ANNELISE, TE SOUVIENS-TU ?Se sont nos premières vacances. Sylvie mon épouse vient de fêter ses 21 ans, son corps est magnifique. Nous allons nous rendre au camp de naturistes de Crayan, dans le Médoc. Sa plage et ses pins nous apporteront, du moins nous le pensons, le calme souhaité après une année de travail à Paris.Dès notre arrivée, j’installe l’auvent de la caravane sur l’emplacement qui nous est réservé, vraiment spacieux et ombragé. Habitué, l’opération ne dure qu’une vingtaine de minutes.Il faut vous confier que Sylvie n’a jamais pratiqué le naturisme, je suis donc très surpris de la voir, après quelques instants, dans toute sa nudité. Ses cheveux mi-longs de couleur châtain foncé encadrent un doux visage aux yeux marrons. Ses lèvres appellent les baisers les plus tendres ou encore les plus passionnés. Sa poitrine est lourde mais ferme, sa taille fine mène à un ventre plat ou l’importante toison brune cache un trésor d’intimité. Ses longues jambes ne demandent qu’à être caressées.« Votre dame est une des plus belles femmes que j’ai photographiées » m’avait dit un professionnel de la photo d’art, lorsque je lui avais fait faire un tableau composé de deux photos d’elle, nue. Il était vraiment réussi grâce aux jeux d’ombres et de lumières, nous l’avons mis dans notre chambre.— Sylvie, tu n’es pas obligée d’être ainsi. Tu peux, si tu le désires rester vêtue.— Non, je veux être comme toi. Alors autant commencer maintenant.Nos journées étaient bien remplies, le matin nous faisions un peu de sport, puis une légère séance de bronzage sur la plage, l’après-midi était souvent consacré à la visite des alentours. Le soir, nous sortions peu afin d’être seuls. Autour de nous, les gens étaient de nationalités différentes : suisses, allemands et belges. Mais tous respectaient le calme qui régnait dans notre secteur. La caravane la plus proche de nous était occupée par un couple d’allemands ayant deux enfants. Je ne me souviens plus, aujourd’hui, comment nous sommes arrivés à partager nos soirées, puis à faire des sorties ensemble (visite du Pila et autres lieux), à partager des repas dont les moules (sans jeux de mots) étaient le principal plat, car ils ne connaissaient pas ces mollusques qui, arrosées d’un petit vin blanc frais, nous ravissaient. Enfin, toujours est-il que nous aimions, même si la conversation était des plus courtes car notre allemand scolaire avait été oublié, être souvent ensemble.Gunther avait un rire et un regard franc, cela me plaisait. Son épouse Annelise était un petit bout de femme qui menait son monde à la baguette. Elle était très jolie, mais dans le camp je ne l’ai jamais vue nue. Sylvie et Gunther nous laissaient le plus souvent seuls en soirée car, chacun de leur côté, ils allaient dormir. Nous parlions de choses et d’autres, refaisant le monde.Les vacances se terminaient pour Sylvie, il me restait quant à moi quelques jours que je passerai à Angoulême, ma ville natale. Avec nos nouveaux amis, il fut décidé qu’ils resteraient avec moi leur faisant ainsi connaître ma ville.Gunther allait souvent à la pêche dans la Charente tout proche. Aussi, je m’évertuais à faire visiter les environs à Annelise. Sa présence à mes côtés, ses minijupes me laissant voir ses cuisses et ses belles jambes, ne me laissaient pas indifférent. Nos regards étaient plus appuyés et souvent accompagnés d’un léger sourire. Un après midi, nous étions partis faire des emplettes et je lui faisais découvrir la vallée de Vars, quand nos corps se sont frôlés, nos mains se sont nouées, nos regards l’un en l’autre ont donné le signal d’un baiser passionné, trop longtemps conservé, brimé.Nos corps se pressent. Je caresse son dos dénudé. Mes mains soulèvent la mini et, ses cuisses s’ouvrent comme certaines fleurs à la rosée du matin. Je caresse sa toison et d’un doigt pénètre en elle : de petits gémissements sortent de sa bouche. Elle frotte, d’une main, le pantalon au niveau de ma verge qui est maintenant dure. Elle déboutonne la braguette et sort ma queue en la regardant, la caressant pour mieux en apprécier sa force, sa longueur. Je sens que pour elle les préliminaires ne sont pas désirés, aussi je la couche sur le capot moteur de la R16, les jambes sur la calandre et d’un mouvement lent la pénètre. Sa moule (enfin) m’enserre, tout comme ses jambes. Je les prends pour les placer sur mes épaules et mes coups de queue se font plus rapides. Je vois ses seins qui bougent en cadence. Je l’entends qui crie à chaque pénétration. D’une main j’appuie sur son bas-ventre et sens ma verge la butiner. Son plaisir doit être encore, par ce geste, plus grand car ses cris se font plus forts et son liquide de jouissance sort m’inondant les bourses.— À toi de jouir Daniel…Si je vous disais que ce jour-là je n’ai pas pu, vous me croiriez ?________________________________________ANNELISE, TE SOUVIENS-TU ?Les vacances se sont terminées avec la promesse de s’écrire. Nos attelages ont pris des directions différentes pour amener leurs occupants vers des destins tout aussi différents. La reprise du travail fut assez difficile et la routine de la vie parisienne également. Le temps s’est écoulé sans aucune nouvelle de Gunther et d’Annelise jusqu’au jour où, nous avons reçu une carte postale qui nous invitait à passer les fêtes de fin d’année avec eux.N’ayant aucune obligation ailleurs, nous les avons rejoint par un après midi ensoleillé. La joie de se retrouver se lisait sur tous les visages.— Voulez-vous boire quelques chose?— Non merci Annelise, nous avions tout prévu pour ce voyage.— Alors, nous pouvons aller chez un ami restaurateur.Lors du petit trajet, fait à pied, les questions fusaient de toutes parts pour savoir ce qui s’était déroulé depuis les vacances. Nous étions tous très heureux de s’être retrouvés. Arrivés chez ses amis, Gunther nous les présenta. C’était un couple tout à fait charmant. Après avoir dégusté une excellente bière, Gunther et Annelise nous amenèrent au sauna pour nous détendre. Il est vrai qu’outre les bienfaits de celui-ci, nous avions le plaisir simple d’être nus et ensembles.Étant malgré tout éreintés par le voyage, Sylvie et moi avons été nous coucher assez rapidement. Le lendemain fut consacré à la visite du village qui avait beaucoup de charme, tant par le décor des parterres que par les maisons, toutes parées de lumières et de néons signalant l’approche de Noël.Ce soir-là nous parlions, Gunther, Annelise et moi de la durée de notre séjour, de ce que nous désirions voir…lorsque Annelise me demande :— Daniel, Sylvie et toi avez-vous déjà fait l’amour avec d’autres couples?— Non jamais. Nous n’avons jamais évoqué ce sujet. Pourquoi ?— Car nous aimerions le faire avec vous deux…— Écoutez, personnellement je ne suis pas contre et je ne pense pas que Sylvie le soit également. Nous pourrions en parler demain non? Mais nous n’aimons ni la vulgarité, ni la violence.— Bien évidemment!Nous avons regagné chacun notre chambre. Sylvie dormait et semblait être au royaume du bonheur tant son visage rayonnait. Son corps nu en travers du lit, laissait voir son dos et le dessin parfait de ses fesses, le reste étant recouvert par le drap. Je prenais un immense plaisir à l’admirer ainsi. La quiétude et la chaleur de son corps, le velouté de sa peau ainsi que ses formes admirables me donnaient l’envie de la posséder. Mais je la laissais dormir afin qu’elle soit en pleine forme à son réveil.Ce dernier fut assez surprenant.Je sens un corps s’allonger sur moi et une main prendre mon sexe en érection, pour atteindre un endroit douillet, chaud. J’ouvre lentement les yeux pour me confirmer qu’il s’agit d’Annelise. Ses yeux et son sourire sont pleins de malice, de joie. Je regarde Sylvie qui est embrassée par Gunther entièrement nu. Son énorme sexe semble hypnotiser sa proie. Pour ma part, je sens les coups de butoir d’Annelise qui deviennent de plus en plus rapides. Ses petits seins balancent devant mes yeux. Ses cheveux me recouvrent le visage. Elle a pris mes mains dans les siennes : je suis son prisonnier, mais un prisonnier qui désire le rester. Nos yeux regardent maintenant le couple qui est près de nous. Gunther a placé les jambes de Sylvie sur ses épaules et son dard la pénètre jusqu’au trois-quarts tant il est long. Je suis fasciné par sa grosseur. Il doit bien faire, en diamètre, trois fois le mien. Je vois les lèvres roses de ma femme écartées au maximum, enserrant la queue qui va-et-vient avec une lenteur calculée. Sylvie me regarde et me fait un clin d’œil pour me signifier qu’elle apprécie tout particulièrement.Je me décide à prendre la même position avec Annelise qui, me comprenant, me devance et m’offre sa vulve et le plaisir de voir un sexe parfaitement épilé. Alors je veux la posséder mais autrement, lui faire comprendre que c’est moi le chasseur, le maître. Je la retourne à nouveau et la fait mettre à genou pour la prendre par derrière. Mon sexe n’a aucune difficulté à la pénétrer, à la labourer avec énergie. Appréciant cette position elle va au-devant de ma verge quand celle-ci la pénètre plus profondément. Ces gémissements deviennent de plus en plus forts et répondent à ceux de Sylvie qui subit le même traitement, mais avec plus de volume.Je sens la jouissance monter en moi, alors mes mains prennent les cuisses de ma partenaire pour mieux me caler lorsque j’atteins le plus profond de son intimité.« Ouiiiiiiiii….maintenant » crie Sylvie.Les cris d’Annelise ne sont pas en reste, je sens la chaleur du liquide de sa jouissance qui, maintenant, se mêle au mien.Nous sommes tous les quatre étendus, nos corps se touchent et notre respiration redevient normale jusqu’au moment où Gunther décide de posséder son épouse qui ne demande pas mieux.Durant toute la matinée et toutes les vacances nous avons, ensemble, partagé les joies de l’amour.