Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.OHHHH, elle est grosse !Exercice : rédaction libre : décris ce qu’a pu voir la narratrice.— Mesdemoiselles, ce fut un plaisir, dis-je en me laissant tomber sur le lit qui n’était pas habitué à recevoir tant de personnes à la fois.Elles se levèrent toutes les onze, et me remercièrent l’une après l’autre de les avoir fait jouir de si nombreuses fois. Je les raccompagnai à la porte et accueillis avec un soupir la tournée suivante. Ouf, cette fois, il n’y en avait que sept…Camille et Pauline se lovèrent contre moi et nous nous caressèrent encore pendant deux heures.Puis nous reprirent les leçons de conjugaison.Je sortis ma queue et, lui tirant les cheveux, je lui enfonçai d’autorité ma bite dans la bouche, ratant mon coup une première fois avant de prendre possession de ses lèvres pincées.Shlak ! Oh, merde, un œil ! Attends, tu vas voir… Shlak ! Putain mais tu vas ouvrir la bouche… Shlak !Je lui demandai de se baisser, de lever les bras, de monter sur un escabeau ou simplement de s’asseoir, et ensuite nous faisions l’amour.Assis les bras levés en haut de l’escabeau ?Il m’entraîne vers un WC. Il ferme la porte derrière nous. Ma foi, l’espace est propre et large.Mes compliments aux femmes de ménage !J’ai donné du plaisir avec mon cul, ma bouche à Mohamed et… aux quatre autres colocataires d’Ibrahim. J’ai été leur jouet sexuel et j’ai aimé ça. À aucun moment je n’ai eu l’impression de servir de garage à bites.Le PSG envisage même de m’embaucher à plein temps.Puis le 19 mars est arrivé, comme je le disais précédemment.Ensuite, ce fut le 20 mars, et puis, après, le 21… Je suis à quatre pattes. Lui, derrière, me prodige un anilinctus.Quel prodige, ce proctologue !Puis Alain se plaça debout devant sa bouche pour un nouveau plaisir buccal, ce qui fit taire temporairement ma femme.Plop ! Ça fait bouchon, c’est bien… « Si votre femme vous emmerde, appelez l’entreprise « Alain » : le silence n’a pas de prix… »Elle se donnait littéralement à ces deux hommes. Je n’avais aucune jalousie. Au contraire, j’étais émerveillé de la voir se faire prendre devant moi.Le lendemain, elle partit avec les deux hommes et une grosse valise, et je me trouvai soudain tout couillon, regrettant presque un peu d’avoir invité ces deux types à se taper ma femme…Corinne est une belle femme brune aux yeux marron sur laquelle se retournent assez fréquemment les hommes : 1, 67 m, 55 kg, une poitrine lourde (95 C) avec de grosses aréoles brunes et des tétons qui ne demandent qu’à s’ériger s’ils sont flattés. Son sexe est rasé et laisse apparaître de jolies lèvres. […] Moi, châtain, 1, 86 m, 88 kg, bourses rasées, sexe large : 6 cm de diamètre, gland circoncis, longueur 16 cm. Voilà pour la description de notre couple.Bien. Maintenant je vais décrire notre couple d’amis : lui, 2m19, 187 kg, sexe épais, un peu poilu, avec un gland légèrement tordu et la couille droite nettement mieux rasée que l’autre ; et elle, 1m12, 187 kg, la tête rasée, mais avec une longue barbe qui cachait sa poitrine (125K) et se terminait en pointe vers son sexe, bien rasé.Elle avait un visage engageant et, malgré sa petite taille, de très gros seins.Variante : malgré sa couleur de peau, ce n’était pas un voleur… ou encore : malgré ses cheveux blonds, elle n’était pas conne…Je répliquai en jetant un regard à mon sexe en érection.— Allons-y ! me répondit celui-ci, encourageant.Elles décident de sortir de l’eau pour prendre un peu le soleil, car elles ont bien besoin.Si elles ont vraiment trop besoin et qu’y a pas de toilettes, autant qu’elles restent dans l’eau.— Je vais lui demander du feu et, par la même occasion, lui poser des questions sur sa queue.— Bonjour, vous auriez du feu, s’il vous plaît ?— Oui, tenez.— Merci. Vous n’avez pas une grosse queue, aussi, par hasard ?Aussitôt entrée, Sandrine ouvre une boîte de préservatifs qu’elle éparpille sur la table. On ne sait jamais.Je vous explique : elle passe un entretien d’embauche…Damien se laisse aller et quelques instants après, en les prévenant, lâche trois bons jets de sperme.Prouuuut ! « Attentioooon ! » Splash ! Splash ! Splash !Ils m’ont sauté tous les six en duo, et en partouze. Ils ont joui au moins six à sept fois chacun. Si vous le souhaitez, je vous raconterai.Ça nous fait 42 belles histoires en perspective !Il a eu, parfois, des mésaventures avec des filles, qui terrifiées par la taille de son engin, ne voulaient pas de pénétration.Depuis, il reste dans son champ…Ma main roule la culotte sur les grosses fesses. J’amène ma seconde main en renfort pour la faire tomber.BADABOUM ! Et je reste avec la culotte dans les mains tandis qu’elle se relève avec peine…Se saisissant des feuilles, elle les feuilleta.Exercice : À l’aide de l’exemple précédent, complète avec un mot de la vie courante :Puis elle prit un… et crayonna ; ensuite avec une…, elle gomma.Un autre jour, avec une…, elle piocha et dans le…, elle jardina.Elle vit une goutte perler, elle passa alors son pouce sur le gland et mouilla la peau bleue tendue et chaude avec cette humidité.Elle branle un schtroumpf ?Un jour d’octobre, alors que je me trouvais seul dans le bureau, je vis qu’elle avait oublié son téléphone portable sur sa table de travail… Je me suis dit qu’une femme aussi charmante devait probablement avoir quelques photos sympathiques dans l’appareil.Oui. Et sur le même principe, les filles moches n’ont que des photos ratées.Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je lui fis comprendre par une pression derrière la tête que je n’allais plus pouvoir me retenir.Mais elle me fit comprendre par un violent claquement de dents qu’elle ne voulait pas avaler…Je commençai donc par remonter sa jupe sur ses reins en m’attendant à devoir baisser sa culotte. Une surprise m’attendait à ce niveau.Visiblement ce mode de pénétration la ravissait au plus haut point à la vue des gémissements qu’elle émettait.Et à entendre son sourire, je compris immédiatement que j’étais le meilleur.De plus, son anus, malgré son habitude visible de se faire ramoner le conduit, restait assez serré.Mais en fait, c’est parce qu’avant moi, elle n’a jamais connu que des petites bites…Sans le savoir, elle réalisait ainsi mon fantasme du cul bouche.Comble du bonheur, alors qu’elle fermait les yeux, je décidai de lui jouer un tour en arrosant d’un des derniers jets sa belle petite poitrine. Par malheur pour elle, la fin manquant un peu de puissance, un peu de sperme tomba sur sa jupe.— Attention, ferme les yeux, tu vas avoir une surprise…— Ah oui !Splaaasssh ! Splaaaaaaaassssssshhh ! Splaaash ! Splash ! splsh ! shp ! psscchhhhh !— Malheur ! Ma jupe !La serviette épouse ses fesses tandis que ses mollets blancs éblouissent les mirettes des ploucs, plus habitués aux jambons variqueux de leurs femelles crasseuses.Oui… À la campagne, on est tous des gros dégueulasses, mariés à d’obèses bourrines crottées, qui élèvent dans la fange de nos porcheries misérables les rejetons immondes de nos coïts immoraux.Je m’imaginais en train de lui prodiguer mille plaisirs alors que je faisais l’amour avec copine.— Copine !— Oui, Robert, du calme !— Coooopiiiiine !— Euh, infirmière ? Infirmière ? Vous pouvez ramener Robert ?Le sexe ça fait deux.Je la besogne comme un bûcheron tandis qu’elle couine.— Han ! Han ! Han !— Uik ! Uik ! Uik !Il est plutôt pas mal foutu ce mec, nous avons la même silhouette, grand, mince, sportif, le début d’un petit ventre, un sourire franc qui inspire confiance instantanément. Habillé cool, mais ses vêtements sont choisis avec soin.C’est un congrès de l’UMP ?Il n’a pas dû jouir depuis plusieurs semaines pour m’inonder de la sorte !Essaye un peu le pape, pour voir…Je fis tout d’abord le tour de son vagin avant d’y introduire et d’en sortir plusieurs fois mon doigt.Non ! On a dit qu’on ne faisait pas de conneries pendant les autopsies !Le trafic devint alors un peu plus fluide, ce qui m’obligeait à abandonner cette chatte brûlante, pour reprendre le contrôle du véhicule.BLAM ! M’enfin, qui c’est qui s’amuse à planter des arbres au milieu de la route ?— J’ai essayé d’égailler l’atmosphère ! pouffa-t-elle.Ensuite, elle égailla des œufs.Je découvre un bel homme noir, le sexe enfoncé dans ma bouche. Son corps est musclé et la sueur perle sur sa peau d’ébène. […] Je suce le sexe d’ébène. […] Ma bouche suce avec passion la verge de mon beau black. […] Le beau black se couche sur moi. […] Le sexe de mon beau black est entré dans sa totalité. […] Sentant monter le plaisir, son corps d’ébène accélère la cadence. […] Ca me déclenche un orgasme dévastateur ainsi que celui de mon amant black. […] Mes mains prennent contact avec la peau d’ébène. […] Dans mon sexe se mélangent ma cyprine et le sperme de mon black. […] Mon beau black caresse mon dos et mes fesses.Et tout ça en moins de trente lignes… Bon, vous avez bien compris qu’il est noir, hein ? C’est tout juste si son sperme est pas noir aussi…Elle veut sentir ce pieu s’enfoncer dans son anus, car elle aime aussi prendre son plaisir comme ça, qu’elle en retire une grande jouissance.J’embrasse goulûment ma grosse.« Meeeuuuhhh ! » répond-elle, heureuse.— Tu as un très beau cul, tu t’es déjà fait sodomiser ?Sophie eut un léger sursaut.— Non jamais, mais, pitié, je ne supporterai pas ça.— Tu y passeras quand même.Je me félicitai une fois de plus de si bien savoir m’y prendre avec les femmes…Nous refaisons l’amour, longuement, et je l’entends jouir plusieurs fois avant de jouir à mon tour.Si ce récit vous a plu, je me ferai un plaisir de vous en raconter d’autres.Je décidai d’y aller à l’instinct et je giflai sèchement Hélène.Elle réagit également à l’instinct et me balança un grand coup de genou dans les burnes. Je ne me laissai pas faire et, pour la détendre, décidai de la sodomiser contre son gré…Je répands ma semence au plus profond de ma « belle-mère ».Et j’eus bientôt un fils et un beau-frère à la fois…Ma femme dormait toujours et moi, tenaillé par une envie de baiser, je décidai de tenter une approche.— Rrrron, pshhhh, rrronn, pshhh…— Attends, tu vas voir… salope !— Rrrrron, pshhhh… grrmmblll ?— Bordel, mais tu vas un peu écarter les jambes ?!— Oooohhhh… mais laisse-moi dormir…— Tiens ! Suce !— Oh, merde ! Fous-moi la paix !— Ah, c’est comme ça ? Tu me tournes le dos ? Eh ben attends un peu que je t’encule !Ta volonté n’existait plus et je me demande si tu n’éprouvais pas un certain plaisir dans cette situation.— Dis, Robert ? T’as bientôt fini ? Parce que, à l’envers sur cette croix, je me sens pas très bien…— Tu sais, je crois que je ne porterai plus de culotte à l’avenir.Si, tu devrais en mettre une sur la tête…Voilà une histoire qui m’est réellement arrivée il y a maintenant deux ans avec un type. Je vous la raconte telle qu’elle m’est arrivée pour que l’on puisse mieux me cerner psychologiquement et savoir ce que je suis vraiment, mentalement, une pétasse gonzesse dans tous les sens du terme.Revebebe : le site des psychanalyses gratuites.Il claque des doigts en me reluquant et dit assez sèchement : Ok salope, désape-toi. À poils !Je le regarde en retour avec dédain et lui dis farouchement : « Ok, Ducon ! Dégage ! »Mon empressement a dû le faire sourire parce que je voyais un sourire ironique sur ses lèvres.Ça, c’est de l’analyse… Variante : une autre fois, il devait avoir le hoquet, parce qu’il hoquetait.Il a une petite bite mais je la devine assez épaisse. Elle pue.C’est le schtroumpf-bouc ! (aka schtroumpf-qui-pue)Je prends carrément une journée de congé au boulot, un lundi et je raconte un bobard à ma femme.Quelle cruche, celle-là  ! Je me demande vraiment pourquoi je l’ai épousée, cette conne !On avait fini de rire là , si tenté qu’on ait un moment ri.Ah oui… là on voit bien que ça rigole pas, ces cours de français !Elle ignore à quel point tu aimes aussi cette pénétration, que t’adores avoir le cul bien rempli d’une queue dure et ferme.Quatre hommes étaient sortis. Tous des physiques de rugbymen un peu sur le tard. Deux étaient déplumés et avec du ventre, un faciès de déménageur, les visages burinés. Bref, le genre d’hommes à qui il valait mieux dire oui, sinon c’est la torgnole assurée.— Copains !— Non, Robert, ces gens ne sont pas tes amis…— Coooopaaaaiiiiins !Son ami n’y tenant plus, sortit sa queue.— Tu es sûr que tu n’y tiens plus ? lui demanda sa femme.— Non, c’est bon…Il posa alors dessus une pancarte « À saisir »…N’ayant pas grand-chose à faire, je passai la matinée à écouter de vieux tubes.Émile & Images… en boucle…— J’ai beaucoup aimé ta langue indiscrète lors de ton massage de ce matin Marie-Sophie. Mais tu m’as un peu laissée sur ma fin.Écrit comme ça, ça veut dire qu’elle est en train de crever…Et aussitôt, elle commence à baisser mon sous-vêtement. Je l’aide, moi aussi, pour finir en soulevant mes pieds.Manque de bol, je les ai soulevés les deux en même temps…Elle se laissa déshabiller doucement jusqu’à se retrouver avec ses dessous : un soutien-gorge en dentelle, comprimant une magnifique poitrine, laissant imaginer des seins pointus et fermes. Immobile, je tournais autour pour l’admirer.Bon, alors, déjà , les seins pointus me paraissent un peu obscurs… Mais en imaginant ensuite le narrateur qui, immobile, tourne autour…J’ai un sexe de taille normale.Tel un ordre, j’enfilai un préservatif.C’est l’ordre du temple lunaire… Pour se reconnaître entre eux, ils mettent des capotes sur la tête.Voilà la suite de mon précédent récit où ma femme faisait une pipe à un vieux voisin. Le restant de la journée se passa très bien.Le pénis me laboure sans ménagement pendant que les doigts me branle sans ménagement.Un véritable dé-ménagement…Alain se vida une seconde fois dans le ventre de ma femme qui, de son côté, récoltait sa troisième moisson. Puis ce fut l’accalmie.Entre les labours, les moissons et les récoltes, on devrait faire une compil spéciale « Vocabulaire agricole ». Meeeeuuuhhh !L’homme de couleur a disparu.— Rallume ! On voit plus que ses dents…Quand mon mari arrive, je suis détendue et nous passons une soirée agréable. Nous faisons l’amour, mais je dois simuler mon orgasme car je suis fatiguée de mon après-midi et n’arrive plus à me concentrer sur mon plaisir. Néanmoins sa pénétration moins puissante que celle de Patrice est agréable.Allez, la même par Word : Quand mon prête-nom apparaît, je suis attiédie et nous passons une soirée surnaturelle. Nous nous coalisons, mais je dois falsifier ma délectation car je suis flapie de mon tantôt et n’arrive plus à me polariser sur mon amusement. Néanmoins son intromission moins auguste que celle de Patrice est idoine.Et une deuxième enchaînée : Quand mon mandataire éclot, je suis congelée et nous tamisons une kermesse baroque. Nous nous marions, mais je dois truquer ma grâce car je suis moulue de ma lumière et commence à ne plus m’appâter sur mon dérivatif. Néanmoins son exorde moins clown que celle de Patrice est congruent.J’hésite, puis avale tout le sperme chaud. Cela à l’air de lui convenir. Je suis contente.Et là un joli sexe tout tendu se présenta devant moi. Selon moi, il était immense, mais Arnaud tenta de me rassurer en me disant qu’il faisait 17 cm.T’as rien vu ! Attends que je te présente Mamadou !Il m’expliqua ensuite comment le branler, et ensuite, il me demanda de faire avec son sexe comme avec une glace.Et quand ça a commencé à fondre, j’ai mordu dedans bien fort !Il m’enleva mon chemisier et me débarrassa de mon soutien-gorge. Il partit jouer avec mes seins.… à l’autre bout de la pièce.Puis, je n’eus plus de string et là , une langue fit son entrée.— Bonjour ! Je suis la langue !— Bienvenue, langue ! Tu veux jouer avec nous ?— Ah oui, alors !— Mais dis-moi, langue, ce n’est pas toi qui as pris string ?Il a envie de moi, cela me fait plaisir.Je mouillais copieusement en gémissant la tête à l’envers.Et, buvant la tasse, je péris noyée sous ma propre cyprine.