C’était il y a quelques annĂ©es, j’étais encore Ă©tudiant dans une petite Ă©cole de commerce de province. Pour faire comme ses grandes sĹ“urs parisiennes, l’ambiance de cette Ă©cole Ă©tait gĂ©nĂ©ralement plus Ă la dĂ©tente qu’au travail forcenĂ©. Un petit mois d’interruption des fĂŞtes et soirĂ©es pour les traditionnels exams Ă©taient destinĂ©s Ă cacher qu’une bonne partie de notre diplĂ´me serait gĂ©nĂ©reusement achetĂ©e par nos parents !Le grand Ă©vĂ©nement de l’annĂ©e Ă©tait toujours, juste après les exams, le « voyage d’étude Ă l’étranger » ; comme faire partir toute une promo de quelque 200 personnes Ă©tait hasardeux, c’est une dizaine de groupes qui s’étaient formĂ©s autour d’intĂ©rĂŞts communs pour prĂ©parer autant de voyages vers autant de destinations… Pour ma part, j’avais prĂ©vu cette annĂ©e lĂ de ne pas participer au voyage, ayant trouvĂ© un stage fort intĂ©ressant qui devait impĂ©rativement commencer au 1er avril, date prĂ©vue pour le dĂ©part.Je m’étais donc complètement dĂ©sintĂ©ressĂ© des prĂ©paratifs, jusqu’à ce que le 25 mars un mail me parvienne, m’annonçant le report de mon stage pour d’obscures raisons de logistique !!! RĂ©flexe immĂ©diat, je fonce sans trop d’espoir chez le coordinateur des voyages, pour savoir si par hasard il y aurait une place libre dans un des voyages, n’importe lequel !« Tu as vraiment beaucoup de chance, j’ai eu un dĂ©sistement ce matin ! Sans ça, ç’aurait Ă©tĂ© complètement impossible, les billets d’avions et les hĂ´tels sont rĂ©servĂ©s depuis des semaines ! Tu n’as qu’à contacter l’organisateur, Alex, je ne pense pas qu’il y aura de problèmes…— C’est gĂ©nial ! Et c’est oĂą ce voyage ?— Au Boukhistan.LĂ mon enthousiasme retombe quelque peu… J’avais imaginĂ© Barcelone, Rio, Londres, Berlin Ă la rigueur… une ville ou on peut faire la fĂŞte, quoi ! !— Ksekseksa le Gloubistan ?— Boukhistan. Une rĂ©publique d’Aise Centrale, ex-URSS. Capitale Grossboul. Je n’en sais pas plus, sinon que le thème du voyage est : « Le Boukhistan, renaissance d’une culture ».— Pas possible, y a une option sociologie ou gĂ©ographie dans cette Ă©cole ? Bon, je vais aller voir cet Alex, qu’il m’en dise un peu plus… »~ ~ ~Alex Ă©tait un mec que je connaissais de vue, il faisait partie d’une bande un peu Ă part du reste de la promo, bande que je soupçonnais de fournir les troupes de ce voyage Ă l’étrange destination. C’était sans doute l’une des premières fois que je lui adressais la parole autrement que pour lui dire bonjour.« Salut Alex ! Il paraĂ®t que vous avez une dĂ©fection pour votre voyage, et de mon cĂ´tĂ© je peux finalement partir. Est-ce que ça pose problème si je me joins Ă vous ?— Problème, non… la seule question serait de savoir si tu peux vraiment remplacer Kabani, et ĂŞtre Ă la hauteur … ? ? ?— Kabani, le grand black ?— Oui, c’est lui qui s’est dĂ©sisté ; un problème dans sa famille, au Mali…— Et qu’est-ce que tu entends par « à la hauteur » ? Si c’est pour courir le 100m, je ne crois pas…— Ca, cĂ´tĂ© purement physique je me doute bien qu’il y a une diffĂ©rence ; mais il n’y a pas que le physique, il y a l’endurance, l’imagination, l’ouverture d’esprit,… plein d’autres qualitĂ©s dont Kabani ne manque pas, et toi ? »Je ne comprenais plus rien, comme vous pouvez vous douter. Quel rapport entre moi, ce Kabani et toutes ses qualitĂ©s et ce foutu voyage au bout du monde ? J’étais bien loin de m’imaginer, au contraire de toi, cher lecteur, qui doit avoir un lĂ©ger doute, oĂą tout ça allait m’emmener… En attendant, je commençais Ă perdre patience…« Ecoute, sois plus clair, je n’y comprends rien Ă ton histoire. Je peux partir avec vous, oui ou non ? Ou faut-il que je passe une Ă©preuve initiatique pour rejoindre votre petit groupe ?— Une Ă©preuve initiatique ? VoilĂ une idĂ©e intĂ©ressante… bon, Ă©coute, il faut que j’en parle aux autres pour qu’on dĂ©cide ensemble, donne-moi ton numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et je t’appelle demain sans faute.— Ok. Sans faute, hein ? Dis-moi quand mĂŞme, qu’est-ce qu’il y a de si intĂ©ressant dans ce pays ?— Le Boukhistan ? Tu ne connais pas ? C’est un pays très intĂ©ressant, qui a Ă©tĂ© complètement opprimĂ© quand il faisait partie de l’URSS mais qui a sur garder pendant toutes ces annĂ©es sa culture ancestrale, culture qui se dĂ©veloppe Ă nouveau au grand jour… une culture assez exceptionnelle… tu verras, dans quelques annĂ©es tout le monde voudra aller lĂ bas… »Et sur ce il me laissa en plan, seul avec mes interrogations. Je n’étais plus trop sĂ»r de vouloir partir, il y a avait quelque chose qui m’échappait et cet Alex Ă©tait dĂ©cidĂ©ment bizarre ; qu’est-ce que ça serait de passer deux semaines avec lui et sa bande s’ils Ă©taient tous pareils ? D’un autre cĂ´tĂ©, passer ce temps lĂ ici ou chez mes parents… bof bof…~ ~ ~Tout ça ne m’empĂŞcha pas de passer une bonne nuit, et je fus rĂ©veillĂ© le lendemain matin par le tĂ©lĂ©phone. DĂ©cidĂ©ment, cet Alex avait toutes les qualitĂ©s…« KescekecĂ©Â ?— Salut Antoine [Ah oui, Antoine c’est moi, j’ai oubliĂ© de vous dire. Comme le chanteur], c’est Alex.— Non mais t’as vu l’heure ?— Oui, dĂ©solĂ© mais c’est important. Bon Ă©coute, on a pris une dĂ©cision : c’est OK pour que tu viennes avec nous, mais il y a quelques petites conditions ; je vais te les dire, et tu auras jusqu’à midi pour rĂ©flĂ©chir, après il faut impĂ©rativement qu’on donne les noms pour les billets d’avion et l’hĂ´tel.— Ok, midi dernier dĂ©lai. Je t’écoute…— Bon, d’abord il faut que tu saches que ton idĂ©e d’épreuve initiatique…— Mon idĂ©e ? C’était juste une blague…— Laisse moi parler… bref, on a tous trouvĂ© que c’était une bonne idĂ©e, mais on n’a pas le temps ; du coup on a pensĂ© Ă te refuser, c’était un peu trop risquĂ© de t’accepter sans te connaĂ®tre mais Sandrine a insistĂ© et s’est portĂ©e garante…Sandrine ? La petite blonde gĂ©nĂ©reusement pourvue par la nature, avec qui j’avais eu une aventure en première annĂ©e ? On ne s’était pratiquement pas parlĂ© depuis…— Sandrine ? Sandrine C. ?— Elle-mĂŞme… vous vous connaissez un peu, non ?— Oui, un peu…c’est gentil Ă elle en tous cas.— Attends la suite ; voilĂ nos conditions, ne m’interromps pas je rĂ©pondrais Ă tes questions après si je peux :1. Tu ne sauras rien de plus sur le voyage avant le dĂ©part que tu ne saches dĂ©jà  ; tu peux essayer de te renseigner par toi-mĂŞme, bon courage, mais nous on ne te dira rien d’autre… tu partiras Ă l’aventure !2. Pendant les 15 jours, tu devras obĂ©ir aux ordres de tous les membres du groupe.3. Tu auras quand mĂŞme trois jokers mais attention, au troisième tu seras exclu du groupe : on ne te demandera plus rien, mais on ne te parlera plus non plus. Ce sera comme si tu Ă©tais tout seul…Des questions ?— Euh, oui, un peu quand mĂŞme… c’est quoi ces histoires ? ObĂ©ir aveuglĂ©ment sans savoir Ă quoi je m’engage, sans garantie ?— Attends un peu, calme-toi ; j’ai Ă©tĂ© volontairement brutal, maintenant il faut que je t’explique ; tu n’as pas Ă t’inquiĂ©ter, on ne te forcera Ă rien : outre les jokers, on s’est nous mĂŞme fixĂ© des limites ; je ne peux pas t’en dire plus, mais il faut que tu voies ça comme un jeu, pas comme un bizutage ; c’est en quelque sorte une initiation Ă notre groupe. Tu choisis toi-mĂŞme quand tu veux t’arrĂŞter, et puis on a prĂ©vu de te faire gagner d’autres jokers. Pour nous aussi c’est un jeu et celui qui provoquera un joker sera sanctionné…— Je n’y comprends rien Ă tes histoires…— Je ne peux pas t’en dire plus ; tu as jusqu’à midi, j’espère que tu te joindras Ă nous…. »Et il a raccrochĂ©, me laissant partagĂ© entre l’excitation devant ce mystère, et la peur de tomber aux mains d’une bande de cinglĂ©s. Certes, Sandrine Ă©tait une gentille fille et Alex, tout bizarre qu’il soit, inspirait plutĂ´t la confiance ; et en plus ils avaient pensĂ© Ă tout, y compris une porte de sortie… Vous vous en doutez, puisque vous lisez ce rĂ©cit, j’ai fini par accepter, sans trop savoir pourquoi…~ ~ ~Une semaine plus tard, nous nous retrouvâmes Ă l’aĂ©roport ; le groupe d’une vingtaine de personnes, qui comprenait une lĂ©gère majoritĂ© fĂ©minine, et dont je ne connaissais que Sandrine, Alex et deux ou trois autres de vue, m’accueillit chaleureusement. Nul commentaire sur les conditions de mon voyage, tout cela semblait oubliĂ© et je me demandais si Alex n’était pas un peu blagueur. Je m’imaginais depuis deux jours, obligĂ© de porter les bagages de tout le monde sous les moqueries… Rien de tout cela ne se produisit, et c’est de manière tout Ă fait classique que nous sommes montĂ©s dans l’avion de « Boukhistan Aeroflot ».Je me suis retrouvĂ© assis Ă cĂ´tĂ© de Sandrine, Ă qui j’ai galamment laissĂ© le hublot, et nous avons finalement dĂ©collĂ©Â : c’était parti pour 7h de vol. L’ambiance Ă©tait bonne, outre notre groupe l’avion Ă©tait plein de jeunes gens de notre âge et les conversations fusaient de partout. Pour ma part, je discutais de tout et de rien avec Sandrine, ainsi qu’avec les autres…Environ 1h après le dĂ©collage, l’excitation s’était un peu calmĂ©e et c’est alors que tout a commencĂ©. Alors qu’une hĂ´tesse remontait lentement l’allĂ©e, j’ai entendu Sandrine Ă cĂ´tĂ© de moi me dire :« Quand elle sera Ă notre hauteur, demande-lui de te sucer.J’étais complètement interloquĂ©Â ! Je savais pour l’avoir « expĂ©rimentĂ©e » que Sandrine Ă©tait plutĂ´t libre dans ses actes et ses pensĂ©es, mais lĂ je ne comprenais plus…— Demande-lui de te sucer ! Tu n’aimes plus ça ? Pourtant quand je te le faisais…— C’est pas la question d’aimer ou pas d’aimer, j’ai pas envie de me prendre une baffe…— Tu veux utiliser ton 1er joker ? ? ?P.. j’avais complètement oubliĂ© cette histoire, après leur accueil sympa je m’étais persuadĂ© que c’était une blague ! Je me suis alors rendu compte qu’ils Ă©taient tous en train de me regarder…— Alors, Joker ou pas ? Il ne t’en restera plus que deux… n’oublie pas que je me suis engagĂ©e pour toi, pour que tu viennes avec nous… et tu as acceptĂ© les conditions ! Et puis si tu lui demandes poliment, je ne vois pas pourquoi elle le prendrait mal…Je le voyais, moi, mais que vouliez-vous que je fasse ? Après tout, c’était vrai, j’avais signĂ© un chèque en blanc… et puis une baffe ce n’est rien, mieux valait garder mes jokers pour les trucs bien pires qu’ils ne manqueraient pas d’imaginer, vu comme ça commençait… j’attendis donc que l’hĂ´tesse arrive, une fort jolie brune aux yeux verts dont l’uniforme mettait en valeur une silhouette très sĂ©duisante, et lui fit signe :— Mademoiselle, s’il vous plaĂ®t ?— Oui Monsieur ? me rĂ©pondit-elle avec un bel accent slave…— Pourriez-vous me sucer s’il vous plaĂ®t Mademoiselle ?— Excusez-moi Monsieur mais je suis nouvelle, je ne parle pas bien la français encore ; je n’ai pas compris tous les mots…— Demande-lui en anglais ! me souffla Sandrine— Can you suck my dick please, Miss ?— Oh certainly, bien sĂ»r, Monsieur tout de suite.Et bien, croyez-moi si vous le voulez, mais ni une ni deux elle s’est agenouillĂ©e dans l’allĂ©e, a dĂ©fait ma ceinture et ma braguette pour en extirper mon sexe peu triomphant et s’est aussitĂ´t mise Ă l’ouvrage, avec une ardeur très professionnelle.Autour de moi et dans tout l’avion, ça alors Ă©tĂ© l’explosion : des applaudissements, des rires… et une course aux hĂ´tesses, qui toutes se sont bientĂ´t retrouvĂ©es, ainsi que les stewards d’ailleurs, dans la mĂŞme position que la mienne. Celle-ci avait d’ailleurs fort Ă faire, car malgrĂ© sa science mon Ă©tonnement devant cette scène orgiaque m’empĂŞchait de profiter pleinement de sa langue habile, qui se promenait des bourses au gland quand elle ne prenait pas ma verge – de taille standard il est vrai – entièrement dans sa bouche. Cela faisait donc de longues minutes qu’elle me suçait, et certaines de ses collègues en Ă©taient dĂ©jĂ Ă leur deuxième voir troisième passager quand Sandrine, Ă cĂ´tĂ© de moi, a enlevĂ© son pull et a pris ma main pour la poser sur son sein droit. C’est alors que j’ai commencĂ© Ă me dĂ©contracter et Ă jouir de la situation : Sandrine m’embrassait et portait ses seins Ă ma bouche pour que je les lèche, les avale, lui mordille les tĂ©tons ; je ne voyais plus rien de ce qui se passait dans l’avion, je ne sentais que les caresses chaudes et humides sur ma queue et les lourds seins de Sandrine sur mon visage, et comme vous vous en doutez je n’ai pas tardĂ© Ă me laisser aller complètement dans la bouche de l’hĂ´tesse.Une fois sĂ»re qu’aucune goutte ne risquait de tacher la moquette de l’avion, celle-ci s’est relevĂ©e ; je l’ai remerciĂ©e d’un sourire, elle a fait de mĂŞme et est sans dĂ©lai allĂ©e s’occuper d’un de mes camarades de voyage…Tout en continuant Ă caresser vaguement Sandrine, qui se frottait sans relâche contre moi, j’ai dĂ©couvert que l’orgie s’était encore amplifiĂ©e. Certaines hĂ´tesses avaient abandonnĂ© la position agenouillĂ©e, et pompait ardemment, debout, de vigoureux jeunes hommes ; derrière elles d’autres passagers avaient relevĂ© leurs jupes et faisaient des va-et-vient rĂ©vĂ©lateurs. Des gĂ©missements venaient de toutes part… les passagères n’étaient pas en reste, une suçait un steward qui lui-mĂŞme s’occupait d’un mec de notre Ă©cole, pourtant pas homo a priori ; d’autres filles se caressaient entre elles, oĂą Ă©taient assises sur leur voisin de siège qui les faisaient aller et venir, les soulevant par les hanches…« Et bien voilĂ , le Boukhistan c’est ça… »C’était Sandrine qui se rappelait Ă mon bon souvenir…« Tout le pays est comme ça ?— Presque oui… tu verras… pour l’instant occupe-toi de moi ! »Je ne pus mĂŞme pas hĂ©siter, car elle monta debout sur mon siège et approcha sa chatte de ma bouche ; je ne lui fis pas l’affront de refuser, d’autant plus que j’étais très excitĂ©, et m’appliquais Ă lui donner tout le plaisir possible avec ma langue et mes doigts, titillant son clitoris, la pĂ©nĂ©trant d’un doigt dans le vagin et l’autre dans l’anus, ce qui Ă entendre ses petits cris n’avait pas l’air de lui dĂ©plaire…Quand elle fut fatiguĂ©e de la position et des quelques orgasmes que j’avais rĂ©ussi Ă lui procurer (aidĂ© il est vrai du passager du fauteuil derrière moi qui s’était Ă son tour occupĂ© de ses seins pendant que j’utilisais ma langue), elle revint s’asseoir Ă cĂ´tĂ© de moi… et s’endormit !Il faut dire que tout le monde Ă©tait un peu dans le mĂŞme Ă©tat ! L’avion n’étant pas destinĂ© Ă cet usage particulier, les positions Ă©taient souvent plus ou moins acrobatiques et donc pas de tout repos !Presque tout le monde Ă©tait donc retournĂ© Ă sa place ; on entendait encore quelques soupirs, quelques bruits de succion ou des fauteuils qui grinçaient mais rien de comparable avec ce qui avait prĂ©cĂ©dĂ©. Je m’endormis donc Ă mon tour…~ ~ ~«Mesdames et Messieurs, chers passagers, votre commandant de bord vous informe que nous sommes Ă la moitiĂ© de notre vol. Nous survolons actuellement l’Ukraine. Le commandant va se rendre en cabine pour vous saluer »Le volume des haut-parleurs devait ĂŞtre particulièrement fort car pratiquement tout le monde a Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par cette annonce. Les regards des uns vers les autres Ă©taient bien diffĂ©rents maintenant, et l’on sentait que cette petite sieste avait Ă©tĂ© profitable Ă la libido gĂ©nĂ©rale… d’autant plus que nombre d’entre nous n’étaient pas vraiment rhabillĂ©s. Alex vient me demander si j’étais contant de mon dĂ©but de voyage, et je dus lui avouer que tout Ă©tait parfait !C’est alors que le commandant de bord apparut ; c’était un mec impressionnant, grand et musclĂ©, assez mat de peau, un large sourire sous une petite moustache ; il commença Ă s’avancer dans l’allĂ©e disant quelques mots Ă chaque passager. Une blonde n’hĂ©sita pas Ă lui poser la main sur la fesse et son sourire s’élargit encore ! Nous regardions tous, intriguĂ©s, n’entendant rien du conciliabule mais en comprenant Ă peu près l’objet ! Ce ne fut d’ailleurs pas long, et la blonde s’attaqua bientĂ´t Ă la fermeture Ă©clair du pantalon d’uniforme, dont elle fit jaillir un gros sexe presque noir qu’elle mit aussitĂ´t dans sa bouche, et commença Ă pomper vigoureusement. Cela dura quelques minutes, puis le commandant s’arracha d’elle – elle eut l’air déçue – et continua Ă remonter l’allĂ©e, la bite Ă l’air : tous les passagers la saluaient au passage, les filles d’un coup de langue plus ou moins appuyĂ©, et mĂŞme les garçons n’hĂ©sitaient pas Ă serrer la queue du commandant, comme ils auraient fait de sa main ! Certaines filles le gardaient un peu plus longtemps en bouche mais il s’en arrachait toujours pour poursuivre son chemin ! Il arrivait maintenant Ă notre niveau, et j’étais rĂ©signĂ© – et excitĂ© en mĂŞme temps – Ă prendre Ă mon tour dans ma main ce sexe d’homme, alors que je n’avais jamais touchĂ© d’autre phallus que le mien. Je le fis sans hĂ©siter quand il se prĂ©senta devant moi.« Lèche le un peu »Je tressaillis. Alex ! le salaud…Le commandant avait entendu aussi, et il s’arrĂŞta devant moi ; j’avais toujours sa queue Ă la main. Je le vais les yeux, vis son sourire engageant, puis redescendis mon regard vers ce sexe ; je me suis penchĂ© lentement jusqu’à poser mes lèvres sur son gland, complètement soumis, n’imaginant mĂŞme pas de ne pas obĂ©ir ! Je fis mĂŞme pĂ©nĂ©trer son gland de quelques centimètres dans ma bouche…« C’est bon Antoine tu peux le lâcher »Vous n’allez pas me croire mais je fus presque déçu ! Toute mon excitation retomba d’un coup alors que le commandant poursuivait, et j’ai commencĂ© Ă avoir honte ! Moi, hĂ©tĂ©ro convaincu, sucer une bite ! Je me suis engoncĂ© dans mon fauteuil pour faire semblant de dormir.~ ~ ~Quelques minutes plus tard, je dus cependant les ouvrir pour savoir d’oĂą venait le hurlement que je venais d’entendre… Il ne me fallut pas longtemps pour voir la blonde de tout Ă l’heure, Ă genoux dans l’allĂ©e ; derrière elle le commandant allait et venait de toutes ses forces, lui arrachant un hurlement ininterrompu. Plusieurs mecs entouraient cette scène en se masturbant joyeusement.« Il l’encule » me glissa Sandrine.Comme si je ne m’en Ă©tais pas douté…Ce fut le signal, et l’orgie recommença ; les garçons passaient de rangĂ©e en rangĂ©e, glissant leur sexe dans la première bouche, le premier sexe qu’ils trouvaient ; j’en eut ma part, comme vous l’imaginez, et cette fois je ne laissais pas Sandrine m’accaparer : comme les autres, je parcourus l’allĂ©e centrale de l’avion, Ă©changeant avec les filles qui me plaisaient quelques instants de plaisir, me laissant mĂŞme toucher – mais pas plus – par des mecs qui visiblement me trouvaient Ă leur goĂ»t. Le commandant avait fini sa petite affaire et regagnĂ© son poste et la blonde gisait maintenant sur le sol, jambes Ă©cartĂ©es, orifices Ă tout vent et recouverte de traĂ®nĂ©es de sperme, visiblement complètement Ă©puisĂ©e. J’avançais ainsi jusqu’au poste de pilotage, oĂą je constatais que le commandant et son second n’étaient pas en reste sur les passagers : deux filles de notre groupe m’avaient prĂ©cĂ©dĂ©, et s’arrangeaient en une position acrobatique Ă leur appliquer Ă chacun une fellation soignĂ©e.DĂ©cidĂ©ment, seul le pilote automatique n’aura pas eu sa part durant ce voyage !Je les pĂ©nĂ©trai tour Ă tour par derrière, jouissant de leurs sexe et de leur anus et me dĂ©lectant de cette improbable situation : Ă 8000 mètres, au-dessus d’une mer de nuages, j’allais et venais dans des orifices accueillants, jusqu’à l’orgasme…~ ~ ~« Mesdames et Messieurs, nous commençons notre descente vers l’aĂ©roport de Grossboul oĂą nous atterrirons dans quelques minutes. Nous espĂ©rons que vous avez fait un agrĂ©able voyage et vous prions de regagner vos sièges et d’ajuster vos ceintures. Nous vous souhaitons un agrĂ©able sĂ©jour au Boukhistan et espĂ©rons vous retrouver prochainement sur un vol « Boukhistan Aeroflot » »~ ~ ~A SUIVRE…