Histoire coquine :Chapitre 2 : Un film qui fait plaisirIls s’installèrent Ă leurs places respectives sur le parcage central. Les deux jeunes femmes se positionnèrent autour de lui, elles avaient un sourire insistant envers Martin depuis qu’ils avaient fait l’amour dans les vestiaires.
Le match dĂ©buta, Martin Ă©tait concentrĂ© sur le match, il n’aimait pas tellement le foot mais il voulait penser Ă autre chose. C’est vrai qu’il avait bien apprĂ©ciĂ© ce petit plan Ă trois mais il Ă©tait encore un peu sous le choc. C’Ă©tait nouveau pour lui. Et ça n’avait pas l’air de dĂ©ranger Joyce. Peut-ĂŞtre parce qu’elles se connaissaient depuis longtemps ?- Martin ? demanda Joyce
– Oui ?
– Tu sais, Élodie elle s’en va en Croatie demain, il faudrait qu’on en profite. Hum, ça te dit qu’on aille ensuite au cinĂ©ma ?
– Ah bon ? Fit-il, Ă©tonnĂ© mais surtout content qu’elle se casse.
– Oui, je pars lĂ bas pour mes Ă©tudes, j’y reste un an, je fais des Ă©tudes d’Ă©lectrocinĂ©tique, rĂ©pondit-elle avec un air de petite fille innocente.
– Ah ! Je connais un peu l’Ă©lectro, mais j’ai vite arrĂŞtĂ©. C’est bien de voyager, ça permet de penser et de voir d’autres horizons.
– Oui, c’est vrai, mĂŞme si ta bite va me manquer, dit-elle en rigolant.
– Heuuu…
– Calme toi Élodie ! C’est mon mec avant tout, c’est juste pour aujourd’hui !
– Oui, je sais, mais je rigoooole ! Ça va !
– Bon bref. Ça me va, on ira ensuite au cinĂ©ma, dĂ©clara Martin afin de changer de sujet.
– Super ! Je peux te faire un bisous M ? ajouta Joyce
– Non toujours pas, lĂ , j’Ă©coute le match.
– Rhoo…Le match continua, Joyce Ă©tait un peu triste. Martin avait-il vraiment aimĂ© sa surprise ? Ou s’Ă©tait-il sentit obligĂ© de baiser Élodie ?
Les Lyonnais mirent un point contre leurs camps. Mais ils continuèrent sous les sifflements incessants des supporteurs de l’Asse. Les StĂ©phanois encore plus nuls que les Lyonnais se savaient pas tirer dans la balle, le match se termina alors sur un nul 1-1. Martin suivit de Joyce et Élodie quittèrent le stade et se rendirent au parking pour retrouver leur voiture.- Élodie tu passes derrière, il faut bien rĂ©partir les poids, fit Joyce
– Aha, très drĂ´le ça Joyce, et oui, c’est Ă cause de mes gros seins, tu dois pas connaĂ®tre ça toi.
Martin ne pu s’empĂŞcher de rire. Et ils rentrèrent dans la voiture.
– C’est ça, rigole toi ! Tu vas voir, dit elle en s’attachant.
– Non toi tu vas voir, car ce soir, tu vas prendre cher. Encore plus cher que Élodie dans les vestiaires.
– C’est possible ça ? Ajouta Élodie
– Ah bon ? fit Joyce, d’un air intĂ©ressĂ©
– Oui, c’est pour ça que je calme le jeu, seulement pour l’instant. Mais, je vous ai Ă l’œil !, ajouta-t-il en pointant du doigt Joyce. Puis, il pointa Élodie, qui en profita pour lui sucer l’index.
– Oui, j’ai compris Chef, ironisa la jeune blonde.
Il regarda son index mouillé par sa salive. Puis, lui jeta un regard noir.
– Qu’est ce que j’ai dis ? Il dĂ©tourna les yeux et dĂ©marra la voiture. J’ai dis d’arrĂŞter car je dois me rĂ©server pour Joyce ce soir, sinon je vais devoir reporter.
– La vengeance est un plat qui se mange froid, Martin., fit Élodie en ricanant, pas besoin de te rĂ©server, tu pourras la baiser correctement lorsqu’elle s’y attendra le moins, non ?
– Élodie ! Ne lui donne pas de mauvaise idĂ©e !
– Hum, je sais pas, je vais y rĂ©flĂ©chir. Allez, on y va. Joyce, tu sais quel film on va voir ?
– Je sais pas encore, on verra lĂ bas, non ?
– Oui si tu veux.La voiture quitta le parc, et se dirigea vers le cinĂ©ma Ă vingt minutes de lĂ . Martin commençait peu Ă peu Ă aimer cette journĂ©e Ă trois. Joyce allait vraiment prendre cher, ça c’Ă©tait sur, mais Élodie n’avait pas tort. Il pouvait se venger quand il voulait. Et ça, c’Ă©tait vraiment bien, il pourrait ainsi prendre le temps de prĂ©parer quelque chose qu’elle n’oublierait pas de si tĂ´t.. Il Ă©tait dans ses pensĂ©es. Concentrer sur la route et ayant son permis depuis plus de trois ans, Martin avait toujours les rĂ©flexes de regarder son angle mort gauche et son rĂ©troviseur intĂ©rieur lorsqu’il sortait Ă un rond point. Mais, cette fois ci, en faisant ces vĂ©rifications, il vu Élodie, avec les jambes Ă©cartĂ©es sur la banquette arrière, elle n’avait plus de bas. Elle Ă©tait entrain de se toucher.- Je peux savoir ce que tu fais ? DĂ©clara Martin
– Moi ? J’Ă©tais entrain de me changer quand j’ai repensĂ© Ă notre Ă©bat dans les vestiaires, du coup, j’ai commencĂ© Ă me toucher. Mais je vais arrĂŞter, si ça te gĂŞne. Fin, je vois pas comment ça pourrais te gĂŞner avec ce qu’on a fait, hihi.
– Fais ce que tu veux.La jeune fille continua Ă se toucher jusqu’Ă que sa cyprine commence Ă goĂ»ter sur la banquette arrière puis stoppa et enfila une jupe.
Pendant ce temps, Joyce se changea Ă©galement. Elle posa son jean, puis son tanga rouge bordeaux, et enfila la mĂŞme jupe qu’Élodie.- Tu met rien dessous ? Questionna Martin.
– Non, je ne met rien, d’ailleurs Élodie non plus.
– Et oui, en plus, on a les mĂŞmes jupes !
– Heu.. D’accord..Un beau petit crĂ©puscule d’Ă©tĂ© couvrait le paysage. Les derniers rayons de soleil se rĂ©flĂ©chissaient sur le capot de la voiture qui roulait sur la route.- Poua, il fait chaud aujourd’hui, fit Élodie, qui battait sa jupe au vent pour se faire de l’air, tout en ayant encore les jambes Ă©cartĂ©s.Martin regarda alors dans son rĂ©troviseur intĂ©rieur, elle n’avait effectivement rien en dessous mis Ă part ses doigts.- T’as pas chaud toi Joyce ? Ajouta-t-elle
– Humm, peut ĂŞtre ce soir, lança-t-elle Ă son copain.
– Ah bon ? Moi, j’ai trop chaud. J’espère qu’on arrive bientĂ´t en plus je m’ennuie.
– Ben trouve une occupation, on arrive dans dix minutes, lâcha Martin, les yeux au ciel.Déçu, Élodie, continua son plaisir solitaire. Elle dĂ©boutonna sa chemise, retira son soutif push-up qui lui maintenez bien les seins,souleva sa jupe, Ă©carta les cuisses et avec un regard de braise en direction de Martin commença Ă se toucher. Elle s’attrapa un sein avec la main droite, qu’elle malaxa et les doigts de sa main gauche commencèrent Ă faire des petits ronds au dessus de son clitoris. Elle commença Ă lâcher des petits gĂ©missements très faibles. Puis, elle augmenta la cadence. Soudain, elle lâcha son sein, se recala sur la banquette arrière, et avec cette nouvelle main disponible, commença Ă se doigter. Sa respiration se fit entendre dans la voiture, mais Martin resta concentrer sur la route. Elle s’insĂ©ra un second doigt, qu’ils lui stimulèrent le point G. Ses gĂ©missements s’intensifiaient, fort cette fois ci. « Huum, va s’y continue, accĂ©lère ». Soudain, Élodie se crispa, « Haaaaa, ouii, ouii,ouii », stoppa les doigts sur son clitoris, et jouit.- C’est bon ? Tu as fini ? Lança brusquement Martin
Élodie ne répondit pas sur le coup, elle était essoufflé.
– Car on est arrivĂ©, donc dĂ©pĂŞche toi de t’habiller.
– Allez, habille toi Élodie !
– Oui, c’est bon, vous ĂŞtes pas drĂ´le, rĂ©pondit-elle en reprenant son souffle.Elle se rhabilla rapidement et sortit de la voiture. Martin ferma toutes les portes et ils s’avancèrent vers le cinĂ©ma. Une fois Ă l’intĂ©rieur, plusieurs tĂ©lĂ©visions affichait les titres de films.- Bon, on va voir quel film ?
– T’inquiète pas, on a dĂ©jĂ prit les billets, suis-nous ! Fit Joyce, en le tirant par le bras.
– Heu.. ok.. Je le sens pas, qu’est ce que vous mijotez encore ?
– Mais riiiieeen ! S’exclama Elodie, allez suis nous !
Les trois jeunes marchèrent vers la salle N°69 et rentrèrent dedans. Il n’y avait presque personne.
– Vous ĂŞtes sur qu’il y a un film au moins ? Je ne vois personne.
– Mais oui t’inquiète pas ! C’est juste que ça doit ĂŞtre la dernière fois qu’il passe, je pense, fit Joyce.
– Venez, les places sont lĂ !Ils s’assissent Ă une rangĂ©e de trois place, dans le coin en haut Ă droite. Martin au centre, Joyce Ă sa gauche et Élodie Ă sa droite.- Je peux au moins savoir ce qu’on va regarder ?
– Oui bien sur, rĂ©pliqua Élodie, le film s’appelle « Eaux profondes », je l’ai dĂ©jĂ vu la semaine dernière en plus.
– Eaux profondes ? C’est un documentaire sur les abysses ocĂ©aniques ? En conflua-t-il en rigolant.
– Ça aurait pu oui, hihi, mais pas du tout !
– Ah bon ? Alors ça parle de quoi ?
– Heu le film va bientĂ´t commencer, rĂ©sume lui rapidement, Elodie.
– Oui, comme si on allait Ă©couter le film haha ! Bon, pour faire court, c’est une fille qui s’appelle MĂ©lanie, elle vient de rentrer Ă la fac et elle dĂ©couvre son corps. En gros c’est ça.
– Elle dĂ©couvre son corps ? Ça sent le film profond ça, wouaw, ironisa -t-il
– Ça pour ĂŞtre profond, ça va l’ĂŞtre.
– J’imagine oui.
– Pour aller Ă l’essentiel, dans le film, MĂ©lanie, c’est une fille qui est toute timide, au fond de ses amphis et qui le soir, se doigte.
– Hein ? Vous ĂŞtes sĂ©rieuses ? On va voir un film de cul ?
– Tu verras bien par la suite, mais chut maintenant le film commence.Les lumières s’Ă©teignirent et les dernières pubs passèrent Ă l’Ă©cran. Martin essaya de rester lucide et de ne pas s’imaginer des choses. Depuis ce matin, Joyce lui avait fait une surprise. Par la suite, il s’Ă©tait retrouvĂ© Ă la baiser avec Élodie. Puis, Élodie qui s’Ă©tait ouvertement touchĂ© devant lui. Et maintenant, il se retrouve dans une salle de cinĂ©ma vide, Ă regarder un film de cul sur la biographie d’une fille, entourĂ© de deux femmes qui ne portent rien sous leurs jupes. Super. Comment pouvait-il rester lucide dans cette situation lĂ ? C’Ă©tait Ă©vident qu’il allait se passer quelque chose. Le film commença. La camĂ©ra suivait une jeune fille de face. Elle Ă©tait brune avec des yeux marron, dotĂ© d’un nez fin. Ses cheveux Ă©taient dĂ©tachĂ©s et surplombaient ses Ă©paules. Son regard Ă©tait clair. Elle marchait en direction de sa facultĂ©.- Oh, elle est pas mal, lâcha Martin
– Chut ! RĂ©torqua Joyce.La jeune fille s’avança vers un groupe de personnes. On l’interpella : ‘ Hey, MĂ©lanie, tu viens ce soir Ă la soirĂ©e mousse chez Albert ?’. Non, j’ai d’autres choses de prĂ©vues, je pourrais pas venir dĂ©solĂ©.
‘Bon tant pis alors’.Elle partit, puis s’installa au fond de son amphi. Elle n’Ă©coutait pas vraiment le cours, elle semblait ailleurs. La cours passa vite, la journĂ©e aussi d’ailleurs. Puis elle rentra chez elle. Dans son appartement, figurait des photos dans des petits cadres, on y voyait MĂ©lanie avec un homme, certainement son copain. Elle jeta son sac dans le couloir, puis rentra dans sa chambre. Elle se changea, puis sortit et rentra dans sa cuisine. A l’intĂ©rieur, il y avait cet homme, qui faisait le repas du soir.« Ah, salut, alors les cours ? Dit-il en coupant les lĂ©gumes pour la soupe.
« Bof, Bof, c’est toujours la merde », dit-elle en allant vers lui pour l’embrasser.
« Purée, je rentre vraiment tard avec ces cours de merde, il est déjà 19h30. On mange quoi ce soir Bruno ? »
« Alors, ce soir, je nous prĂ©pare de la soupe Ă base de courgettes, carottes, oignons, afin de nous purger l’estomac, de ces derniers fast food, puis une petite salade de fruit fait maison. »
« Aha, purger l’estomac, t’es bĂŞte », dit-elle en rigolant.Ils s’installèrent Ă table, discutèrent de leurs journĂ©e, rigolèrent, puis mangèrent.
A la fin du repas, MĂ©lanie lui fit un regard sympathique, puis partit se doucher. Bruno, comprit son regard, alors il rangea rapidement la table. Puis, il la rejoint sous la douche.- Oh, c’est une de mes scènes prĂ©fĂ©rĂ©s, s’exclama Élodie, regarde bien se passage, il va te plaire Martin.
– On va voir, si tu as de bon goĂ»ts.Bruno rentra dans la salle de bain et se dirigea vers l’ombre de MĂ©lanie Ă travers la douche. Il ouvrit la porte, « Coucou beau brun », lui lança MĂ©lanie toute mouillĂ©e. « Coucou toi. Alors, il semblerait qu’il y ai une fuite d’eau dans la douche c’est ça ? « Oui, tout Ă fait, elle est là » fit-elle en pointant de son index le bas de son ventre. « Ah, je vois, ne vous en faites pas, je suis un professionnel. ». Bruno, mit un doigt dans le vagin de MĂ©lanie, puis l’embrassa. Pendant ce temps, elle lui attrapa le pĂ©nis et commença Ă le branler. Il insĂ©ra un second doigt et posa sa main sur sa nuque pour mieux l’embrasser. On entendit MĂ©lanie gĂ©mir. Il dĂ©colla ses lèvres des siennes afin d’embrasser son cou, puis il fit glisser sa main, de sa nuque Ă sa fesse droite. Ils Ă©changèrent de place, elle colla le dos de Bruno au mur, puis commença Ă descendre sa bouche sur son corps. Elle arriva Ă son pĂ©nis, et le lĂ©cha tendrement de bas en haut.Martin commençait Ă avoir une Ă©rection, il l’avait dĂ©jĂ fait maintes de fois sous la douche avec Joyce. Il regardait la scène en s’imaginant avec elle. Soudain, il sentit la main d’Élodie sur sa cuisse. Puis la main de Joyce, avec un peu d’avance, puisqu’elle Ă©tait dĂ©jĂ posĂ© Ă travers son jean, sur son pĂ©nis. Il gloussa.Le film dĂ©fila, MĂ©lanie prenait la bite de Bruno dans sa bouche en le suçant. Parfois, elle reculait la tĂŞte afin de donner des coups de langues sur son gland puis recommençait de plus belle. Elle Ă©tait très excitĂ©e et l’eau qui coulait Ă la surface de ses lèvres vaginales n’Ă©tait certainement pas celle de la douche. L’homme posa sa main sur sa tĂŞte et suivait le mouvement de vas et viens.Dès lors du dĂ©but de la scène, Joyce et Élodie avaient baissĂ© le pantalon de Martin et elles Ă©taient maintenant sur leurs genoux, appuyĂ©e contre leurs accoudoirs, prĂŞte Ă lĂ©cher la bite de Martin qui Ă©tait bien dure. Elles ne se firent pas attendre. C’est Joyce qui lança le rythme. Elle lĂ©cha le cĂ´tĂ© gauche de son pĂ©nis, puis le suça goulĂ»ment, puis s’Ă©tait le tour d’Élodie. Elles s’Ă©changeaient, Ă tour de rĂ´les, son pĂ©nis. Parfois, leurs langues se croisaient. Martin ne resta pas immobile, il passa ses deux mains sous les jupes des filles, entre leurs cuisses et les doigta bien comme il faut.- C’est la scène du film ou la scène que vous me faites, qui devait me plaire ? Fit Martin qui s’amusait avec ses doigts dans les vagins des deux femmes.
– Oh, fhĂ© bien, fĂ© felle du film, avoua Élodie qui peinait Ă parler avec son membre dans la bouche.
– Ah, et bien, il semblerait que je prĂ©fère celle que vous me faites.
– Nous, aussi on aime bien, tu sais, lança Joyce.A l’Ă©cran, MĂ©lanie reçu en bouche la chaude semence de Bruno, qu’elle ne mit pas longtemps Ă avaler. Puis, ils inter-changèrent de place, Bruno saisis les cuisses de MĂ©lanie qui se laissa soulevĂ©e. Il l’adossa contre le mur, elle mit son pĂ©nis Ă l’entrĂ©e de son vagin, et d’un coup de rein, il la glissa au fond. La jeune fille, prit la tĂŞte de Bruno dans ses mains et le tira vers elle pour qu’elle puisse l’embrasser. Puis elle referma ses jambes contre le haut des fesses du jeune homme. Des lors, il commença Ă la pĂ©nĂ©trer de plus en plus vite et les gĂ©missements de MĂ©lanie s’amplifièrent.Parallèlement, Martin retira complètement son pantalon et reçu Joyce, qui se positionna ses lèvres vaginales sur le dos de son pĂ©nis qu’elle plaqua contre le bas ventre de son homme. Élodie Ă©tait quant Ă elle, les cuisses ouvertes face Ă Martin, et sa tĂŞte reposait contre son accoudoir droit. Joyce se servait de son bassin expĂ©rimentĂ© pour monter et descendre sur son pĂ©nis, elle s’appuyait contre son torse afin de ne pas tomber et posait son autre main sur la joue de Martin tout en l’embrassant dĂ©licatement. De front, Martin doigtait de sa main droite Élodie qui se pelotait les seins tout en massant son clitoris et de sa main gauche pelotait le sein gauche de sa copine.Dans la douche, Bruno donnait des tendres coups de reins dans le vagin de MĂ©lanie. Elle lui chuchota alors d’une voix essoufflĂ©e « Continuons dans la chambre ». Il l’embrassa, retira son pĂ©nis puis la reposa au sol. Elle sortit de la douche, se sĂ©cha vite fait, s’enroula d’une serviette et s’empressa dans la chambre. Il la rejoignit peu de temps Ă près. En ouvrant la porte, il l’aperçut couchĂ©e sur le ventre sur certainement un matelas Tedibier d’un confort incroyable. Elle avait plaquĂ© son buste sur le lit et s’Ă©tait courbĂ©e en Ă©cartant les jambes en relevant les fesses. Elle voulait vraisemblablement qu’il l’a prenne en levrette. « Allez viens, fait moi dĂ©couvrir des sensations que mon corps ignore » lui lança-t-elle. « Avec plaisir, mon cœur » rĂ©torqua-t-il.Il enfila un prĂ©servatif et il la pĂ©nĂ©tra le plus doucement possible, embrassa ses reins. Elle attrapa les draps. Il saisi sa fesse droite, et commença des vas rapide et des viens lents.- Mon aussi, je vais vous faire dĂ©couvrir des sensations que vos corps ignorent, siffla Martin.
– Ah bon ? Je veux bien sentir ça, lui rĂ©pondit Joyce.
– Moi aussi, je veux !
– Et bien, on va voir ça. Je vais aussi te montrer ce que ça fait de ne pas pouvoir agir Ă sa guise, fit Joyce, en se levant et en insĂ©rant le membre de Martin en elle.Elle cala ses genoux dans le siège de Martin, puis s’avança et recula son bassin sur le membre du jeune garçon. Il voulait qu’elle aille plus vite car il Ă©tait vraiment excitĂ©. Mais Joyce n’accĂ©lĂ©rait pas sa cadence. Alors, il combla sa frustration avec ses doigts en doigtant plus fortement et plus rapidement Élodie.- Alors ça fait quoi, de ne pouvoir rien faire de plus ? Tu dĂ©couvres une nouvelle sensation ?Il ne rĂ©pondit pas. Prit une grande inspiration et continua Ă visionner le film.Bruno, continua Ă pĂ©nĂ©trer tendrement MĂ©lanie. Puis, il passa Ă la vitesse supĂ©rieure. Il lui lança une fessĂ©e sur la fesse gauche, surprise, elle lâcha un petit cri. Puis, il commença des vas et vient, rapide et profond. Son petit cri se changea alors en multitude de petits cris. « Oh oui continue » lui lança-t-elle entre deux cris. Prit d’une montĂ©e d’excitation, Bruno la pĂ©nĂ©tra de plus en plus fort. Cette fois-ci,il attrapa les deux fesses de MĂ©lanie, et Ă chaque vas, il lâcha un petit gĂ©missement en enfonçant sa bite le plus profondĂ©ment dans son vagin. « Oh oui, j’aime ça, continue » fit elle.Dans la salle, Martin compris. Bruno n’avait pas eu cette montĂ©e d’excitation pour rien. Il lui en avait transmis une partie. Il sentit dès lors, une envie de baiser insurmontable. Il se leva en portant Joyce dans ses bras.- Mais qu’est ce…Martin ne rĂ©pondit pas, il la posa dans le siège d’Ă cĂ´tĂ©. Elle n’eut pas le temps de rĂ©pondre, qu’il rentra sa bite aussi fortement et rapidement que dans le film. Pour le coup, il la pĂ©nĂ©tra un peu trop fort , il lui tapa alors le fond de son vagin.- Ohhhhh…. Ouii…. , lui lança-t-elle, surprise mais enchantĂ©e par cette sensation si soudaine.En arrière plan, on entendait les rauques de Bruno qui s’intensifiaient.
Élodie, Ă©merveillait par ce si beau spectacle, se doigtait seule sur son siège en s’imaginant ĂŞtre Ă la place de Joyce.Soudain, on entendit Bruno d’une voix enrouĂ©e, il plaqua les fesses de MĂ©lanie contre lui et il Ă©jaculat toute son excitation en elle. Elle ne put s’empĂŞcher de crier, l’ajout de la semence de Bruno en elle, l’excita tellement, qu’elle en joui. Martin continua Ă pĂ©nĂ©trer Joyce qui commençait Ă jouir. Lui aussi, Ă©tait entrain de venir. Elle lui accrocha le bras.- Je viens Martin, je viens…Martin embrassa alors Joyce, il passa sa langue autour de la sienne. Puis, il commença Ă augmenter la vitesse de son bassin. Il lui prit un sein entre ses doigts et avec son pouce, joua avec son tĂ©ton. Il lui lança soudainement son dernier mouvement de rein, il se plaqua contre Joyce, qui tremblait d’excitation, et en amplifiant ses mouvements de langues, la jeune fille reçu un orgasme qui se maintenu par l’Ă©jaculation de Martin au fond de son vagin.A l’Ă©cran, le film continua. Bruno se retira de MĂ©lanie, ravie par cette scène de sexe. Il l’embrassa, retira sa capote pleine, la jeta, puis sortit de la chambre afin de prendre une douche. Pendant, ce temps lĂ , MĂ©lanie, encore excitĂ©, commença Ă se toucher. Elle agrippa son sein et s’insĂ©ra deux doigts, facilement, avec ce qui venait dĂ©jĂ de passer par lĂ . Pendant ce temps lĂ , Martin se retira de Joyce tout en continuant de l’embrasser. Puis se rassit sur son siège.- Hummm… Oui, j’aime ces sensations, frissonna encore Joyce.
– J’en ai pas fini, après le film, on ira tout ensemble Ă la maison. J’ai pas pu me donner Ă mon maximum, on est trop quichĂ©. LĂ bas, je pourrais vous combler bien comme il faut.
– Oh oui ! Ça c’est trop cool ! Fit Élodie, ravie de savoir qu’elle pourrait encore goĂ»ter Ă la queue de MartinPartagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter