Hier soir, en arrivant à mon rendez-vous, j’ai vite compris que la séance de travail serait bien moins longue que prévu. Les vacances scolaires depuis trois semaines, la canicule éprouvante, beaucoup sont déjà partis en congés et le travail n’a pas avancé. Loin d’en faire une maladie, je songe alors que cela pourrait me donner le temps d’aller saluer dignement ma Giulia avant de la laisser pour les vacances. Je prétexte un appel de ma secrétaire pour sortir lui téléphoner. Elle est sur la route de retour de la plage, les enfants sont chez leur père (ça je le savais déjà ), elle ne ressort pas avant 21h00, oui elle serait heureuse que je passe prendre un verre. Mon RV. terminé vers 17h00, le temps d’aller reprendre ma voiture, un petit stop chez le fleuriste, j’arrive vers 17h30.À peine la porte refermée je la prends dans mes bras et ma bouche prend possession de la sienne pour un long baiser bien profond. Sa grosse langue suit ma mâchoire, la mienne explore la voûte de son palais, nos salives se mélangent et coulent un peu au coin de nos lèvres, le temps de reprendre notre souffle, de lui donner son bouquet et d’admirer une fois de plus son corps si suggestif. Elle est très italienne, je te l’ai dit, très brune et surtout pulpeuse…Tout en elle est pulpeux, ses seins et son clitoris, ses hanches, sa bouche et les grandes lèvres de son con… Elle a mis un ensemble très léger en coton bleu sombre, mini jupe portefeuille et haut style débardeur.Le temps de reprendre notre souffle et nos bouches se retrouvent, elle darde sa langue sur mes lèvres et mes mains sont immédiatement attirées par ses seins. Je les caresse à travers le tissu du vêtement et la dentelle du soutien-gorge. Je sens leurs pointes déjà dures se raidir encore plus sous mes doigts. Ma main droite descend sur son ventre et s’insinue dans le rabat de la jupe. Le chemin est facile à trouver, cette petite garce pense à tout. Je vais droit au but et ma main se pose d’abord sur son sexe. Sous le velouté du tissu, quelques picotements, je réalise ce qui est différent ! Giulia a le con et le mont de Vénus très poilus et d’habitude ses poils font comme un petit matelas bien dru que l’on sent très bien à travers son slip.— Qu’as-tu fait de tes poils, ma chérie ?La semaine dernière, au salon de beauté, après qu’elle lui ait fait le maillot, l’esthéticienne lui a demandé pourquoi elle n’épilait pas aussi le sexe. Giulia est encore trop « timide » pour cela, la jeune femme lui a proposé alors une coupe courte, elle s’est laissé faire. Ce que j’en pense ? Très sexy ma belle, mais je dois voir de plus près et me mets à ses genoux, écarte le string et découvre son con dans ses nouveaux atours. Les poils ont été coupés dans les 2/3 mm, c’est à la fois doux et un peu piquant et surtout ses grandes lèvres sont parfaitement dégagées et bien en vue. Direct un doigt dans le vagin, mon pouce sur son clito et elle se met à couler.— Tu m’attendais, n’est-ce pas ?……………………….— Tu t’es touchée en m’attendant ?— Qu’est ce que tu crois ?— Je crois que oui, tu as mis un doigt dans ton trou pour vérifier que tout allait bien et que tu pouvais me le présenter. Oui, je crois qu’après avoir mis ton soutien-gorge, tu es allée t’admirer dans le miroir et que tu t’es touché les tétons pour les faire durcir, juste un peu pour voir comment ça fait avec ce nouveau soutif.— Mystère…Je donne trois bonnes léchées sur toute la longueur de sa fente, ma langue étirée au maximum, de son périnée jusqu’au clito qui frissonne. Je m’en tiens là et me redresse, car c’est ma dernière visite avant plusieurs semaines de vacances et je veux laisser un souvenir marquant à ma « bella », je ne voudrais pas qu’elle m’oublie. Je lui enlève sa jupe et son haut, lui demande d’enlever elle-même son string en roulant son cul pour m’exciter. Elle s’exécute, putain que c’est beau ! Penchée en avant, elle me donne le spectacle de son gros abricot poilu entre ses belles cuisses. Je l’installe avec les mains sur la table de la salle à manger, reculée jusqu’à me présenter son cul bien écarté. Je me colle à elle, sors ma queue qui n’attendait que ça et la fourre d’un trait jusqu’au fond. Elle aussi, comme toi, aime la « virilité ». Je sais que de se faire mettre comme ça presque d’entrée sans que j’aie pris le temps d’enlever autre chose que ma veste l’excite comme une bête ! Elle se sent irrésistible et fantasme à mort sur ma puissance. Elle se rapproche de la table, replie ses coudes et y pose sa tête, elle est à moi, elle commence à chouiner.— Mi fai impazzire, mi fai impazzire.C’est sa litanie d’amour. Elle la murmure, elle la ronronne, l’ânnone, la dit, la crie parfois quand elle part vraiment ! Le pouvoir des mots, n’est ce pas ? Tu peux pas savoir combien je suis anxieux en l’attendant cette « litanie », et heureux et fier, et « mâle » quand elle débute. Je me sens libre d’y aller carrément, je sais qu’elle apprécie. J’écarte ses fesses des deux mains pour bien voir aussi son petit trou du haut. Il me résiste et n’accepte rien de plus que mon pouce au plus fort de l’action, et encore super lubrifié. Je glisse un doigt le long de ma tige, elle me dit que j’exagère, mais me laisse continuer.— Mi fai impazzire.— Certo que je vais te rendre folle ma belle, jouis, profite bien, je suis là pour toi.Elle me dit qu’elle va venir et j’en profite pour donner quelques coups de salopard, en angle, bien vicieux ! J’aime tant la faire jouir, elle tremble de tous ses membres et dit son plaisir.Le feu d’artifice est arrivé, elle s’agite avant de s’effondrer un peu plus sur la table, mais je veux finir aussi et lui balance ma purée bien planté au fond de la matrice, quasiment sans plus bouger, comme pour l’inséminer. Grand moment ! Je me sens bien, content de nous.Giulia est timide, je te l’ai dit, et, à peine ai-je déconné, elle part à la salle de bains. Je me déshabille rapido, file à la cuisine chercher deux grands verres de jus d’orange et je vais l’attendre sur son lit, dans l’obscurité de sa chambre où je suis certain qu’elle va venir faire un peu sa chatte…La voilà enroulée dans une serviette qui vient se lover contre moi. Elle a envie de tendresse comme après chaque bonne bourre. Je lui caresse les cheveux et le dos, lui donne mes doigts à mordre, lui titille les tétons…Doucement, elle se retourne et commence à me cajoler, sa langue pénètre mon oreille, elle descend dans mon cou et va se perdre sous mon aisselle. Elle continue sa descente et arrive sur mes poils pubiens, sur les couilles. Elle renifle à plein nez : mon sperme, son con ont laissé leurs marques odorantes.— Tu sens bon, me dit-elle.Et pour sûr, je sens, depuis ce matin, avec cette chaleur !Je guide sa tête vers ma bite et elle léchouille le gland, prend mes burnes en bouche, elle va s’occuper de moi ! Je bande maintenant très dur, et elle adore voir ça de près. Elle lèche mon paquet comme un de ces gelati dont elle raffole. Elle ne prend pas toute ma bite dans la bouche, elle n’y arrive pas et essaye de se rattraper par son jeu de langue et de lèvres le long de ma tige. Elle salive toujours beaucoup et s’aide d’une main. Je crois qu’elle a compris, sans que je lui en aie jamais fait le reproche, que sa manière de tailler les pipes n’est pas toujours à la hauteur de mon expérience. Elle fait de son mieux, me branlant entre ses lèvres et agaçant le trou de l’urètre de la pointe de sa langue. Elle salive beaucoup et me branle, faisant consciencieusement aller et venir mon prépuce, que j’ai plutôt long. De l’autre main elle malmène mes couilles. Je sais qu’elle ira au bout si je ne l’arrête pas et qu’elle me boira jusqu’à la dernière goutte.Mais je veux la fourrer encore, la sentir s’ouvrir et me recevoir. Plonger entre ses cuisses ouvertes grand-angle.— Je vais te prendre.— Viens sur moi, amore.Elle se met en position sur le dos, c’en est obscène de la voir ainsi offerte à ma queue ! Je la pénètre sans mal, encore une fois dans un seul mouvement. Pas de violence, non, une pénétration continue, ferme mais calme, sûre d’elle. Mon travail de laboureur commence, doucement je ressors presque toute ma tige ne laissant que le sommet du gland retenu par la ventouse des petites lèvres. Et je replonge, toujours calmement, mais un peu plus vite. Cinq minutes de ce traitement et la petite litanie recommence, je peux être tranquille, elle ne m’oubliera pas cet été !Je suis toujours assez long à venir, mais lorsque c’est le deuxième coup à la file, je peux tenir vraiment longtemps (souvent trop pour certains partenaires) sans effort, j’ai l’impression que mon sexe est indépendant, il mène sa vie et fait son travail. Et son travail, en l’occurrence, lui plaît un max ! Nous restons emmanchés comme des chiens pendant 40 minutes, d’abord sur elle, je me mets ensuite derrière, en cuillère, position repos et confort pour les deux. Elle coule comme une fontaine de Rome ! Et roucoule son « Mi fai impazzire ». Ma jouissance a fini par arriver comme à l’improviste, j’étais si raide que je pensais bien ne plus y arriver.Encore trois câlins, une petite douche et je rentre chez moi.Re-douche, ( je suis censé rentrer du boulot), le temps de nous changer et nous allons rejoindre des amis au resto. Très bonne soirée, mais la fatigue, la chaleur, j’étais un peu bourré en rentrant vers minuit. Françoise avait envie, elle aussi…