande vitre porte sur la cour extérieure ou les visiteurs continuent d’affluer en masse. Une table et une chaise servant pour les pauses des employés se trouvent devant cette fenêtre. Tu te retournes alors vers moi, me plaque contre le mur et m’embrasser fougueusement. Mon cœur palpite et mes mains se posent directement dans le bas de ton dos. Le souffle cour, je glisse mes mains sous ta jupe, palpe tes fesses et découvre un petit string très fin. Mon sexe est de plus en plus tendu dans mon pantalon, ce qui ne semble pas t’avoir échappé car en l’espace d’une seconde tu te mets à genoux, défais ma ceinture et mon pantalon, baisse mon boxer jusqu’aux genoux et engloutis ma bite que tu commences à sucer ardemment.
« Je me doutais que tu étais bien foutu » lâche-t-elle entre deux allers-retours.
« Et je me doutais que tu étais une belle salope » lui répondis-je avant d’ajouter : « voyons voir jusqu’où tu peux aller ».Sans te faire attendre, tu engloutis mon sexe dans ta gorge avec envie puis tu recommences à me sucer passionnément tout en me branlant. Mon sexe ne cesse de s’agiter dans ta bouche puis tu prends mes mains, les déposes dans tes cheveux et pose les tiennes sur mes cuisses. L’invitation à baiser sa bouche étant évidente je t’assène des cours de bite plus ou moins profondément pendant quelques instants…et tu aimes ça. Sentant le plaisir monter en moi je décide de me retirer, de t’aider à te relever et je te mets sur la table.Je t’embrasse fougueusement, t’enlève ton soutien et ton top et commence à te lécher puis mordiller tes seins. Qu’est-ce qu’ils sont beaux et bons tes seins ! Je me glisse ensuite entre tes jambes, ta petite jupe est remontée dévoilant ton petit string trempé que je fais glisser le long de tes jambes. Je reviens vers ton sexe et commence à lécher avec envie ton sexe trempé de mouille. Tes mains glissent dans mes cheveux, tes hanches accompagnent le mouvement de plus en plus dynamique de ma langue sur ton clitoris et ton corps se crispe sous le plaisir tandis que des soupirs de joie s’échappent de ta bouche. Délicatement je glisse deux doigts dans ta chatte et te masturbe intensément. Tu aimes énormément, mon autre main vient se poser sur ton sein et plaque ton buste contre la table. Je retire alors mes doigts et ma langue descend le long de ta fente jusqu’à trouver anus. Apparemment tu n’as pas de problème avec ça et j’en profite pour y glisser un doigt. Tu me dis que c’est la première fois et que tu as envie que je te défonce. Je reviens à ton sexe que j’excite énormément et tu ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Quelque peu gênée tu t’excuse mais j’avale et te dis que j’adore le gout de ta cyprine. Je me relève et te plaque contre le mur. Je pose une main sur ta gorge et te mets à genoux pour que tu me suce à nouveau malgré ma forte érection. Tu te mets à en sucer une fois de plus avec vigueur. Je vois que tu aimes beaucoup ça puis je te relève et soulève ta jambe. Tu me regarde en reprenant ton souffle puis tu sens mon sexe pénétrer vigoureusement ton sexe déjà bien dilaté. Je te donne tes coups de hanches intenses et tu aimes ça, si bien que tu jouis à nouveau.Loin d’être rassasiée tu te retournes et m’offre ton cul. Je prends quelques secondes pour apprécier le spectacle de tes talons jusqu’à ton entrejambe. Tes courbes sont si parfaites, ton visage est quasiment collé au mur et tu me demande de te défoncer le cul. Je rapproche alors ma bite de ton anus gorgé de cyprine et l’enfonce d’un coup profondément. Tu cries de bonheur et me demande de continuer. Tes hanches font mécaniquement des allers retours pour trouver ma bite qui lime ton trou. Je te défonce pendant de longues minutes puis je te prends en levrette sur la table.A l’extérieur, les visiteurs prennent des photos du musée et ne se doute pas que je suis en train de te sodomiser violemment au 2ème étage. Mes mains serrent tes hanches et je te bourrine l’anus à tel point que tu jouis violemment en criant. Incapable de me retenir plus longtemps je me retire et tu te mets à genoux pour me sucer vigoureusement tout en continuant de jouir.Je sens alors le plaisir monter sous tes mouvements et j’explose dans ta bouche tandis que tes yeux sont rivés vers moi et que je sens un sourire de satisfaction se dessiner sur tes lèvres. Je te regarde retirer ma bite de ta bouche et tu me montre fièrement ta bouche quasiment remplie de mon sperme avant de l’avaler goulûment. Tu me souris en reprenant ton souffle puis tu reviens vers mon sexe et l’englouti une dernière fois dans ta bouche pour récupérer le reste de mon sperme.Tu te relèves, nos regards ne se quittent plus alors que nous nous rhabillons. Tu glisses alors ton petit string dans ma main et nous sortons. Les gens nous regardent bizarrement. Tes cris n’ont pas dû passer inaperçus dans ce lieu ou le calme règne. Tu me raccompagne à l’ascenseur. L’idée de n’avoir rien en dessous de ta jupe fait naître une nouvelle érection de mon sexe mais nous devons retourner travailler et nous nous quittons… pour l’instant.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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