Bon week-endJe suis Julie, une jeune fille de 24 ans. Mes amis et plus généralement les gens que je rencontre, me trouvent : « mignonne, belle, canon, bonne,… ». C’est selon les goûts de chacun. Cela me fait toujours plaisir, même lorsque les formules ne sont pas des plus élégantes. Même si devant la glace je ne me trouve pas particulièrement belle, je finis par croire ceux que j’entends.J’ai 24 ans, je porte des cheveux blonds qui atteignent le bas de mes omoplates, ils sont lisses et j’essaie de les rendre brillants. Mon regard est bleu clair et j’ai pour habitude de fixer les gens dans les yeux. Ma silhouette n’est pas filiforme, mes fesses ressortent par rapport à mes cuisses et mon ventre que je tente de conserver plat et musclé. Je trouve mes seins un peu petits, mais ils ont le mérite de bien tenir et je porte mes soutiens-gorge en 90C tout de même.J’ai connu mes premiers ébats amoureux tardivement, j’avais déjà soufflé mes 18 bougies lors de mon premier vrai rapport. Durant l’adolescence, j’ai eu quelques petits amis, mais les petits câlins que nous échangions ne m’apportaient pas de plaisir particulier, c’est pourquoi, malgré de nombreuses sollicitations de la gent masculine, mais également de quelques jeunes filles, je suis restée vierge si longtemps.Toutefois, arrivée à ma majorité, mes amies avaient toutes connu l’amour, et par phénomène d’imitation sans doute, j’ai décidé de me jeter à l’eau. Compte tenu de mon physique agréable, je n’ai pas eu de problème pour rencontrer un garçon capable de satisfaire mon caprice. Cette première relation, si difficile et peu jouissive pour de nombreuses filles, s’est révélée hautement excitante pour moi. En effet, je ne sais pas si c’est mon amant qui était particulièrement performant ou si j’étais vraiment faite pour l’amour, mais j’ai joui et pris un plaisir fou durant ces quelques étreintes inaugurales.Même si le jeune homme qui m’avait dépucelée avait bien comblé mes attentes, et même au-delà , je décidais de ne pas en rester là et de répondre à mes interrogations sur mon propre compte. Aussi, ai-je renouvelé l’expérience avec un autre étalon qui me satisfît tout autant que le premier.En quelques semaines, mon palmarès s’était grandement élargi. Mes ex devenaient nombreux et commençaient à me traiter de salope, de « Marie-couche-toi-là  »… Aussi, ne désirant aucunement devenir la fille qui couche avec tout le monde, je résolus de me caser. Mon petit ami suivant eut la chance, ou plutôt la malchance, c’est selon, de sortir avec moi quelques semaines. Cependant, j’avais pris goût aux nouveaux rapports et à la découverte des autres, ainsi, à la première occasion je le trompai avec un inconnu ; toutefois il n’en apprit rien. Mais, l’expérience adultérine se reproduisant à de multiples reprises, il finit par prendre connaissance de ses cornes et me plaqua immédiatement. Ce type d’expériences rythma trois ans de ma vie. Je craquais pour un beau jeune homme, nous restions ensemble quelques temps, je le trompais dès que possible, sans méchanceté de ma part et il me quittait en me traitant de tous les noms.Cette situation ne pouvait me convenir. C’est pourquoi je décidais de stopper mes agissements et de reprendre mes premiers comportements sexuels : coucher sans sentiment et surtout sans lendemain. C’est le comportement que j’adopte depuis lors et je me sens épanouie ! D’autant plus que j’ai eu la chance de rencontrer quelques personnes vivant selon la même philosophie.Je vais donc vous conter l’un de mes week-ends de plaisirs du type de ceux que je vis régulièrement.Nous sommes samedi, j’ai déjà programmé une soirée très chargée qui promet d’être des plus animées. Afin de me préparer au mieux pour ce moment de détente, je décide de m’offrir une tenue coquine. Je me rends dans une boutique de lingerie du centre ville et arrête mon choix sur un ensemble très sexy composé d’un porte-jarretelles, de bas, d’un string et d’un soutien-gorge. En sortant, je me rends dans un café afin de prendre un rafraîchissement. Comme à mon habitude, je suis vêtue de façon correcte, mais qui parvient tout de même à détourner les regards masculins, et parfois féminins. Je porte une robe d’été dont le bas ne recouvre que la moitié supérieure de mes cuisses et dont le haut autorise une vision panoramique sur ma poitrine, pour la simple raison que j’ai laissés défaits les deux derniers boutons. Cette vue est largement améliorée par l’absence de sous-vêtements. Je suis chaussée de sandales d’été à talons qui mettent en valeur mes longues jambes.Je remarque immédiatement le serveur, très mignon, tout à fait à mon goût. Même si je sais que ma nuit va être chargée d’émotions, je n’exclus pas une petite mise en jambes. Aussi, avant qu’il ne vienne prendre ma commande, je me déplace de manière à me mettre en valeur à ses yeux. Je passe commande en affichant mon plus beau sourire et tente de me positionner de telle sorte que le jeune homme puisse admirer au mieux mes formes. Lorsqu’il apporte ma consommation, je lui joue une petite scène de type Basic Instinct avec ma cigarette, en écartant mes cuisses. Je ne pense pas qu’il ait pu en voir autant qu’avec Sharon Stone, mais il est manifestement troublé.Cependant, même si je ne le laisse manifestement pas indifférent, il ne m’a pas fait de proposition. Je vais donc devoir prendre les devants. Au moment où il apporte la note, je lui demande carrément s’il achève bientôt son service, car je souhaiterai lui parler en privé. Cette fois il comprend parfaitement le message et me donne rendez-vous dans une heure à cette même terrasse.Après soixante minutes de flânerie, je gagne à nouveau ladite terrasse, et retrouve mon beau garçon de café. Il me demande ce que j’avais de si important à lui dire et me propose que nous allions finir la conversation chez lui. J’accepte, toute excitée.Il m’offre un verre que je refuse. Je lui dis que ce dont je souhaitais lui faire part était relatif à son physique, des plus excitants à mes yeux. Il glisse alors son bras derrière mon dos et descend sa main sur mes fesses nues sous ma robe. Je passe également ma main sur son torse, pour gagner son postérieur. Nos caresses sont de plus en plus appuyées, nous nous embrassons voluptueusement.Quelques minutes à peine après être entrée dans son appartement, j’ouvre sa braguette pour découvrir un sexe d’un bon gabarit que je prends plaisir à faire gonfler dans ma bouche. Je passe ma langue, munie d’un clou pour augmenter l’attrait des fellations, sur son gland, avant d’ingurgiter son organe. Son sexe se gorge de sang et gonfle en un clin d’œil. Je poursuis ma pipe pendant plusieurs minutes, mais sans trop en faire, car je ne le connais pas et ne sais pas s’il ne va pas céder trop rapidement. Je veux être prise avant qu’il n’ait joui.Il a déjà libéré mon corps de mes quelques vêtements, lorsque je retire ma bouche de sa bite pour l’inviter à me pénétrer le vagin. Notre rapport n’est malheureusement pas très long, mais il me laisse le temps de jouir, c’est l’essentiel. Dès que je sens qu’il va emplir ma chatte de son foutre je l’en fais sortir et empale à nouveau ma bouche sur son sexe prêt à exploser. Il éjacule sur mon visage en poussant un râle de plaisir, tandis que je souris, le visage maculé de sperme et continuant à branler doucement le gland en décompression.Je quitte le garçon de café sans autre forme de procès, malgré son insistance pour me revoir, je ne cède pas, ce n’est pas un aussi bon coup que cela. En effet, j’adore baiser mais d’une manière qui surprend nombre de filles, car lorsque je baise j’aime que mon ou mes partenaires me brutalisent. J’adore qu’on me tire les cheveux, qu’on m’insulte, qu’on me claque les fesses jusqu’à ce qu’elles rougissent, qu’on m’introduise des doigts dans la bouche pour étirer mes lèvres, qu’on pétrisse mes seins en les écrasant, en tirant les bouts, je ne suis pas contre quelques gifles, assez softs tout de même, je prends plaisir aux pénétrations sauvages,… J’ai un petit côté maso, même si je répugne à la torture ou aux pratiques trop violentes.Mes idées se tournent déjà vers ma soirée, qui promet d’être autrement plus hard que mon après-midi.En effet, depuis quelques mois maintenant, grâce à des connaissances faites de la même manière qu’avec le garçon de café, je dispose de relations organisant des soirées très particulières permettant à des obsédés sexuels, comme moi, d’assouvir leur gigantesque appétit. En général, une vingtaine d’individus sont conviés à ces soirées, qui se déroulent dans des villas ou des hangars. La parité hommes / femmes est globalement respectée, mais généralement si les femmes sont bisexuelles, les hommes sont plutôt uniquement hétérosexuels, bien qu’il y ait des exceptions.En préparation je revêts mes dessous acquis dans la journée et les recouvre d’une robe fine, légèrement transparente. Je ne suis pas trop maquillée, je n’aime pas ça. Je chausse de hauts talons assortis à ma robe.La soirée a lieu dans une villa où je suis déjà allée, je pense que je vais connaître la plupart des participants, et certains d’entre eux savent me faire jouir tellement fort que je suis déjà très excitée. La moitié seulement des invités est présente à mon arrivée. Le maître des lieux me présente à deux hommes et une femme que je ne connais pas encore. Ils sont tous trois charmants et très sexy. Je frissonne déjà . En quelques minutes les autres convives arrivent, je les connais tous, de beaux mâles, musclés et forts, que je sais possesseurs de sexes de bonne taille et surtout très endurants. Les femmes sont également des plus excitantes, elles sont jeunes, moins de 26 ans et toutes sont gâtées par la nature.Le principe de ces soirées est simple, le maître des lieux a préparé un buffet dans une grande pièce, qui outre les aliments et les boissons, comporte de nombreux sofas et autres canapés qui permettent de se prélasser à son aise. D’autres accessoires sont également disponibles : godes, spéculums, boules de geisha,… Tous les convives sont libres de faire ce qu’ils veulent. En général, chacun bavarde un peu, mange, boit, puis se chauffe petit à petit avant de passer aux choses très sérieuses.Comme tout le monde je picore quelques encas, bois quelques verres qui commencent à me faire tourner la tête, je fume quelques cigarettes et discute avec mes connaissances. Doucement, nous commençons à passer des mains sur nos corps, des vêtements glissent à terre, la soirée s’annonce très bien.Une heure après être arrivée, je ne porte plus que mes sous-vêtements qui commencent à être malmenés. Un beau jeune homme passe ses mains sous mon string, il le tire vers le haut le faisant encore entrer davantage dans la raie de mes fesses. J’aime cette sensation du tissu qui entre dans mes chairs intimes. Je suis face à face avec une jeune demoiselle tout à fait délicieuse. Elle ne porte déjà plus que son string et je peux caresser ses gros seins bien fermes à loisir. Nous emmêlons nos langues dans un baiser endiablé, j’adore baver pendant que je joue avec ma langue percée, et ma partenaire doit être de même, car une quantité impressionnante de salive s’échappe de nos bouches. Lorsque nous nous écartons momentanément l’une de l’autre, de grands fils de bave se tissent entre nos deux visages. Cette vision m’excite terriblement. Le mec qui me pelote les fesses depuis quelques minutes est sans doute très excité par notre baiser, il introduit sans ménagement un, deux, trois doigts dans nos bouches. Nous bavons dessus à loisir, nous les léchons, nous les suçons de notre mieux. Le gars continue à me caresser le cul, il parcourt mon entrejambe humide. En frottant les lobes de mes fesses, il les claque un peu, pas trop fort, mais le bruit est tout de même intense et je crois que mon cul va rougir : j’adore ça ! Cela me fait mouiller comme une fontaine. Sentant que ma chatte se liquéfie, il introduit deux doigts sans aucune difficulté, les imprègne de mon jus et les fait lécher à ma copine. Elle les ingurgite bien au fond de sa gorge et avale sa salive chargée de ma cyprine. Je sais que j’ai affaire à une grosse salope et cela se confirme, hum que la soirée va être bonne. Le mec enfonce alors un doigt dans mon anus, certes, plus serré que ma chatte, mais qui accepte ce corps étranger sans problème. Cette fois c’est moi qui le suce. Ma copine me mordille, ou plutôt me mord les tétons, j’adore son traitement, malgré les doigts du mec qui m’envahissent la gorge, je parviens à crier mon plaisir.Le jeune homme quitte maintenant mon arrière-train pour passer à celui de ma copine, mais il ne se contente pas de fourrer ses doigts dans ses orifices, il y enfonce sa bite. Sentant que je ne suis plus vraiment désirée, je rejoins le buffet pour une petite pose qui me fera retrouver mes esprits. Je prends une coupe de champagne, allume une cigarette et de suite, un beau mec vient me trouver. Il est déjà nu, sa queue à demi bandée laisse présager une taille impressionnante. Je lui fais un clin d’œil, tout en passant négligemment ma main sous mon string resté en place. Voyant tout de suite à quel type de nana il a affaire, le gars porte sa main à mon visage, m’attrape les cheveux et m’oblige à me pencher vers son sexe attendant une bouche.Je ne pense pas le décevoir en crachant sur sa bite avant de l’enfiler dans ma bouche chaude et humide. Il gonfle rapidement et je peux à peine faire entrer la moitié de son membre dans ma bouche. Sa main droite tient toujours ma chevelure, il presse afin que j’enfonce ma bouche le plus loin possible. Je gémis sous cette pression, je ne parviens pas à emboucher plus des trois-quarts de la queue, enfin il me relâche et je peux respirer en me retirant, laissant choir de grands fils de bave épaisse. Je ne prends qu’une inspiration avant qu’il ne force encore ma tête sur son sexe. Il appuie encore davantage, je crois un instant que je vais vomir. Dans le même temps, il claque mes fesses pour bien les faire rougir. Il me relâche et me dit de tirer sur ma clope et de recracher la fumée sur sa bite. Je poursuis cette fellation brutale, mais dont je raffole. Le gars semble lui aussi aimer, car entre les insultes qui pleuvent : « salope, chienne, grosse pute et j’en passe », il pousse de longs gémissements qui trahissent son plaisir. Empoignant toujours mes cheveux, il me force à remonter vers son visage. Il applique un baiser vigoureux en glissant sa langue dans ma bouche. Alors que je garde les lèvres écartées, il crache un gros mollard au fond de ma gorge. Je sais que c’est crade, mais j’aime. Sans ménagement, il m’assène une bonne gifle, comme je les aime.Cependant, aussi agréable que la pipe puisse être pour les deux partenaires, l’acte est encore plus jouissif. Aussi, je lui dis que je veux être baisée et il accède à ma demande sans rechigner, il ne manquerait plus que cela. Toutefois, lorsqu’il me retourne dos à lui, il présente son gros sexe contre mon trou du cul et non vers ma chatte, comme je le croyais. Qu’à cela ne tienne, j’adore me faire enculer, je le lui dis, il est encore plus excité et me défonce l’anus en empalant son membre en une seule fois dans mon cul qui a l’habitude, mais qui me provoque une certaine douleur, pas désagréable. Une fois bien implanté dans mon fondement il entame un pistonnage intensif qui provoque chez moi des sensations indicibles. Parallèlement, je glisse deux doigts entre mes lèvres intimes et je les frotte contre mon clito, puis les fais entrer dans ma chatte. Je perds le contrôle, je jouis, j’explose de plaisir en hurlant mon bonheur d’être baisée ainsi. Ne tenant aucun compte de mon orgasme, mon amant continue son œuvre de pilonnage. Je crois qu’il va jouir à son tour, aussi, malgré ses coups de boutoir, je parviens à me dégager de ses étreintes, afin de me retrouver face à lui. Je tiens à recevoir sa giclée de sperme sur mon minois, car j’aime le goût du foutre et il serait dommage qu’il se perde dans mon cul. Cependant, il ne jouit pas immédiatement, je dois m’employer vigoureusement pour qu’il me donne ce dont j’ai envie, ou plutôt besoin. Je le branle, je le suce durant plusieurs minutes, avant qu’enfin il ne libère son jus, en grande quantité sur ma petite gueule de salope. Je suis maculée de foutre, comme j’aime, je bois les giclées qui sont entrées dans ma bouche, hum, c’est délicieux.Je reste le visage souillé de sperme dans la pièce surchauffée, à discuter avec d’autres convives, dont une jolie rousse, au visage maculé de salive et de foutre. Elle fait partie des nouvelles têtes et je la trouve tout à fait séduisante. Nous fumons une cigarette, en bavardant et en savourant une coupe de champagne. Nous regardons les groupes que forment les autres convives en pleine baise. Il y a de sacrées salopes dans le lot, l’une des filles prend deux bites dans sa chatte en même temps, elle est mignonne et ne doit pas avoir 20 ans. Quelques mecs ont été largement gâtés par la nature, ils nous donnent envie de queues.Doucement, ma nouvelle amie fait glisser le string qui me barre toujours la raie des fesses, pour atteindre ma fente. Malgré mes orgasmes successifs, je mouille instantanément. Pendant que sa main douce se noie dans le marécage qui me sert d’entrecuisses, je passe ma langue sur son menton spermeux et le bout de ses seins gluants en jouant avec mon clou. Ce foutre, d’un inconnu, est resté tiède au contact de cette peau parfumée. La jeune garce glisse deux doigts dans ma chatte afin de détremper encore davantage mon intimité, elle réussit à me faire gémir. Durant cette fouille, ma petite copine se fait surprendre par un mec qui passait par là , sans doute pour se ravitailler au buffet. Voyant sa petite chatte disponible, il oublie son estomac et pense avec sa queue, pour pénétrer cette jolie fente qui se trémousse devant lui. L’excitation augmentant, elle s’active encore plus à liquéfier mon entrejambe. Le mec bourre la petite salope de plus en plus fort, elle est obligée de quitter légèrement ma fente pour crier son plaisir, son souffle brûlant produit toujours un certain effet sur mes sens.Cette fornication dure plusieurs minutes, le gars ne jouit pas, ce qui n’est pas le cas de la jeune fille lapant ma mouille et subissant les coups de butoir. Il n’hésite pas à changer de trou, ce qui ravit la jeune amatrice de sodomies bien profondes. Même si j’apprécie ses caresses buccales, j’ai tout de même envie d’une bonne grosse bite qui me fasse perdre le contrôle de moi-même. Deux types discutent près du comptoir. Je quitte ma compagne, la laissant toute à son sodomisateur, pour rejoindre les deux beaux mâles. Même si leurs membres sont pour l’instant au repos, même si leur état trahit une érection récente, je parie qu’ils vont durcir très rapidement.Je m’approche de la bite du premier gars, qui, sans interrompre sa conversation, appuie sur ma tête pour que j’avale bien sa bite. J’avais raison, la bite de mec grossit rapidement, pour atteindre une taille tout à fait raisonnable. Une fois que le premier bande fort, je parviens à me dégager de l’emprise de sa main pour aller faire bander son pote. Tout aussi sauvage que le premier, il appuie sa main derrière ma tête et de donne de grands coups de bassin qui m’obligent à le prendre entièrement en bouche. Au début, c’est facile, mais dès que sa queue grossit, je commence à avoir du mal, le gars s’en fout, il continue de me baiser la bouche violemment. Je suis obligée de baver abondamment lorsque je respire, ce que je trouve très excitant. Une fois que le second est bien dur, je retourne sucer le premier, mais l’autre mec ne l’entend pas ainsi et m’oblige à les pomper les deux en même temps, leurs bites ont du mal à entrer dans ma petite bouche. Toutefois, en forçant un peu, elles y parviennent et me défoncent vraiment.J’adore tailler des pipes, je ne sais pas trop pourquoi, mais ça me fait plaisir de sentir un gland (ou deux) dans ma bouche, j’aime humidifier de ma salive un sexe bien tendu. Mais j’ai aussi envie d’être baisée, de sentir une bonne grosse bite s’enfoncer dans mes chairs, la sentir bouger, emplir mon intimité. C’est pourquoi je demande à l’un des types de venir me prendre. L’un d’eux s’exécute sans difficulté. Il me prend en levrette, c’est ma position favorite, et je poursuis ma fellation sur l’autre individu. Le mec qui baise ne fait pas semblant, il enfile son gros membre dans ma chatte en une seule traite et opère tout de suite de rapides va-et-vient brutaux qui ramonent mes parois intimes et provoquent une importante sécrétion de cyprine. Je crois même, que ma mouille est en train d’inonder les couilles de mon baiseur. Le second gars ne me laisse pas profiter pleinement des offices de celui qui me perfore, il tient à ce que je le suce en profondeur et avec application, ce que je m’efforce de faire de mon mieux. Toutefois, il a apparemment remarqué que je fumais et souhaite que j’allume une clope, tout en le suçant, de manière à recracher ma fumée sur son gland. L’idée m’excite et je m’empresse de tirer une grande bouffée de la cigarette qu’il m’a mise en bouche et qu’il présente à flamme d’un briquet. En outre, chez moi, la fumée et la cigarette m’ont toujours excitée et donné envie de baiser. Inversement, le sexe me donne envie de fumer et pas seulement après. J’alterne, quelques coups de langue et va-et-vient sur le sexe, puis une taffe, et je recommence. Les coups de butoirs du second partenaire me réjouissent et participent activement à mon plaisir, tout comme les grandes tapes dont il gratifie mes fesses toutes rouges.Je suis tellement excitée qu’il m’en faut plus pour jouir à fond, j’ai encore envie de plus de sexe. Je le dis au mec que je suce. Je veux que lui aussi me baise, en même temps que l’autre gars. Il glisse sous moi, l’autre sort de ma chatte pour investir mon cul de salope, laissant ainsi ma vulve libre pour les assauts d’une nouvelle bite. Les deux mecs me ramonent bien fort, ils m’insultent, me tapent le cul, j’adore ce traitement où je montre mon vrai visage, celui de pute, de salope, de chienne enragée,…Leur pénétration est géniale, je suis comme folle et je n’hésite pas à leur demander de m’enculer tous les deux en même temps. Je n’ai encore jamais pratiqué une telle pénétration, durant mes innombrables expériences de salope, mais ce soir, j’ai envie de tout. L’entrée d’une seconde bite dans mon rectum est difficile, même s’il est habitué à recevoir de nombreuses queues, la présence de deux bons calibres n’est pas évidente. Cependant, mon envie est telle que je mets du mien, les deux gars insistent et finalement leurs deux glands parviennent à fourrager mes entrailles simultanément. Cette double pénétration très spéciale est un régal. Je jouis comme rarement, je me sens défoncée et baisée bien à fond comme j’aime. Je perds le contrôle de moi-même à plusieurs reprises en jouissant intensément, libérant des quantités de mouille qui vont irriguer les couilles de l’un des mecs. Je ne sais combien de temps dure cette baise, mais j’ai joui comme j’aime. Les deux mecs font de même, ils vident leurs couilles dans mon cul. Sur le moment je regrette de ne pas avoir pris leur sperme sur mon visage, mais la sensation des jets qui partent contre mes parois intimes est exquise. En outre, une fois qu’ils se sont retirés, mon anus se referme assez vite et je garde le foutre en moi. L’un d’eux m’incite alors à pousser bien fort pour le faire ressortir, comme si je chiais. L’idée me plait et je m’exécute. Après un premier pet bien dégueulasse, je vide le foutre qui occupait mes intestins. C’est délicieux. Je pousse encore pour faire tout sortir, je sens mon anus qui se tend à fond. Toute la semence gît sur le carrelage, je n’hésite pas à lécher le sol par goût de ce sperme qui a occupé mon cul de salope.Lorsque j’émerge, je vois quelques personnes qui me regardent, les filles sont admiratives, l’une d’entre elles dit que je lui ai donné des idées, j’en suis bien contente. Ces efforts m’ont épuisée et même si je prends part à quelques échanges buccaux avec des jeunes filles, léchant le foutre qui me couvre leur visage, je quitte assez rapidement la pièce surchauffée pour regagner mon appartement en taxi.Je ne regrette pas de quitter cette agréable assemblée, je sais que dès demain je pourrai à nouveau profiter de quelques bons baiseurs.