Bonjour, suite à mon texte précédent, j’ai reçu en quelques jours plusieurs dizaines de mails de personnes qui m’ont dit avoir apprécié et bien rigolé, et d’autres qui m’en redemandaient. Du coup, je tente une nouvelle version, avec de nouvelles phrases, qui m’ont encore largement fait rire. J’ai tenté de corriger la présentation, en faisant suivre chaque phrase originale d’un petit commentaire à deux sous en italique. Il faut signaler qu’on trouve dans presque tous les textes de telles phrases, avec soit une petite erreur de grammaire qui fait que ça devient drôle, soit un oubli ou une répétition malencontreux, soit des phrases qui, sorties de leur contexte, ne signifient plus rien. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer. Le but recherché ici est essentiellement l’humour…Putain de pavés…On ne le répétera jamais assez.En dépit d’une bonne vingtaine d’années, les bibliothèques parisiennes n’avaient plus trop de secrets pour moi.Je crois même pouvoir affirmer que la plupart des bibliothèques parisiennes sont bien plus vieilles que ça…Il la plottait sans égal.Et elle jwiçait sans pareil.Evy a choisi un amant Dan, un de ses employés. Et aujourd’hui vendredi, vers 11h, il viendra s’installer chez nous.C’est tellement plus simple comme ça…Elle annonce à Dan qu’elle ne le gardera que s’il supporte l’épreuve de la cravache.Ah, parce qu’en plus elle pose des conditions ?Cà y est, je suis cocu ! Bizarrement, loin d’être triste, je suis content.Normal… Transposons un peu tout ça : Robert, mon mari, a choisi une maîtresse, Jennifer, sa secrétaire. Elle vient aujourd’hui s’installer chez nous. Il lui annonce qu’il ne la gardera que si elle fait bien la vaisselle. Ça y est, je suis cocue. Mais je suis vraiment bien contente…Je m’étais pissée dessus ce soir-là .Je venais de chier sous moi.Je suis militaire de carrière et, physiquement, je suis tout de même pas trop mal…Eh oui, c’est possible !Evidemment, cette jolie petite salope porte une minijupe.Évidemment, sinon ce ne serait pas une salope… Et réciproquement : elle portait une minijupe, et c’était donc bien évidemment une salope.Elle bouge gentiment du cul, comme pour me dire bonjour par derrière.Jolie métaphore, mais comment est-elle sûre de s’adresser à la bonne personne ?— Si ma cliente veut l’essayer, vous pourrez vous-même constater quel effet ce string peut faire sur une belle femme, me dit la vendeuse.Et, sur les conseils judicieux de la vendeuse, la belle cliente décida tout naturellement d’accepter d’essayer le string devant lui. La vie n’est-elle pas formidable ? Bien entendu, la vendeuse se joignit à eux dans la cabine d’essayage :— Vas-y, baise-là , elle est mûre, m’ordonne la vendeuse en me léchant les couilles.Essayez donc de dire cette phrase tout en léchant quoi que ce soit ! Enfin bref :La cliente se met immédiatement à quatre pattes, string sur les chevilles, cuisses et con ouvert. Je la pénètre d’un coup et éjacule immédiatement. Elle crie.Elle crie de colère, tellement c’est immédiat… Heureusement qu’on ne s’arrête pas là :La vendeuse se tripote sous son string tout en me léchant avidement les couilles. Elle ressort mon sexe pour le sucer avec art pendant que la cliente recommence à se branler. Ma bite redurçit vite et la vendeuse ôte sa culotte pour avoir sa décharge de sperme. Je la pompe sur le sol pendant que la cliente me léchouille l’anus. Quel orgasme, mes amis ! […] J’éjacule pour la troisième fois pendant qu’elles me traitent de tous les noms !Ouf ! Ça y est ? Pas mal, hein ? Trois fois en à peine dix lignes…Elle veut choisir une option dont je lui déconseille.Mais elle choisit finalement cette filière qu’on avait parlée… Il ne doit en tout cas pas s’agir d’études de lettres !Je l’écoute […] en lui caressant le dos de la main de mes doits.Je finis par croire qu’elle sensible à beaucoup !Bon, Toto, conjugue-moi au subjonctif le verbe « sensibler ». Et n’oublie pas qu’il est intransitif !Je vois tous les mecs de la soirée, qui eux aussi ne se privent pas de me voir, si vous voyez ce que je veux dire.Elle avait un corps de top model, hormis sa petite taille.Plus simplement, elle était petite et maigre.Je me lève et prends sa bouteille de bière que je termine et me mets à genoux devant lui et m’enfile la bouteille dans le cul.Tu as eu raison de la terminer, faut pas gâcher. Et puis ça aurait pu te faire un drôle d’effet, le lavement au houblon. Mais rassurons-nous, ça aurait bien pu être dans le genre grosse pulsion passagère :Je me lève, prends sa bouteille de bière que je m’enfile dans le cul, puis me rassois et termine la bière. « Oh pardon, je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris… » ajoutai-je alors discrètement.Ce plaisir devient incommensurable.Un synonyme de incommensurable est : hadal.Je continue ma sucette et me l’enfile dans la chatte et me penche pour l’embrasser sauvagement.Ah oui, j’avais oublié de vous dire que j’étais championne du monde de contorsionnisme. Dans le même genre : je me grattais l’épaule avec le pied droit tout en me léchant l’oreille gauche.Il va jouir bientôt qu’il le veuille ou non !J’entends ses râlements et c’est lui qui me pousse sa bite dans la gorge, heureusement que celle-ci est profonde !Ah, oui, alors. Heureusement.Mon « non » ne devient un « oui » consentant sans parole.Mais pour nous aider à comprendre, il y avait le contexte.Avec le temps, nous commençons à avoir une vie sexuelle à trois. Je suis heureuse avec ces gens qui m’acceptent et m’aiment, d’autant plus qu’ils ont un merveilleux chien nommé Noireau.… et de jolis petits poissons rouges qui volent dans le ciel en chantant. L’un d’entre eux s’appelle Blub et c’est mon ami. Tu veux nous rejoindre et découvrir avec nous ce merveilleux monde enchanteur ? Alors, toi aussi, goûte ces délicieux champignons…Je vis maintenant seule car mon conjoint m’a quitté pour une vie sexuelle plus saine selon lui. De plus, le chien de ma copine n’est plus de ce monde.D’ailleurs, depuis qu’ils sont partis, je dis vraiment n’importe quoi…Sans réfléchir, l’alcool de la soirée m’ayant probablement amoindri les facultés d’analyse de la situation, j’ai sorti ma langue.Un peu plus tard, un gentil garçon d’une vingtaine d’années, voyant que je bavais, est venue m’aider à la rentrer, en la poussant à coups de bite.Tu n’y penses pas – c’est toi que j’aimes, je ne suis pas une traînée qu’on offre au premier venu même si Alain et Eric me plaisent.Pourtant, on a comme un doute…En ouvrant la porte et la voyant là devant moi avec son porte-documents, je ne pus m’empêcher de m’imaginer déjà Isabelle nue avec sa touffe noire sous mes yeux… Mais elle n’était pas a priori venue pour cela.A priori, non, en effet. Mais…Elle aimait bien le Ricard, je lui en ai servi une bonne rasade en me disant que si elle avait trop bu elle ne pourrait plus rentrer chez elle.… et qu’elle déciderait de dormir chez moi, dans mon lit, et de me faire une bonne grosse pipe, en avalant tout. Je lui en servis donc de grandes quantités. Tout se passa comme prévu, et elle décida de dormir là (enfin, je décidai pour elle, vu son état, mais c’est pas grave). Ce fut sans doute à cause de ce coma éthylique dans lequel elle sombra qu’elle ne voulut pas me sucer. Je l’allongeai quand même à côté de moi, choisissant alors de tenter de la sodomiser pendant son sommeil…Elle a ouvert son chemisier et ne portant jamais de soutien-gorge a fait jaillir ses seins puis les a soupesé un après l’autre en disant : voilà comment Alain s’est occupé de moi lorsqu’il m’a raccompagné l’autre soir après la réunion.Variante : elle a ouvert son chemisier, et comme elle ne portait jamais de soutien-gorge, elle fut obligée de se baisser pour ramasser ses seins. Elle les noua alors en un double nœud de chaise en disant : si j’avais su, j’aurais porté un soutien-gorge…Ne me faisant pas prier, j’ai commencé à pétrir ses seins. Ils ressemblaient effectivement avec leur couleur dorée par le soleil de l’été dernier à deux melons épluchés avec des aréoles chocolatées surmontées d’une fève de cacao.Un Happy Meal, sur place !En guise de digestif nous nous sommes mis à nous lécher les uns les autres pour faire plus amples connaissances.… comme le font les chiens.Voilà qu’elles parlaient toutes les deux de moi comme un vulgaire gode qu’on se partageJ’étais vraiment très embêté, car il me semblait que j’allais devoir me les taper toutes les deux, et ce n’est vraiment pas mon genre de faire des choses comme ça.Ah, qu’est-ce qu’il ramone bien, n’est-ce pas ?… dit-elle, s’adressant à la cheminée.Martine a vingt trois ans. Elle est brune et, sans être très grande, possède un très joli corps. Son chemisier est tendu par une poitrine qui doit être un bon 95C et son jean moule une très belle paire de fesses. Bref, un petit canon !Même pas un mot sur son visage… Si ça se trouve elle louche, est à moitié chauve et n’a plus de dents, mais bon, c’est un petit canon…Martine et Patricia s’installent dans le canapé. […] Je les rejoins. La seule place libre est à côté de Martine et je lui demande la permission de m’y installer.Ce qui aurait été drôle, c’est qu’elle ait dit non… Mais, non, naturellement, elle accepta, et ils baisèrent tous les trois. Sans surprise, quoi.Ses fesses se cambrent.Je ne me sens pas du tout homosexuel mais je dois dire que j’aime bien voir des photos de pénis.C’est grave, docteur ?Je suis toujours amusé de voir que durant le sport mes bourses se tendent et ma verge se recroqueville.Des fois, d’ailleurs, je fais même du sport juste pour voir ça et me marrer un bon coup.Je crois que j’aimerai bien vous voir finir de faire pipi !Bien sûr, vous pouvez même me la tenir si vous voulez.Elle ne porte pas de soutien-gorge.On finit par se demander pourquoi ils en vendent de ces conneries-là .Elles portent un ancien deux pièces de sa sœur.Elles ont fait moitié-moitié : tiens, mets le haut, moi je mets le bas.Je proposer de prendre le pouce café dans la piscine.Mais elle pas comprendre, et moi passer nuit tout seul.Je voyais les lumières s’éteindrent.Soyons heureux, elles auraient pu s’éteigner.Ma main avait déjà commencé un va-et-vient quand une main vient de poser sur mon membre à côté de ma main.… qui allait et venait à côté de la main qui venait à côté de ma main.Il devait y avoir 25 cm d’eau et ceux l’empêcher de respirer.Et ceux le boire la tasse, et ceux le noyer.Je lui pisse ma jute sur les doigts.La grande classe, encore et toujours.C’était un samedi, il était à peine 10 heures et je someillais tranquillement quand ma sonnette retentit. Avec peine, je me levai, et peut-être est-ce à cause de la fatigue, mais je ne pris pas la peine de regarder par le judas. J’ouvris en grand la porte et me retrouvai nez à nez avec Will, mon collègue. À peine réveillée, je ne me suis pas rendue compte tout de suite que je ne portais qu’un tee shirt court qui couvrait à peine mes fesses et le plus beau du spectacle (pour lui) fût lorsque je me baissai de façon peut élégante pour ramasser ma culotte que j’avais retirée et lancée à travers la pièce.« Bon, okay, Briana ? Tu as bien retenu le script ? Dès que ça sonne, tu retires ta culotte, tu la lances à travers la pièce, et tu vas ouvrir la porte sans regarder par le judas. » De toute façon, les judas, c’est comme les soutien-gorges, on se demande dans quel but on les a inventés…Applaudissements. Un type prend la parole au micro devant des millions de gens : « Dans la catégorie « récit contenant le mot peine », les nominés sont… »Mes caresses l’aident à supporter l’enculage.Enculage ? Enculation ? Enculerie ? Enculement ? Bon, enfin, l’essentiel, c’est qu’on comprenne…— Oui, jouis ! Arrose-moi les intestins ! Je veux sentir ton jus dans mon cul !— Oh oui ! je vais t’inonder les boyaux.Tiens ! Aaaah ! Ouiii ! Oh… C’était bon… Mais dis-moi, c’est quoi ce liquide blanchâtre qui sort de ta bouche ?Ma femme aime jouir.Je suis ce que l´on peut appeler un vieux monsieur. J’ai 50 ans. Et en plus, j’ai l´avantage d´être riche…Ou même un vénérable monsieur. D’autant plus qu’il est riche.Je suis Suisse. […] Depuis de nombreuse année, […] je prend ma voiture, une paire de jumelle […]En Suisse, on manque de « s », alors on fait des économies… Mais peu après dans son récit, l’auteur nous dit :Je suis un homme de chiffres et non de lettres.Eh bien, ça, on l’aurait presque deviné… Puis, voulant sans doute prouver sa bonne foi :Et je ne voyant rien de ses parties intimes.Je distinguait nettement l’expression de son visage.Il l’on fait trois fois.J’espérait toujoursIls se sont enlacé tendrement debout, se sont embrassé, se sont calinés puis ont éteind la lumière. Alors, je les ai laissé tranquille.Je pouvait lire la douleur, ou le plaisir sur leurs visages…Ils avait éteint la lumière.Mais, conscient, il ajoute enfin :Ce n´est pas évident d´écrire. Je ne pensait pas que ce serait si dur.… ça vient… j’y arrive… ouiiiii… … c’est mon point G…Moi qui me croyait gênée et réservée, me voilà en train de me dévoiler devant un parfait inconnu !!!T’inquiète pas, c’est normal, tout le monde fait cela, surtout lorsqu’on précise dès le début cette gêne et cette réserve…Vous ai-je dit à quel point j’ai une fixation sur les pénis ? Quand j’en vois un, il faut que je le touche et quand j’en touche un, il faut que je le goûte…Et quand j’en goûte un, il faut que j’avale, et quand j’avale, il me faut vite un gangbang, et quand je viens de me faire éclater le cul par vingt bites, il me faut des femmes blondes avec des gros seins, pour me détendre un peu… Oui, oui, ça aussi, c’est normal. Pas de panique.Mon dieu… il va éjaculer…Oui, ce sont des choses qui arrivent…On se dirige vers la douche, il prépare l’eau pendant que je m’approche pour qu’il puisse m’effeuiller, tout près l’un de l’autre, il retire mes vêtements et surtout la jupe qui glisse par terre, je suis dos au miroir où je suis certaine qu’il a eu une image de mes fesses qu’ils empoignent généreusement pour que je le suive sous l’eau, le voilà à me savonner partout, s’attardant aux endroits désirés, les caresses sont si enivrantes que je lui retourne la pareille, l’odeur de pêche chatouille nos sens, ses mains sont présentes, passent, effleurent, et caressent mon entrejambe de façon à ce que mes jus abondent généreusement.Un défi ? Résumer cette phrase en dix mots.Comme j’ai jadis goûté à son savoir-faire de cunnilingus, les oreillers se glissent vite sous mes fesses.Attendez, je vous explique : j’avais raconté à mes oreillers comme mon amant s’y prenait bien, et je leur avais dit : « Dès que vous le voyez arriver, vous vous glissez sous mes fesses. »Mes jambes se referment comme une huître.… qui aurait mangé une moule.Sa tête monte vers la lune, instinctivement.Et, lors des éclipses, il s’allonge par terre en transe et psalmodie longuement.En signe de gratitude, il me procure un autre orgasme.Oh, ben ça, c’est vraiment gentil de sa part.Il se surprend de jouir.Oh, je jouis. C’est surprenant ! À moins qu’il ne se soit surpris à jouir…Il a un pénis important, mais je le suce quand même.Bien sûr qu’il est important, ça lui sert à pisser, aussi.J’en profite pour demander à notre nouveau copain s’il a déjà eu des relations avec des hommes. Hé bien, oui… car il est bi.Eeeeh bien oui, mesdames et messieurs ! Ouiii ! Car il est biiii ! (avec la voix de Nelson Monfort.)Il me penche vers le mur. Je n’ai pas le choix de m’appuyer contre celui-ci.Je commence à lui faire une fellation digne d’une salope.C’est-à -dire sans soutien-gorge et en minijupe, si j’ai tout bien compris.Nous regardons Mohamed, il a enlevé son pagne et se masturbe lentement.Il s’appelle Mohamed, donc il porte un pagne, parce que là -bas, en Afrique, personne n’a encore inventé le slip.Nous nous endormiâmes.Et nous dormisserions encore si le réveil n’aurait pas sonné.A midi j’ai descendu ma bouteille de Contreix, moi !Et moi, mon litron de gros rouge ! Mon partenaire finesse !Cette situation dans ce cabinet sordide à la peinture défraîchie avec cette femme qui semble prendre un malin plaisir a m’humilier commence à m’exciter sérieusement.Dans le même genre : « Chers parents, je passe de merveilleuses vacances. Nous avons déjà visité Sarajevo, Beyrouth, Kaboul et Grozny. Et ce n’est que le début. Je suis très excitée à l’idée de la suite de cette croisière de rêve. »Je me lève et descends de la table, elle est légèrement plus grande que moi.On en déduit que l’auteur est nain, ou la table surélevée.Je sens que c’est mouillé en dessous, attends je vérifie. Oui… je mouille.Transposition : « Ah, je crois que je bande. Attends, je vérifie. Oui, je bande. »Les mots que Céline pousseront ce soir sont :« Oh oui »« Hummmm »« Oh oh oh »« Oui…Encore…Encore… »Et vers la fin « Je vais jouir »« Cela durera 11 minutes et 47 secondes, et atteindra une amplitude de 6,4 sur l’échelle de Pauvrelune. » « Ah, merci beaucoup, madame Irma, combien vous dois-je ? » « 200 €, comme d’habitude, » répondit la voyante en rangeant sa boule de cristal.Je ne regrette pas mes 4 masturbations des dernières 24 heures !Je l’ai entendu murmurer « salope »… Sa vulgarité m’a mis le feu aux fesses !!Et je ne portais pas de soutien-gorge, bien sûr.Ce soir, j’ai encore un grand sourire idiot.Et malgré toutes leurs tentatives, les médecins ne voient vraiment pas comment faire en sorte qu’il disparaisse…