Je m’appelle Brigitte, j’ai 56 ans et je suis conseillère fiscale dans une grande société d’import-export. Divorcée depuis 8 ans, j’habite seule. Je loue un tout petit deux-pièces près du bureau, j’aime me déplacer à pied pour perdre un peu de poids car je suis forte. Je suis rousse, les cheveux coupés au carré, je pèse 95 kg et mesure 1m65 avec une poitrine lourde et tombante, aux mamelons très bruns, longs et pointus. Je préfère laisser ma chatte très drue, ayant depuis longtemps abandonné le bikini. Mes poils pubiens s’étalent de part et d’autre de mes cuisses et remontent légèrement vers mon nombril. Ma toison est brune et parsemée de quelques poils blancs.Je me permets quelques sorties le week-end, souvent au resto ou à la campagne avec mes voisins de l’immeuble qui possèdent une jolie propriété au bord de la mer. Mon mari m’ayant quittée pour épouser une femme plus jeune qui travaillait avec lui, je suis souvent en manque, et il m’est difficile d’être invitée ou sollicitée à cause de mon poids et de mon âge. Du coup, je me retrouve souvent seule dans mon deux-pièces, avec mon dîner et mon verre de whisky.La nuit, je m’ennuie, je me languis de l’énorme queue de mon ex-mari qui me fourrait quotidiennement, avant qu’il ne se lasse de moi et choisisse une chatte plus jeune et plus belle. Etant de nature timide et réservée, je n’ai depuis mon divorce goûté qu’à deux ou trois queues, des hommes mariés et toujours en vitesse et sans trop de préliminaires.Le soir, après dîner, je me retire dans ma chambre. J’ai soin de tirer les rideaux car tout le monde me connaît dans l’immeuble et j’ai un peu honte de moi. Je m’étends sur mon lit. Du tiroir de la table de nuit je sors quelques revues que j’ai commandées par courrier, ainsi qu’un énorme godemiché en plastique de 50 centimètres, obtenu également sur catalogue, et de la vaseline.Je me dénude complètement, lubrifie mes mamelons, car ils sont un peu boutonneux et secs, ainsi que mon bouton intime, et commence à regarder les pages qui me font plaisir.Ce que je préfère, c’est une série de photos de femmes enceintes, d’une revue spéciale lesbiennes. J’installe la page sur le lit en regardant une jeune femme philippine particulièrement agréable, aux seins massifs, aux tétons géants, presque mauves. Elle est assise sur un lit, le doigt sur une chatte hyper poilue aux grosses lèvres gonflées. Son ventre distendu indique au moins 8 mois de grossesse.. Rien qu’à la vue de ces boules fantastiques toutes enflées, mon clitoris s’érige dans son capuchon. Un soupir de volupté m’échappe, et ma main commence à malaxer mes grosses mamelles. Je pince et je tire au maximum sur le téton marron. De l’autre main je masse mon sexe rapidement et stimule mon bouton d’amour par des mouvements de rotation.Je m’interdis de penser à ma voisine, elle-même enceinte de 6 mois, tellement j’ai honte de ce désir secret pour cette belle petite jeunette dont je pourrais être la mère. Ces temps-ci, je passe beaucoup de temps avec elle, l’aidant dans ses tâches ménagères, depuis que son copain l’a larguée après l’avoir mise enceinte. Et, à plusieurs reprises, j’ai eu l’occasion de voir sa belle poitrine, qui a augmenté de plusieurs tailles, une poitrine aux larges tétons foncés déjà en lactation.Mon excitation monte, je commence à haleter doucement, en tirant de plus en plus fort sur ma pointe de mes seins presque noirs de désir et aussi longs et épais qu’un crayon.Je râle de désir, mon regard se pose maintenant sur une rousse et sur une noire, toutes deux enceintes, la quarantaine bien tassée, la rousse pompe à l’aide d’un tuyau les seins bourrés de lait de la noire, elle-même a posé un verre transparent sur son sein volumineux, aux tétons larges et bleus.Elles s’embrassent à pleine bouche.Sentant ma masturbation culminer, je me fourre le gode sauvagement, mon con affamé le dévore en entier, reconnaissant. Deux ou trois pompements de gode plus tard et mon abricot éclate, ma cyprine initiale fait place à un jet de liqueur abondante et visqueuse qui tache mon drap.Je soupire, je décompresse et je savoure chaque spasme……C’etait un lundi particulièrement déprimant au bureau. J’avais beaucoup de travail, nous avions 2 nouveaux stagiaires particulièrement pénibles à gérer, ainsi que des clients importants dont il fallait s’occuper 24h sur 24.J’avais un mal de dos atroce dû à ma mauvaise posture toute la journée…Ma voisine Sylvie m’avait chargée de faire ses courses car, vu son état, enceinte de plus de 6 mois, son médecin lui avait conseillé de se reposer. Je passai donc au supermarché à la sortie du bureau, pour faire quelques emplettes.J’avais encore grossi, je m’étais gavée tout le week-end avec mes voisins, qui avaient organisé un pique-nique à la campagne. Le seul tailleur qui m’allait encore fermait à peine, et je réalisais que je devais soit me mettre sérieusement au régime, soit m’acheter des habits neufs. Hors, manger me procurait un réel plaisir, peut-être le seul luxe qui m’était encore permis…Je décidai donc de passer chez Marina, une amie de longue date, qui avait une boutique de prêt-à-porter pour grandes tailles dans la galerie marchande. Marina me fit la bise, elle s’occupait d’une dame très distinguée, la cinquantaine, qui essayait des robes du soir. Cette cliente était très forte, sans doute plus que moi, mais ultra féminine, les cheveux soigneusement méchés, un maquillage subtil et beaucoup de grâce. Elle était moulée dans un fourreau noir qui la galbait merveilleusement. Elle plaisanta avec Marina sur la taille de ses seins, en se traitant de « vache laitière »… A l’entendre, un frisson me parcourut… Je regardai furtivement sa poitrine, aussi grosse que la mienne et à peine cachée par son décollé… Elle avait des fesses très volumineuses et très rebondies.Marina me la présenta succinctement. Avec mes sacs de supermarché, saucissonnée dans mon tailleur, les traits tirés, je me sentais soudain très moche devant cette femme impeccable. Celle-ci me tendit une main parfumée, bijoutée, très douce, et me sourit gentiment. Je sentis un autre frisson me parcourir, et je me surpris à rougir légèrement.Marina me proposa 2 tailleurs à essayer, tandis qu’elle épinglait la robe noire de sa cliente. Je rentrai dans la cabine d’essayage, encore troublée de ce contact. J’avais un désir fou de lui parler et d’être seule avec elle. N’ayant jamais eu de rapport avec des femmes, mise à part la masturbation privée avec mes magazines lesbiens, je me renfermais de plus en plus dans une solitude sexuelle. À 56 ans, j’avais encore honte de mes désirs…Otant mon tailleur, qui avait laissé des marques rouges sur ma peau, je pris la jupe du nouveau tailleur pour l’essayer. Je me regardais dans le miroir. Ma poitrine énorme débordait de mon soutien-gorge trop serré, mon ventre tombait, cachant presque mon slip, qui voilait à peine ma toison drue et super abondante (Elle n’avait pas vu le rasoir depuis des années).Fermant les yeux, le cœur battant car j’entendais les deux femmes rire et discuter, je baissai les bretelles de mon soutien-gorge. Un sein lourd jaillit, d’une main j’en pinçai le téton, large et foncé. Stimulant la pointe maintenant dure comme du fer, je la fis tourner entre le pouce et l’index avec force. De l’autre main j’écartai mon slip, fouillant ma jungle pour arriver à ma vulve érigée. Ma chatte était inondée, ma liqueur visqueuse hydratant mon bouton que je masturbais furieusement, en torturant mon bout de sein.J’imaginais la belle cliente écartelée sur la moquette du magasin, ma tête entre ses grosses cuisses, ma langue lui léchant goulûment l’entrecuisse… Je l’imaginais complètement épilée. Rien qu’à l’idée de brouter son con potelé, mon orgasme surgit, par saccades, mon foutre gicla sur ma culotte. J’étouffais mes halètements de plaisir, me ressaisis et enfilai en vitesse le tailleur à essayer.— Alors, me demanda Marina ?La cliente était sur le point de partir. Je dus me faire violence pour ne pas succomber à la tentation de lui demander son adresse. Mais comment aurais-je justifié cette attitude ? Et qu’aurais-je fait de cette adresse ?J’avais hâte de payer Marina pour le tailleur, hâte de me retrouver seule dans la rue pour prendre l’air, pour me ressaisir… Jamais de ma vie je n’avais ressentis un tel trouble en présence d’une femme.…Arrivée chez ma voisine, j’introduisis la clé dans la serrure, sachant qu’elle était seule et qu’elle devait rester alitée l’après-midi ainsi que son médecin le lui avait prescrit.Il y avait une petite lumière dans la cuisine, j’entrai à pas de loup, le cœur sur la main, croyant avoir entendu un gémissement, une plainte étouffée.Le spectacle qui m’attendait me laissa bouche bée. Sylvie, en robe de chambre, les pans largement ouverts et qui laissaient entrevoir sa grosse poitrine aux tétons larges en lactation, prenait à pleine bouche l’énorme queue d’un illustre inconnu. À genoux devant lui, elle le tétait avec un rythme régulier, les yeux fermés. Et ce bellâtre lui fourrait sa queue dans la gorge, ses grosses mains triturant les énormes mamelles, qui dégoulinaient de lait sous la pression.Je ne savais pas quoi faire, et décidai de repartir chez moi, lui laissant les emplettes. Mais la vue de ces pis splendides me fit perdre la tête, et je voulais encore m’en régaler un peu. Ma voisine avait gardé son slip, légèrement écarté de côté, pour lui permettre de stimuler ses lèvres et son doigt taquinait sa vulve grossie par le désir. J’eus soudain peur qu’ils commencent à faire l’amour.Je me dirigeai sur la pointe des pieds vers la porte de sortie lorsque j’entendis Sylvie appeler :Rougissant, je revins vers la cuisine. L’homme avait disparu, Sylvie avait rajusté sa robe de chambre tachée de lait.— Pardon Sylvie, je ne voulais pas vous déranger.— C’est moi qui te demande pardon, j’ai eu de la visite… Euh, tu comprends, cela faisait très longtemps que je n’avais pas fait un câlin. C’est un ami d’enfance…Je la rassurai en l’embrassant tendrement. Me lavant les mains, je me mis au travail pour l’aider à préparer son dîner. J’étais fatiguée… et si seule… La vue de la queue splendide de cet amant puissant m’avait fait mouiller un tant soit peu. Quelle joie, pensais-je tout bas, « J’ai 56 ans, je fantasme sur les femmes et n’en ai encore brouté aucune… » Les quelques bites que je m’étais fourrées depuis mon divorce n’étaient qu’un souvenir lointain… Mon désir de sexe s’intensifiait, devenait obsédant. J’avais hâte de rentrer chez moi pour me godemicher comme d’habitude.Soudain, l’homme fit irruption dans la pièce, douché et légèrement parfumé. Il me salua et me complimenta pour mes talents culinaires. D’un autre côté, il ne quittait pas Sylvie des yeux. Elle lui sourit, et il entoura ses épaules d’une main. Il l’embrassa sur le front, sur la joue, sur les épaules.Gênée, je fis mine de sortir de la cuisine mais il m’intima l’ordre de continuer ce que j’étais en train de faire, en plaisantant. Du coin de l’œil, je les observais, ma chatte en sueur, mes tétons durcis me faisaient mal.Il embrassait Sylvie maintenant à pleine bouche, sa langue plongeant à l’encontre de celle de ma voisine, qui répondait volontiers à son baiser. Il se dégagea soudain de son étreinte et vint vers moi en souriant.— Elle est très chaude votre amie et je suis impatient de la baiser ce soir. Son corps me rend fou. Rien qu’à la regarder avec son ventre tout rebondi je bande comme un cerf. Elle double la taille de ma bite rien qu’à me sourire.Gênée par ces propos très crus, je balbutiai des bêtises, en rougissant.Il m’entraîna dans le salon et me proposa un apéritif. Je sentais son regard vicieux me déshabiller du regard. Ça devait être le genre de type à sauter sur tout ce qui bouge. Sylvie, de son côté, avait disparu dans sa chambre pour s’habiller.Près du poste de télévision, quelques cassettes vidéos étaient étalées, en désordre. Je regardais machinalement les titres, pensant pouvoir en emprunter une ou deux pour un soir. Je fus choquée de voir que tous étaient des films pornos.— Elles sont à moi. Les films de cul vous intéressent, me demanda-t-il en me tendant mon verre.Je rougis à nouveau. J’avais l’impression qu’il allait se jeter sur moi d’un instant à l’autre. Le pire c’est que s’il l’avait fait je me serais laissé volontiers faire et de bonne grâce, avec envie.— Euh.— Allez-y, servez-vous si ça vous tente, je vous les prête, ne faîtes pas la timide, on sait ce que c’est les cochonnes ! Vous n’aurez qu’à les rendre à Sylvie après usage.Et il me jeta un clin d’œil des plus vicieux.J’avais repéré un titre : « Les vieilles brouteuses », il avait en couverture deux femmes mures, les cheveux argentés, tendrement engagées en un baiser profond, nues toutes les deux. Les autres films étaient de facture plus classique. J’en pris deux autres au hasard pour ne pas avoir l’air.— Y-a pas de honte à se faire du bien, n’est-ce pas Sylvie ? Ajouta le bel amant en regardant ma voisine qui venait de revenir.Sylvie, rougissant, m’expliqua que c’était Gérard qui aimait ce genre de films.Le dit Gérard, son ami d’enfance, nous laissa peu de temps après. Il devait aller changer sa voiture de place car il avait peur d’attraper un PV.Sylvie m’avait donné une petite pochette pour mettre mes trois cassettes.— Brigitte, tu aimes les lesbiennes?Ainsi, mon choix particulier ne lui avait pas échappé.Comme dans un rêve, et peut être enhardie par la curiosité bienveillante de ma voisine, je lui répondis :— Oh oui, depuis longtemps.Elle s’approcha de moi, splendide dans une robe noire qui galbait son ventre parfaitement. N’osant pas la regarder, je baissai les yeux, mais elle caressait mes cheveux tendrement. Prenant mon menton dans ses doigts, elle m’embrassa sur la bouche. Croyant défaillir, étourdie par le choc, je m’appuyai sur un fauteuil. M’enlaçant maintenant à la taille, ma voisine me donna un second baiser, plus goulu, plus exigeant. Gémissant de reconnaissance, j’entrouvris les lèvres au maximum pour recevoir sa langue. Nos langues se frôlaient, se nouaient, dans un baiser interminable. Sylvie haletait doucement, mais sans interrompre sa fouille, elle faisait l’amour à ma bouche. Quand enfin nous nous séparâmes, elle me baisa encore partout, le visage, le cou, les seins à travers mon tailleur.— Brigitte suce-moi les seins, je t’en prie, ils sont si gros et si durs.Criant de plaisir, la vulve en folie, je lui dis pourtant qu’il fallait être sages et remettre ça pour plus tard, son amant pouvant revenir d’un instant à l’autre.Comme pour confirmer mes dires, nous entendîmes des bruits dans la cage d’escalierSoupirant, elle me réclama encore 2 ou 3 baisers sur la bouche avant de se détacher. Me regardant dans les yeux, se léchant les lèvres, elle se massa la poitrine une dernière fois, en me murmurant des mots d’amour.— À plus tard, mon amour, lui dis-je, en écrasant une dernière fois ma bouche sur la sienne.— D’accord, Brigitte, je comprends, mais nous devons absolument continuer ce que nous avons commencé…Encore étourdie par les baisers de ma voisine, je dus faire un effort suprême pour me diriger vers la sortie. Je croisai Gérard sur le palier qui lorgna une dernière fois sur ma poitrine.…Je pris une longue douche, l’eau chaude brûlait ma peau. Je repensai à ma journée… Curieusement, c’était l’épisode du magasin qui avait déclenché l’épisode lesbien entre ma voisine et moi, et peut-être aussi l’attitude décontractée de son curieux amant. Cela devait se voir sur mon visage que j’étais toute excitée, moi qui d’habitude était timide et réservée. Je voulais faire l’amour avec ma voisine, évidemment, mais quelque chose aussi me freinait encore dans mon élan… Je voulais encore attendre un peu…Prenant deux cachets d’aspirine, je mis dans le magnétoscope la cassette lesbienne empruntée chez Sylvie, en vérifiant que le film ne dépasserait pas une heure et demie, car je voulais vraiment dormir.Bientôt deux femmes surgirent sur l’écran, la soixantaine, toutes deux bien en chair. C’était l’histoire d’une femme seule qui en rencontre une autre lors d’un voyage organisé. Trop fatiguée, j’appuyai sur le bouton défilement rapide pour arriver aux scènes d’amour.Elles étaient nues toutes les deux, dans les bras l’une de l’autre et s’embrassaient à pleine bouche. La vue de ces deux femmes aux cheveux blancs, dont l’une avait des seins aux larges veines bleues qui lui arrivaient au ventre, me fit relever ma chemise de nuit. Lorsqu’elles commencèrent à se sucer les seins et à se caresser mutuellement la chatte, je déboutonnai les boutons de ma chemise, sortant mes deux globes douloureux et tumescents.La plus jeune, dont la poitrine était minuscule mais dont les tétons de couleur foncée constituaient plus de 80% du sein, dardait sa langue autour du clitoris de sa compagne, dont le sexe était grand et très poilu. La femme aux gros seins se pinçait les mamelons et se léchait les lèvres en murmurant des obscénités en anglais. Son corps se raidit soudain sous les coups de langue de sa lécheuse, la récompensant d’un jet de liquide que cette dernière lécha goulûment, tout en masturbant son propre sexe.Je fis défiler un peu plus la cassette…La femme aux seins géants était maintenant debout, et son amie agenouillée entre ses cuisses, elle la broutait encore pour l’amener à un second orgasme. Soudain, elle émit un jet d’urine très abondant qui aspergea la bouche de sa compagne et son visage.Je me masturbai alors frénétiquement, debout devant le poste de télé, en repassant plusieurs fois ce passage, les yeux rivés sur écran, une main torturant un mamelon et l’autre fourrée dans la chatte. Mon orgasme me foudroya toute entière, et je m’affalai sur le tapis, complètement épuisée.N’ayant plus assez d’énergie pour sortir mon gode enfermé à clef dans le tiroir, je pris sur la commode ma brosse et me l’enfourrai en entier, m’auto-baisant avec fureur, frottant mes fesses sur la moquette et gémissant de frustration. Inassouvie, je pris une autre brosse que j’utilisais pour mes tailleurs et me la fourrai dans la bouche, jusque dans la gorge. Je me retournai sur le ventre et frottai encore mes seins tombants et lourds sur le tapis, les balançant à droite et à gauche et de bas en haut, la bouche et le vagin prises par les deux brosses.Le film continuait mais je ne regardais plus, occupée à me branler. Mon second orgasme me fit trembler de la tête aux pieds, m’étourdissant par son intensité. Satisfaite, je rangeai tout, me glissant dans mon lit, mettant le réveil pour 7 heures du matin.…La sonnerie stridente du réveil me tira d’un sommeil lourd et profond. Quelques minutes plus tard, douchée, coiffée, parfumée, habillée, je sortis, et me dirigeai à pied au travail.Sandrine, la directrice des ventes et une de mes meilleures amies, était déjà là, et j’en fus surprise. Elle m’expliqua qu’elle devait sortir très tôt ce jour là pour aller chez le médecin, et qu’elle avait un rapport à finir. Comme tous les matins, elle m’offrit sa joue pour me faire la bise.Je ne sais pas ce qui me prit ce matin là mais tout d’un coup j’ai eu envie d’autre chose… Je posai un baiser léger sur sa bouche super pulpeuse. Nullement gênée et guère surprise, elle me rendit tout de suite mon baiser, m’enserrant la tête, collant ses lèvres sur les miennes, sensuellement, et elle m’embrassa à pleine bouche. Je lui ouvris les lèvres de ma langue, flirtant avec la sienne, la renvoyant tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne.En soupirant, elle se relaxa, défaisant les trois premiers boutons de son chemisier super collant, dévoilant un soutien-gorge en soie rouge. Ses longs cheveux roux cachaient sa superbe poitrine. Je caressais longuement sa chevelure de rêve, ma bouche toujours sur la sienne, écartant ses cheveux du soutien-gorge que je voulais enlever. J’avais encore une quinzaine de minutes avant que tout le monde arrive et je voulais à tout prix téter la poitrine de cette belle femme de 38 ans. De mes deux mains, je lui ôtai son soutien-gorge, le relevant vers son cou, libérant deux seins dodus aux mamelons regorgés de désir. Je posai ma bouche sur l’un, léchant et suçant le sein jusqu’à ce qu’elle halète de plaisir, puis je pris l’autre, le happant, mordillant la pointe avec ferveur comme la gouine de 56 ans affamée et privée de sexe que j’étais devenue…— Masturbes-moi Brigitte, je t’en prie, ça fait un mois que je ne n’ai pas baisé, implora Sandrine, la voix étouffée.Je faufilai ma main sous sa jupe, écartant l’élastique du collant trop serré, caressant à travers la soie de sa culotte la bosse de son sexe. Elle m’encourageait en me caressant la poitrine, ayant plongé deux doigts dans mon décolleté, pinçant un mamelon. J’écartai le slip, elle avait une toison inimaginable, comme la mienne très drue et très abondante. Elle avait un clitoris très long, comme un pénis, qui pendait de façon obscène entre ses babines.Etourdie de désir, je m’agenouillai devant la belle rouquine et suçai son clitoris, le léchant sur toute sa longueur. Je fus choquée par la sensation d’un sexe de femme, son arôme particulier… Le mélange de parfum et d’urine me grisa… Léchant maintenant Sandrine de tout cœur, ma main se porta sur ma culotte trempée, trouvant ma source de plaisir et commençant ma stimulation, à travers le slip car il se faisait tard.Ma collègue, excitée, haletait de plus en plus vite, se pinçait les mamelons de ses doigts aux ongles longs et laqués de rouge. Elle éclata par saccades, son jus épicé et puissant giclant sur sa vulve, la faisant briller. Mon orgasme vint tout de suite après, un râle s’échappant de ma gorge, j’étais épuisée.Paniquant, je consultai ma montre. Elle aussi regarda sa montre et accourut vers les WC pour s’arranger. Je me redressai aussi et, après avoir jeté un coup d’œil rapide au miroir, je regagnais mon bureau.— À tout à l’heure Brigitte, murmura-t-elle lascivement.Peu après, mon téléphone sonna. C’était Sylvie, ma voisine, elle me remerciait encore de la veille et s’assurait que j’avais bien dormi. Elle aurait, me disait-elle, aimé qu’on continue la soirée dans les bras l’une de l’autre… Un sentiment bizarre de culpabilité me surprit, l’impression de l’avoir trompée en suçant le clitoris de ma collègue.Ma voisine maintenant soupirait au téléphone, et devenait de plus en plus sensuelle, crue et ivre de désir. Son amant l’avait pénétrée doucement la veille pour préserver son gros bide, mais elle n’avait qu’une envie, être nue avec moi et baiser. J’essayais de la calmer, en lui rappelant qu’elle était encore jeune et belle et que je n’étais qu’une vieille femme de 56 ans, un boudin, une honte, etc…— Brigitte je suis vraiment folle amoureuse de toi, me disait-elle, tu es l’amour de ma vie, je me branle en ce moment en t’imaginant nue, je veux te lécher le sexe.Soupirant et ne sachant trop quoi faire pour la calmer, je lui dis enfin que je la rappellerai plus tard, parce qu’un client m’appelait sur une autre ligne.Le client en question n’était autre que Sandrine :— J’ai adoré ce que nous avons fait tout à l’heure Brigitte. J’en suis encore toute retournée et j’ai encore très envie. Tu te rends compte, cela fait 10 ans que l’on se connaît, on aurait dû faire ça depuis longtemps.— Tu es libre ce week-end Sandrine ? J’aimerais t’inviter à dîner.— Mmmmm… avec le plus grand plaisir, tu pensais que j’allais me suffire de quelques minutes volées?Nous convînmes de samedi soir.Ensuite je pris un rendez-vous chez ma coiffeuse pour 13 heures, avant de plonger dans mes activités de la journée.…Vers 13h15, j’entrai chez Clarisse, pour un brushing express comme j’avais l’habitude de le faire de temps à autres. La belle slave m’embrassa sur les deux joues, demandant à sa jeune apprentie de me faire un shampoing. Je fermai les yeux, l’eau chaude et le massage sur ma nuque me détendant un peu.Je n’arrivais encore pas à croire les aventures extraordinaires que j’avais vécues ces dernières 24 heures… Moi qui n’avais jusqu’à lors, pour toute vie sexuelle, que quelques revues pornos, un gode, et mes fantasmes… Le clito énorme de Sandrine m’avait beaucoup excité, j’y pensais encore, et j’avais encore dans la bouche le goût de sa chatte poilue. Je bougeais légèrement sur le fauteuil en cuir, un frisson parcourant ma vulve.Serviette sur la tête, je m’installai pour me faire coiffer par Clarisse. Elle portait un jean, des bottes western et un chemisier à carreaux, sa tenue préférée et intemporelle. Elle avait défait comme d’habitude les 4 premiers boutons de son chemisier. Elle bougeait son bras, muni du séchoir à main, de droite à gauche, et j’avais les yeux rivés sur son décolleté. Elle avait une poitrine plate, d’énormes tétons gonflés de couleur claire, dont les bouts étaient très longs et très épais. D’habitude, je m’en régalais furtivement pour pouvoir me masturber seule, plus tard. Mais tout cela avait changé, depuis nos étreintes avec ma voisine…Je me sentais pousser des ailes. Je voulais flirter avec Clarisse. Coup de chance, elle finissait de me laquer lorsque la jeune apprentie demanda la permission de sortir pour fumer une cigarette. Aussitôt la jeune fille dehors, je me levai pour payer Clarisse, faisant mine de chercher mon portefeuille dans mon grand sac, afin de réfléchir à mon approche. Elle me dit que je pourrais payer la semaine prochaine, que ça ne valait pas le coup, etc… Ses cheveux noirs lui arrivaient jusqu’à la taille, et je commençai à les caresser, en lui disant combien elle était adorable et combien j’aimais son brushing. Je caressais sa frange, et puis toute la longueur de la chevelure épaisse et soyeuse. Clarisse me souriait, penchant la tête vers moi. Encouragée par son manque de réticence, je l’attirai vers moi…Posant ma tête à la hauteur de son chemisier, l’écartant légèrement, je collai ma bouche sur le mamelon gonflé, que je baisai et mordillai avec ardeur.— Oh… mon dieu…, murmura la belle slave de 45 ans, tout en fermant les yeux.Puis, stimulant l’autre téton érigé, je m’empressai de le mordiller aussi.— Brigitte, que fais-tu…soupira-t-elle…Je mordillai les mamelons sensibles de cette poitrine plate, ma chatte maintenant mouillait abondamment.Clarisse m’entraîna dans l’arrière-boutique et ouvrit prestement la fermeture éclair de son jean, dévoilant un slip beige transparent, galbant un pubis entièrement chauve.Ma tête à la hauteur du sexe de la coiffeuse excitée, je fis descendre le slip complètement. Son nid était potelé, très lisse, aux lèvres minces et fermées. Je l’embrassai, le mordillai, avant de pointer ma langue vers les lèvres et la vulve que je léchai par mouvements très rapides, tel un vibromasseur.— Hummmm, gémit cette belle divorcée affamée de sexe, qui s’enfonça un doigt dans le vagin, m’aidant dans ma stimulation.Elle se baissa, son majeur glissant entre les lèvres minces de son sexe. Ma langue s’activait de plus en plus rapidement sur la vulve grossie par le désir…Soudain la belle brune se raidit toute entière, me récompensant d’un jet puissant de liquide visqueux qui m’enflamma la bouche.Eperdue de reconnaissance, elle écrasa ses lèvres sur les miennes, me remerciant de l’avoir soulagée si gentiment. Je jouai encore avec un téton pour toute réponse, lui murmurant des propos un peu crus d’une voix rauque, lui faisant promettre de venir chez moi bientôt, lui disant que je voulais lui montrer mes seins géants, que j’avais la chatte la plus poilue qu’elle puisse imaginer…L’apprentie était revenue après sa pause cigarette.Embrassant Clarisse une dernière fois sur la bouche dans l’arrière-boutique, je pris congé et rentrai au bureau.…De retour au bureau, j’étais sur mon PC lorsque ma voisine rappela. Elle n’en pouvait plus et voulait absolument me voir ce soir. Elle suppliait, elle pleurait presque…J’en venais à regretter les caresses échangées avec elle, tellement elle avait l’air accro. Non pas que je n’avais pas envie d’elle, bien au contraire, mais je ressentais dans sa demande un très fort besoin d’amour et d’exclusivité qui me faisaient vraiment peur et auxquels je n’avais pas envie de souscrire. Je venais de m’apercevoir qu’il y avait maintenant plein d’autres femmes qui m’intéressaient et j’avais envie de toutes les essayer et de tout essayer.Finalement, j’accédai à sa demande, je passerais la voir ce soir après le travail.Je volais de tâche en tâche en une course effrénée jusqu’à 5 heures. Je n’avais même pas bu de café.Sandrine était rentrée de chez le médecin et je l’appelais chez elle pour avoir de ses nouvelles.— Rien de grave, m’assura-t-elle.Nous bavardâmes encore quelques instants, faisant des plans pour se revoir le week-end. Nous avions envie être seules, pour profiter pleinement l’une de l’autre. Cette superbe beauté de 38 ans me rendait folle, moi qui en avais 56, et je ne voulais pour rien au monde brûler mes chances de l’avoir nue dans mon lit régulièrement.Me souhaitant une bonne soirée, elle raccrocha.Je décidai de rentrer plus tôt pour une fois car j’étais vraiment esquintée. Et je voulais me doucher avant de passer chez ma voisine.Je pris une longue douche, l’eau brûlante me calma un peu. Un whisky à la main, je commençai à m’habiller et à me maquiller. « Je deviens obèse », pensai-je tout bas, en regardant dans le miroir mon ventre épanoui, ma poitrine énorme à peine contenue dans la robe de soie noire.Enfin prête, j’écoutai un instant les nouvelles à la télé. Vers 8 h10, je me décidai enfin à sonner chez la voisine.Le cœur battant, j’ouvris ma porte. Sylvie, sublime dans une robe noire elle aussi, très maquillée, les cheveux relevés en chignon, m’accueillit avec un large sourire. Elle avait un paquet à la main.— Bonsoir, me dit-elle, m’embrassant sans attendre sur les deux joues, m’intoxicant de son parfum somptueux.De près, elle paraissait encore plus belle que l’autre jour.— Ouvre le paquet, me dit-elle.Défaisant le ruban doré, j’ouvris un écrin de velours noir, dans lequel luisait une chaîne en or massif serti de diamants, le plus beau bijou que j’aie jamais vu de ma vie. Bouche bée, je la regardai, attendant une réponse. Elle se leva, prit le collier qu’elle s’empressa de mettre autour de mon cou.— Ce cadeau est à la hauteur de mon amour pour toi. (C’était bien ça qui me faisait peur.)— Tu es folle !Je balbutiai des remerciements confus, et l’embrassai sur la joue, en lui assurant qu’elle pouvait compter sur mon amitié. Elle s’approcha de moi, empoignant mes deux seins à pleines mains.— Une amie très intime, j’espère, murmura-t-elle, malaxant mes seins lourds en gémissant doucement. Allons au lit, Brigitte, implora-t-elle, nous mangerons plus tard.Main dans la main, nous entrâmes dans sa chambre, où je pris soin de tirer les rideaux. Sylvie s’assit sur le lit, où je la rejoignis. Ses deux mains sur ma poitrine, elle baisa ma bouche. J’entrouvris mes lèvres pour recevoir sa langue, ma main défaisant les premiers boutons de sa robe, impatiente de revoir ses seins énormes et lactés. Je défis son soutien-gorge, libérant des mamelles massives aux bouts pointus et longs.— Tu as une poitrine magnifique, Sylvie, lui dis-je, tandis que je commençai à sucer les tétons durcis tout en jouant avec le sein.Soupirant, elle acheva d’enlever sa robe, enlevant son slip, dévoilant un sexe très large à la toison très sombre et très épaisse, ce qui me surprit étant donné son aspect très soigné. Complètement nue, elle s’étendit sur la couverture, pendant que je me déshabillais. Elle ne me quittait pas des yeux, et lorsque je fus nue à mon tour, elle m’attira vers le lit. Se couchant contre moi, elle introduit sa langue dans ma bouche, se frottant contre moi. Ses mains pétrissaient ma poitrine.— Tire sur mes tétons, lui dis-je.Elle pinça mes tétons, tirant la pointe, les triturant. Je gémissais de plaisir, mordant ses seins, encouragée par ses cris étouffés. Elle prit un sein dans sa bouche, le suça avidement. Je posai alors la main sur son sexe poilu. Ecartant les cuisses, elle se laissa faire. Je flattai sa chatte de la main, mes doigts se dirigeant vers le bouton rose enduit de cyprine. Elle se cambra.— Lèche-moi le clito, BrigitteMa langue lécha le sexe en entier, elle était très parfumée… Quand je suçai le bouton grossi par l’excitation, le faisant jouer sur ma langue, elle commença à haleter rapidement. M’arrêtant soudain, je me suis relevée et retournée pour lui mettre mon pubis à hauteur de la bouche. Sa langue expérimentée s’enfouit dans mon intimité, émettant des bruits de succion tandis qu’elle embrassait mon vagin à pleine bouche. Je baisais toujours la vulve trempée, intoxiquée par l’odeur de sa féminité et son goût musqué.— Quelle belle chatte tu as, Sylvie, murmurai-je d’une voix rauque, la langue enfouie dans son tunnel intime.— Mmmmm… la tienne est superbe également, j’ai rarement goûté à un miel aussi bon, aussi pur, me répondit-elle, son doigt me stimulant maintenant le clitoris, tandis que sa bouche mordillait les grosses lèvres poilues.N’y tenant plus, je contractai mes muscles vaginaux, un spasme de volupté m’électrifiant le corps, mon foutre dégoulinant sur mes cuisses. Mon cri fut suivi par ceux plus saccadés de Sylvie. Elle éjacula comme un homme, me choquant par un flot visqueux qu’elle me gicla en pleine bouche.Heureuses, nous nous reposâmes l’une dans les bras de l’autre un instant. J’avais encore envie de faire l’amour, et ma main se dirigeait vers le sexe poilu de ma partenaire, et le stimulait.L’embrassant profondément, ma langue lui ouvrant la bouche, je la quittai un instant.Je revins bientôt avec un godemiché double géant, commandé sur un coup de tête cet été et que je n’avais encore jamais utilisé. En voyant l’énorme pénis à deux têtes, Sylvie soupira, m’attirant vers elle sur le lit, où nous nous mîmes face à face. L’enlaçant, je fis pénétrer la tête du gode dans son trou béant, me fourrant l’autre extrémité dans le con. Gémissant de plaisir, enlacées étroitement, les lèvres entremêlées, nous nous faisions l’amour calmement. Sylvie jouit la première en me mordillant les mamelons. Je la suivis après quelques instants, épuisée, le vagin meurtri par le gros pénis.Le retirant doucement, je conduisis Sylvie vers la douche, où nous prîmes un long bain relaxant.Déjà, elle entrouvrait les lèvres, les yeux fermés, sa main déjà sur mon sexe. Nous étions toujours dans l’eau, épuisées. Sa tête entre mes jambes, sa langue me lécha la coquille encore une fois, me faisant défaillir de plaisir. Elle roulait ma vulve en même temps de ses doigts, une main libre stimulant mes seins douloureusement tendus. Elle me fit jouir très facilement. L’étalant dans la baignoire, je dirigeais le jet de douche sur son clitoris, ce qui la rendit folle. Pendant que l’eau faisait vibrer ses lèvres, je pinçai ses tétons simultanément, tirant avec force sur les bouts marron. Elle éclata quelques secondes plus tard.— Sylvie, j’ai un problème, j’ai quelque chose à t’avouer.— Quoi, me demanda-t-elle inquiète.— J’ai envie de baiser avec plein d’autres femmes.— Oh ce n’est pas un problème ça. Je t’aime tellement, je suis vraiment heureuse que tu prennes plein de plaisir, avec plein de partenaires et que tu prennes ton pied de toutes les façons.Du coup, je lui ai tout raconté : La cliente du magasin de fringue, ma collègue, la coiffeuse, plus tous les fantasmes que j’avais depuis toujours et que j’allais avoir envie de réaliser un jour ou l’autre.— Hummm ma grosse cochonne, si tu savais comme tu m’excites !Et nous avons refait l’amour encore plus intensément.