MES EXPERIENCES FEMININES: C’est une sĂ©rie de 8 Histoires Vraies que j’ai sĂ©lectionnĂ©es parmi les aventures les plus troublantes qui me sont arrivĂ©es de 27 Ă 34 ans et que je me suis senti obligĂ© d’écrire et maintenant de publier. Ceci non seulement en reconnaissance pour les femmes qui m’ont tant charmĂ© et donnĂ© du plaisir, mais aussi pour essayer de communiquer les moments idylliques qu’elles ont vĂ©cus et que j’ai tentĂ© de les faire vivre par un don de moi. Et puis surtout pour faire un vibrant hommage Ă la nature fĂ©minine en gĂ©nĂ©ral.A 27 ans, passionnĂ© et champion de voile, j’ai dĂ©cidĂ© de rĂ©pondre Ă une annonce de recrutement de moniteur de voile pour me faire de l’argent avant ma dernière annĂ©e d’étude Ă la fac, ne pouvant pas rentrer aux Antilles durant les vacances d’étĂ©. C’était pour un stage d’une semaine organisĂ© Ă cĂ´tĂ© d’un lac en campagne. Les 120 stagiaires avaient entre 18 et 22 ans. Les stagiaires dormaient dans un rĂ©fectoire Ă cĂ´tĂ© de douches et lavabos pour hommes et femmes sĂ©parĂ©s. Les moniteurs hommes disposaient, pour dormir, de tentes très opaques qu’ils pouvaient planter ou ils voulaient (plaines ou forets avoisinantes). J’ai installĂ© la mienne plutĂ´t en retrait des 5 autres.Le stage commençait le jeudi.Le jeudi, vers 20 h, après la fin des cours et du souper, je prenais ma douche dans des toilettes de fortune amĂ©nagĂ©es, pour les moniteurs, en plein air. Tout nu, alors que je me savonnais, j’entendis un genre de bruit ressemblant Ă un murmure Ă©touffĂ© derrière moi, en hauteur. Etant pudique, comme si de rien Ă©tait, je me retournai en jetant un coup d’œil vers le haut du mur de fortune de la douche. L’absence de toit permettait de voir le ciel et un plateau bordĂ© d’arbre Ă moins de 10 m de moi. J’aperçus 2 jeunes femmes, certainement des stagiaires, qui m’observaient, Ă demi cachĂ©es par les arbres, la main en partie sur la bouche, ouverte d’étonnement, les yeux Ă©carquillĂ©s ou se mĂŞlaient surprise et intĂ©rĂŞt. Je ne fut pas surpris, car rares sont les gens que mon sexe laisse indiffĂ©rent (dĂ©jĂ au collège les camarades de classe Ă la douche après le sport, les mĂ©decins lors des visites mĂ©dicales etc…) : Avec mes 20 cm de long + 5 cm de diamètre au repos et 30 cm de long + 7 cm de diamètre en Ă©rection je sens, quand ma nuditĂ© est dĂ©couverte, comme une bĂŞte de cirque ou dotĂ© d’une infirmitĂ©.Je me dĂ©pĂŞchai donc de finir ma douche et rentrai Ă ma tente. Je passai mon caleçon et me couchaiQuelques minutes après un bruit Ă l’extĂ©rieur me fit allumer ma lampe Ă batterie longue durĂ©e (bien qu’à l’extĂ©rieur il faisait encore jour). Ă€ peine assis, les 2 femmes qui m’observaient tout Ă l’heure firent irruption dans la tente et avant que j’ouvre la bouche, une des 2 dit : « Chutt ! ! Ne dit rien car tu sais que si on nous trouve ici ça va te coĂ»ter cher parce que c’est contraire au règlement, et nous dirons que c’est toi qui nous as poussĂ©es Ă venir te rejoindre sous la menace. » Pendant qu’elle me parlait le regard des 2 femmes faisait un va-et-vient entre mon visage et mon bas ventre. Elles semblaient autant sinon plus gĂŞnĂ©es que moi par leur prĂ©sence ici. « Que voulez-vous ? » leur dis-je. L’une rĂ©pondis : « Nous sommes venus voir de plus près ton « don de la nature », et elle posa sa main sur mon caleçon a hauteur de mon sexe. « Tu acceptes de nous le montrer dis ? ? » Surpris par la spontanĂ©itĂ© de la demande, je ne trouvai pas de rĂ©ponse. Elle enchaĂ®na de suite : « de toute façon tu n’as pas le choix ! ! » Elle s’agenouilla Ă cĂ´tĂ© de moi, sa main remonta vers ma poitrine et me poussa vers l’arrière pour que je m’étende. « Ne bouge pas, ce ne sera pas long ! ! C’est juste pour le voir de plus prĂ©s, on ne va pas te l’abĂ®mer, te le couper ! ! ». Et au fur et Ă mesure, sans se presser, en savourant l’instant, l’autre utilisa ses 2 mains pour abaisser mon caleçon, dĂ©voilant progressivement ma bite allongĂ©e entre mes 2 cuisses. La main de l’autre sur ma poitrine eut un petit tremblement accompagnĂ© par un soupir aspirĂ© quand se rĂ©vĂ©la dans toute sa longueur.Le temps qu’elles restèrent bouche bĂ©e Ă observer mon engin me parut interminable quand enfin l’une d’elle se dĂ©cida Ă approcher avec hĂ©sitation sa main de mon pĂ©nis et posa sa main tremblante sur elle. Le contact fit ma verge rĂ©agir en un dĂ©but d’érection car sa main semblait brĂ»lante peut ĂŞtre d’émotion. Elle souleva brusquement sa main et dit : « Ah ! elle bouge ! » et aussitĂ´t elle remis sa main et ferma ses yeux comme pour mieux la sentir. Puis elle ferma ses doigts autour de la verge puis elle entama une timide caresse de bas en haut et de haut en bas, lentement. Elle dit : « Hum ! ! elle est terriblement douce et chaude ! ! !. Sa compagne qui ne ratait pas un seul de ses mouvements et qui, visiblement de part ses petits sautillements de sa main, semblait brĂ»ler d’impatience lui cria « laisse moi sentir ! ! ». Elle saisit la main de sa copine et brusquement la retira pour la remplacer par la sienne sur ma verge. « Ah oui », dit t’elle, « c’est cool ! !…, attends » et elle resserra un peu plus son Ă©treinte autour du pĂ©nis en descendant vers les bourses entraĂ®nant la peau dans son mouvement. Mon gland se dĂ©couvrit, lisse et brillant de sa couleur pourpre. Elle posa sa main sur ce gros bourgeon de chair qui se mit Ă trembloter lĂ©gèrement Ă ce contact. « Eh, dit t’elle, lĂ c’est encore plus doux… ». Elle se tourna vers moi et dit « tu acceptes juste un bisou sur ton dard ? ? » Sans attendre ma rĂ©ponse elle baissa la tĂŞte, approcha ses lèvres et les posa dĂ©licatement sur mon gland. « Oh ! Son odeur me rend toute bizarre ! !… c’est en mĂŞme temps sauvage et…et…fruité » (Elle ne sait pas que je l’enduis chaque jour de l’huile de coco tiarĂ© pour la nuit (pour sa douceur et son parfum) et de l’huile de germe de blĂ© (-produit le plus riche en vitamine E – antioxydante, antivieillissement, vitamine de la sexualitĂ©) pour la journĂ©e (pour sa vigueur, sa vitalitĂ© et sa beautĂ©) depuis mes 19 ans.). Sa copine fit de mĂŞme et s’exclama : « Oh oui ! c’est agrĂ©able ! !». La première approcha de nouveau ses lèvres après avoir poussĂ© l’autre mais cette fois elle sortit sa langue et lĂ©cha la verge lentement dans toute sa longueur. Ce contact caressant, doux et tiède anima mon membre qui commença Ă gonfler, s’allonger et durcir. Il se souleva et la jeune femme eut un recul de surprise accompagnĂ© d’un cri aspirĂ© car ma pine Ă©tait maintenant Ă la verticale. « regarde, dit t’elle, c’est incroyable, tu as vu sa longueur ! ! et pourtant il n’est pas encore bien dure ! ! on va voir si elle peut grossir plus encore ! » et cette fois, elle prie carrĂ©ment tout mon gland dans sa bouche et le suça: « humm, tu ne peux savoir comme c’est bon, bon…et puis ça donne des courants dans mon ventre, mon dos jusqu’en bas ! ! ahh elle est tellement savoureuse et belle que je l’aurais gardĂ© toute la journĂ©e dans ma bouche ! ! !. Pendant ce temps l’autre pris mes bourses, bien visibles depuis que mon sexe s’est soulevĂ©, a pleine main et les caressa en les faisant rouler : « Ouh, elles sont lourdes et veloutĂ©es ». Le rĂ©sultat ne tarda pas Ă se ressentir : mon Ă©rection augmenta encore nettement. J’avais maintenant, devant moi, un remarquable pieu Ă©rigĂ© au-dessus de mes hanches. Elles se mirent debout toutes les 2, comme paralysĂ©es, Ă la fois comme apeurĂ©es et fascinĂ©es par le spectacle. Elles se regardèrent et la plus entreprenante dit : «tu vois ce que je t’avais dit tout Ă l’heure quand il se douchait, vu sa taille au repos, en Ă©rection, ce serait un monument ! !… Oh non ! Je ne peux pas rĂ©sister à ça ! C’est trop ! Je veux la sentir plus ! Si je ne la sens pas au fond de moi je vais regretter toute ma vie, car une telle taille de bite je ne la retrouverais peut ĂŞtre jamais ! Et supposons que cela arrive, ce ne sera pas Ă ma portĂ©e et aussi sĂ»r, sans risque comme aujourd’hui. », L’autre acquiesça et dit en amenant sa main vers le bas de son ventre, dans son entrejambe « moi aussi j’en ai envi et tu ne peux pas savoir comme je mouille ». L’une, la plus entreprenante, Ă©tait brune et elle ajouta en me regardant « vu l’état de ton engin, tu dois en avoir autant envi que nous, toi ! ! », L’autre Ă©tait une blonde très mignonne mais plus timide. C’est elle qui venait d’avouer le dĂ©sir humide de son sexe.Elles portaient chacune un peignoir de bain et en un mouvement brusque sur la ceinture ils se retrouvèrent au sol, Ă leur pied. La beautĂ© juvĂ©nile et comme immaculĂ©e de leur corps de 20 ans se rĂ©vĂ©la Ă moi. Leurs corps Ă©taient quasi nus, bijoux somptueux, tellement juvĂ©nile dont la peau lisse et laiteuse semblait sculptĂ©e dans de l’ivoire. On croirait 2 nymphes sorties d’un rĂŞve fĂ©erique. Elles n’étaient plus vĂŞtues chacune que d’un petit slip en fine dentelle presque identiques, rouge pour la brune et bleu turquoise pour la blonde. De ma position couchĂ© au sol, je constatais d’une part que la bande de tissu devant Ă©tait si rĂ©duite que 2/3 des poils du pubis dĂ©passaient de part et d’autre pour, plus bas dans l’entrejambe, se replier et disparaĂ®tre dans la fente entre les grandes lèvres de leur sexe. Ma contemplation fut interrompue car elles se penchèrent en avant pour attraper leur peignoir qui gĂŞnait par terre et elles se retournèrent pour le dĂ©poser dans un coin de la tente. Une vision encore plus sublime me fut offerte : Leurs slips Ă©taient des strings ficelles ! J’admirais 4 vallons crĂ©meux sĂ©parĂ©s par une très Ă©troite vallĂ©e ou venait, en amont, se rĂ©trĂ©cir un glacier tentateur d’un cĂ´tĂ© bleu, de l’autre rouge. J’imaginais les 2 torrents colorĂ©s de tissus qui les prolongeaient et sillonnaient les vallĂ©es de dĂ©lice aux senteurs enivrantes de chacune. Surtout que ces vallĂ©es possĂ©daient chacune 2 grottes aux trĂ©sors que je rĂŞvais dĂ©jĂ d’aller explorer. Presque aussi vite que le peignoir elles Ă´tèrent leur slip qu’elles lancèrent vers les peignoirs.La brune un peu plus courte et en chair avait une poitrine somptueuse et opulente Ă souhait ainsi qu’un pubis aux poils d’ébène brillant peu fournis mais rasĂ©s en cĹ“ur. La blonde plus mince, seins plus petits mais des hanches très dĂ©veloppĂ©es et une toison d’or, tel un magnifique bijou en forme de coquillage posĂ© au bas du ventre bien fourni Ă son bas ventre jusqu’à son sexe. Ce spectacle de rĂŞve entraĂ®na un durcissement plus important encore de ma verge qui fut accompagner de multiples battements et oscillations rĂ©vĂ©lateur de mon dĂ©sir. Des lueurs dans leurs yeux et une petit sourire sur leur visage prouvaient qu’elles constataient et apprĂ©ciaient le fait que leurs corps me sĂ©duisaient, que j’étais très sensible Ă leur charmes.« Tu sais, dit la brune, ma copine et moi nous en sommes presque Ă notre première expĂ©rience sexuelle. Moi, avec mon copain, je n’ai eu que deux rapports qui ne se sont pas très bien passĂ© je crois, et je sais, au vu d’un film porno et de revues qu’il m’a montrĂ© qu’on peut prendre un super pied. Ma copine, elle, n’a jamais eu de rapports, ses parents lui interdisent toujours. Elle serait prĂŞte mais, incognito, ni vu ni connu, avec un Ă©tranger comme toi, ce serait bien !. Surtout qu’après peut ĂŞtre que tu retourneras lĂ bas dans ton pays et personne ne saura rien !.Et puis tu as l’air gentil comme gars, on t’aime bien, on se sent en confiance et bien avec toi. Tu sembles comprendre les femmes et les respecter, on t’a vu Ă l’œuvre depuis 1 semaine.(Elles avaient bien ressenti cet aspect de ma personnalitĂ©Â : Je suis Ă la fois respectueux et amoureux de la Nature fĂ©minine. Je suis sans cesse en Ă©merveillement devant la grandeur et beautĂ©, les facultĂ©s multiples de cet ĂŞtre, sans aucun le plus complet et admirable de toute la nature (Naturellement plus forte et rĂ©sistante biologiquement – les bĂ©bĂ©s filles sont plus rĂ©sistants Ă la maladie et la mort et les femmes ont toujours eu une plus grande espĂ©rance de vie – De plus leur flux menstruel leur rajoute une purification mensuelle qui leur donne un corps plus sain, propre intĂ©rieurement –la Nature a bien fait les choses car c’est un corps le plus pur que possible qui doit accueillir la Vie Ă ses dĂ©buts durant 9 mois ! !- etc…). Je me considère comme au service de leur bien-ĂŞtre, de leur plaisir, leurs dĂ©sirs. Chaque femme a son charme, sa beautĂ©, ses talents. La femme donne la Vie, l’Amour, l’harmonie, l’ambiance, la beautĂ©, l’équilibre, la finesse d’esprit et d’intelligence, et c’est dĂ©jĂ beaucoup ! !. Il faut que l’homme soit un cadeau, un don de soi total vers les femmes, quasiment vivre pour et par la femme. Ainsi, la plupart des hommes le savent :Lors d’un rapport sexuel l’intensitĂ© du plaisir sensuel et charnel ressenti par une femme est largement supĂ©rieur Ă celui que ressent un homme. La femme a un nettement plus grand nombre de zones Ă©rogènes, des points tel le point G, le petit rouleau (qui gonfle quand la femme est excitĂ©e) en bas du pubis Ă la terminaison des poils enfuit dans le canal et formant une crĂŞte qui conduit au clitoris et Ă la naissance des grandes lèvres (le solliciter, l’écraser, le faire rouler sous les doigts durant le rapport dĂ©multiplie le plaisir et amène la femme très vite Ă un orgasme), et cette mine de sens se manifeste avec plus d’intensitĂ© dans le corps fĂ©minin. Mis Ă part un peu le nombril et autour, le gland, les bourses, l’anus, l’entrejambe entre l’anus et les bourses, l’homme ne ressent pas plus de plaisir sur tout autre partie de son corps que la sensation donnĂ©e par une caresse sur le bras. Et ce qu’il ressent sur ces 4 zones prĂ©cĂ©dentes est infime par rapport Ă ce qu’une femme ressent sur son nombril, son clitoris (8000 terminaisons nerveuses alors que le sexe masculin a au plus 3000 terminaisons nerveuses), son anus, ses seins, ses lèvres, derrière son cou, l’intĂ©rieure de ses cuisses etc…. La femme a besoin de bien plus de temps et de conditions pour que le dĂ©sir vienne et l’excitation s’installe mais une fois prĂ©parĂ©e c’est une bombe de sensation pour son plus grand plaisir. La pĂ©nĂ©tration du pĂ©nis dans le vagin et contre le col de l’utĂ©rus au fond, durant toute sa durĂ©e procure Ă la femme une excitation et des sensations intenses. Et elle peut avoir plusieurs orgasme. Par contre la sensation de plaisir sur la verge, le gland est très peu importante, presque nulle s’il utilise un prĂ©servatif (d’oĂą le dĂ©sir masculin de sodomie ou le contact est plus serrĂ© ou de fellation car avec la bouche, surtout une langue experte, la sensation est plus grande mais reste bien en dĂ©ca de l’intensitĂ© et la finesse de ce que ressent la femme lors d’un contact buccal ou autre avec son sexe. ) aussi on peut se demander pourquoi cette quĂŞte masculine de rapports sexuels ? Le plaisir masculin est plus visuel et mental que rĂ©ellement sensuel. MĂŞme les hommes se trompent souvent eux mĂŞme : tout le plaisir est de possĂ©der une femme, d’accĂ©der rĂ©ellement –et non plus sur des magazines ou des films pornos- Ă un vrai corps de femme, de le sentir, le toucher Ă loisir de partout, savoir qu’une femme vous dĂ©sire, s’offre Ă vous, que vous allez entrer en elle, le plaisir d’avoir conquis cette merveille de douceur, rondeurs, parfums, texture moelleuse, dĂ©licatesse et raffinement des formes souvent jusqu’au bout des ongles et des cheveux, bijoux vivant qu’est une femme sans compter cette animation et ambiance rĂ©gnant grâce Ă sa prĂ©sence de sa personnalitĂ© propre, lui donner de plaisir, Ă©changer avec son corps, son essence, ses substances…en un mot accĂ©der Ă son intimitĂ© totale. LĂ est la source principale du plaisir masculin lors du rapport. Ă€ cela il faudrait rajouter la quĂŞte de l’éjaculation : Ă©clairs d’extases physiques brèves mais très intenses (la brièvetĂ© et le fait que l’homme peut le reproduire Ă volontĂ© par la masturbation ne justifie pas cette recherche ardente du contact fĂ©minin) Oui, La Terre, la Vie, La Nature, L’Existence, La Raison de vivre, la SociĂ©tĂ©, l’Avenir est FĂ©minin ou devrait l’être bien plus et avant tout ! ! !). « Tu veux jouer un peu avec nous » me lança la brune. MĂ©fie-toi, ma copine en connaĂ®t quand mĂŞme un morceau dans le sexe car elle m’a dit qu’elle a dĂ©jĂ observĂ© ses parents et son grand frère faire l’amour. Elle m’a mĂŞme dit hier, n’est ce pas Georgette, qu’elle aurait aimĂ© autant, sinon plus essayer par derrière que par-devant car elle a vu sa mère qui semblait apprĂ©cier et la copine de son frère atteindre des orgasmes plus forts et violents par les fesses. Alors tu devrais te sentir comblĂ© d’avoir 2 jeunes femmes pour toi tout seul, et pas des pĂ»tes que tu aurais eu Ă payer en plus, une femme qui va t’offrir sa virginitĂ© ce soir et tu seras le premier Ă pĂ©nĂ©trer dans sa petite moule toute neuve, et en surplus tu auras mon petit con tout mignon et presque neuf aussi. Quel homme n’aurait pas aimĂ© ĂŞtre Ă ta place. »Son discours Ă peine terminĂ©, la brune dit Ă sa copine : « assied toi sur lui pour l’empĂŞcher de se lever ». La blonde exĂ©cuta de suite et amena son cul d’enfer sur ma poitrine, ses fesses et son dos vers mon visage ( les femmes n’ont pas idĂ©e Ă quel point leur fesses combinĂ©es Ă la forme de leurs hanches ont un effet de sĂ©duction dĂ©vastateur sur un homme, surtout mises en valeur par un slip brĂ©silien, un slip ficelle, un string, une chaĂ®nette Ă la taille, des portes jarretelles ou un bronzage partiel laissant l’emplacement du slip Ă©chancrĂ© nettement plus clair des reins vers la fente entre les paumes des fesses en triangle ! ! !. Pour les hommes noirs c’est l’attribut du charme fĂ©minin par excellence : Les fesses bien en chair + un bassin bien large. Mais cette apprĂ©ciation doit ĂŞtre + o – valable pour tous les hommes. C’est Naturellement trop beau un cul de femme !!! Cette fascination gĂ©nĂ©rale pour le cul fĂ©minin en fait est une fascination pour le bassin fĂ©minin dont l’attribut admirĂ© ( la largeur, la courbure ) est frappant surtout de dos : La courbure et la largeur du bassin fĂ©minin prennent toute leur dimension somptueuse quand la femme est de dos, -et encore plus quand elle se penche en avant pour ramasser ou faire quelque chose ou se mettre en position levrette ou simplement s’exhiber. Le spectacle irrĂ©sistible que la femme offre alors Ă un homme situĂ© dans son dos et qui la regarde est d’autant plus grandiose quand le bassin est large- et c’est le fessier qui tire profit de cette forme enchanteresse car il ressort beaucoup plus. Ainsi en gĂ©nĂ©ral les femmes qui sont complimentĂ©es pour leurs beaux culs, ont toujours un bassin large. Et plus il est large et plus les fesses seront merveilleusement mises en valeur. C’est ce qui fait la diffĂ©rence fondamentale entre les fesses d’un homme et celles d’une femme. Un homme a beau avoir les fesses les mieux formĂ©es du monde jamais un autre homme –sauf les gays- ne trouvera qu’il a un beau cul tentateur et en ĂŞtre attirĂ©, excitĂ©. L’homme a un bassin petit et Ă©troit et c’est la seul chose diffĂ©rencie son corps du corps de la femme. Un homme peut avoir des cheveux semblables Ă ceux d’une femme, des seins par la prise d’hormones, se faire supprimer le pĂ©nis et le remplacer par un semblant de vagin, etc… par contre s’il est ne chose qu’il ne pourra pas (ou très difficilement par pose d’une prothèse, opĂ©ration très dĂ©licate qui garanti rarement de retrouver une motricitĂ© normale) imiter c’est le bassin fĂ©minin large et arrondi. Car le bassin fĂ©minin est ainsi pour, entre autre, accueillir, porter le nid du bĂ©bĂ© de plus en plus volumineux et lourd situĂ© dans le bas ventre de la future mère et aussi parce que l’ouverture prĂ©vue au centre du bassin est Ă©normĂ©ment plus grande chez la femme pour laissez passer l’enfant dans sa progression dans l’utĂ©rus vers le vagin lors de l’accouchement. Et la fascination que nous avons nous les hommes pour le bassin fĂ©minin vient probablement de la nostalgie intrinsèque de cette pĂ©riode paradisiaque ou nous Ă©tions blottis dans un nid de bien ĂŞtre. Cela est profondĂ©ment inscrit dans notre inconscient et la vue d’un bassin fĂ©minin dĂ©voilĂ© suscite un attrait irrĂ©sistible. Nous pensons, sans en prendre conscience, qu’en allant vers ce bassin, en le serrant contre nous, en l’embrassant –lèvres, bouche, langue aux fesses – en fait en essayant d’y pĂ©nĂ©trer de nouveau (idem pour cette aspiration perpĂ©tuelle Ă pĂ©nĂ©trer dans ce bassin avec une partie de mon corps vers le vagin fĂ©minin par le coĂŻt avec le pĂ©nis, le cunnilingus avec la langue ou avec les doigts…et inconsciemment on souhaite que tout notre corps suivra. Le summum du plaisir masculin serait que tout son corps pĂ©nètre dans une femme au point de fusionner de nouveau avec le fĂ©minin comme avant sa naissance. Cette connaissance fait que je suis animĂ© pour le bassin donc le cul fĂ©minin d’une passion irrĂ©sistible.)La brune prit alors ma verge dans sa bouche et entama un vas et viens ou lèvres, langue, salive, paroi intĂ©rieure des lèvres se succĂ©daient faisant ma bite atteindre le summum de sa taille Ă la surprise de ma servante de dĂ©lice : « Oh ! Elle n’a pas fini de grossir ! ! ?, Elle remplit toute ma bouche alors qu’elle n’entre mĂŞme pas Ă moitiĂ©Â ! ! Mais c’est bon, c’est bon ! !». « Attends !Donnes en moi un peu, dit la blonde qui se porta en avant pour approcher ma bite de son visage. Elle la plaça entre contre ses narines et la frotta sur ses oreilles, ses joues, son cou, ses seins et enfin l’avala d’un seul coup au point que je sentis mon gland buter au fond de sa gorge et sa bouche devient brusquement très humide. PenchĂ©e en avant je dĂ©couvrit sa croupe superbe, des fesses interminablement belles, sa fente entre ses 2 valons qui descend jusqu’à une fleur aux pĂ©tales dĂ©licats d’un rose clair nacrĂ© tranchant entre un somptueux duvet d’or : Une vraie Ĺ“uvre d’art ! ! ! Chaque fois qu’elle introduit mon sexe de nouveau dans sa bouche, la perle de liquide transparent scintillante qui s’échappe entre les 2 lèvres de sa vulve grandit, s’allonge et maintenant glisse vers la toison de son pubis.Cette vision de rĂŞve me fait brĂ»ler de dĂ©sir d’approcher ma bouche. La brune lui dit : C’est trop fort ! ! Tu ne peux pas savoir Ă quel point je mouille ! ! Plaque le plus fort au sol ! EmpĂŞche-le de bouger ! La blonde rĂ©pondit « Attends ! Je sais ce que je vais faire ». Ă€ ma grosse surprise, mais aussi mon grand dĂ©lice, elle s’assit carrĂ©ment avec force sur mon visage, ses fesses sur mon font, son anus sur mon visage, son sexe humide sur ma bouche, son parfum intime m’envoĂ»ta littĂ©ralement. Et spontanĂ©ment, sans que je puisse me contrĂ´ler, ma langue sortit de ma bouche et lĂ©cha avidement toute la fente entre ses lèvres. Elle poussa un soupir de plaisir et souleva son bassin de mon visage un court instant pour le reposer ensuite, mais le frĂ´lant Ă peine comme pour me permettre d’atteindre tout son sexe et son anus avec ma langue, ce que je m’appliquais Ă faire. Elle avait un parfum suave et Ă©picĂ© qui aggrava un degrĂ© d’excitation optimal que j’atteins très vite. L’effet est immĂ©diat : mon sexe s’allongeât d’un cran et remonta le long de mon corps. Je sentis qu’il Ă©tait gonflĂ© Ă exploser. La blonde pinça alors ses 2 mamelons roses bonbon de ses seins avec les doigts de ses mains en soupirant. Sa compagne, en entendant ses cris et en sentant ma verge se tendre dans sa bouche se releva et mis sa main Ă sa bouche, l’humecta gĂ©nĂ©reusement de salive puis l’amena rapidement Ă son sexe. Elle poussa Ă©galement un petit gĂ©missement la regarda quand elle commença Ă remuer sa main de gauche Ă droite dans un mouvement de + en + insistant et rapide. Elle poussa un « ail ! » En s’introduisant peut-ĂŞtre 2 doigts ou plus dans sa fente. Et brusquement elle tira sa main et cria : »Non ! Je ne peux plus attendre ! Il faut que j’en profite avant qu’il ne vienne ou ne s’abaisse ! ! Je deviens folle ! » Elle accompagna la parole Ă un dĂ©placement de son bassin vers le mien en se mettant face Ă face avec sa copine qui a toujours le sexe contre ma bouche. La brune souleva ma bite, amena le gland Ă l’entrĂ©e de sa vulve et essaya de s’empaler dessus. Ă€ peine le bout du gland ayant pĂ©nĂ©trĂ© entre ses lèvres qu’elle marqua une pose car l’introduction s’avĂ©rait difficile vu le diamètre de ma verge et l’étroitesse de son mignon petit trou. Mais elle s’assit carrĂ©ment dessus avec force et dĂ©termination, sa lubrification aidant. Elle poussa un cri rauque quand mon gland força l’entrĂ©e et vient buter au fond de son vagin. Elle toucha alors mon pĂ©nis pour apprĂ©cier le degrĂ© d’introduction, et elle dit : »Ah non ! ! Ça seulement est entrĂ©Â ! ! » Elle se souleva, mon sexe sorti et elle s’emballa dessus avec plus de force encore. Et, arrivĂ© au fond, elle appuya encore pour tenter d’introduire plus de verge, et Ă ma grande surprise, comme si une autre ouverture se forma au fond du vagin et ma verge s’y introduisit bien enveloppĂ©e par des parois serrĂ©es et humides. La caresse contre mon gland Ă©tait trop vive, je happe littĂ©ralement la vulve de la blonde et j’introduis d’un seul coup ma langue dans son vagin. Elle poussa un soupir et passa sa langue sur sa lèvre supĂ©rieure. « Ah oui, Ah oui, Aahhh ! » dit la brune quand elle engloutit mon sexe au Âľ et entama un va-et-vient ample mais rĂ©gulier. Sa 2iĂ©me caverne (son utĂ©rus certainement) de dĂ©lice est tellement serrĂ©e que ma verge semble progresser dans un Ă©tau de chair. Ă€ ce rythme mon explosion viendra tĂ´t ! ! « Ail ! ! Ail ! ! Ouhhh je le sens jusqu’au milieu de mon ventre et j’ai des Ă©lancements jusque dans ma gorge ! ! Ouaaa ! ! C’est bon, c’est bon ! ! Elle activa son rythme et puis cria « ça vient ! ça vient ! ! et elle fut prit d’un tremblement dans tout son corps et de va-et-vient en avant et arrière avec son bas ventre. Après avoir poussĂ© un cri rauque et profond elle s’arrĂŞtant crispĂ©e pris de contractions intĂ©rieures que je ressentis contre ma bite tellement bien et fort que cela activa ma propre Ă©jaculation qui ne tarda pas Ă venir. J’explosai en elle nombreux jets puissants et brĂ»lants car elle le ressentit fortement puisqu elle en eut un 2 ième orgasme en poussant des petits cris stridents et elle se cabra vers l’avant animĂ©e encore du tremblement de son bassin. Elle renversa sa compagne derrière ma tĂŞte et sa bouche tomba alors sur la mienne dans laquelle elle introduisit spontanĂ©ment sa langue chaude, douce et humide a souhait. Et elle resta ainsi, mon pĂ©nis prisonnier de son sexe et sa langue plantĂ©e dans ma bouche, prostrĂ©e par l’intensitĂ© du plaisir qu’elle a connu.« Et moi alors ? ? ! ! » dit la blonde « je suis toute excitĂ©e et je n’ai rien eu ! ! » comme reprenant son esprit, la brune se souleva d’un seul coup et elle constata avec dĂ©ception que mon sexe avait perdu sa rigiditĂ©. »Attends ! On va le faire redevenir dur ! ! Elle mis mon pĂ©nis entre ses gros seins envahissants, cracha 3 Ă 4 fois vers mon membre et elle entama un massage langoureux pendant que sa compagne dit « Il ne pourra pas rĂ©sister à ça ! Aucun homme ne rĂ©siste Ă des fesses offertes ! ! » Elle abaissa son bassin de nouveau vers mon visage mais avec lenteur pour j’ais le temps de tout voir. Et cette fois elle amena plutĂ´t son anus vers ma bouche en Ă©cartant de ses mains les deux monts charnus « dĂ©lecte toi et fourre-moi cette fois avec ta langue lĂ Â ! ! » Je ne fit pas prier. Son petit trou d’anus Ă©tait sillonnĂ© de minuscules replis rose clair. Vision de rĂŞve ! ! Je passai ma langue gĂ©nĂ©reusement dans sa fente de sa vulve vers son Ĺ“illet plissĂ© parfumĂ© Ă la fois de son odeur intime de femme, son parfum et les relents sauvages envoĂ»tant de son anus. Je ne tardais pas Ă former un petit pieu avec ma langue et l’introduire dans son anus qui n’offrit aucune rĂ©sistance et mĂŞme s’ouvrit car elle semblait pousser comme pour expulser quelque chose, ce qui dilate Ă©normĂ©ment son muscle anal. Mais une fois ma langue introduite presque en totalitĂ© elle poussa un petit cri et contracta son muscle. Son Ĺ“illet se resserra avec force et elle dit « Ouhh, j’aime ça ! ! Continue ! » La vue de son cul, le goĂ»t de son anus, l’odeur suave de son intimitĂ©, le toucher des seins contre mon pĂ©nis, le son de leurs râles de dĂ©sir, le 5 sens Ă©tant sollicitĂ© mon excitation fit telle que ma verge retrouva une rigiditĂ© apprĂ©ciable.« Tiens ! Elle est prĂŞte ! ! « dit la brune, sentant mon pĂ©nis durcir et s’allonger vers son visage.« Ah ! Dommage, j’adorais sa langue dans mon anus ! !, elle me rendait folle ! » Elle attrapa ma verge d’une main et tenta de l’introduire dans l’ouverture de sa vulve. Impossible ! ! «Elle est trop grosse pour moi ! ! « Attends, dit l’autre, je vais la lubrifier avec ma salive ! ! » Elle pris ma bite d’une main et l’amena Ă sa bouche pendant qu’avec l’autre elle pris mes bourses et les malaxa, les caressa. Elle sortit ma bite de sa bouche et dit « En plus je vais la faire Ă©mettre de son lubrifiant ! ! ». Elle remis mon sexe dans sa bouche, mais celle-ci Ă©tait tellement humide que je ne la sentais pas. Elle passait sa langue sur ma verge dans sa bouche 5 ou 6 fois puis la sortit et la re-entra et ainsi de suite. Mais chaque fois que ma bite ressortait, elle dĂ©goulinait d’un mĂ©lange de salive et de lubrifiant, un mĂ©lange visqueux qui formait un filet entre mon gland et ses lèvres. Elle s’amusait Ă distendre le liquide et Ă le rĂ©pandre sur tout le pĂ©nis tendu, debout Ă 60° devant mon ventre. Puis elle le rĂ©introduit dans son antre de dĂ©lire. Mon excitation grandit et mon sexe grandit, durcit et s’allongea encore. « Tu peux venir maintenant ! ! » La blonde garda mon pĂ©nis dans sa main et la guida vers la vulve de sa compagne, la remua un peu Ă l’entrĂ©e pour Ă©tendre sur le gland la liqueur visqueuse qui suinte sur ses lèvres et, dans un mouvement brusque, appuya fortement vers le bas sur les Ă©paules de sa compagne. La blonde poussa un gĂ©missement Ă©touffĂ© et resta la bouche ouverte et les yeux grand ouvert quand mon sexe força le passage vers son vagin. Elle semble avoir la respiration coupĂ©e. La brune mit 3 doigts dans sa bouche puis les amena Ă son sexe alors qu’avec l’autre main elle appuya encore plus sur l’épaule de la blonde et dit « il faut qu’il rentre jusqu’au fond, tu verras, c’est lĂ que c’est meilleur ! ! allez ! ! » effectivement, pour sa compagne la lubrification bien prĂ©alablement faite permis que la progression soit rapide et profonde. Mon gland se fraya un passage dans le 2 ième tunnel, sĂ»rement son utĂ©rus, bien plus Ă©troit en perçant le col. C’est magique ! ! Une fois au fond du 2 ième tunnel la blonde inspira profondĂ©ment et se cambra pour retomber en avant contre le sol m’offrant le spectacle indescriptible de sa croupe dĂ©ployĂ©e de tout son Ă©talement. Le trou de sa vulve Ă©tirĂ© Ă l’extrĂŞme, ses lèvres, sa chair distendu Ă un point tel par le diamètre de mon pĂ©nis qu’on s’attends Ă ce que sa chair se dĂ©chire !. »Ah !c’est bon, c’est trop bon ! !Je meurs ! Je ne pus rĂ©sister Ă la vue de ses 2 paumes de fesses veloutĂ©es rĂ©vĂ©lant sa fente de fesses et son anus rosĂ© aux petits replis rosĂ©s comme les petits coquillages roses que l’on trouve sur les plages des Antilles. C’était plus fort que moi !Il fallait que je le touche ! Je passai mon doigt le long de sa fente jusqu’à ses lèvres imbibĂ©es de sa cyprine, de la salive de sa copine, mon lubrifiant et la salive de mes caresses buccales de tout Ă l’heure. Mon majeur ainsi lubrifiĂ© glissa vers son anus et n’eu pas de mal Ă s’introduire tout en entier. Elle eut une contraction de ses muscles de l’anus et emprisonna mon doigt dans sa caverne envoĂ»tante. Ouh ! Ouh ! Ahh ! Non ! ! Pas ça aussi, c’est trop Ă la fois ! ! Elle entama une succession de va-et-vient dans tous les sens, dĂ©sordonnĂ©s de son bassin, en avant, en arrière, de gauche Ă droite, de bas en haut. Mon doigt s’activait dans sa caverne devenue brĂ»lante. Mon sexe entre et sort labourant sa chair en profondeur. Durant ce temps la brune, sa main ramonant dans son vagin accompagnĂ© d’un balancement de son bassin, pris les seins de la blonde l’un après dans sa bouche. Puis elle mis son autre main sur le clitoris de la blonde et entama un va-et-vient latĂ©ral très rapide. « HUMM ! ! fit la blonde, c’est pas vrai ! ! je rĂŞve !Elle se retira et roula Ă mes cotĂ©s. La blonde poussa des cris bizarres, des mots incomprĂ©hensibles, gĂ©missements « Ail ! Ohh ! oui ! ! encor.. non ! ssss… ! » Quand elle fut emportĂ© par des dĂ©charges successives de plaisir. C’est l’intĂ©rieur de son ventre qui bougeait, tremblait, se contractait et se relâchait alternativement. Il s’en suivi ma 2ième Ă©jaculation. Ă€ chaque jet elle poussa des ails ! ail ! ail ! Mon sexe n’avait encore perdu sa rigiditĂ© que la brune dit : » je veux la rentrer dans mon autre trou ! ! ça doit ĂŞtre super ! ! les filles qui ont essayĂ© disent que c’est diffĂ©rent, sublime si la bite est bien lubrifiĂ©e. Il faut profiter lĂ car elle est encore bien lubrifiĂ©e ! ! « Q u’est ce que tu en pense ? ? » dit elle Ă sa copine. Elle Ă©tait encore sous le coup de son extase et donc elle ne put rĂ©pondre ! la brune qui se mit Ă faire passer un doigt de sa vulve Ă son anus au moins 5 fois puis, en disant « donne en moi un peu de ton nectar pour finir de prĂ©parer mon anus », elle introduit 3 doigt dans la vulve de la blonde encore bĂ©ante de ses rĂ©cents Ă©bats, remua gĂ©nĂ©reusement « hummm « gĂ©mis la blonde, puis elle les amena Ă sa anus et les rentra sans retenu. Rien qu’à l’idĂ©e de cette nouvelle expĂ©rience et vu l’impatience lubrique de la brune ma verge retrouve un peu de sa rigiditĂ©. Elle le pris sans tarder, lubrifia le gland avec le reste de nectar intime baignant ses doigts puis l’amena vers son Ĺ“illet. Elle tenta de s’empaler dessus en s’asseyant sur mon pĂ©nis. Mais elle avait beau appuyer, bouger, dilater son anus en poussant ou aspirant avec son muscle anal, visiblement rien Ă faire : « Elle est trop grosse pour rentrer lĂ Â ! ! dommage ! ! « tu veux pas essayer aussi « dit la brune « toi qui aime bien les caresses par lĂ Â ! » « Mais comme elle est de nouveau dure je vais te la prĂ©parer ! ! je vais encore jouir par-devant et profiter pour la lubrifier de ma cyprine. « Elle introduisit ma verge dans son sexe cette fois sans rĂ©sistance ! près une dizaine de va et viens, chaque fois elle se retire entièrement et regarde mon pĂ©nis pour voir son Ă©tat de lubrification. Au bout de 3 ou 4 retraits elle Ă©tait baignĂ©e d’une crème huileuse Ă la fois transparente et blanchâtre par endroit. Elle le rĂ©introduisit comme par insatisfaction et pour conclure entama des montĂ©es et descente assise sur mon bassin en me faisant face. La vue de ses seins qui balançaient et dansaient sur sa poitrine,le contact doux et glissant sur mon pĂ©nis et les caresses qu’elle donnait Ă mes couilles durant ses Ă©bats m’excita fortement de nouveau et permis Ă ma bite d’atteindre une taille et une duretĂ© satisfaisante. Elle se retira alors une dernière fois et dit Ă sa compagne « Elle est prĂŞte, viens ! offre lui ton anus ! ! Elle posa son Ĺ“illet sur mon gland et s’assieds dessus pour qu’il force le passage minuscule. Un bruit Ă l’extĂ©rieur de la tente nous ramena tous Ă la rĂ©alitĂ©, comme nous sortant brutalement d’un rĂŞve. « Ah ! il faut rentrer ! ! on va constater notre absence ! ! Elles passèrent leur peignoir Ă la va vite et sortirent la tĂŞte puis tout le corps de la tente. Elles me laissèrent ainsi sur ma faim de cette pĂ©nĂ©tration anale inachevĂ©e.Le lendemain, avant dernier jour, j’ai repĂ©rĂ© mes deux fĂ©e de la nuit parmi les 50 stagiaires. Elles ont fait semblant de ne pas me connaĂ®tre durant toute la journĂ©e. Mais en fin d’après midi la brune me jeta un regard furtif et coquin. Je m’attendais Ă les revoir me guetter lors de ma douche mais, avec une certaine dĂ©ception, elles n’étaient pas au rendez-vous ! je me rĂ©signais Ă ce que cette aventure s’arrĂŞte lĂ . Je me couchai donc avec une nostalgie de la nuit prĂ©cĂ©dente.Une intrusion brutale dans ma tente me sorti de ma demi torpeur. En allumant j’entend : « cette fois on a prĂ©vu ce qu’il faut ! ! …» « tu es content de nous voir ! ! on va encore passer un bon moment avec toi avant la fin du sĂ©jour ! ! tu veux bien ? ? ! ! » mes amantes d’un soir,la blonde et la brune venait de faire irruption en tendant une bouteille d’huile solaire.Avant que je rĂ©ponde Ă sa question, en un clin d’œil leurs peignoir tomba Ă leur pied pour me rĂ©vĂ©ler leur nuditĂ© fraĂ®che et humide de leur rĂ©cente douche et cette fois complète. Ce spectacle complĂ©tĂ© par la vue de leur Ă©moustillement et l’idĂ©e de ce qui m’attend fit mon dĂ©sir grandir et mon sexe rĂ©agir de suite sous mon caleçon. Très vite la verge apparue hors du caleçon plaquĂ©e contre la cuisse droite avec dĂ©jĂ une bonne consistance. « Ah ! repris la brune, tu n’as pas besoin de me rĂ©pondre ! ta bitte rĂ©ponds pour toi ! ! tu es d’accords et mĂŞme impatient ! ! ça t’as plu hier soir hein ! ! et tu en redemande ! ! ? on saura lui donner plus ce soir ! attends ! ! ne bouge surtout pas comme hier et nous on s’occupe de toi ! ! on as attendu ça toute la journĂ©e ! !» La blonde n’hĂ©sita pas un instant et retira mon caleçon et se saisi de ma verge, tira la peau vers les bourses pour dĂ©calotter le gland et l’imprĂ©gna toute entière et Ă l’excès d’huile. Tout en la tenant elle fit signe Ă sa copine de s’approcher et lui dit « laisse moi prĂ©parer ton Ĺ“illet aussi ! ! ». La brune ne rĂ©agit pas son regard fixĂ© et rĂŞveur sur mon sexe qui ne cessait de grossir et durcir sur la caresse dĂ©licieuse de cette main huileuse. « Allons bouge toi et prĂ©sente moi ton anus ! ! ! Tout en malaxant ma verge afin qu’elle garde sa consistance (et sĂ»rement aussi pour satisfaire ses fantasmes) elle introduit un doigt dans le trou de la bouteille d’huile et l’amena vers la fente de fesse offerte de la brune puis badigeonna le sillon et enfin autour du trou, sur les replis affolants. Ensuite, elle introduit tout le doigt dans le cul et y amorça des entrĂ©e et sortie rapide, des rotations et des vrilles pour distendre le muscle anal et enfin elle introduit pouce, index et majeur en mĂŞme temps et, une fois bien au fond, elle les Ă©carta le plus que possible au point qu’apparu la chair lisse, rose et appĂ©tissante des parois intĂ©rieures de l’anus. La blonde approcha sa bouche introduit sa langue bien tendue dans le trou entre ses doigts la fit tourner durant une bonne minute puis y cracha une boule de salive. Mon excitation devint intenable. Le travail anal de la blonde arracha plusieurs petits cris et gĂ©missements de la brune qui, n’en pouvant plus d’impatience dit « Allons ! ! ne tardes pas car notre cadeau va se ramollir ou trop grossir et il pourra pas rentrer ! ! laisse moi prendre place ! ! » la brune se releva et la blonde retient ma bitte Ă la verticale tandis que la blonde entama une descente pour s’asseoir littĂ©ralement dessus, son sexe, semblable Ă une orchidĂ©e rose, tournĂ© vers moi. La brune guida le gland pour que la jonction se passe bien avec l’œillet. Au contact une rĂ©sistance se produit qui fit la brune interrompre sa descente puis faire de petits coups de bassin vers le bas pour forcer l’entrĂ©e. Rien Ă faire ! ! Ecoute lui dit la blonde ton anus est trop fermĂ©, tendu ! ! dĂ©tend le ! ! tu es trop crispĂ©. Attends je vais te montrer ! ! la blonde poussa la brune et pris la mĂŞme position qu’elle, introduit rapidement un doigt dans la bouteille d’huile puis dans et autour de son anus. « vu toute les grosses choses, grosse carottes, banane, courgette etc… que j’introduit dedans ! je connaĂ®t la technique ! ! regarde et Ă©coute! ! » « quand tu sens le contact avec ton Ĺ“illet, tu pousses de toutes tes forces si tu veux faire sortir quelque chose de ton anus, comme quand tu est sur le wc et que tu pousses pour faire caca ! !Ton muscle va se distendre au max et tu verra les plus grosses chose pourront entrer ! ! regarde ! ! » elle abaissa son bassin et au contact avec mon gland je la vis se crisper et serrer les dents. Puis elle abaissa encore son bassin d’un cran et je sentis un contact chaud et doux serrĂ© autour de mon pĂ©nis qui progressait vers la base de la verge. La blonde continuait Ă descendre pour tenter de s’asseoir sur mon bassin, les yeux fermĂ©s. «Ouhh fit t’elle c’est incroyablement bon ! ! et je ne l’ais mĂŞme pas encore fait entrĂ© totalement ! ! Ahhh ! ! tu vois comme elle est entrĂ©e facilement ! ! et pourtant je peux te dire que c’est un gros calibre celui lĂ pour le cul ! ! Ah non si je me laisse aller tu n’y aura pas droit car je vais rester tout le temps dessus ! je prĂ©fère que tu dĂ©couvre et savoure ce plaisir lĂ avant qu’il ne vienne. Après si il remonte ce sera mon tour ! ! Allez viens prendre ma place et fait ce que je t’ais dit ! ! » La blonde se releva en poussant un petit Ouille de jouissance et dans la foulĂ©e la brune pris sa place sa vulve devant moi Ă©tait maintenant humide et reluisante trahissant la grande excitation qui l’animait. Au contact du gland contre son Ĺ“illet elle tendit son bas ventre, son visage se crispa, sa bouche s’ouvrit, elle serra les dents, ferma les yeux, fit une grimace et poussa un cri de tension puis fit un mouvement brusque de son bassin vers le bas et cria un AHH ! ! long puis un Aille ! ! ca fait mal ! ! et effectivement comme l’avait conseillĂ© la blonde, la pĂ©nĂ©tration se produit assez aisĂ©ment. Mais elle ne bougeait plus !, avait interrompu sa descente « ça me fait un peu mal ! ! je veux pas continuer » « Mais non, c’est ce qu’on sent au dĂ©but, la première fois ! mais tu verra après c’est meilleur que devant ! ! allez continue ! » la blonde mit ses mains sur les Ă©paules de la brune et appuya fort pour l’enfoncer sur mon pieux. « Wouaill ! ! non ! ! Ouhh ! « cria la brune alors qu’elle est enfoncĂ©e aux Âľ de mon pĂ©nis. Une larme perla de son Ĺ“il tandis qu’un tremblement anima sa jambe gauche. « Allez,dit la blonde ! !, active toi ! pousse comme tu as fait au dĂ©but si tu veux pouvoir monter et descendre, si tu veux ne pas sentir la douleur ! ! » et la blonde attrapa les Ă©paules de la brune plantĂ©e et prostrĂ©s sur mon pieux Ă©norme et elle commença Ă la soulever puis l’abaisser en un mouvement rĂ©gulier. La brune se mit Ă transpirer de tout son corps tout en poussant un râle rauque et long. La blonde dit « allez va y toute seule n’arrĂŞte pas encore tu peux encore t’enfoncer plus et puis tu va bientĂ´t ressentir plein de plaisir, tu va jouir! ! ! » la brune continua machinalement le mouvement tout en râlant toujours je ne pas si c’est de plaisir, de douleur ou les 2 pendant que la blonde posa sa main sur son sexe et entama des oscillations au niveau de son clitoris. Au bout d’une dizaine de descentes la brune dit en mettant ses 2 mains sur son ventre : « OUHH ! Ouhh ! oui ! ! oui ! ! c’est gros ! ! je le sens au fond dans mon ventre qui frappe mes entrailles, bouleverse mes intestins ! ! Ahh ! Ahhh ! non ! non ! tu as raison c’est bon ! ! c’est bon ! ! je ne savais pas que ça pouvais ĂŞtre aussi bon ! ! Oui j’aurais aimĂ© le sentir encore plus fond ! !comme si le dĂ©sir, le plaisir veux monter vers ma poitrine, dans ma gorge ! !« en entendant sa manifestation de contentement mon plaisir monta et mon sexe grossit et durcit faisant un contact plus serrĂ© et rugueux. « Ouhh ! ! dit-elle en me regardant avant que ses yeux rĂ©vulsent « qu’est ce tu me fait ! ! tu va me dĂ©chirer l’anus ! ! et pourtant elle accĂ©lèrera et intensifia le rythme de ses montĂ©es et descentes, s’empalant encore plus sur mon dard. Elle s’arrĂŞta quand ses fesses de velours, brĂ»lantes et tremblantes touchèrent mes cuisses » « Aill ! Ouh ! !Aille « je la sens jusque dans mon nombril ! comme si elle remplit tout mon ventre ! ! Ah non ! c’est trop bon ! ! trop bon ! ! tout mon corps frĂ©mit ! ! je sens que je vais m’évanouir de plaisir ! » Toute ma verge Ă©tait en elle. Je sent son muscle anal se resserrer alors puis se dĂ©tendre, puis encore se tendre et rester tendu sur la base de ma verge, contre les bourses. Ceci rajoutĂ© Ă la grosseur du membre entraĂ®na qu’elle fut incapable de se relever ou bien elle voulait savourer l’instant. « La blonde dit « Ah ! tu vois comme c’est fort et puissant ce plaisir ! ! mais pour ton orgasme, va valoir que tu t’active, que tu monte et descende pour mieux le sentir, qu’il te laboure Ă fond ! ! Attends je vais le faire grossir pour toi pour que tu ais le max qu’une femme puisse avoir dans son anus ! après tu voudra souvent jouir par lĂ Â ! !» Elle vint placer son bassin au-dessus de mon visage et approcha lentement son sexe de ma bouche, son anus dans mon nez, les relent de parfum mĂŞlĂ©s Ă l’odeur intime fĂ©minine, de senteur d’anus, de nectar de vulve brĂ»lante, baveuse et succulente dans ma bouche firent basculer mon excitation Ă son summum. Le visage de la brune tournĂ© vers sa copine elle s’empressa de lui lĂ©cher le mamelon puis avidement de le mordiller et enfin le prendre dans sa bouche. Mon sexe se durcit Ă l’extrĂŞme dans la caverne Ă©troite de la brune qui avait commencĂ© un va et viens très soutenu et rĂ©gulier « Wowoouuuhhh ! c’est bon, bon, bon…je meurs ! !je viens ! ! ! oui ! oui ! oui ! ! ! » je sentais les replis de ses parois frotter fortement et lentement sur mon gland. Je tendis ma main vers mon bas ventre, vers la brune que je ne pouvais voir et quand je touchai les poils de son sexe je tendis un doigt pour chercher le canal menant Ă sa vulve et avant d’arriver Ă la fente de sa vulve je sentis le renflement dur de son clitoris inondĂ© des sĂ©crĂ©tions de son plaisir (j’ai appris par la suite qu’on nommait ce nectar fĂ©minin succulent d’un nom charmant : cyprine). J’entrepris de le triturer, le caresser dans un va et viens latĂ©ral. L’effet fut immĂ©diat car la brune poussa un cri, posa sa main sur la mienne et activa le mouvement de ma main sur son clitoris « je vais jouir ! ! Ahh ! !je jouis oui ! ! encore ! oui ! ! » et elle fut prise de contractions et soubresauts du vagin Ă l’anus. Ma verge fut tellement comprimĂ©e et aspirĂ©e Ă©troitement par ses parois anales que ma jouissance suivie rapidement la seine. Je sentis des jets puissants et brĂ»lant, accompagnĂ©s d’éclairs de plaisirs, traverser mon bas ventre et jaillir de mon sexe. Elle poussa un cri bizarre « Waihh ! ! ! Ca me brĂ»le le fond du bas ventre ! ! Super ! ! humm» et elle fut prise de nouvelles secousses plus brèves qui la fire tomber en arrière toujours vissĂ©e a fond sur mon pieu. J’ai du dĂ©verser une quantitĂ© Ă©norme de sperme au trĂ©fond de son anus car les contractions de ma verge furent longues et nombreuses. Je ne peut pas crier car ma bouche Ă©tais toujours enterrĂ©e dans la vulve de la blonde qui se noya de cyprine sucrĂ©e au moment des orgasmes de la brune qui poussa des petits gĂ©missements incessants maintenant comme droguĂ©e de luxure. J’entamĂ© alors de titiller le clitoris de la blonde si près de ma bouche. Au bout d’une minute cela fit exploser des vibrations de son bassin et des cris de plaisirs en mĂŞme temps qu’un liquide chaud inonda sa vulve et ma bouche « Ahh ! ! je jouis ! ! !OUHhh ! ! » elle tomba alors en avant sur la brune vidĂ©e par terre. Elles restèrent une bonne minute ainsi Ă©tendues, la brune toujours enculĂ©e sur ma verge qui commença Ă se ramollir. « h non ! dit la brune, je ne pouvais pas imaginer qu’aussi fond par derrière ça pouvais ĂŞtre aussi dĂ©licieux ! ! je n’oublierais jamais ça ! ! j’ais Ă©tĂ© la plus heureuse et comblĂ©e des femmes ! celles qui n’ont jamais connu ça ne savent pas ce qu’elles rate ! !» Elle se releva et se retira lentement de mon pĂ©nis ramolli. La blonde se releva aussi brutalement et dit «Ah non il faut que moi aussi je connaisse ça avec ce calibre lĂ , ça doit dĂ©cupler le plaisir et au plus fonds. Je n’en rencontrerais peut-ĂŞtre jamais une comme ça de ma vie et en plus dans des conditions comme ici, ni vu ni connu avec un Ă©tranger de passage. Alors la brune se poussa et la blonde me chevaucha mais constata avec regret que ma verge Ă©tait flasque. « Ah ! !il faut que tu remontes vite ! ! va lui monter ton minou et joue avec devant lui pendant que je lui rĂ©serve ma surprise radicale ! !» la brune place son bassin au-dessus de mon visage et de ses deux mains ouvrit sa vulve et commença un jeu de main lubrique autour et dans sa vulve en me lançant des invitations dĂ©lirantes. Pendant ce temps la blonde introduit un doigt huileux dans mes fesses un fit une pression intĂ©rieure vers mon sexe en disant « j’ais lu dans un livre qu’une pression sur la prostate donne un fouet Ă la venue de l’érection ». L’effet fut foudroyant ! ! son doigt dans mon anus associĂ© Ă la caresse sur la prostate fit comme si mon pĂ©nis reçu de l’intĂ©rieur une pression qui l’éleva et le gonfla Ă la fois sans que j’ai une excitation suffisante pour Ă©tablir mon Ă©rection par moi-mĂŞme. Ma verge atteint rapidement une taille satisfaisante.La blonde, tout en gardant son doigt dans mon anus qui frottait dĂ©licatement la prostate, de son autre main pris la bouteille d’huile et en versa abondamment sur mon pĂ©nis puis entama avec la mĂŞme main un va et viens bien serrĂ© qui termina de donner Ă ma verge la taille et la duretĂ© souhaitĂ©e. Elle s’assit alors littĂ©ralement dessus et dans le mĂŞme Ă©lan je pĂ©nĂ©trĂ© son anus. Je senti un goulot Ă la fois brĂ»lant, Ă©troit et profond engloutir progressivement mais rĂ©gulièrement toute ma verge. Le « brutalité » du contact et l’intensitĂ© soudaine du plaisir me fit pousser un Humm ! ! d’extase.La blonde dit « ça te plait hein ? ? Ouuille ! ! oui ! ! ton calibre me fait un peu mal au dĂ©but ! mais je sens venir le plaisir ! ! ». Une fois ses fesses arrivĂ©es en buttĂ©e sur mon bassin elle cria « «Ouahhh ! ! tu as raison !c’est terrible je sens sa pointe tendue et gonflĂ©e qui perce jusque dans mon ventre, je sens comme une pression prĂŞte Ă exploser de plaisir du haut de mon ventre jusque dans ma gorge ! ! Ahh ! j’aurait voulu que ce pieu continue sa percĂ© en moi pour arriver jusque lĂ Â ! ! Oui ! Non ! Ahh ! je suis folle ! j’en veut ! j’en veut plus ! ! Hummm ! » ExcitĂ©e par ses paroles et la scène la brune se mit debout devant elle pris sa tĂŞte des ses 2 mains et plaqua son visage contre son bas ventre, la bouche noyĂ©e dans son sexe en disant « Ehh !tu crie trop fort ! !on va nous entendre comme ça tu va te taire et en mĂŞme temps apaiser mon excitation ! ! allez lime moi tout le fond avec ta langue ! », La blonde, au bord de l’hystĂ©rie après cette 2 ième source de plaisir d’une extrĂŞme lubricitĂ©, entama, de façon dĂ©sordonnĂ© et prise de petit tremblements Ă ses bras qui la retenaient au sol, un mouvement de montĂ©e et descente avec son bassin qui exerça un tel malaxage de ma verge qu’elle grossit et gonfla encore en elle rendant son mouvement plus difficile, Ă©tant comme vissĂ©e, collĂ©e Ă moi.Brusquement quelqu’un fit irruption dans la tente. C’était la directrice du camps vĂŞtue d’une robe visiblement trop serrĂ©e car les boutons de devant semblaient près Ă lâcher. Après un moment de surprise ou son regard fit le tour de la tente, s’attarda un instant sur mon sexe libĂ©rĂ© brutalement des fesses de la blonde qui s’était immĂ©diatement levĂ©e alors que la brune fit un saut sur les cotĂ©s, elle se ressaisi et dit : Mais qu’est ce qui se passe ici ! ! ! Un court silence rĂ©gna et pour protĂ©ger et disculper mes fĂ©es d’un soir je dis : « Madame J… elles n’y sont pour rien ! c’est moi qui les aient sĂ©duites, montĂ©es la tĂŞte et entraĂ®nĂ©es dans cette aventure ». Les 2 jeunes femmes ont baissĂ© les yeux quand la directrice posa le regard sur elles. Madame J… enchaĂ®na : « Et pourtant elles semblaient très consentantes ! ! ! elle jeta un regard sur mon sexe encore Ă©rigĂ©, sevrĂ© et inassouvi par sa 2ième sodomie interrompue, telle un pieux faisant appel ardent au-dessus de mon corps encore Ă©tendu sur le dos. Elle continua avec une surprise et une gĂŞne mal contenues « mais avec un engin pareil…je comprend ! ! ! …Allez ! retournez Ă vos lits et considĂ©rez que je n’ais rien vu et que j’oubli tout ! !. Les 2 jeunes enfilèrent leur peignoir, ramassèrent leur slip et sortirent rapidement. La directrice resta et me regarda en disant : « Quand Ă toi, tu as enfreint le règlement ! !… normalement je devrais prendre des sanctions contre toi…mais…mais…tu peux te faire pardonner et me faire tout oublier si tu m’offres ce…ce que je n’aurais peut ĂŞtre jamais dans ma vie…de cette taille ! !. » dit elle en regardant ma bite, la bouche restĂ©e entrouverte. Sans tarder et ayant compris que ce serait mon seul salut pour Ă©viter de graves ennui, je lui rĂ©pondis : « Mais ! servez vous sans limites ! ! vous avez remarquĂ© l’état dans lequel elle est restĂ©e, elle est sevrĂ©e ! c’est qu’elle n’attends plus que vous ! » « Houou », rĂ©pondis t’elle, « Il n’y a pas beaucoup de femme qui refuseraient une telle invitation ! ! On aurait du rajouter tous les renseignements bidons dans le rapport mĂ©dical de la visite que l’on fait passer aux futurs moniteur, la taille et le diamètre de leur sexe au repos ! ! j’aurais alors su çà plus tĂ´t !! et çà fait longtemps que je t’aurais convoquĂ© Ă mon bureau !! C’est vrai que j’en ait connu des petites queues d’hommes qui savent s’y prendre avec des femmes qui m’ont donnĂ© mille fois plus de plaisirs que des grosses d’hommes inexpĂ©rimentĂ©s. Mais une bite monstrueusement grosse et longue !! Une femme rĂŞve de connaĂ®tre ça une fois dans sa vie !! ne serait ce que pour savoir ce que ça fait quand elle vous pourfend le ventre !! tu te rends compte, demain le stage se termine, j’aurais pu passer Ă cĂ´tĂ© d’une telle opportunitĂ© sans jamais le savoir, si je n’avais pas penser Ă venir te demander de l’aide pour retrouver ces deux fugueuses qui n’étaient pas dans leur lit. La veille des dĂ©parts, le soir, il y a toujours de multiples fugues et, surtout sexuelles ! ! ! Et si elles n’avaient pas cette aventure avec toi pour que je te trouve nu… !! en fait je devrais leur ĂŞtre reconnaissante !. » Tout en parlant elle s’était agenouillĂ©e Ă cĂ´tĂ© de moi et sa main commença Ă caresser avec une douceur indicible, ma verge tendue, de haut en bas, tendrement, doucement, en tournoyant autour du cylindre, en insistant sur le gland, en cajolant les bourses, des mains expertes ! rien Ă voir avec les mouvements bruts, maladroits et pressĂ©s de mes 2 fĂ©es de tout a l’heure !. Elle semblait y prendre un plaisir profond et vouloir le faire durer le plus longtemps que possible. « Mais il est tout imbibĂ© d’huile ! ! ! « dit-elle, tu…, tu ne vas pas me dire que tu les as enculĂ©s !? un engin pareil dans des chattes de nymphettes j’ai dĂ©jĂ du mal Ă y croire !!, voire dans leur anus peu, voire pas rodĂ©Â ! ! ? ? dis, c’est pas ça, tu as poussĂ© le bouchon trop loin, disons plutĂ´t le noeud de ce gland lisse, doux et…provoquant !? ? » « vous savez, non seulement elles Ă©taient consentantes, mais elles ont demandĂ©, redemandĂ© et ont guidĂ© elles mĂŞme toute l’action ! ! En fait il faut savoir que je ne veut jamais m’imposer Ă une femme ! susciter ses dĂ©sirs oui, mais pas la « forcer » Ă accepter mes envies, car avec mon calibre je risque de leur faire souffrir au lieu de leur donner du plaisir et de plus quand elles mènent elles mĂŞme les rapports elles savent comment prendre au mieux leur plaisir. » je pensai alors que depuis que j’ai pris conscience de la grandeur de mon sexe je me suis dit que ce surplus de taille reçu de la nature n’était pour mon plaisir (car un sexe bien plus petit me donnerais presque autant de plaisir, et me ferais certainement apprĂ©ciĂ© par les femmes pour autre chose que pour la taille de ce qui pend entre mes cuisses ) mais pour le bien-ĂŞtre des femmes. Aussi je les laisse en jouir Ă leur guise, comme, quand et autant qu’elles le veulent. Je m’arrange pour ĂŞtre toujours Ă la hauteur de leur dĂ©sir et leurs fantasmes. Pour pouvoir assurer j’ai fait très tĂ´t des recherche et j’ai compris ( et appliquĂ©) qu’une consommation quasi quotidienne depuis l’age de 17 ans, de gelĂ©e royale, ginseng, spiruline, germe de blĂ© (appelĂ©s les 4 super aliments pour la santĂ©, la vitalitĂ© gĂ©nĂ©rale et la fertilitĂ© – dont une forte production de sperme Ă©pais et volumineux et Ă l’odeur musquĂ©e-),pollen de fleur, graine de courge, ail (idĂ©ale pour lutter contre les problèmes de l’appareil sexuel masculin), zinc (oligo Ă©lĂ©ment de la sexualitĂ© masculine.–idĂ©ale pour lutter contre les problèmes de prostate-) et vitamine E (antioxydant – vitamine de la sexualitĂ© ) et C (antioxydant -rĂ©sistance Ă la maladie, antifatigue, permet une rĂ©cupĂ©ration sexuelle rapide) et quelques plantes rĂ©putĂ©es telles le Guarana, le Damania (appelĂ© bois bandĂ© aux Antilles), Gingembre (Plantes qui augmentent la force et vigueur sexuelle masculine). Cette consommation rĂ©gulière a peut ĂŞtre jouĂ© dans l’accroissement de la taille de mon sexe jusqu’à 24 ans et m’a garantit vitalitĂ©, vigueur, rĂ©sistance Ă la fatigue, maintien de la jeunesse, des performances physiques et sexuelles, rĂ©cupĂ©ration rapide, retrouver tout de suite une autre Ă©rection après une Ă©jaculation, un volume de sperme important (une consommation d’arachide 2 ou 3 fois par semaine y contribue Ă©galement beaucoup). Je fut tirĂ© de mes pensĂ©es quand la directrice dit « si il a put entrer dans leur petit trou il devrait satisfaire les miens sans problèmes ! ! ? Oh oui je veut le sentir partout ! ! ! comme il est dĂ©jĂ bien huilĂ© je vais commencer par mon cul ! » Elle se releva, dĂ©boutonna sa robe de haut en bas. ArrivĂ©e aux boutons au niveau du nombril ses seins surgirent hors du tissu ne demandant qu’à être sucĂ©s, mordillĂ©s, malaxĂ©s. L’approche de son bas ventre suscitait une tentation vive qui atteint son paroxysme quand elle dĂ©voila une large culotte en dentelle très transparente laissant distinguer son pubis Ă©pais. C’était une femme mĂ»re, elle devait avoir entre 45 et 50 ans. Ses Seins n’étaient plus fermes mais tombant quoiqu’encore volumineux et pourtant ils m’attiraient quand mĂŞme. son ventre avec ses rondeurs et replis n’enlevait rien Ă mon dĂ©sir de l’embrasser, le caresser. Elle vint au-dessus de ma tĂŞte, retira sa culotte puis Ă©carta ses jambes pour me prĂ©senter son sexe reluisant jaillissant de ses poils brillants telle une superbe et grande orchidĂ©e pourpre vernissĂ©e de rosĂ©e matinale jaillissant d’une belle touffe d’herbe,. « Regarde comme elle mouille dĂ©jĂ beaucoup pour toi ! ! » Peut-ĂŞtre avait telle l’intention de tester mon dĂ©sir de son corps car le spectacle majestueux de cette fleur immense aux pĂ©tales larges, charnues et très dentellĂ©es jaillissant entre un petit parterre de gazon brun et les pans mielleux et sculptĂ©s de ses cuisses et paumes de fesses m’enflamma au point que mon sexe eut 2 oscillations accompagnĂ©es d’une Ă©rection encore plus forte. Vue que son regard n’avait pas quittĂ© mon Ă©norme tige plantĂ©e verticalement dans mon bas ventre elle fut tĂ©moin de ma rĂ©action et cela la libĂ©ra : « Ahh ! ca te plais. Te me dĂ©sire ! Tu me veut hein ! ! ».Elle abaissa son entre jambe vers mon visage et s’arrĂŞta juste Ă quelques centimètres de mon nez comme pour me faire humer ses senteurs fĂ©minines et juste effleurer ses lèvres en pĂ©tales dentellĂ©es du bout de ma langue et me dĂ©lecter de son nectar ( un dĂ©lice !).( Certain son plus attirer par les jeunes femmes ou les minces. Pas moi ! car je considère que plus que la plastique ou l’agencement de la chair fĂ©minine c’est la nature fĂ©minine dans sa totalitĂ©, dans son expression charnelle, Ă©motionnelle, intellectuelle qui m’attire. La jeunesse du corps importe peut si il n’y a pas la sĂ©duction, le charme, l’ambiance, l’atmosphère, l’expĂ©rience, l’hygiène fĂ©minine. Qu’elles soient jeunes ou âgĂ©es c’est toujours la mĂŞme Essence FĂ©minine qui anime le corps d’une femme. Jeune cette essence Ă l’atout de la fraĂ®cheur, d’une peau neuve et d’une ouverture Ă la Vie comme une fleur qui ouvre ses pĂ©tales nouvelles et dĂ©licates. AgĂ©e cette essence Ă l’atout de la saveur, la sĂ©duction vraie et d’une vie d’expĂ©riences comme un fruit qui, en mĂ»rissant a gagnĂ© en couleurs idĂ©ales, forme gĂ©nĂ©reuse, parfum, goĂ»t et texture appĂ©tissants et plus enivrant. Le corps donc de toutes femmes est un cadeau des sens et du cĹ“ur. ). Sentant le contact de ma langue elle poussa un petit « Ouhh ! » vibrant et plaqua alors toute sa fleur sur ma bouche. Elle ajouta « lèche la bien et quand ta bouche et la langue seront bien humide de ma cyprine, tu va prĂ©parer tout mon anus en le lubrifiant Ă fond pour te recevoir dit… aller je commence Ă ne plus pouvoir attendre plus longtemps ! ! ». Son vulve traduit son excitation car je reçu une giclĂ©e de nectar chaud, visqueux et parfumĂ© dans ma bouche. J’appliquai toute mes lèvres Ă essuyer ses pĂ©tales extrĂŞmement douces et ma langue Ă ramoner l’intĂ©rieur feutrĂ© de son orchidĂ©e le plus loin quelle pouvait aller. Sans me laisser terminer, elle fit un mouvement de ses hanches majestueuses, qui emplissait Ă souhait tout mon champs visuel, pour amener son anus vers ma bouche et que je mette en exĂ©cution son plan lubrique, avec mon plus grand plaisir. Sans attendre je passai lèvres et langue dans sa fente de fesse, autour et sur son Ĺ“illet d’un rose nettement plus foncĂ© et aux replis nombreux et profonds. Puis, comme une Ă©vidence et poussĂ© par une force irrĂ©sistible, j’introduit ma langue, que j’allongeai en pointe, dans son anus, Ă l’entrĂ©e puis de plus en plus profond. La parois intĂ©rieure Ă©tait lisse et douce Ă la folie, comme tout intĂ©rieur d’anus de femme au contact de la langue. Elle dĂ©tendit son muscle anal au point que ma langue, d’abord comprimĂ©e, Ă©tait maintenant bien plus Ă l’aise dans son intromission. Elle entama un mouvement rapide et insistant de va et viens de haut en bas forçant ma langue tendue Ă entrer et sortir de son anus en le ramonant littĂ©ralement. Après un vingtaine l’aller et retour elle se souleva et dit « il est prĂŞt, je pense pour le grand voyage ! ! ! ». Elle amena son fessier vers mon sexe devenu encore plus dur et gros après cette expĂ©rience dĂ©licieuse. Elle le prit Ă pleine main et amena mon gland vers l’entrĂ©e de son anus. Elle s’assied dessus et poussa vers le bas avec fermetĂ©. Je senti sa chair s’ouvrir et progressivement, brĂ»lante, se refermer pleinement sur ma bite. Après une rĂ©sistance qui fit stopper la progression, elle donna un coup brusque de son bassin vers le bas et accĂ©lĂ©ra son mouvement. Ses fesses se rapprochaient irrĂ©sistiblement de mon bassin et très rapidement, dans un halètement rauque, elle Ă©tait assise sur moi, immobile, comme empalĂ©e sur un pieux de dĂ©lice qui emplissait profondĂ©ment tout son bas ventre. Elle continua encore pendant un moment Ă haleter puis elle dit « Oh ! non ! c’est trop bon ! ! c’est tellement bon que je ne sens plus mes jambes, je suis paralysĂ©e de plaisir ! ! aller essaye de te relever sans qu’il ressorte et ramone moi jusqu’au fond, je t’en prie ! ! je le sens comme dans tout mon ventre, dans ma gorge et maintenant je veux qu’il mette mon cul, mon ventre en feu, en bouillie…je veux m’évanouir d’un plaisir insoutenable ! ! allez…allez ! ! » Je me lever avec prĂ©caution et me retrouvai debout au-dessus d’elle agenouillĂ©e, les coudes au sol, m’offrant son cul sublime. Ma verge dĂ©mesurĂ©e Ă©tait au Âľ dans son anus tellement dilatĂ© qu’on s’attend rait Ă ce que la peau se coupe Ă tout moment ! ! je restai un instant Ă observer ce spectacle merveilleux. Je fut tirĂ© de ma contemplation par un « allez pilonne moi, ramone moi au fond, vite ! ma vulve mouille dĂ©jĂ un maximum, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps car je vais vouloir bientĂ´t ta bite de rĂŞve dans mon con ! ! » alors elle se mit Ă mettre sa main sur son clitoris et entama un mouvement d’oscillation rapide en gĂ©missant. Je l’accompagnais en commençant mon va et viens dans son cul dont l’entrĂ©e se dilata alors un peu. « allez plus fond, plus fort…aaahhggg ! ! Rapidement je parvins par la force des assauts Ă pĂ©nĂ©trer la totalitĂ© de ma bite. Je la sentis vaciller, ses jambes lâcher sous mes coups et sous le plaisir.Je la reteint de mes 2 mains et j’accĂ©lĂ©rai le mouvement. Je sentis ma bite grossir encore et sur le point d’exploser. Elle poussa un râlement et des paroles presque incomprĂ©hensibles : « je m m m meurs, je v v vois trouble, t t trop bon, n’arrĂŞte pas, Ahh ! ! Ahh ! ! » Des Ă©clairs de plaisirs me traversèrent alors le bas ventre et je sentis ma bite Ă©clater dans sa chair et mon jus exploser en elle hors de moi en jets interminables. Elle poussa un cri je ne sais si c’est de douleur ou d’extase et elle s’affala sur le ventre par terre,de toute sa longueur faisant ma verge sortir des cavernes de son anus avec une surprenante facilitĂ©. Son oeillet n’était un large trou bĂ©ant qui rĂ©vĂ©lait la chair rose foncĂ©e, lĂ©gèrement plissĂ©e et vernissĂ©e du fond de son anus. Quelle antre de dĂ©lice !!!. Progressivement il se referma et expulsa un petit filet d’un liquide blanchâtre. Vu tout ce que je lui ait envoyĂ© au fond de son ventre comme sperme et le peut qui ressort, ses intestins on du tout aspirer !! . Je la touchai pour savoir si elle Ă©tait Ă©vanouie. Mais elle bougea la main droite et dit « Ca va, t’en fait pas, tu as Ă©tĂ© super !, je suis morte de plaisir !! je n’oublierais jamais ça ! !Oui mais on n’as pas fini ! ! mon petit con est en feu de dĂ©sir depuis tout Ă l’heure, allez viens que je remette ta bite en forme avec mes seins que tu lorgnais avec tant d’envies quand je me dĂ©shabillais, viens ! tu verra mes massages pourraient rĂ©veiller un mort. Je vais t’en faire un spĂ©cial en rĂ©ponse Ă ta sodomie spĂ©ciale. Tu aura le grand jeu tu verras et ensuite tu n’oublieras jamais ce que ma palourde va te faire ressentir tout Ă l’heure. Tu sais j’ais entraĂ®nĂ© depuis 15 ans mes muscles du vagin pour malaxer, enlacer, caresser…c’est magique. Je m’approchai d’elle avec une certaine hâte. Elle avait les genoux au sol, sa poitrine au niveau de mes hanches. Elle soupesais ses 2 seins telle deux offrandes vivantes prĂ©parĂ©es mĂ©ticuleusement depuis 10, 15, 20 ans au point que je les trouvais superbes, les pointes des mamelons dĂ©sirables et provoquant d’invitation Ă les lĂ©cher, sucer, mordiller. Par ses paroles, ses attentes, l’expression sincère et directe de ses dĂ©sirs, son aspiration profonde Ă s’offrir, Ă donner tout, Ă recevoir tout, sans complexe, sans tabous…cette femme me charmais, m’envoĂ»tais, m’ensorcelais et, Ă ma grande surprise, cet Ă©tat me dĂ©clencha une nouvelle Ă©rection quasi immĂ©diate, au premier contact avec la peau de ses seins. C’est ce que les femmes et beaucoup d’hommes ne comprennent pas. Les grandes sĂ©ductrices, amantes, maĂ®tresses n’ont pas forcement un corps de rĂŞve mais elles savent parler aux hommes, crĂ©er l’atmosphère, l’ambiance, le dĂ©sir vibrant, faire disparaĂ®tre les « dĂ©fauts » de leur plastiques derrière un talent, une expĂ©rience, un savoir faire naturel. On a une envie de l’enlacer, l’aimer follement, l’enlever vers de folles aventures, fusionner avec elle, avec cette essence fĂ©minine si attrayante, apaisante, envahissante, fascinante, dĂ©licieuse…lĂ l’âge, la race, les critères sociaux etc…disparaissent pourqu’une relation vraie, pour bannir le superficiel, le visuel s’établisse comme un aveugle qui rencontre une aveugle et qui se laissent aller Ă un Ă©change de sensations, Ă©motion, perceptions, aspirations. Elle pris ma bite Ă sa main pour l’amener Ă sa poitrine. Elle approcha ses yeux de mon membre et dit : « Ahhh ! ! si je savais que j’aurais eu un invitĂ© si fond dans mon anus, en plus du bon accueil que je lui ait fait, je lui aurais prĂ©parĂ© un salon bien propre grâce a un petit lavement. Parce que ton gros bâton de chocolat m’a donnĂ© de bonnes choses, une bonne crème chaude, et Ă©lectrique mais je ne lui ai pas donnĂ© de bonnes chose…il ne le mĂ©ritais pas ! la il a des petits dĂ©pĂ´ts ça et lĂ Â ! on va arranger çà et la prochaine fois je vais lui prĂ©parer ce qu’il y a de meilleur en moi ! ! promis ! ! ! Elle pris : : : : :. J’avais une bouteille d’eau et une bassine dans un coin. Elle les pris, amena la bassine sous mon sexe et versa un peu d’eau sur la verge tout en y passant la main plus en une caresse durable qu’en un nettoyage. Son attention et la dĂ©licatesse de ses gestes me sĂ©duisaient et ma verge commença Ă rĂ©agir. Ă€ ce constat elle arrĂŞta, dĂ©plaça la bassine et replaça ma bite entre ses seins peut ĂŞtre pour accroĂ®tre mon Ă©rection naissante et aussi pour sentir mon sexe grossir avec chaleur entre ses seins, près de son coeur. et Elle n’eu pas besoin de malaxer longtemps ma verge de ses seins spongieux et soyeux. Elle savait crĂ©er les conditions pour que mon dĂ©sir d’elle s’enflamme et se projette vers mon sexe qui se gonflait dĂ©jĂ et de nouveau au maximum. « Ahh mon petit con va attendre parce que je veux profiter pendant qu’il est tout propre pour le recevoir tout entier aussi dans ma bouche » Elle abaissa la tĂŞte vers sa poitrine et avala mon gland alors que le reste de ma verge Ă©tait encore prisonnier bĂ©nis de ses seins. Elle entama alors un mouvement de va et viens de son tronc qui a la fois fit ses seins malaxer mon pĂ©nis dans sa longueur et pĂ©nĂ©trer mon gland et ÂĽ de ma verge dans sa bouche. Ă€ certains moment elle arrĂŞtais, laissant le gland entre ses lèvres pour commencer Ă jouer avec lui en une multitude de coups de langues doux et humides…une folie ! ! Je sentis un afflux de sang envahir mon sexe qui durci et grossit Ă l’extrĂŞme. Elle dut ouvrir encore plus la bouche qui semblais ne plus pouvoir s’ouvrir plus. De tant Ă autre elle laissais s’échapper des petits gĂ©missements. Maintenant elle enfonçait le gland dans sa bouche et le fit frotter contre la paroi intĂ©rieure de ses joues. La sensations Ă©tait sublime, insupportable de plaisir. Si elle n’avait pas arrĂŞtĂ© ma bite jusqu’au fond de sa bouche en la pressant Ă la base pendant longtemps pour m’empĂŞcher de gicler mon foutre qu’elle sentait venir. Puis, sans sortir mon sexe (tellement dur que le plaisir que j’y ressentais se mĂŞlait maintenant Ă de la douleur) de sa bouche, entrepris quelque chose d’incroyable : elle entreprit des aspirations-succions sur ma verge comme pour faire sortir son jus profondĂ©ment enfoui puis l’introduisit au fond de sa bouche dans sa gorge comme pour l’avaler, et une fois mon gland dans sa gorge elle se mit Ă contracter les muscles de sa gorge ce qui eu pour effet d’emprisonner l’avant de ma bite dans une presse chaude et lisse. puis elle relâcha la pression, ressort la verge, l’aspire en succion de nouveau, ainsi de suite 4 ou 5 fois et lĂ je sentis un Ă©clair venir et me traverser le bas ventre jusqu’à mon sexe et mes pieds, des soubresauts animèrent la verge. Quand elle compris ce qui venait elle pris les paumes de mes fesses dans ses mains et plaqua mon bassin dans son visage au point que mon sexe Ă©tait dans la moitiĂ© de sa longueur dans sa bouche, et forcĂ©ment aussi sa gorge (car je senti Ă ce moment le gland comme comprimĂ© fortement par un puissant Ă©taux) quand je me suis dĂ©chargĂ© de façon interminable : DĂ©lirant et affolant avec cette pression aspirante de toute sa gorge sur la pointe de ma verge. Dès la première giclĂ©e elle avait introduit un doigt dans sa vulve humide et l’avait introduit rapidement dans mon anus et exerça une pression sur ma prostate ce qui augmenta la durĂ©e de l’éjaculation et le volume de sperme qu’elle aspira et avala jusqu’à la dernière goutte. Quand mon sexe sorti de sa bouche aucune trace de sperme ni de lubrifiant ou salive ne subsista et elle passa sa langue sur ses lèvres et sourit de dĂ©lectation alors que moi je faillit m’évanouir des suite de l’intensitĂ© du plaisir que je venait de vivre.Et elle renchĂ©rit : « Ahh maintenant ma petite chatte n’en peut plus il faut que je te fasse retrouver ta vigueur car elle t’attends ! ! ! ». Semblant vouloir ĂŞtre dominatrice je m’étendit sur le dos. Elle souleva mon pĂ©nis et se mis Ă lĂ©cher avec douceur mes bourses comme les boules d’un cornet de glace, puis descendit sa langue doucement des bourses vers l’anus ou elle s’arrĂŞta et insista. Puis elle introduisit la pointe de sa langue dans mon anus en jouant des doigts et de la paume d’une main avec mes bourses et de l’autre elle dĂ©gagea le gland et passa un doigt en mouvement circulaire a sa pointe. Au bout d’une ou deux minute de cette recette fabuleuse je retrouvai un Ă©rection pas maximale mais satisfaisante. Elle termina de durcir encore un peu mon membre en humectant ses deux mains de sa salive qu’elle referma sur la longueur du pĂ©nis avant d’entamer un vas et viens lancinant. Puis elle cracha une quantitĂ© importante de salive sur le gland et viens s’empaler sur lui sans retenu ni dĂ©licatesse. Son visage Ă©tait ravagĂ© durant longtemps par une grimace, yeux fermĂ©, bouche entrouverte et elle resta ainsi immobile plantĂ©e sur mon pieux enfoncĂ© a moitiĂ©. Puis elle ouvrit les yeux, son visage s’apaisa, et, d’un coup de bassin vers le bas, elle ouvrit une « porte » dans les entrailles au fond de son vagin ou ma verge s’engouffra, se frayant un passage bien enveloppĂ©e dans un couloir de chair humide jusqu’à ce que mes couilles viennent buter sur ses grandes lèvres gonflĂ©es d’excitation. Incroyable !! je ne pensais pas qu’une femme serait capable d’engloutir tout mon sexe !!.En tenant compte de l’anatomie fĂ©minine l’explication serait que le col de son utĂ©rus s’est ouvert et mon pĂ©nis s’est introduit dans l’utĂ©rus. Sa respiration s’est visiblement bloquĂ©e et ses forces l’on apparemment abandonnĂ©es car elle s’est lâchĂ©e sur moi, sa tĂŞte contre mon Ă©paule, ses seins Ă©talĂ©es sur mon torse et elle resta ainsi comme Ă©vanouie durant 1 ou 2 minutes. Je sentais seulement ses muscles intĂ©rieurs se contracter puis se relâcher alternativement tout au long de mon membre dur Ă faire mal. Quand elle reprit des forces elle releva le haut de son corps et entama un mouvement de haut en bas lent qui fit sortir mon pĂ©nis a moitiĂ© puis rentrer jusqu’à la base. Chaque fois qu’elle se relevait, ma verge, en sortant de sa grotte de dĂ©lice, entraĂ®nait,accrochĂ©s Ă sa peau, des parcelles de chair rose clair reluisante hors de sa vulve sur 2 ou 3 cm. Elle introduisit un index dans ma bouche puis elle passa sa main derrière elle, sur ses fesses, puis la ramena vers mon visage et introduit le mĂŞme index dans ma bouche. Le goĂ»t sauvage, chaud et suave de son doigt laissait supposer qu’elle l’avait introduit dans son anus avant de le ramener vers ma bouche. Elle recommença indĂ©finiment ce va et viens de son doigt. Ce massage fabuleux de sa chair brĂ»lante, massive et glissante tout au long de ma verge, son index parfumĂ© dans ma bouche, accompagnĂ© de ses cris rauques et les battements harmonieux de ses 2 seins m’emporta dans un tourbillon d’excitations de tous mes sens Ă la fois. Elle accĂ©lĂ©ra les montĂ©es et descentes de son bassin en un rythme infernale et rapide alors que son cri devenait aigu. Des soubresauts et tremblements animèrent tout son corps pendant que le muscle de son vagin d’abord emprisonna Ă©troitement mon pĂ©nis puis le relâcha. Visiblement elle avait un orgasme. Elle se releva brusquement et vint plaquer son entrejambe sur ma bouche. Son sexe encore entrouvert « avala » littĂ©ralement ma bouche et la fin de son orgasme la fit dĂ©verser vers sa vulve un flot abondant de cyprine sucrĂ©e que je m’emprĂ©ssai d’aspirer totalement vers ma gorge. Ă€ peine calmĂ©e elle fit son sexe reprendre sa place sur mon pĂ©nis au comble de son Ă©rection car, après ce dĂ©licieux Ă©pisode mon excitation Ă©tait maximale. Et de nouveau elle reprit les va-et-vient de son sexe autour du mien et de son doigt de son anus vers ma bouche. Un autre orgasme s’empara d’elle Ă peine 2 ou 3 minutes après. Et de nouveau j’ai eu doit Ă une grande gorgĂ©e de son jus chaud. Elle recommença ainsi 4 fois avant que mon Ă©jaculation progressa depuis les entrailles de mon bas ventre vers mon gland en pression intense et intenable. Sentant mon explosion venir, elle s’empala de toute ses forces sur ma verge au point de comprimer littĂ©ralement mes bourses avec ses fesses. Elle dit alors : « cette fois inonde moi entièrement tout l’intĂ©rieur avec ton foutre ! je veux sentir ton jet avec toute sa puissance au fond de mon ventre ! allez viens vite ! ! » Cela suffit pour annihiler toute retenu et mon bas ventre fut traversĂ© par un Ă©clair. Je sentis un flot brĂ»lant remonter dans ma verge emprisonnĂ©e bien au chaud dans la grotte formĂ©e par son vagin et son utĂ©rus et, en proie Ă des soubresauts rapides, mon pĂ©nis projeta plusieurs jets puissant de sperme dans ses entrailles bouillonnantes. Elle Ă©tait tellement plaquĂ©e sur mon bas ventre que je ne pu pas la soulever par les coups de bassin que je donnais vers le haut accompagnant mon Ă©jaculation. Elle ferma les yeux et resta sans bouger en poussant un soupir de satisfaction suivi d’un « c’est magique ! ! j’ai l’impression que ton essence et ta chaleur m’inonde tout le corps ! ! Hummm ! » et immobile, pendant longtemps savourant le moment. Reprenant ses esprits, elle se leva, remis sa culotte puis sa robe et en sortant avec prĂ©cipitation de la tente se retourna et dit : « tu as Ă©tĂ© majestueux, sublime ! ! ! il n’existe aucun mot pour te remercier. Repose toi bien ! ! tu le mĂ©rite bien ! ! ». Après une nuit aussi animĂ©e, effectivement je ne tardai pas Ă trouver le sommeil.Le lendemain, lors de la rĂ©ception du dĂ©part, mes 2 fĂ©es de la nuit m’adressèrent des regards furtifs qui en disaient long sur leurs pensĂ©es. La directrice du camps m’adressa la parole que pour me dire Ă voix basse: « Je ne t’oublierais jamais! ! et l’annĂ©e prochaine, sache que tu sera le bienvenue, n’hĂ©site pas Ă revenir, je serais ta servante et ta dĂ©esse durant toute les nuits. D’ici lĂ je penserais très souvent Ă toi, mon Ă©talon, …oui certainement tous les jours avant de m’endormir». Elle tourna la tĂŞte, mais avant il m’a semblĂ© apercevoir une minuscule larme perlĂ©e dans le coin de son Ĺ“il droit.La Femme est vĂ©ritablement le plus beau cadeau de la Nature Ă l’homme! ! !Autre Volumes de « MES EXPERIENCES FEMININES » disponibles :Volume 2 : Lors d’un Voyage en TrainVolume 3 : Une Visite mĂ©dicaleVolume 4 : Dans les toilettes d’une administrationVolume 5 : SĂ©jour Ă l’hĂ´pitalVolume 6 : Un jour Ă la plage aux AntillesVolume 7 : Au cour d’une randonnĂ©e aux CascadesVolume 8 : Un couple d’auto-stoppeur