J’avais rendez-vous à 14h. apparemment encore un avocat qui allait nous mener la vie dure. Depuis un certain temps notre société était la cible préférée des fournisseurs véreux. On nous traînait en justice pour un oui, pour un non, histoire de nous déstabiliser. À tel point que le président Monet en personne m’avait convoqué pour que je m’occupe personnellement de cette affaire.Quatorze heures pétantes, perdu dans les couloirs du palais de justice, je ne suis pas au bon étage. « Non, les affaires commerciales sont traitées dans l’autre aile ». 14h10, je frappe à la porte 306, une femme glaciale me reçoit, une grande brune aux traits anguleux. Bérénice L., avocate au barreau de Paris.— Vous êtes en retard, j’ai failli annuler notre rendez-vous. » Regard glacial, méprisant, je ne suis pour elle que le sale petit représentant d’une société commerciale, il va falloir la jouer fine !!! S’en suit une longue énumération des faits, très procédurale. Non, je n’ai rien à ajouter, rien à dire pour ma défense, je n’ai pas envie de rentrer dans les méandres de ces procédures tatillonnes. Je suis là pour une seule chose, trouver un compromis qui nous permettra à tous deux d’éviter un long procès. Mais elle n’a pas l’air de l’entendre de cette oreille. Son client, entre parenthèses un fieffé filou ne souhaite pas d’arrangement à l’amiable, son client ira jusqu’au bout, tout le laïus habituel… On va tout de même pas y passer l’après-midi.Tout en discourant, en brassant de l’air en vérité, une curieuse odeur me parvient aux narines, reconnaissable entre toutes par expérience, une odeur de chatte ! Je vous promets, une forte odeur de chatte, aucun doute là dessus. Pourtant mon interlocutrice présente très bien, tailleur très classe, parfaitement maquillée. Ce ne doit vraiment pas être le genre rester négligée. Or elle sent bel et bien la chatte, et la chatte humide qui plus est. Et si elle sent ainsi la chatte, c’est forcément parce qu’elle a joui dans la journée, ce matin ou à midi pendant la pause. Seule ou avec quelqu’un d’autre ? Mystère. Je ne l’écoute plus guère, nous nous lançons quelques pics, je suis obnubilé par cette odeur de cramouille qui me monte au nez. Et, malgré même le mépris qu’elle me manifeste, je suis malgré tout excité. Inutile de le cacher, je me moque complètement de cette conversation sauf que :— Votre odeur est… très excitante !Pour la première fois je la vois déstabilisée, hésitante, du style « Mon odeur mais quelle odeur ? ». Mais elle ne dit rien, elle se contente de blêmir et de perdre de sa superbe. Alors j’enfonce le clou, je frappe là où ça fait mal.— Votre parfum est très suave et discret mais je parle de votre odeur corporelle, très aphrodisiaque.Elle en bafouille presque, pour une avocate c’est un comble. Elle détourne le regard et je gagne un point.— Vous avez fait l’amour ou vous vous êtes caressée ? Dites-moi ! Je vous trouve très attirante !Elle est à la fois furieuse mais aussi déboussolée, encore plus déboussolée que furieuse, semble t’il. Et, à ma grande surprise, elle consent à me répondre : « Je suis pleine de sperme, vous voulez vérifier ? ». Mais sans aucune espèce d’animosité à ma grande surprise. Elle se lève et se dirige droit vers la porte, elle pousse le verrou et revient droit sur moi. Je me retourne vers elle tandis qu’elle relève sa jupe. Nouvelle surprise, elle n’a ni collants, ni culotte, juste des bas qui s’arrêtent à mi-cuisses. Une épaisse toison brune recouvre sa chatte. Et cette fois nul doute c’est vraiment l’odeur très forte de sa chatte qui vient vers moi, une odeur âpre de mouille mélangée à du sperme. D’ailleurs le haut de ses cuisses est couvert de foutre séché, il y en a partout. « Allez-y, fouillez, si ça vous tente, je me suis déjà fait prendre par deux clients à midi. Alors si ça vous dit d’en profiter ! ». Je glisse mes doigts dans sa fente trempée de jus. Cette salope m’excite, elle sent fort. Je me dégrafe en la fouillant nerveusement, j’ai une trique d’enfer et elle le con en feu. Elle vient s’asseoir sur mon dard, s’empaler vicieusement sur ma trique. Dieu qu’elle aime ça ! Sous son air froid et distant se cache une véritable salope qui ne rechigne pas devant les coups de rein. Ma bite bien calée dans son con, c’est un vrai régal.Elle ne tarde pas à passer sur le bureau, parmi ses dossiers. Je libère ses seins pointus aux gros tétons sombres. Ils pointent vers moi arrogant. Je la lime de plus belle en les regardant bouger et cette cochonne ne tarde pas à avoir un orgasme. Je la fais se retourner pour la prendre par derrière, tente de la prendre par son petit trou mais elle s’y refuse. Sans appel votre honneur, inutile d’insister. Alors je lui bourre à nouveau son con baveux avant de me vider en elle sans complexe, l’inondant de sperme bien gras qui déborde de sa chatte.Sitôt terminé qu’elle se rafistole à la hâte avant de rouvrir la porte. J’ai à peine le temps de remettre mon pantalon. Et nous reprenons notre conversation comme si rien ne s’était passé. Mais ses yeux vitreux en disent long sur le plaisir que je viens de lui procurer. Et de savoir tout ce sperme en train de couler lentement le long de ses cuisses, j’en suis encore tout troublé. Quelle salope, si elle fait ça à chaque entretien ! Mais est-ce une habitude ou était-ce une journée exceptionnelle ? Ca je n’en saurai jamais rien. Madame a pris son pied, maintenant on parle affaires. Cette fois-ci, elle est plus coulante (Et très collante intérieurement !), elle veut bien examiner l’éventualité d’un compromis, elle accepte de réétudier le dossier et puis finalement elle accepte de transmettre ma proposition à son client, lequel sera sans doute enchanté d’endosser un gros chèque.Comme quoi il faut savoir parler aux femmes ! Et rien de tel qu’un bon vieux coup de bite pour détendre l’atmosphère. Quand je pense qu’il s’agit sans doute d’une femme mariée si j’en juge par son alliance et qu’elle est rentrée chez elle enfoutrée jusqu’aux amygdales !!!!