Bonsoir Lucie,
Une petite histoire dit-elle…
Lorsque vous avez que quelques centimètres entre les jambes, que vos testicules ne pendent pas, que lorsque l’érection est atteinte, votre gland dépasse à peine de la main d’une femme……………. que sur la plage aucune bosse ou « poutre apparente ne se devinent, vous êtes pour vos rencontres une petite bite.
C’est ce que ma compagne m’avait résumé lors d’une dispute il y a quelques années. Elle m’avait présenté le marché clairement : soit tu obéis et tu la fermes “un peu souvent”, soit ciao ! j’ai acquiescé et pensé que l’on sait ce que l’on perd, que l’on ne sait pas ce que l’on gagne…Elle était belle, intelligente, vicieuse et ceci me plaisait bien. Elle m’excitait, m’exigeait ce qui lui passait par la tête et lorsque madame était de bonne humeur me laissait me masturber.
Parfois je pouvais la déguster “toute crue”…… c’était la récompense. Elle a bien sûr ramené quelques conquêtes à la maison pour que je voie ce qu’un mâle digne de ce nom savait faire…….Là je l’ai vu jouir, hurler, en redemander, ne rien lui refuser……… dur à avaler (sans jeu de mots facile…).
Il est évident qu’assez souvent elle m’ordonnait que je finisse les basses besognes, sucer des glands brillants, son sexe inondé et collant…. j’en passe.
Un jour, surprise, elle vint avec une femme, splendide, sculpturale, une métisse d’une quarantaine d’années dont le regard était foudroyant. Ma compagne m’ordonna de me dénuder, elles se regardèrent et se mirent à sourire dans le plus grand des silences. Cette femme métisse avait un corps parfait, elle me fixa droit dans les yeux, m’ordonna de m’allonger sur le dos et s’assit sur ma bouche.
J’ai cru qu’elle désirait que je la suce…. ce que je fis, hé non, elle se releva en me giflant. Là, elle m’apprit qu’il fallait attendre ses ordres. Elle se remit au-dessus de moi m’urinant un jet court et chaud dans ma bouche. J’ai failli vomir, je ne m’y attendais pas. Ensuite à genou les mains sur la tête, j’ai dû les admirer se gouiner avec fougue. Je n’en revenais pas de ma compagne, se doigter, sucer, goder par une black déchainée….
Je ne bougeais pas, bandais comme un taureau et n’avais comme seule envie de me joindre à elles….Ce qui bien sûr ne fut pas proposé dommage !!!
Cette splendide métisse parla à l’oreille de sa complice et vint vers moi… Je bandais de plus en plus fort, elle regarda ma verge courte, mais droite en souriant et me dit : “tu l’as déjà mesurée…?” ma compagne répondit 10 cm sur 3 !!! Elle rigola, la prenant avec mes deux pauvres couilles dans sa main, les serra très fort. Elle lâcha prise me voyant me tordre de douleur et décida que je pouvais me branler…
Je ne demandai pas mon compte et astiqua mon bout avec vigueur, je jouis très vite, elle m’obligea à me lécher les doigts, ma compagne souriait et comprenait ma soumission totale. Cette métisse se caressait le clito devant moi et m’annonçant qu’une prochaine fois elle viendrait accompagnée de deux mâles pour elles deux et peut-être pour moi…..
La semaine suivante ils sont venus………………………………..