Dans mon appartement, je débute une nouvelle partie en ligne sur le PC. Soudain, mon ordinateur bug et me marque « plus de réseaux ». J’essaye de relancer la partie plusieurs fois, mais pas de changement, le réseau ne revient pas.D’un pas furieux, je me dirige vers mon téléphone portable situé sur la table. Coup de chance, il y a du réseau mobile, ma colère se calme un peu. Je contacte mon agence pour avoir des détails par rapport à cette soudaine absence de réseau. Il me répond : — Je ne sais pas pourquoi il y a cet incident technique.Rouge de rage, je dis sèchement au téléphone que je ne tolère pas de payer pour un mauvais service.Ce n’est pas la première fois que ça arrive. En guise d’obligation envers sa clientèle, le gars que j’ai au téléphone me dit qu’ils vont faire venir deux techniciens sur mon secteur pour déceler la panne. Il me précise qu’ils seront là dans 15 minutes. Je le remercie et lui raccroche au nez.Ces quinze minutes ont été frustrantes, pourquoi ? Je précise cela, car notre équipe devait finir l’extension du jeu. Il ne peut que se faire en multijoueur.Je fais des tours dans mon salon, en rouspétant rageusement. Agacée de la situation, je décide de m’asseoir, pour passer le temps, je ferme les yeux et commence à me caresser lentement le corps. Le contact de mes mains sur ma peau me détend. Je me masse le cou puis je soulève mon débardeur pour toucher le ventre et mes rondeurs. Tout en remontant mes mains, j’en profite pour frôler les pointes de mes seins.Ses sensations agréables me détendent de plus en plus. Mon autre main se positionne dans mon short puis entame des rotations sur mon clitoris. Je commence à me sentir paisible puis j’accélère sensuellement les caresses sur ma chatte.En sentant l’extase arriver, j’insère mes doigts pour entamer des va-et-vient dans mon intimité. Mes gémissements se font entendre, ce n’est qu’à une fraction de l’orgasme que la sonnerie retentit. Frustrée de ne pas avoir fini, je me lèche les doigts et rabaisse mon débardeur. Je cours à la porte.— C’est qui ?— Les techniciens pour votre internet, vous êtes bien madame Vallin.— C’est bien moi.Je leur ouvre, et constate par moi-même : deux hommes, un mince châtain aux yeux marron avec des lunettes et une barbe, je pense que c’est le plus timide des deux ; l’autre est costaud, sculpté comme une armoire, ses longs cheveux roux font ressortir ses yeux chocolat.Je les laisse passer afin qu’ils puissent avoir accès à mon appartement. Je les accueille en leur demandant de s’asseoir autour de la table et leur présente l’appareil défectueux.— Voilà l’objet de mes peines.— Il ne fonctionne plus du tout ? demande le châtain.— Oui, tout à fait, elle s’est arrêtée d’un coup.Le costaud lui prend des mains de son collègue.— Il y a eu une surchauffe, la sécurité a dû se mettre en marche. Je vais la rebrancher.Il se tourne puis se penche pour l’installer, je me regarde ses cuisses musclées avec envie, ma culotte déjà mouillée devient officiellement trempée. Ce qui ne passe pas inaperçu, le type au cheveu châtain me regarde avec malice.— Votre mari va être content, vous allez être toute à lui, car vous ne pourrez plus jouer pendant un moment.Je le regarde avec appétit en ouvrant un peu les jambes et lui réponds :— Je ne suis pas mariée, monsieur.Il s’approche de moi, ses yeux me scrutent avec un regard de plus en plus chargé par le désir. Sa voix devient rauque et mielleuse.— Peut-être que nous pourrions commencer à faire connaissance, qu’en dites-vous ? dit-il en me caressant la cuisse.Je me le laisse me toucher par ses mains calleuses, le contact sur ma peau me fait mouiller davantage. Il remonte sur mon ventre puis soulève mon débardeur pour découvrir ma poitrine généreuse. Il me regarde en se léchant les lèvres.— Je peux ?— Faites.Ses mains palpent avec douceur ma poitrine. La sensation est exquise, je décide de fermer les yeux. Soudain, je sens quelque chose de chaud et mouillé sur ma poitrine. J’ouvre les yeux et le découvre suçant avec avidité mes tétons.Mes gémissements sont maintenant plus présents, ce n’est qu’en rejetant ma tête que j’aperçois son collègue. Il me regarde fixement avec envie, je descends mon regard plus bas. C’est là que j’aperçois que, dans sa main, son sexe est dur, triomphant, prêt à recevoir mes soins.— Mon collègue s’occupe de vous. Si vous me permettez de la mettre dans votre jolie bouche.Telle une invitation, j’ouvre la bouche de façon aguicheuse, il ne se fait pas attendre, j’avale entièrement son sexe dans ma bouche. Son goût est légèrement salé, ce qui m’excite encore plus. Ma culotte est définitivement trempée, le fait que ses hommes s’occupent de moi me fait gémir davantage.— C’est ça, suce-moi, tu aimes qu’elle soit au fond de ta gorge ?— Oui ! dis-je en agitant la tête de bas en haut.Pendant que j’aspire avec appétit le sexe et les boules du costaud, l’autre homme se faufile entre mes cuisses en prenant soin de retirer mon short.— Ton p’tit minou est bien mouillé, il temps de passer aux choses sérieuses.Je les regarde tous les deux avec encore la queue du premier dans la bouche, en guise de soumission. Il écarte rapidement mes cuisses et commence à me lécher. En toute reconnaissance, je prends sa tête entre mes mains pour qu’il continue. Je continue à sucer mon costaud en gémissant. Peu de temps après, ses gémissements se font entendre.— Comme tu es bonne, je vais prendre soin de toi à mon tour.Il regarde son collègue et ils échangent de place. Je n’ai même pas eu le temps de souffler que je commence à sucer goulûment le service trois-pièces de son collègue.— C’est vrai que tu es bonne, tu aimes ce qu’on te fait.— J’adore ! dis-je en gémissant.Son collègue m’a pénétrée avec ses doigts dans tous les orifices.En gémissant, je leur demande d’accélérer, ce qu’ils font. L’extase se mélange avec la chaleur du moment. Ma respiration et les palpitations de mon cœur s’accélèrent. D’un coup, mon corps se tend, puis se met à trembler. À la suite de cet orgasme, je me sens détendue.— Humm… ! Continuez, s’il vous plaît, je suis à vous. C’est trop bon !— Ça ne fait que commencer ma belle, précise un des hommes.— Encore !Il me pénètre d’un coup puis poursuit ses va-et-vient. Nous gémissons plus fort, le plaisir est décuplé.Je sens qu’on me porte, je tourne la tête et je vois l’autre au cheveu châtain se positionner derrière moi.— Une petite sodomie te plairait ?— Volontiers.Je les conduis jusqu’à ma chambre, ensuite, je leur donne le lubrifiant. Sur le lit, ils s’occupent de moi, le costaud devant moi et l’autre derrière.L’homme aux cheveux roux reprend sa place dans ma chatte et l’autre se positionne pour entrer dans mon cul. L’homme aux cheveux châtain y va doucement, en observant ma réaction. Je le regarde et le rassure afin qu’il puisse continuer. Une fois cette étape faite, ses deux hommes commencent à me pilonner puis vont de plus en plus vite.— Oh ! Prends mon cul… mon minou ! Oh oui, continue !Nos gémissements ainsi que notre plaisir s’accroissent de plus belle. Je vais vraiment avoir un souci avec mes voisins.— Les mecs, continuez ! Je vous en prie, c’est trop bon, défoncez-moi !— Sérieusement, ta chatte est divine, dit le costaud.— Ton cul aussi, putain, c’est génial ! rétorque le châtain.À ces mots, c’est moi qui jouis la première, une chaleur déferle en moi au creux de mes reins. Mes gémissements deviennent des cris intenses. Mes muscles se contractent par à -coups, mon corps tremble de la tête au pied.— Allez-y, les gars ! Lâchez-vous !Plusieurs secondes après, c’est eux qui jouissent en moi, leurs gémissements rauques ainsi que leurs respirations se font percevoir.Soudain, plusieurs jets de liquide chaud se répandent en moi, j’ondule mon bassin pour en recevoir davantage.— Humm… Putain, c’est exquis !En guise de remerciement, j’embrasse langoureusement mon costaud en premier, puis mon malicieux homme aux cheveux châtain.— Merci, les gars, regardez, je suis remplie de tous les côtés.— C’est ce qui s’appelle bien faire son travail. Hein ma salope ? dit l’homme à la crinière rousse en me regardant.L’homme au châtain me lève le menton tout en s’approchant de moi.— Oh oui, une très belle salope ! dit-il en m’adressant un clin d’œil.Tout en le regardant, je lui suce le doigt en guise d’approbation.Une fois la sauterie terminée, nous nous habillons puis je les accompagne jusqu’à la porte.— Une fois que vous avez reçu le colis, appelez-nous, nous l’installerons, dit le costaud.— Nous procéderons ensuite à des vérifications plus approfondies.— Bien sûr, mon collègue et moi, nous alternerons pour cette étape, me dit l’autre type.Je sens le liquide chaud couler de mes orifices, ce qui me fait un gémissement.— Il n’y a aucun problème, messieurs, vous savez où me trouver, dis-je de façon aguichante.— Au plaisir, Madame Vallin ! disent-ils en cœur.Ils me tendent leur carte puis s’en vont. Je ferme la porte, finalement, un malheur pour un bien. Je vais les appeler plus souvent. – Fin –