J’avais déjà remarqué que ma compagne Hélène, bien qu’elle affiche dans sa vie de tous les jours l’image d’une jeune femme sage et élégante, aimait, dés qu’elle le pouvait, porter des tenues sexy, jupes courtes, corsages un peu transparents, vetements moulants, et qu’elle ne semblait pas fachée de sentir sur elle les regards des hommes.Il faut dire qu’à 32 ans, elle avait gardé un corps de jeune fille, des seins plutot petits (85b) mais très fermes avec de belles aréoles brunes, un ventre plat et de jolies petites fesses bien galbées. De taille moyenne, elle n’avait pas un kilo de trop. J’ajouterai qu’à ma grande satisfaction, elle avait un gout prononcé pour la jolie lingerie. Sans grande difficulté, je l’avais convaincue de se passer de slip assez souvent et, en tous cas, de ne jamais en mettre sous ses collants qu’elle choisissait sans démarcation.J’avais aussi remarqué son excitation quand, malgré ses protestations pour la forme, je la caressais discrètement en public, au cinéma, au restaurant, dans des ascenseurs ou lors de sorties nocturnes. Elle ne cachait pas son plaisir non plus quand, lors de nos déplacements en voiture, je lui caressais les cuisses ou les seins, les dénudant plus ou moins, l’exposant du meme coup aux regards intéressés des chauffeurs de poids lourds que nous dépassions. Je pense qu’elle se sentait sécurisée par le fait d’etre « à l’abri » dans la voiture. Elle ne faisait rien, de toutes façons, pour cacher quoi que ce soit à ces regards, ni ses bas, ni sa culotte souvent visible, ni ses seins à l’air, ni meme sa petite touffe pubienne visible à travers son collant ou directement quand elle ne portait pas de slip. Rapidement, elle s’était enhardie à me gratifier parfois d’une de ces pipes dont elle a le secret, j’en profitais alors pour relever sa jupe et exposer ses jolies fesses lors de nos dépassements.J’étais bien décidé à profiter pleinement de ses agréables dispositions pour l’exhibmais je voulais surtout ne rien brusquer. Aussi, lorsque c’est elle qui me proposa d’aller passer nots vacances dans un camping naturiste, je ne me fis pas prier pour accepter, sentant bien que ma patience avait été payante et qu’elle était irrésistiblement attirée vers une nouvelle étape.Dés notre arrivée, Hélène, sans trop d’hésitation, s’est défaite de ses quelques vetements pour aller, en ma compagnie faire un petit tour de « repérage » dans le camp. Au passage nous n’avons pas pu ignorer les regards curieux et souvent gourmands de plusieurs vacanciers pour la nouvelle venue ! Dés notre retour à notre bungalow, j’ai pu constater l’effet produit sur Hélène dont la petite chatte trempée a littéralement aspiré ma queue qui n’attendait que ça. Le meme soir, nous avons remis ça alors qu’intentionnellement j’avais laissé notre porte ouverte. Il était possible de nous voir en passant devant. Hélène qui s’en est apercu a eu plusieurs violents orgasmes et m’a avoué combien ça l’excitait de faire l’amour dans ces conditions.Le lendemain, pour notre premier aprés-midi à la plage, je choisis de nous installer un peu en retrait, à la limite de la dune. Hélène retira le petit haut à bretelles et sa jupe, les seuls vétements qu’elle avait mis pour sortir du camp. Nous avions surement été suivis de loin, car il y avait déjà un spectateur pour ce court strip-tease. Rien qu’à voir cet homme regarder ma compagne se mettre nue, je me suis mis à bander et j’ai du m’allonger à plat ventre pour masquer mon érection. « Dis donc, ça te fait bander tant que ça de me voir à poil en public ? » me dit-elle. « Il n’y a pas que moi qui bande » lui répondis-je, « regardes le, à lui aussi tu fais de l’effet ! » Elle n’osa pas se retourner directement, mais jeta un coup d’oeil discret et conclua « vous etes tous des obsédés ! » J’ai eu l’impression qu’il n’y avait pas que de la réprobation dans sa réplique!Les jours suivants j’ai senti ma compagne s’habituer à ces situations nouvelles pour elle et meme y prendre gout. Nous avions élu domicile dans un petit creux de la dune que j’avais choisi parce qu’il était plus discret que celui du premier jour. Elle mettait plus de temps à se déshabiller surveillant meme du coin de l’oeil les mateurs, transformant son déshabillage en petit spectacle et tournant, comme par hasard, son cul vers le ou les spectateurs pour dénouer ses sandales. Une fois allongée, elle n’hésitait plus à garder ses jolies jambes écartées, offrant le magnifique spectacle de sa chatte aux tetes qu’on apercevait à peine dissimulées derrière les buissons. Les voyeurs eux memes, encouragés par son attitude se sont enhardis. Plusieurs sont venus tour à tour s’installer sur les petits monticules qui nous entouraient et se branlaient sans vergogne en matant ma compagne. Volontairement je lui parlais de ces queues bandées pour elle, qu’elle feignait de ne pas regarder, essayant de la faire rire pour la détendre car je craignais que des initiatives trop brutales ne la heurtent et ne la fassent régresser. Le soir, nous faisions l’amour comme des fous, ma queue, bandée pendant des heures du spectacle qu’elle m’offrait, pilonnait sa chatte déjà trempée quand nous rentrions.Au bout de quelques jours, je pris l’initiative de l’enduire moi-meme de crème solaire, d’abord sur le dos et les fesses puis l’ayant faite tourner, sur la poitrine, massant bien ses seins sans oublier les mamelons durcis sous ma caresse et sur le ventre. Autant dire qu’aucun de mes gestes n’étaient perdus pour nos spectateurs, quatre ce jour là, qui se branlaient en cadence. Je fis remarquer à Hélène l’une de ces queues, de belle taille, qui semblait sur le point d’exploser. « regarde, je vais le faire gicler rien qu’en te massant ! » « tu es fou! » dit-elle. Je notais qu’elle n’avait pas refusé et qu’elle semblait meme amusée par ma proposition. Je descendis donc vers son ventre puis vers ses cuisses, mes mains se rapprochant à chaque passage de « l’origine du monde ». Je la sentais excitée, je voyais qu’elle ne perdait rien, discrètement des va-et-vient sur cette belle queue qui semblait vouloir encore grossir, quand enfin mes doigts ont effleurés sa chatte c’est sans surprise que je l’ai sentie trempée. « Avoues que ça t’excite de voir des bites dressées pour toi… » « Oui, c’est vrai, c’est excitant, je l’avoues. » « Je t’aime, tu sais, et j’adore voir le désir que tu suscites. Ton corps est magnifique, j’aime qu’il fasse envie. » Elle écarta les cuisses pour me faciliter le passage vers son sexe qui dégoulinait et quand mes doigts glissèrent sur son clito gonflé, c’est elle qui souleva son bassin à la rencontre de ma main. Il n’en fallu pas plus à notre principal voyeur pour exploser en une giclée de sperme qui éclaboussa le sable autour. Je vis Hélène se mordre les lèvres tandis que que j’en profitais pour glisser un doigt dans sa chatte. Elle arreta mon geste, sans doute pas encore prete à jouir sans retenue devant un tel public. Quant à moi, j’étais dans un tel état que je dus m’allonger pour tenter de contenir une érection qui en devenait presque douloureuse. « Mon pauvre chéri, tu es complètement fou » me dit-elle. « Oui, de toi ! » Elle glissa le bras sous moi pour prendre tendrement dans sa main mon sexe tendu et ce simple contact suffit à me faire échapper dans sa main une longue giclée de sperme trop longtemps contenue.A la fin de la journée, quand nous sommes retournés à la voiture, il m’a semblé reconnaitre une silhouette qui nous suivait discrètement. Une fois installés, au lieu de démarrer, je me suis tourné vers Hélène pour l’embrasser passionnément. Elle me rendait mon baiser les yeux fermés quand je me suis aperçu que notre branleur de l’après-midi, c’était bien lui, était maintenant tout près de la voiture et n’en perdait pas une miette. Je me suis alors mis à la caresser, remontant son tee-shirt pour lui mettre les seins à l’air. Notre voyeur, comprenant qu’il était admis, sortit un magnifique engin de son short et commença à se caresser. Hélène a les seins très sensibles, et elle se mit à gémir en avancant la main vers mon short où je commencait à me sentir à l’étroit. C’est à ce moment qu’elle ouvrit les yeux et découvrit notre spectateur. Elle voulut protester mais je lui fermai la bouche d’un baiser. Je crois qu’alors l’excitation a pris le pas sur la pudeur et quand je descendis la main vers son sexe, il était déjà bien humide et ses gémissements de plaisir reprirent de plus belle. Elle était au comble de l’excitation. Il fallait en profiter. « Viens sur moi, ma chérie, viens t’empaler sur moi, j’ai trop envie de toi ». Elle vint se mettre à califourchon, face à moi, en s’enfonçant d’un coup ma queue au fond de la chatte. Notre spectateur contourna la voiture pour venir se placer près de ma portière. Son sexe avait gonflé dans sa main, le gland était maintenant presque violet. Je voyais Hélène lui jeter des coups d’oeil furtifs mais de plus en plus fréquents. La jupe roulée autour de la taille elle bougeait son bassin de façon diabolique pendant que je lui triturait les bouts durcis de ses seins. Je sentis que je ne pourrais plus me retenir très longtemps. J’étais décidé à tenter le tout pour le tout, je fis descendre la vitre près de nous. Hélène, cambrée en arrière contre le volant n’eut aucune réaction, et quand une troisième main vint se joindre au miennes, elle en gémit de plus belle. Notre ami s’est d’abord régalé avec ses seins, qu’il a soupesé, palpé, pressé puis il est descendu vers le ventre, vers le sexe d’Hélène, dégoulinant de mouille, ouvert sur le mien pret à exploser. Quand ses doigts ont atteint le clitoris tout gonflé, Hélène ne put s’empecher de crier son plaisir, son corps se tendit en arrière, sa main droite agrippa le sexe turgescent de notre ami comme on se rattrappe pour ne pas tomber. Celui-ci glissa un doigt contre mon sexe dans le vagin d’Hélène qui, sans lacher le sexe qu’elle tenait serré, fut soudain agitée de tremblements puis de soubresauts pour finir dans un rale par atteindre un orgasme comme jamais je ne lui en avais connu. Je ne pus me retenir plus longtemps et moi-meme je sentis mon sexe exploser dans celui de ma compagne, expulser de longues giclées de sperme au fond de son corps que je sentais maintenant se détendre. Elle relacha sa pression sur la queue écarlate qu’elle tenait toujours serrée et qui lui cracha au visage toute sa semence accumulée. Mon Hélène hébétée s’essuya rapidement avec son tee-shirt puis se blottit contre moi , le visage dans mon cou, murmurant des « je t’aime » que je n’ai pas oubliés.De la main et du regard j’ai remercié et congédié notre ami voyeur qui nous avait permis, sans le savoir, de faire un grand pas dans notre vie de couple, et nous sommes restés un long moment, serrés l’un contre l’autre, conscients de nous etre rapprochés l’un de l’autre en franchissant ensemble une étape dans notre parcours amoureux.