NDLR : Nous publions ce texte avec des rĂ©serves, pour illustrer les limites qu’il ne faut pas dĂ©passer. En effet, dans ce scĂ©nario, il y a clairement abus de confiance. Le mari laisse penser Ă sa femme qu’il ne s’agit que d’une exhibe alors qu’il la livre Ă son insu Ă un autre homme qui profite d’elle sans aucune protection… Inutile donc de nous soumettre d’autres rĂ©cits du mĂŞme type.SouvenirsLa première fois que ma femme a sucĂ© la bite d’un autre homme que moi, ça remonte Ă quelques annĂ©es, mais je m’en souviens comme si c’était hier. On se souvient souvent très bien de ses premières fois, mĂŞme celles des autres.Sucer pour commencer…L’appĂ©tit vient en mangeant, dit-on. Mais pour tout ça, j’avoue que c’est ma faute.Cet autre homme Ă©tait un total inconnu pour elle. J’avais prĂ©fĂ©rĂ© miser sur quelqu’un que nous ne connaissions pas, plutĂ´t que sur un ami ou un copain. C’est plus facile pour couper le cordon. Toujours prĂ©voir la suite, on ne sait jamais.Avant de continuer, asseyez-vous confortablement, que je vous narre la chose depuis le dĂ©but. Je vous rassure, je ne vais pas en faire des tonnes ni trente-six pages. Je vous rassure, je ne m’appelle pas Proust ou Balzac.Bien installĂ©(s) ? Très bien, revenons Ă ce fameux jour, ou plutĂ´t Ă ce fameux soir. VoilĂ , fermez les yeux, et faites virtuellement dĂ©rouler le film comme si vous y Ă©tiez.BĂ©nĂ©dicteSamedi soir sur la terre, quelque part dans l’Hexagone.Après une certaine attente, BĂ©nĂ©dicte revient vers moi, ayant terminĂ© de se changer. Elle est vĂŞtue d’un top bleu Ă©lectrique bras nus et d’une jupe noire avec de la lingerie par-dessous, c’est-Ă -dire un petit soutif très Ă©chancrĂ© et un ensemble bas plus porte-jarretelles couleur Ă©bène. Autour de son cou, une chaĂ®nette en or double rangĂ©e. Ă€ ses pieds, des chaussures assorties avec des talons aiguilles de taille moyenne. Plus haut, ma femme a nouĂ© ses cheveux en une sorte de chignon d’oĂą s’échappent quelques mèches folles. L’ensemble est fort plaisant, c’est indĂ©niable.Avant de quitter la maison, pour ĂŞtre certain qu’il n’y a pas de zones d’ombre, je dĂ©briefe Ă nouveau mon Ă©pouse sur la suite des Ă©vĂ©nements :— Nous sommes bien d’accord, BĂ©nĂ©dicte, quand tu monteras dans la voiture, tu porteras un bandeau sur les yeux avec interdiction de l’enlever, tant que nous ne serons pas de retour Ă la maison.— Oui, je sais… tu l’as dĂ©jĂ dit trente-six fois, mais pourquoi je ne dois pas savoir oĂą on va ?— Ça fait partie du jeu, ma chĂ©rie. Tout ce que tu as le droit de savoir est le prĂ©nom de notre hĂ´te : GĂ©rard. C’est tout.Elle soupire, mais elle a toujours souscrit Ă mes petits jeux. Depuis le dĂ©but de nos activitĂ©s ludiques un peu spĂ©ciales, petit Ă petit, je fais monter la tempĂ©rature, en Ă©vitant d’aller trop vite, mĂŞme si ça me chagrine que ce soit si lent pour gravir la colline.BĂ©nĂ©dicte soupire :— DrĂ´le de jeu quand mĂŞme… faire tous les deux l’amour les yeux bandĂ©s devant un inconnu, t’as de ces idĂ©es !— Avant, tu fais un peu d’exhib, n’oublie pas…— Que de l’exhib ! On touche pas, je veux dire, ton GĂ©rard, il ne me touche pas, on est bien d’accord ?— Bien sĂ»r. Sauf si tu changes d’avis…— Oh, ça ne risque pas… DĂ©jĂ , ce que tu me demandes de faire ce soir, c’est limite !Limite, c’est beaucoup dire. Ma femme a fait pire, il me semble. Mais je reconnais que c’est la première fois que ça se passera chez un inconnu, et en plus, avec les yeux bandĂ©s. Cherchant Ă dĂ©tendre l’atmosphère, je lui confie :— Il y aura du champagne, tu aimes, il me semble.Elle ne rĂ©pond pas, elle doit sans doute se demander si elle n’est pas en train de faire une grosse bĂŞtise en m’accompagnant chez un inconnu, les yeux bandĂ©s, mĂŞme si les prĂ©cĂ©dents petits jeux se sont bien dĂ©roulĂ©s, bien qu’ils furent assez corsĂ©s.GĂ©rard, Ă©tape 1Peu après, nous arrivons Ă destination. Je m’engage dans une allĂ©e, puis je gare la voiture qui est maintenant Ă l’abri des regards de la rue. AussitĂ´t, mon contact vient nous ouvrir, je guide ma femme devenue aveugle jusqu’au salon, puis je la fais s’asseoir sur un canapĂ©.GĂ©rard me ressemble un peu, c’est pour cette raison que je l’ai choisi. Sagement assise, ma femme entend des verres tinter puis un liquide ĂŞtre versé ; elle demande :— Notre hĂ´te ne parle pas ?— Non, rappelle-toi que ça fait partie du jeu…— Ah OK… mais pourquoi ?— Parce que…BĂ©nĂ©dicte marque une courte pause, puis elle demande :— C’est quelqu’un que je connais ? Que je pourrais reconnaĂ®tre Ă la voix ?— Non, c’est juste un impĂ©ratif du jeu, c’est tout. C’est comme s’il n’existait pas, bien qu’il soit prĂ©sent. Comprends-tu ?— T’es tordu dans ton genre ! Enfin bref…Ma femme semble accepter la situation. Elle boit d’un trait la coupe que je lui donne en main. Je vois qu’elle est tentĂ©e d’ôter son bandeau, mais qu’elle se retient. Il faut dire que mes petits jeux se sont toujours bien dĂ©roulĂ©s, car j’essaye de palier Ă tout, essayant de couvrir les diverses options. Je m’arrange pour que tout se passe en pleine sĂ©curitĂ©. C’est pour cette raison que BĂ©nĂ©dicte sait qu’elle peut me faire confiance, mĂŞme si souvent, elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© dire non.Une fois le jeu terminĂ©, elle avoue la plupart du temps que ce fut une agrĂ©able expĂ©rience. Pas forcĂ©ment tout de suite. Parfois, il lui faut une bonne semaine pour lâcher cette confidence. Telle est ma femme…C’est comme la fois oĂą elle a fait un petit câlin avec une autre femme. Il lui a fallu un certain temps pour admettre du bout des lèvres qu’elle avait trouvĂ© ça bien. Elle a insistĂ© une paire de fois sur le fait qu’elle n’était pas lesbienne, comme si c’était une tare !— ChĂ©ri, tu peux me donner une autre coupe ?Ă€ peine son verre en main, BĂ©nĂ©dicte le vide d’une seule traite, signe Ă©vident qu’elle n’est pas rassurĂ©e. Les autres fois aussi, elle n’était pas très tranquillisĂ©e, mais ce soir, son apprĂ©hension me semble plus forte que d’habitude. Le fait de ne rien voir, je suppose.Il serait bon d’entrer dans le vif du sujet. Je m’adresse Ă ma femme :— Et si tu nous dĂ©voilais tes petits trĂ©sors cachĂ©s ?— Pas avant une autre coupe !Oui, elle doit ĂŞtre très stressĂ©e, mais elle joue le jeu en conservant le bandeau sur les yeux. Elle boit sa troisième coupe en deux temps. Quand son verre est vide, je le retire de ses mains. Une petite pause, puis elle se lève en soupirant :— Bon… Quand il faut y aller, il faut y aller…Tandis qu’elle se tient debout, se stabilisant en l’absence de vision, je fais un petit signe Ă l’adresse de GĂ©rard, la musique retentit. BĂ©nĂ©dicte s’en amuse :— Tu penses Ă tout… Tu sais que j’aime cette chanson…— Autant mettre tous les atouts de notre cĂ´tĂ©.— De ton cĂ´tĂ©, tu veux dire. Allez, refile-moi une dernière coupe de champagne !Quatre coupes, elle abuse un peu ! Mais bon, je comprends son Ă©tat d’esprit. Je lui offre ce petit plaisir qu’elle vide une fois de plus d’un seul trait. Puis se fondant avec la musique, elle ondule lĂ©gèrement pour commencer. Peu après, le champagne aidant, elle finit par se laisser aller, se trĂ©moussant beaucoup plus.Puis, lentement, elle remonte son top, dĂ©voilant d’abord son nombril, puis la base de son soutien-gorge, puis tout le haut. Elle lance au hasard son vĂŞtement. GĂ©rard se met Ă applaudir, une bonne façon de contourner mon interdiction de parler. Ma femme comprend Ă la provenance du bruit que ça ne vient pas de moi. Elle sourit timidement.Telle une liane, elle continue de se dĂ©hancher sur la musique, faisant ballotter ses mignons seins toujours couverts de tissu, ainsi que sa chaĂ®nette en or. Un murmure approbateur Ă©mane de l’endroit oĂą est assis GĂ©rard. Ma femme semble apprĂ©cier qu’on l’apprĂ©cie.Le champagne aide beaucoup, il me semble, mais je crois l’avoir dĂ©jĂ dit…BĂ©nĂ©dicte jette ses mains derrière son dos, et en un rien de temps, son soutien-gorge valse Ă travers le salon, rĂ©vĂ©lant deux seins libĂ©rĂ©s qui s’agitent sous les mouvements de danse de ma femme. GĂ©rard applaudit Ă nouveau. Je reconnais que le spectacle vaut le dĂ©placement, mĂŞme si ça fait des annĂ©es que je profite de la poitrine de BĂ©nĂ©dicte.Ma femme ondule ostensiblement en direction de prĂ©cĂ©dents applaudissements, mettant ouvertement ses seins en valeur. GĂ©rard apprĂ©cie la dĂ©dicace muette.Soudain, BĂ©nĂ©dicte se tourne vers moi et demande :— Allez, une autre coupe, s’il te plaĂ®t !— Tu crois pas que t’as assez bu comme ça ?— Taratata, il me faut du carburant pour me donner le cĹ“ur Ă l’ouvrage.Je cède et je dĂ©pose entre ses mains une nouvelle coupe de champagne. J’en profite pour demander Ă GĂ©rard de remettre au dĂ©but la chanson. Peu après, ma femme reprend sa danse, encore moins inhibĂ©e. Après quelques ondulations, c’est la jupe qui choit au sol. Je m’en saisis prestement pour qu’elle ne marche pas dessus. C’est alors que je constate que son slip en satin ne cache finalement pas grand-chose. GĂ©rard applaudit franchement.Un refrain plus tard, c’est ce mĂŞme slip qui s’évanouit sous les ovations manuelles de notre hĂ´te. Ma femme sourit une fois de plus. C’est quasiment nue qu’elle se pavane devant un inconnu, lui faisant alternativement admirer le cĂ´tĂ© pile comme le cĂ´tĂ© face, uniquement vĂŞtue de ses bas, porte-jarretelles, sans oublier son collier.NĂ©anmoins, la prestation de ma femme commence Ă se dĂ©grader, ses gestes manquent parfois de coordination, elle titube parfois un peu. Je sais que la fin de la chanson s’approche. Je me lève, lui saisissant le bras, et je l’invite Ă s’asseoir sur le canapĂ©, en face de GĂ©rard.Quand elle est assise, GĂ©rard se met Ă l’applaudir longuement. Un peu pompette, esquissant une rĂ©vĂ©rence hasardeuse, ma femme le remercie :— Merci, merci, public adoré !Puis dans un petit rire cristallin, elle s’affale en arrière, cuisses largement Ă©cartĂ©es, offrant une splendide vision panoramique sur sa chatounette au petit bosquet bien taillĂ© Ă notre hĂ´te qui est pile-poil dans le bon axe.Devant cet adorable spectacle, l’homme bande joyeusement, je le comprends parfaitement. Je lui fais signe de venir, il s’approche, sans quitter des yeux ma femme. Je sors une petite ardoise magique de ma poche, puis j’y Ă©cris de façon volontairement grossière :— Bouffe sa chatte !ÉtonnĂ©, il hausse les sourcils. S’emparant de mon ardoise, il Ă©crit Ă son tour :Je fais signe oui de la tĂŞte. Alors, avec un grand sourire, ravi de participer, il s’approche de ma femme et s’exĂ©cute, s’accroupissant entre les cuisses avenantes de ma femme. AussitĂ´t, BĂ©nĂ©dicte entremĂŞle ses doigts dans ses cheveux. Visiblement, elle ne dĂ©tecte pas la substitution. Il est vrai que l’homme que j’ai choisi possède beaucoup de points communs avec moi, surtout si on ne voit pas. GĂ©rard possède la mĂŞme chevelure que moi, la mĂŞme forme de visage, et j’en passe…Bien sĂ»r, auparavant, GĂ©rard a Ă©tĂ© dĂ»ment chapitrĂ© afin que la supercherie ne soit pas Ă©ventĂ©e, du moins, pas trop vite. Ce sera le monde du silence, pour Ă©viter les impairs. De plus, nous sommes habillĂ©s de la mĂŞme façon, portant le mĂŞme parfum.Je sais, certaines personnes Ă cheval sur les conventions diront que c’est une trahison, mais il faut savoir donner des petits coups de pouce au destin, sinon on fait du sur-place la plupart du temps.En tout cas, les coups de langue de mon remplaçant sont efficaces, ma femme frĂ©mit, ondule, gĂ©mit. Quelques minutes plus tard, car il lui faut un certain temps pour monter en puissance, BĂ©nĂ©dicte halète, sans toutefois repousser la bouche qui la lèche.— Ah ! Aah ! Aaah !C’est le signal que j’attends depuis le dĂ©but. C’est quasiment toujours par ces trois syllabes que ma femme indique que la vague de plaisir est juste Ă sa porte et qu’elle va dĂ©ferler sur elle, en elle.— Aaah ouiiii ! Ah ! Ah ! Oooh !Cette fois-ci, elle repousse la tĂŞte nichĂ©e entre ses cuisses. GĂ©rard donne nĂ©anmoins quelques derniers coups de langue avant de se retirer, contemplant en mĂŞme temps que moi ma femme en train de jouir de tout son saoul. Mon remplaçant est visiblement content de lui, il ne m’a pas menti quand il m’a affirmĂ© lors de nos Ă©changes qu’il savait faire jouir une femme, et pas uniquement avec son cinquième membre.GĂ©rard, Ă©tape 2Je ne pense pas que BĂ©nĂ©dicte se soit rendu compte de l’échange. Ou bien, elle le cache bien, faisant comme si c’était bien moi. Peut-ĂŞtre s’en est-elle rendu compte, mais qu’elle mettra un temps fou Ă admettre qu’elle s’est quand mĂŞme faite papatouiller par un autre homme. NĂ©anmoins, je ne crois pas trop Ă cette Ă©ventualitĂ©.Puis nous passons dans la chambre d’amis de notre hĂ´te. Je fais asseoir ma femme sur le rebord du lit, puis je m’installe Ă cĂ´tĂ© d’elle. Je dĂ©grafe ensuite mon pantalon, extirpant ma verge dĂ©jĂ bien raide :Elle marque une furtive hĂ©sitation, elle lance sa main, puis ayant capturĂ© ma verge Ă tâtons, elle commence un doux mouvement de va-et-vient. Ce n’est pas la première fois que ma femme me branle devant un public, elle l’a dĂ©jĂ fait quand nous avons mis les pieds dans un sauna et aussi dans un club. D’après ce que j’ai cru comprendre, c’est un plaisir qu’elle accordait assez facilement Ă ses petits amis dans son adolescence.Du fait d’une certaine expĂ©rience acquise lors de divers travaux pratiques, BĂ©nĂ©dicte sait vite faire monter la sève. Si elle continue ainsi, moi aussi, je vais avoir un souci de geyser dans quelques instants. C’est pourquoi je temporise :— ArrĂŞte, je vais me lever pour enlever mon pantalon, ça ira mieux. Comme ça, je pourrai m’allonger sur le lit.— Comme tu veux…Je me redresse, je fais signe Ă GĂ©rard de prendre ma place, Ă condition que son pantalon et son caleçon soient Ă´tĂ©s. Il ne se fait pas prier pour venir s’allonger Ă cĂ´tĂ© de ma femme, la queue bien dressĂ©e. Ă€ la fois ravi et inquiet, il attend la suite des Ă©vĂ©nements. Durant ce temps, ma femme recule dans le lit pour ĂŞtre au bon niveau. Je glisse ma tĂŞte Ă cĂ´tĂ© de la sienne pour ordonner :— C’est bon, continue !Sans un mot, BĂ©nĂ©dicte lance sa main pour tenter de capturer l’objet du dĂ©lit. GĂ©rard s’empare de son poignet pour guider ma femme vers sa verge. L’ayant trouvĂ©e, elle s’empare de la colonne de chair de GĂ©rard et commence Ă nouveau son mouvement de va-et-vient. Elle s’active comme elle sait si bien le faire en alternant la prise de la colonne Ă pleine main ou du bout des doigts. GĂ©rard respire de plus en plus vite. Je lui demande muettement de ralentir, car ça risque de nous trahir. Il m’obĂ©it.Me positionnant au mieux, je glisse Ă l’oreille de ma femme :— Allez, suce-la !— Euh, lĂ , devant lui ?— Bien sĂ»r, lĂ , devant lui… Tu as fait pire, il me semble…BĂ©nĂ©dicte dodine de la tĂŞte :— Peut-ĂŞtre, mais lĂ , je ne vois rien, je ne sais pas oĂą je suis, avec qui je suis. Je ne suis mĂŞme pas certaine que nous ne soyons que trois dans cette chambre !— Je te confirme que nous ne sommes que trois dans cette chambre. Allez, suce !Une brève hĂ©sitation, un geste incertain, puis BĂ©nĂ© ne se fait pas trop prier. Elle s’empare de cette verge bien raide et commence une fellation très attentionnĂ©e et appliquĂ©e. Au bout d’une minute, elle demande :— Ça va comme ça ?— Tu peux y aller de bon cĹ“ur, tu sais…— Tu veux que je fasse voir ta bonne fortune, c’est ça ?— T’as tout compris !Avec entrain, cette salope se met Ă lĂ©cher, sucer, pomper mon remplaçant d’une façon que j’ai rarement vu de la part d’une femme, mĂŞme dans la plupart des pornos. Et cette fois-ci, ce n’est pas ma queue, ce n’est pas sur Ă©cran, c’est vraiment ma femme en pleine action sur la bite d’un autre homme qu’elle ne connaĂ®t mĂŞme pas !GĂ©rard est ravi, je le comprends. Au dĂ©part, il devait ĂŞtre juste un simple voyeur, et maintenant, il participe. Un cuni contre une fella, c’est un honnĂŞte marchĂ©.Je me demande si ma femme sait que ce n’est pas ma verge qu’elle est en train de sucer, ou si elle pense que c’est bien la mienne. Après tout, le sexe de mon remplaçant est quasiment pareil au mien. Peut-ĂŞtre est-elle excitĂ©e de me sucer devant quelqu’un d’autre. Je me souviens que ça avait Ă©tĂ© le cas lors de l’un de nos prĂ©cĂ©dents jeux dans un sauna libertin. L’effet « public » avait jouĂ©.Je m’aperçois que le fait de ne pas savoir si elle sait est Ă la fois excitant et exaspĂ©rant.En clair, est-ce que, dans son esprit, ma femme est en train de s’occuper de moi, ou est-ce que, sciemment, elle suce un autre type. Dans le premier cas, c’est une honnĂŞte femme qui accepte quelques jeux coquins ; dans le second, c’est une fieffĂ©e salope. Ce qui n’est pas tout Ă fait la mĂŞme chose. Une fieffĂ©e salope, oui, mais avec une Ă©norme aide de ma part…Sa succion devient de plus en plus bruyante, sa salive dĂ©gouline lentement.Par diverses grimaces, GĂ©rard me fait comprendre qu’il a de plus en plus de difficultĂ©s Ă se retenir. Ça m’arrangerait qu’il jute dans cette bouche vorace, mais ça risque de compromettre la suite. Ma main repousse la tĂŞte de ma femme :— C’est bon ! T’as bien fait voir ma bonne fortune.— D’accord…Je fais comprendre Ă mon remplaçant qu’il doit se lever. DĂ©sirant poursuivre l’expĂ©rience, j’ordonne :— Maintenant, BĂ©nĂ©, allonge-toi sur le dos, cuisses largement ouvertes !— Tu veux qu’on fasse l’amour ?— Bien sĂ»r… c’est prĂ©vu au programme.Ă€ tâtons, elle s’exĂ©cute. Durant ce temps, j’écris sur mon ardoise :AussitĂ´t, GĂ©rard s’empare de ma tablette :Je m’assieds sur le bord du lit, commençant Ă caresser les jambes gainĂ©es de soie de ma femme. S’approchant vers nous, GĂ©rard porte ses mains au col de sa chemise, je l’arrĂŞte dans son geste. Puis j’écris rapidement :— Garde ta chemise. Pas exactement la mĂŞme pilositĂ©.Il me fait signe qu’il a compris, il reboutonne mĂŞme partiellement le haut. Il se dirige vers sa table de chevet, puis s’arrĂŞte. Il revient vers moi, s’empare de la tablette pour y Ă©crire :— D’hab, tu mets une capote quand tu baises ta femme ?Aie, je n’avais pas trop fait attention Ă ce dĂ©tail. Il est vrai que je ne pensais pas aller jusque-lĂ , du moins, je n’y croyais pas trop. Je rĂ©flĂ©chis fugacement, puis j’écris :— Non, je n’en mets pas. Donc toi non plus. T’es clean ?Tandis que je caresse Ă prĂ©sent les blanches cuisses de ma femme, il rĂ©dige rapidement :— J’ai fait un test la semaine dernière, je peux te le montrer.J’hoche la tĂŞte pour lui signifier que je le crois. Ainsi ma femme va ĂŞtre souillĂ©e par le sperme d’un autre homme. Comme elle porte un stĂ©rilet, je sais qu’il n’y aura pas de soucis, d’autant qu’elle va avoir ses règles dans quelques jours. Savoir que BĂ©nĂ© va ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ©e puis remplie me procure un sentiment Ă©trange et diffus, mais jouissif.Dieu que l’âme humaine est Ă©trange !GĂ©rard, Ă©tape 3Un qui ne se pose pas de question, c’est GĂ©rard ! Il est tout fĂ©brile Ă l’idĂ©e de s’envoyer en l’air avec ma femme, mĂŞme s’il est censĂ© se faire passer pour moi. Entre rien et baiser, le choix est vite fait. Je rĂ©dige un petit texte sur mon ardoise pour l’avertir :— Reste calme, sinon elle va se douter.Il rĂ©pond par Ă©crit :— OK. Explique-moi comment tu fais d’hab.Écrivant d’une main, sans oublier de caresser BĂ©nĂ©dicte de l’autre, j’explique Ă notre hĂ´te en quelques mots la marche Ă suivre pour mieux se faire passer pour moi. Je n’avais pas prĂ©vu ce genre de chose, il faudra que j’écrive sur ordi un mode d’emploi pour une prochaine fois.En rĂ©digeant cette rapide notice explicative en style tĂ©lĂ©graphique, je me demande si, ayant moi aussi les yeux bandĂ©s, j’aurais apprĂ©ciĂ© qu’une autre femme me fasse l’amour Ă mon insu. La politique du fait accompli permet de progresser mais elle peut se rĂ©vĂ©ler Ă double tranchant.D’autant que je me pose toujours la question si ma femme se doute de quelque chose.Ah fichu doute ! C’est bien ma veine de me tourmenter de la sorte. Mais je souhaite que ma femme se dĂ©vergonde petit Ă petit, et aujourd’hui sera une grande Ă©tape. Je me suis posĂ© la question de prendre des photos de cette soirĂ©e, mais j’ai estimĂ© que c’était trop dangereux pour diverses raisons. Peut-ĂŞtre suis-je en train de faire une grosse connerie. Peut-ĂŞtre pas. L’avenir me le dira.— Hmm, remonte un peu tes jambes… voilĂ , comme ça…— Je parie que GĂ©rard a une belle vue, n’est-ce pas ?— C’est le but du jeu. Il apprĂ©cie beaucoup…— Il se paluche ?— Oui, tu lui fais de l’effet…Elle se contente de sourire, elle n’est pas censĂ©e savoir que j’ai un peu menti. PrĂ©cisĂ©ment, GĂ©rard vient de se dĂ©calotter, exhibant une verge bien raide, car son rĂ´le est plus important que le scĂ©nario ne le prĂ©voyait initialement.Volontairement, je m’agite sur place, tout en caressant Ă prĂ©sent les seins de ma femme, afin de permettre l’échange. Je me lève prestement, GĂ©rard prend aussitĂ´t ma place, cajolant Ă son tour la poitrine de BĂ©nĂ©. Je constate qu’il s’y prend de la mĂŞme façon que moi, ayant vu comment je m’y prenais. Ă€ moins que ce ne soit aussi son propre style…IntriguĂ©e, ma femme demande :— Tu fais quoi ?— Je me suis positionnĂ© autrement pour mieux profiter de toi.— Ah d’accord.GĂ©rard imite scrupuleusement comment je me suis occupĂ© de ma femme. Puis quelque temps après, il s’enhardit posĂ©ment, sa verge se frottant contre le haut de la cuisse, sans oublier de patiner ma femme avec une certaine aviditĂ© contenue. Je sens bien que mon remplaçant se freine dans ses Ă©lans, car s’il s’écoutait, il dĂ©vorerait carrĂ©ment ma femme.Ă€ ce propos, il est en train de taquiner un tĂ©ton Ă©rigĂ© du bout de sa langue. Puis sans transition, il le croque dĂ©licatement. BĂ©nĂ©dicte frĂ©mit. Sa respiration s’accĂ©lère un peu plus.Mettant ma tĂŞte Ă cĂ´tĂ© de celle de GĂ©rard afin de faire illusion, je dĂ©crète :— Passons aux choses sĂ©rieuses…À nouveau, ma femme frĂ©mit, ce qui ne l’empĂŞche pas d’écarter un peu plus les cuisses. Après quelques caresses appuyĂ©es, GĂ©rard se relève, se plante debout face au lit, fait quelques mouvements avec ses bras comme pour se dĂ©tendre, puis il se positionne posĂ©ment entre les gambettes soyeuses. Il pose sa verge sur le petit bosquet, et ses bras de part et d’autre du corps de BĂ©nĂ©dicte qui tressaille lĂ©gèrement.En appui sur ses mains, il frotte plusieurs fois son gland Ă l’orĂ©e de la fente.Comme ça arrive souvent en pareil cas, ma femme agrippe les bras qui l’encadrent, pour s’y river. La chemise limitera les dĂ©gâts si elle enfonce Ă©ventuellement ses ongles. J’en sais quelque chose, j’ai dĂ©jĂ dĂ» cacher ce genre de marque en plein Ă©tĂ© avec une chemise Ă manches longues.Se dĂ©cidant Ă passer Ă l’étape finale, GĂ©rard enfonce son gland dans la fente, ma femme soupire, crispant ses doigts autour des bras de celui qui est en train de la baiser. Ma tĂŞte toujours Ă cĂ´tĂ© de celle de mon remplaçant, je gronde :— Évite de me planter tes ongles dans mes bras, s’il te plaĂ®t !— Oui, je sais, mais c’est un truc que je ne contrĂ´le pas toujours…Après quelques va-et-vient, GĂ©rard sort pour se refrotter sur le clitoris exacerbĂ©, puis replonge voluptueusement entre les lèvres intimes et humides. Avec application, il refait plusieurs fois ce petit manège. Ma femme gĂ©mit :— ArrĂŞte ton cinĂ©ma ! Plonge une bonne fois pour toutes en moi et restes-y !Je rĂ©ponds Ă la place de mon remplaçant :ObĂ©issant Ă ma place, GĂ©rard ne se fait pas prier d’envahir Ă nouveau la chatte offerte. Ainsi investie, BĂ©nĂ©dicte apprĂ©cie :— Aaah oui, comme ça, je prĂ©fère ! Ouiii !Peu après, il la besogne avec conviction et efficacitĂ©. Pour preuve, les soupirs de ma femme :— Ah oui ! Ah oui ! Comme ça !!C’est bien l’une des premières fois que ma femme est si bruyante en public ! Peut-ĂŞtre est-ce dĂ» Ă ce qu’elle ne voit pas les autres regards posĂ©s sur elle. C’est une Ă©ventualitĂ© fort possible, il faudra que je creuse la question.Question creusĂ©e, GĂ©rard creuse son trou comme on dit. Il est flagrant qu’il apprĂ©cie le rĂ´le que je lui ai donnĂ©. Puisque c’est moi le metteur en scène, autant en profiter :— Allez, on change de position !— Hein ?— À quatre pattes, comme une chienne !— Oh ! T’es qu’un gros cochon !NĂ©anmoins, elle s’exĂ©cute Ă toute vitesse, une fois que GĂ©rard s’est retirĂ©. Ă€ prĂ©sent, c’est en levrette que ma femme se fait investir par cette autre queue. Elle se laisse aller sous le pistonnage fĂ©roce que GĂ©rard lui inflige, dont les mains sont fermement rivĂ©es Ă ses hanches toutes blanches. Visiblement elle apprĂ©cie, et lui aussi. Moi, je suis spectateur de la scène, comme si je regardais un film, mais en mieux.Peut-ĂŞtre que ce sera le cas de la tĂ©lĂ©vision du futur qui sera plus immersive…— Oooh oui ! Oooh oui !J’essaye d’y mettre un maximum de conviction :— Hein que ça te plaĂ®t de te faire tringler comme une petite chienne devant un public !— Oh oui ! Ça m’excite un max ! Oui, oui, continue comme ça !— Bien sĂ»r que je vais continuer ! Je vais te faire jouir Ă fond avec ma grosse bite !— Oh oui ! DĂ©fonce-moi avec ta grosse bite !En tout cas, en ce qui concerne la conviction, GĂ©rard est Ă fond dedans. Du coin de l’œil, je vois Ă ses grimaces qu’il s’empĂŞche de parler. En contrepartie, il grogne de temps Ă autre, ce que je fais moi-mĂŞme en pareil cas.Oui, l’illusion reste parfaite.BĂ©nĂ©dicte agite furieusement ses doigts sur son clitoris en feu, tout en poussant de nombreux gĂ©missements. Derrière elle, GĂ©rard donne le meilleur de lui-mĂŞme. Lequel des deux cĂ©dera en premier ?N’en pouvant plus, tĂ©tanisĂ©, ses mains toujours rivĂ©es aux hanches pleines, GĂ©rard se vide en grandes saccades dans ma femme qui l’accompagne presque aussitĂ´t dans la jouissance.— Ah ! Aah ! Aaah !J’ai la curieuse et fugace impression que mon remplaçant est en train de marquer son territoire en envahissant complètement ma femme, la possĂ©dant entièrement, elle rien que pour lui, en expulsant un tsunami de sperme pour tapisser les moindres recoins du vagin offert.ConclusionGĂ©rard profitera encore deux fois de ma femme, qui se laisse faire sans complexe, comme s’il n’y avait pas de spectateur. Bien qu’au dĂ©part elle n’était pas chaude, devenue bouillante, BĂ©nĂ©dicte jouit totalement de la situation dans tous les sens du terme.Toujours cette double question qui me tarabusque de temps Ă autre :•  Ma femme pense-t-elle qu’elle baise avec moi ?• Baise-t-elle consciemment avec un autre homme, profitant de mon accord ?Il commence Ă se faire tard, la sĂ©ance a durĂ© un peu plus que prĂ©vu. Je ne vais pas me plaindre. D’ailleurs, GĂ©rard et BĂ©nĂ©dicte sont du mĂŞme avis que moi.Comme le dit la maxime bien connue, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. De ce fait, comme il va bientĂ´t ĂŞtre l’heure de partir et comme il convient aussi de revenir Ă la normale, je lève l’interdiction qui plane depuis le dĂ©but de cette soirĂ©e :— Je pense que GĂ©rard peut reprendre la parole, le monde du silence n’a plus lieu d’être…Puis j’ajoute prĂ©cipitamment Ă l’adresse de ma femme qui lève les mains :— Non, BĂ©nĂ©, tu n’ôtes pas ton bandeau !Puisqu’il peut Ă prĂ©sent parler, GĂ©rard en profite pour fĂ©liciter ma femme :— Toutes mes fĂ©licitations, BĂ©nĂ©dicte. Vous avez fait lĂ une très belle prestation !MalgrĂ© le bandeau qui cache une partie de son visage, il est flagrant que ma femme rougit :— Euh, merci… vous ĂŞtes sincère ? Je… je me suis sentie un peu gauche…— Ne vous en faites pas, c’est normal, surtout en ayant les yeux bandĂ©s en prĂ©sence d’un inconnu.— En tout cas, j’aime bien votre voix…— Merci. Moi, j’ai tout aimĂ© de vous…La phrase est assez ambiguĂ«, je suis certain que GĂ©rard l’a fait exprès. Revient alors le doute : si ma femme ne sait pas, ça reste un compliment sur l’exhib qu’elle a fait ce soir. Si ma femme sait, cette fĂ©licitation prend un tout autre sens.— Merci beaucoup, GĂ©rard…— J’ose espĂ©rer que nous nous reverrons bientĂ´t, mĂŞme si vous ignorez toujours qui je suis, sauf mon prĂ©nom.— C’est bien le vĂ´tre ?— Oui, c’est le mien, celui que mes parents m’ont donnĂ© Ă ma naissance.— Oui… qui sait… moi, ça ne me dĂ©range pas…Connaissant ma femme, elle vient d’avouer Ă mots couverts : moi, ça me plairait bien. Du moins, c’est comme ça que je l’interprète. Mais peut-ĂŞtre que je m’avance trop…Après avoir dit bonsoir Ă GĂ©rard, ma femme lui ayant fait la bise, nous sommes revenus Ă la maison. Avachie sur son siège, les yeux toujours bandĂ©s, BĂ©nĂ©dicte n’a rien dit durant tout le trajet, comme perdue dans ses propres pensĂ©es, partie dans un autre monde, Ă moitiĂ© somnolente. De mon cĂ´tĂ©, j’étais Ă la fois ravi et déçu.Ravi que ma femme se libère, ce qui offre bien de nouvelles perspectives, de lendemains et surtout de nuits enchanteresses. Vivre avec une salope, c’est… comment dire… libĂ©rateur…Déçu, sans savoir mettre exactement le doigt sur le pourquoi du comment. Le fait que ma femme s’est vraiment lâchĂ©e avec un inconnu ? Le fait d’avoir concrĂ©tisĂ© quelque chose qui me faisait fantasmer depuis si longtemps ? Le syndrome du cosmonaute ?ArrivĂ©s Ă bon port, je n’ôte toujours pas le bandeau des yeux de BĂ©nĂ©dicte, j’empĂŞche mĂŞme ma femme de le faire :— Non, chĂ©rie, la soirĂ©e n’est pas finie !— Ah bon ? T’as encore des rĂ©serves ?— Je suis gonflĂ© Ă bloc ! Que tu sois baisĂ©e en public, c’est aphrodisiaque Ă fond !Je conduis BĂ©nĂ©dicte directement dans notre chambre, puis c’est Ă mon tour de m’envoyer en l’air avec ma femme, ma nouvelle salope de femme, elle qui vient de franchir un nouveau pont pour aller s’aventurer dans une terre inconnue dans laquelle je me ferais un plaisir de la dĂ©vergonder encore plus.Car c’est mon fantasme depuis si longtemps…