Je me souviens…C’était notre première semaine de vacances ensemble, seuls. Les enfants avaient rejoint leur « camp d’été », les chiens leur pension, et le chat confiĂ© aux bons soins d’une voisine.Juste nous deux.Il fallait marquer le coup. Il fallait jouer, sortir de l’esprit de sĂ©rieux.Nous sommes allĂ©s au Club.Tu t’étais prĂ©parĂ©e avec soin pour cette soirĂ©e ; des talons hauts qui mĂ©tamorphosaient ta dĂ©marche et ta silhouette, une petite robe noire moulant sensuellement tes fesses, les cheveux bruns attachĂ©s en chignon afin de dĂ©gager la rotonditĂ© du visage et des yeux.Tu ne portais pas de culotte, tu sais que ça m’excite.Je me souviens…… Nous passons l’entrĂ©e du club ; il est presque minuit et l’ambiance est dĂ©jĂ Ă©lectrisante. Après un premier verre, nous allons rapidement sur la piste de danse et nous nous mĂŞlons Ă un groupe de cinq ou six jeunes hommes qui – nous l’apprendrons plus tard – sont venus lĂ pour un enterrement de vie de garçon un peu spĂ©cial. Tu te dĂ©hanches sensuellement sur le dance floor, face Ă moi, le sourire complice. Je sais que la proximitĂ© des hommes autour de toi t’excite, mais tu n’oses pas le montrer – toujours ta timiditĂ©. De temps Ă autre, profitant des mouvements de nos corps, je relève le bas de ta robe afin d’offrir aux yeux des danseurs la vision de tes fesses et de ton sexe lisse. GĂŞnĂ©e, tu rĂ©ajustes systĂ©matiquement ta robe, mais ton sourire montre que tu apprĂ©cies ce petit jeu.Le groupe « enterrement de vie de garçon » semble apprĂ©cier ces appels au voyeurisme, leurs regards se tendent comme leurs dĂ©sirs en direction de ton corps. Afin de libĂ©rer les audaces, je te susurre Ă l’oreille que je vais faire une pause clope… Je n’en ai pas rĂ©ellement envie, mais j’aime imaginer – le temps de cette pause sur la terrasse extĂ©rieure du club – que les Ă©vĂ©nements s’enflammeront sur la piste de danse. Je fais durer ma cigarette, je savoure le plaisir de l’anticipation. Un bon quart d’heure passe…De retour Ă l’intĂ©rieur, je te contemple Ă distance, observe ton dĂ©hanchement chargĂ© d’une sensualitĂ© accueillante et renouvelĂ©e. Je comprends pourquoi : libĂ©rĂ©s de ma prĂ©sence, deux hommes rivalisent d’œillades et de mouvements du bassin pour attirer ton attention. Ils n’ont pas encore l’audace du contact des corps. Cela demande beaucoup d’assurance.Par chance, Ă cĂ´tĂ© de moi se tient l’un des jeunes hommes du groupe « enterrement de vie de garçon » ; lui aussi contemple cette danse dionysiaque, en sirotant une coupe de champagne. Je veux provoquer le destin.Je lui parle. Maintenant il sait. Il comprend.Il me lance un sourire complice et va passer le mot.La danse s’emballe : les hommes ne tiennent plus maintenant Ă juste attirer ton attention, ils se rapprochent, laissent – d’abord timidement, puis franchement – glisser leurs mains sur ta robe moulante. L’un d’eux, profitant d’un mouvement de danse, se positionne Ă quelques centimètres derrière toi, t’enserre de ses bras, se plaque contre ton dos en suivant les mouvements de ton corps et t’embrasse dans le cou. Tu ne te dĂ©robes pas. Tu souris et tu le laisses mordiller ta chair avec plaisir. Un deuxième se prĂ©sente devant toi, s’avance et t’embrasse timidement, puis goulĂ»ment. Prise entre ces deux corps d’hommes qui t’enserrent, tu rĂ©ponds aux baisers par des baisers, et aux mains sur ta robe par tes propres mains tâtant les sexes durcis de tes nouveaux cavaliers. Tu t’immisces Ă l’intĂ©rieur de leurs pantalons afin de sentir directement la chaleur de leurs bites tendues. EncouragĂ©s par cette agrĂ©able audace, les deux hommes glissent leurs mains sous ta robe ; ils caressent ensemble tes fesses, pĂ©nètrent de leurs doigts ta chatte qu’à distance je sais trempĂ©e.Tu tends et remues ta croupe afin d’engloutir les doigts qui te fouillent. Tu as dĂ©laissĂ© le rythme de la musique, c’est Ă celui des doigts que ton corps obĂ©it maintenant. Ton regard chavire, et me cherche tout Ă la fois. Je sais que tu as besoin de me savoir lĂ , besoin de t’assurer de ma prĂ©sence. C’est notre jeu. Tu finis par croiser mon sourire Ă l’arrière-plan du cercle d’hommes et de femmes qui s’était rapidement formĂ© autour de votre trio.RassurĂ©e, ton envie se libère totalement. Tu t’agenouilles et extirpes la queue de l’homme en face de toi ; c’est une longue et large queue que tu n’hĂ©sites pas Ă engloutir avec gourmandise. L’homme derrière toi sort Ă©galement sa queue, plus fine, mais tout aussi longue, et tu la saisis d’une main libre et ferme.Ce spectacle m’excite au plus haut point et, Ă distance, je me masturbe Ă travers la poche de mon pantalon. Ma queue est terriblement dure.Je ne suis visiblement pas le seul Ă ĂŞtre « ému » par le spectacle : c’est maintenant le groupe au complet qui vient former un cercle compact, pulsant de dĂ©sir. Tu te retrouves entourĂ©e de bites tendues qui patientent pour ĂŞtre branlĂ©es et sucĂ©es. Je dĂ©cide alors de te rejoindre et de me mĂŞler Ă la ronde des hommes. Ma queue est elle aussi maintenant sortie de son abri de tissu, et je me masturbe librement en te contemplant sucer tour Ă tour les bites qui se prĂ©sentent Ă toi. L’un des hommes – en fait celui avec qui j’avais discutĂ© au bar – se place derrière toi, remonte ta robe entièrement et fourre ses doigts dans ta chatte. Tu apprĂ©cies et lâches un :— Humm,… c’est bon ! J’aime vos doigts et vos queues !La bite que tu as en bouche – Ă©lectrisĂ©e par tes mots – est prise de spasmes et dĂ©charge son jus sur ta langue et ton cou. Tu Ă©changes un regard amusĂ© avec l’heureux propriĂ©taire, et il se baisse pour t’embrasser tendrement. C’est Ă ce moment que tu m’aperçois et que tu me lances un grand sourire tout en empoignant ma queue avec ta main. Tu y dĂ©poses un baiser, mais saisis rapidement une nouvelle queue… Tu sais que je me rĂ©serve pour plus tard.Je passe alors derrière toi, et t’enfonce moi aussi un doigt dans la chatte, rejoignant ainsi les doigts qui te fouillent dĂ©jĂ . Tu es incroyablement mouillĂ©e, excitĂ©e. J’ai envie que tu me le dises. Je m’approche de ton oreille et te susurre :— Tu aimes toutes ces bites ?— Oui, j’aime !— Tu aimes ĂŞtre une bouche Ă bites ?— Oui !…— Je veux qu’ils te baisent tous ! Je veux que tu vides les couilles de tous les hommes de la boĂ®te !Je sors mes doigts de ta chatte et caresse ton clitoris, ce qui tend tout ton corps. Tu es maintenant, la femelle, ma femelle, au centre du dĂ©sir des mâles de la salle. Saisissant, excitant pouvoir. Je me glisse Ă tes cĂ´tĂ©s, te contemple sucer une nouvelle queue et en masturber deux autres jusqu’à les faire gicler sur tes mains, sur tes seins. J’écarte dĂ©licatement tes fesses et lance aux hommes :— Elle a besoin d’être baisĂ©e, elle aime ça !La cruditĂ© des mots est libĂ©ratoire, la bacchanale est ouverte, la civilitĂ© est autorisĂ©e Ă s’effondrer le temps d’une soirĂ©e. Place Ă l’animalitĂ©. ImmĂ©diatement, mon Ă©phĂ©mère compagnon de bar se place derrière toi et plante sa bite congestionnĂ©e dans ta chatte. Il doit ĂŞtre dĂ©jĂ au bord de l’orgasme, car après quelques va-et-vient il dĂ©charge bruyamment. Sa queue devenue molle en ressort lentement, accompagnant le filet de sperme qui s’écoule d’entre tes lèvres gonflĂ©es de plaisir. L’homme dĂ©pose un baiser plein de gratitude sur ta croupe, puis laisse rapidement la place Ă un deuxième homme. LĂ encore, j’écarte tes fesses et observe, plein d’excitation, la nouvelle bite pĂ©nĂ©trer ta chatte jusqu’à la garde et t’arracher de nouveaux cris de plaisir. Autour de nous, le cercle d’hommes semble ne pas baisser en intensitĂ©Â : une forĂŞt de queues gonflĂ©es de dĂ©sir, tendues de sang s’agite sous les mains de leurs propriĂ©taires ou de leurs compagnes. Certains hommes, ne pouvant plus se retenir – ou par goĂ»t personnel –, se rapprochent de ton corps et viennent y dĂ©charger leurs semences dans un flot continu de gĂ©missements. Tu es recouverte de ces giclĂ©es de sperme et j’éprouve une puissante excitation Ă voir ainsi ces queues venir maculer ta chair.Cette chorĂ©graphie orgiaque dure des heures – dont toi et moi savourons chaque minute. Ce n’est qu’en fin de soirĂ©e – lorsque tu demandes grâce après avoir vidĂ© les couilles de tous les hommes – y compris le patron – plusieurs fois d’affilĂ©e Ă l’aide de ta bouche, de tes mains et de ta chatte que nous rejoignons notre chambre attenante au Club. LĂ , nous nous racontons les moments de la soirĂ©e qui nous ont le plus excitĂ©s tout en nous masturbant mutuellement. DĂ©licieux moment que celui de ce dĂ©briefing, comme nous l’appelons. Je te dis le souvenir de ces doigts et de ces bites remplissant ta bouche et ton sexe, les images de ces visages crispĂ©s par l’orgasme, ces regards fous de dĂ©sir. Tu me dis ces bites tendues dans ta bouche, les soubresauts de la jouissance, le goĂ»t des spermes, la chaleur des coulĂ©es sur ton corps, les doigts te fouillant la chatte (tu prĂ©fères les doigts aux queues).Comme pour interrompre cet Ă©change, tu te mets Ă quatre pattes et me demande de t’enculer, sous prĂ©texte que ton cul n’a pas encore Ă©tĂ© baisĂ© ce soir, que tu veux que j’y mette ma bite. Je me place derrière toi, ravi. Un de mes doigts recouvert de ta mouille explore ton anus, t’arrachant un gĂ©missement… puis, je plonge ma queue lentement entre tes fesses. Tu te masturbes en mĂŞme temps, alternant les caresses sur ton clitoris et des doigts dans ta chatte. Je commence mon va-et-vient, mais rapidement le mouvement de tes fesses me pousse Ă aller beaucoup plus vite… et je ne tarde pas Ă honorer ton cul par la dernière giclĂ©e de foutre de la soirĂ©e. Orgasme tant attendu. Inassouvie, tu te retournes et me demandes de te baiser le cul avec les doigts. Je m’exĂ©cute jusqu’à ce que ton corps soit secouĂ© des spasmes de ton propre orgasme.Nous ne parlons plus. Le jeu est fini. Nous endormons l’un contre l’autre, en cuillère, avec de nouveaux et Ă©ternels souvenirs en tĂŞte.En souvenir de quelques-unes de nos soirĂ©es…