RésuméJ’ai rencontré Sylvie et Karl à la suite d’une annonce de ce dernier sur Internet. La mission qu’ils m’ont confiée était d’éduquer Sylvie dans un rôle de « soumise ». La première séance, chez eux, s’est déroulée à la perfection, Sylvie se révélant particulièrement réactive. Pour parfaire son éducation, ils désirent m’inviter à déjeuner.— Nous déjeunerons à la cuisine, Sylvie, si vous voulez bien.— Bien, Maître.Je désire que nous prenions le repas dans la pièce où d’ordinaire une femme d’intérieur règne en maîtresse de maison. Ma domination ne sera que plus grande, si elle joue réellement son rôle de soumise bien entendu.J’invite Karl à rester dans sa nudité et à rejoindre la cuisine pendant que Sylvie dresse la table. Seulement deux couverts sont en place, Sylvie ayant déjà déjeuné avant mon arrivée. Mais je préfère m’en assurer :— Soumise ! Vous avez déjà déjeuné ?— Oui, Maître. Comme vous me l’aviez ordonné ! J’avais fini de manger juste avant votre arrivée.— Parfait ! Que nous avez-vous préparé ?— Une salade composée au saumon, Maître.— Excellente idée. Mais avant de nous servir, je vous prie de ramasser les affaires de Karl qui traînent au salon.— Oui, Maître.— Et chaussez-vous de hauts talons pour le service.— Bien, Maître.Il faut peu de temps à Sylvie pour ramasser les affaires de Karl qui jonchaient le tapis du salon. Elle réapparait dans la cuisine, fière d’afficher ses nouvelles chaussures à talons aiguilles de haute couture. Elles ornent ses magnifiques pieds de façon resplendissante et rendent un galbe parfait à ses jambes. De plus, sa démarche en est plus gracieuse.— Très jolies chaussures. Je vous félicite.— Merci, Maître. J’ai de suite flashé sur elles lorsque je les ai vues en vitrine. Et dès lors que je les ai essayées, j’ai su qu’elles étaient faites pour être portées par une soumise.— J’apprécie beaucoup les efforts que vous faites pour vous parfaire dans votre nouveau rôle.— Merci, Maître, dit-elle en rougissant.— Cela dit, votre robe est toute sale. Ne voyez-vous pas ?— Si, Maître ; désirez-vous que j’en passe une autre, Maître ?— Du tout, vous nous servirez nue !— Avec plaisir, Maître.Elle se place à genoux à mes côtés, droite, les mains jointes au bas du dos.— Vous serait-il possible, Maître, de m’aider à glisser la fermeture placée dans le dos ?— Effectivement, elle est bien fine. Voilà !— Merci, Maître.Elle se relève face à nous, se défait de sa robe lentement, comme si elle savourait intensément ce moment où elle va se dévoiler à son Maître. Car il est vrai que je ne l’avais pas encore vue nue jusqu’à présent. Son corps joliment bronzé dans cet ensemble de sous-vêtements en dentelle rose pâle me fait presque regretter de lui avoir ordonné de se dénuder entièrement. Les mains derrière le dos, elle dégrafe aisément son soutien-gorge, qu’elle retire de façon érotique pour que ses seins nous apparaissent en une tenue parfaite. Elle se penche légèrement pour retirer délicatement sa petite culotte.— Vous garderez vos chaussures, bien entendu !— Oui, Maître.Elle tourne sur elle-même, comme pour me faire apprécier ce qu’elle a plaisir à m’offrir. Son corps est magnifique. Ses seins à peine lourds se tiennent hauts et fiers. Son sexe épilé est des plus gracieux. Ses fesses, bien que rouge écarlate par la punition subie récemment, sont parfaitement dessinées, invitant le plus simple mortel au désir le plus fou, celui de l’honorer de la plus belle des sodomies qui puisse exister.— Vous êtes magnifique, chère Soumise. Sachez que je suis ravi de vous éduquer.— Merci, mon bon Maître.— Servez-nous à présent !— Oui, Maître.La situation peut paraître cocasse. Je suis le seul à être vêtu. Car le but est d’accentuer mon ascendance psychologique sur eux mais surtout sur ma soumise, qui me voit ainsi comme son seul Maître.Karl a débouché une bouteille de bordeaux rosé suffisamment frappé pour accompagner les salades que nous a servies Sylvie. Quant à elle, elle reste silencieuse, agenouillée à mes côtés mais surtout attentive que nous ne manquions de rien. Discrètement, elle se lève, nous ressert du vin et reprend sa position près de moi. Elle se conduit de façon parfaite. Je l’invite même à reposer son menton sur ma cuisse. Il me semble qu’elle se délecte de m’appartenir, en fermant les yeux.Le repas englouti, je vide mon verre et invite ma soumise :— Allez vous chercher un coussin au salon pour mettre sous vos genoux !— Oui, Maître.— Vous me rapporterez aussi ma cravache. Attention, il vous est interdit de la saisir avec vos mains !— Bien, Maître.Elle a parfaitement compris comment elle doit agir.Karl est dubitatif.Se sentant observée, elle s’applique à nous renvoyer une image parfaite d’une soumise idéale. Elle se dirige vers le salon de la démarche de mannequin que lui confèrent ses hauts talons aiguilles. Attrape un petit coussin écru et le place au sol, face à la table où repose la cravache. S’agenouille sur le coussin, pose en évidence ses mains sur ses cuisses et se saisit de l’instrument avec les dents. Se relève tout en ramassant le coussin. Se dirige vers moi, se positionne à mes côtés, dépose le coussin à terre, prend place à genoux dessus, joint les mains dans le dos, se redresse, pivote le buste vers moi, relève la tête et me tend la cravache avec ses dents. Son œil est fier.Karl en est admiratif. Dire qu’il y a peu de temps, il n’aurait jamais pu soupçonner son épouse, directrice des ressources humaines d’une importante société de produits pharmaceutiques, de se conduire ainsi, surtout face à un inconnu ! Bien sûr, lors de leurs ébats, ils avaient joué à s’attacher avec des foulards, voire à lui donner quelques fessées lorsqu’il la prenait en levrette, mais jamais il n’aurait pu imaginer qu’elle puisse arriver à ce niveau de soumission.Je me saisis de la cravache de la main droite, la pose à côté de mon assiette et lui tend à nouveau ma main. Elle l’embrasse tendrement, affectueusement.— Karl ! Avez-vous effectué les achats que je vous avais prescrits ?— Tout à fait ! J’ai respecté scrupuleusement les consignes, à savoir : emballer chaque achat de façon séparée, et les numéroter dans l’ordre que vous m’avez précisé.— Très bien ! Et Sylvie n’était au courant de rien ?— Absolument ! J’ai rempli ma « mission » dans la plus grande discrétion !— Parfait ! Allez donc nous les chercher, je vous prie.Ravi de me présenter ses achats, Karl les dispose par ordre numérique face à moi. Sylvie, toujours à genoux à mes côtés, est interrogative. Je lui flatte la tête comme pour lui signifier que ce sont bien des présents pour elle.Je déballe le paquet où est affiché le chiffre 1. Il s’agit d’un magnifique « collier de chien » avec sa laisse spécifique pour les soumises. Je le présente à Sylvie.— Soumise ! Par ce collier, je te fais mienne. Porte-le en guise de ta soumission envers moi.— Merci, mon Maître. J’espère en être digne, mon bon MaîtreJe lui passe délicatement le collier autour du cou et accroche à l’anneau la laisse, dont la poignée est placée par mes soins entre les dents de Sylvie. Elle resplendit de fierté de porter ainsi ce présent, signe de sa soumission à ma personne, mais aussi de tenir entre ses dents la poignée de la laisse. Maintenant, bien plus que soumise, elle se sent chienne !Karl ne s’est pas fichu de nous. Il a fait faire sur mesure un collier rigide en titane qui s’articule sur une fine charnière et ayant pour verrouillage sophistiqué l’anneau dans lequel s’accroche le mousqueton de la laisse. La laisse est spécifiquement dédiée au dressage de soumise. Sur le mousqueton est montée une barre ronde et rigide de trente centimètres de long et d’un demi-centimètre de diamètre, en titane également, sur laquelle vient se greffer une lanière et sa poignée de cuir rouge. L’avantage du titane, c’est que cet ensemble est très léger et parfaitement bien adapté au cou et à la morphologie de la femme.J’attrape le second paquet. Il s’agit d’un martinet tout en cuir. J’en promène les lanières sur la poitrine de Sylvie. Ses tétons s’érigent à leur contact.Le troisième renferme différents sex-toys. Je les expose un à un sur la table. Sylvie est des plus attentives quand j’énumère leur nom. Pour la plupart, ni Karl, ni Sylvie n’en soupçonnaient l’existence, même si l’usage leur paraît moins douteux. Je dois avouer que Karl n’a pas regardé à la dépense. Il n’y a sur la table que des objets de très grande qualité.Tout d’abord, un magnifique godemiché vibrant imitant à la perfection un phallus en érection. Ses dimensions impressionnantes rejoignent celles du sexe de Karl. Il est fortement membré. À côté du mien, je ne joue pas dans la même catégorie ! Cependant, il n’y a que les hommes pour croire que plus la taille du sexe chez l’homme est grande et plus la femme prend du plaisir. S’ils savaient qu’un sexe de sept centimètres uniquement peut donner autant de plaisir, sinon plus, qu’un de vingt-six, ils en ravaleraient leur prétention.Le second est un double-dong de couleur noire, toujours de très grande taille.Le troisième se présente comme un chapelet de petites boules de diamètre croissant, principalement pour usage anal, et enfin le dernier, celui à mon sens que toutes femmes devraient avoir en permanence en soi ou dans leur sac à main : des boules de geisha.Le dernier paquet, très imposant par sa taille, renferme un jeu de cordes d’escalade, idéal pour des séances de bondage.Je félicite Karl pour le choix de ces achats et de leur qualité.— Karl, vous seriez assez aimable de nous servir le café au salon.— Volontiers.Nous nous redressons en même temps. Lui à s’affairer à la préparation du café, moi à récupérer la poignée de la laisse de la bouche de Sylvie. Elle a pour réflexe de se lever, pensant me suivre au salon, mais le bout de la cravache appuyé sur son épaule, elle se ravise et me suit à quatre pattes jusqu’au canapé. Une fois que je suis assis, elle se repositionne à genoux à mes côtés, les fesses reposant sur ses talons et les mains jointes à nouveau dans le dos, sa tête posée sur ma cuisse.— Soumise ! Rapportez-moi les boules de geisha que j’ai laissées sur la table de cuisine.— Oui, Maître.Elle va pour se lever que je la retiens à nouveau du bout de la cravache, lui faisant comprendre après avoir détaché sa laisse qu’elle doit s’y rendre à quatre pattes. Elle s’éloigne ainsi de moi en dandinant du cul. Elle devine que je l’admire, aussi en profite-t-elle pour adopter une démarche féline. Arrivée à la table de la cuisine, elle ramasse les boules avec sa bouche et revient, toujours à quatre pattes, se positionner près de moi. Karl la suit avec nos deux cafés. Je demande à Sylvie de prendre position sur la table. Sa réaction ne se fait pas attendre ; déjà, elle se place sur la table du salon, les fesses bien hautes, le visage reposant sur ses mains. Je récupère les boules de sa bouche et les lubrifie en les trempant dans mon café. Karl se dévisse la tête pour admirer ma façon de procéder. Maintenant que les boules baignant dans le café sont bien chaudes, je les glisse sans aucune difficulté dans le vagin de ma soumise. Le contact brûlant et l’introduction des boules la surprennent. Mais bien vite, elle se met à contracter ses muscles vaginaux presque malgré elle, tant le plaisir naissant est appréciable.— Prenez tout le plaisir que vous désirez, chère Soumise, mais je vous interdis d’atteindre l’orgasme. Prenez votre temps. Savourez ce plaisir que vous procurent ces boules placées en vous.— Oui, Maître. C’est magnifiquement bon, feule-t-elle.— Karl, était-ce la première fois que vous receviez un anulingus ?— Oui et j’en suis encore tout émoustillé.— Voulez-vous nous raconter ce que vous avez ressenti, vous Sylvie en le lui prodiguant et vous, Karl, en le recevant ?— Après ma correction méritée, Maître, je n’ai plus vu l’anus de Karl comme un orifice de dégoût, mais comme une zone érogène que je lui devinais très sensible. Aussi, ai-je voulu le goûter en pointant ma langue directement dans sa… hum…, « rondelle ».— Très bien, Soumise ! À vous Karl.— Dès que j’ai senti la langue de Sylvie s’immiscer dans mon anus, j’ai eu une érection immédiate. Jamais cela ne m’était arrivé auparavant. Je sentais une douce fraîcheur, certainement due à son souffle, m’envahir le cul. La répétition des coups de langue me faisait tendre la bite.— J’aimais son goût, je voulais un moment le dévorer. Je comprends mieux maintenant l’expression « lui bouffer le cul ». Je trouvais ma langue trop fine, alors je lui ai branlé son trou avec le menton par un moment.— Oui, et tu m’as gobé les couilles aussi, ça a été bon.— J’ai aussi craché dans ton sphincter, pour l’humidifier au possible…— Et tu me fouillais de ta langue !Ils sont partis dans leur dialogue. Ils ne mesurent même pas les propos crus qu’ils emploient. Au fur et à mesure de leur bavardage, Karl bandant déjà très fort, se caresse. Sylvie ondule de plus en plus sa croupe en jouant de la contraction de ses muscles vaginaux sur les boules de geisha.— C’est quand le Maître t’a ordonnée de me branler que j’ai quitté le monde réel. Je ne savais plus où j’en étais. Mais je ne m’explique pas comment tu as pu jouir en me branlant et en me léchant le cul uniquement.— Tout en te léchant et en te masturbant, la douleur qui me tenaillait les fesses suite à ma correction a fait place d’un seul coup à une onde de chaleur si intense que j’ai senti comme un courant électrique qui me venait de toutes mes fesses et me remontait à la nuque. J’ai imploré mon Maître de me laisser jouir au moment même où l’orgasme m’emportait.— C’est aussi à ce moment, quand il nous a autorisés à jouir avec cette voix qui lui est propre, que je me suis laissé emporter par le plaisir d’éjaculer intensément.— Et quelle surprise de voir que mon Maître avait recueilli ton foutre dans la flûte à champagne !— Tu t’en ai bien régalée, Salope ! fait-il tout en se masturbant fermement.— Oui et…, Maître… je sens que je vais jouir !…— Je vous l’interdis, retenez-vous !— J’ai peur de ne pouvoir y arriver, Maître.— Si vous me désobéissiez encore une fois, votre prochaine punition ne serait en rien comparable à celle que vous avez subie pour cette même faute. Vous recevriez une fessée à main nue, et je vous prie de me croire que vous souffririez à me supplier d’arrêter.J’ai fait mouche, elle reprend contrôle de la montée de son orgasme et le distille à nouveau en un plaisir entretenu.— Voilà qui est mieux, Soumise. Je suis fier de vous.— Merci, mon Maître.— Tout en continuant à vous caresser, Karl, voulez-vous prodiguer un anulingus à votre épouse ?— Avec plaisir. C’est une première pour moi, je vais tâcher de m’appliquer.— Merci, Maître, approuve Sylvie.Karl, le sexe à la main tendu vers le sol, se positionne derrière Sylvie et approche sa langue de son trou. Hésitant mais confiant, il la lèche tout d’abord tendrement puis de façon plus appuyée. La réaction de Sylvie est immédiate, l’orgasme la tenaille à nouveau au creux de ses reins. Ses fesses lui font toujours aussi mal. Elle sent à nouveau cette onde de chaleur qui lui remonte vers la nuque. La langue de son époux lui arrache de brefs cris de plaisir. Surtout ne pas jouir ! Sa tête est lovée au creux de ses mains. Comme recueillie pour se concentrer de ne pas jouir. Je me joins à eux et glisse mon majeur dans l’anus de Sylvie. Karl m’en lèche maintenant presque la main, aussi je lui désigne de descendre légèrement plus bas et de lui titiller de la langue son clitoris. Sylvie contrôle sa respiration par de fortes expirations en forme de râles sourds. Je commence à lui branler l’anus. Je la sens perdre le contrôle de temps à autre. Il faut que je la libère, maintenant, car elle ne tiendra pas longtemps. J’invite Karl à présenter son sexe face à Sylvie. Elle comprend immédiatement ce qui se trame. Mais dans un réflexe inné, elle n’ouvre pas la bouche pour sucer son mari. Lui, euphorique, ne comprend pas et tente de forcer le passage de ses lèvres soudées.— Elle ne vous sucera pas tant que je ne le lui aurai pas ordonné.— Donnez-lui l’ordre, je vais finir par lui jouir dessus, dit-il tout en se masturbant énergiquement.Je lui assène une claque sur les fesses pour son insolence.— Pardonnez-moi, mais je n’y tiens plus, je vais jouir…— Soumise ! Vous pouvez jouir.— Merci Maîîîîîîîttttrre…Elle se met à hurler d’une force inouïe toute sa jouissance. J’en accentue le branlage de son anus, avec deux doigts cette fois-ci, et lui arrache d’un coup les boules de geisha. Un second orgasme la parcourt et la laisse sans voix pendant quelques secondes, puis elle gémit à nouveau son plaisir interminablement. Karl s’active toujours à tirer sur son gland. Il se branle de façon frénétique. Il attend que j’ordonne à Sylvie d’ouvrir la bouche. Mais l’ordre ne vient pas. Je lui taquine même les testicules du bout de ma cravache. Il ferme les yeux, son fameux rictus de plaisir lui déforme le visage, il va jouir. Dans un râle bestial il se libère et envoie par salves des jets de foutre épais sur le visage de Sylvie. Elle aimerait attraper au vol ces volutes de sperme mais reste sous totale obéissance et se repaît de recevoir sur son visage la jouissance de son mari. Lorsque celui-ci est vidé, j’invite ma Soumise à ouvrir la bouche. Je ramasse du bout de la palette de la cravache, le sperme dégoulinant de son visage et la glisse dans sa bouche.— Apprécie ce que je t’offre, Soumise.Elle suce la palette à chaque fois que je la lui présente chargée de sperme. Une fois le visage débarrassé de toute trace blanchâtre, j’approche Karl de sa femme :— Veuillez nettoyer le sexe de votre époux, chère Soumise.— Avec plaisir, Maître.Elle gobe tout de go le phallus de Karl encore raide et le furète de sa langue pour en extraire la moindre goutte de sperme. Lui, le visage défait, m’exprime toute sa gratitude.— Et vous, Maître ?— Comment ça, moi ?— Je vous devine tendu dans votre pantalon, ne désirez-vous pas que je vous soulage ?— Mon tour viendra, pour l’instant seul votre plaisir en tant que Soumise est prioritaire.— Mais j’aurai aussi plaisir à vous faire jouir en moi, Maître.— Seulement quand vous aurez atteint le prochain niveau de soumission, vous serez autorisée à me faire jouir— Quand atteindrai-je ce niveau ?— Certainement à notre prochaine rencontre.— Avec plaisir, Maître.