Histoire coquine :Chapitre 3 : Un bruit de couilleAprès avoir vider entièrement ses couilles par l’aide exemplaire de ses deux petites salopes, Martin sortit de la salle du cinĂ©ma en leur compagnie.- Vous m’avez vidĂ©, j’en peux plus, lâcha-a-il .
– Ah ça c’est sur ! On est trop bonne à ça, rĂ©torqua Joyce.
– Vous ĂŞtes vraiment bonnes surtout, aha.
– Surtout moi, avec mes seins, fit Elodie en rigolant.
– C’est vrai qu’ils sont pas mal.., siffla-t-il entre ses dents.
– Eho Martin… !
– Je rigole ça va, je prĂ©fère largement ta langue et ton beau petit cul qu’a ses seins, largement.
– OH ! Mais c’est pas sympa ça !
– C’est pas grave, fit-il en leurs ouvrant la porte pour sortir du cinĂ©ma.Le petit groupe se dirigea vers la voiture de Martin. Ils ne changèrent par leurs habitudes, Joyce Ă l’avant et Elodie, Ă l’arrière afin qu’elle puisse s’amuser seule avec ses doigts.
La voiture dĂ©marra. Martin, fit un petit sourire au coin de ses lèvres. Il savait dĂ©jĂ ce qu’il allait leurs faire Ă chacune. Surtout Ă cette salope d’Élodie, qui Ă©tait facile Ă manipuler, amoureuse de sa bite. Il s’imagina dores et dĂ©jĂ , bouffer leurs culs. Elles seraient Ă quatre pattes sur le lit conjugal, il les doigteraient et elles gĂ©miraient en cœur. Quel champion. Il allait vraiment les dĂ©glinguer. Il commença Ă bander et Joyce le remarqua.- Tu bandes encore ?!
– Mais oh ! On m’espionne maintenant ? Laissez moi me reposer, vous allez prendre cher cette nuit, attendez votre tour rhooo !
– Oui laisse le Joyce, laisse le ! Tout façon, il sera encore plus dur lorsqu’on sera arrivĂ©s, fit-elle avec un sourire très coquin.Ils arrivèrent Ă la maison de Joyce et Martin. Ils entrèrent Ă l’intĂ©rieur. Martin ne put s’empĂŞcher de directement caresser la chienne. C’Ă©tait une race assez docile et facile Ă Ă©duquer. Un berger allemand avec un beau pelage brun.- Coucou ma belle chienne, fit Martin. Je t’ai manquĂ© ?
– Oh elle est excitĂ©e de nous voir, rĂ©torqua Joyce.
– Oui, ça se voit.. rha lala. Je suis content, j’ai 2 chiennes de plus pour moi ce soir !
Les deux jeunes filles rigolèrent à la blague lourde de Martin.
– Je vais me doucher, fit Joyce en montant l’escalier. Je vous laisse tout les deux, ne faites pas de bĂŞtises.
– Oui ne t’en fait pas, lança Elodie.
– D’accord, moi je vais chier. Faut que je consomme mes unitĂ©s de carburant sur Fastlane, fit il en passant derrière Joyce.
– Ah. Ben, je vous prĂ©pare du jus de fruit alors.Joyce commença Ă laisser couler l’eau chaude dans la baignoire. De la vapeur commença Ă s’emmètre au dessus du volume d’eau qui augmentait. Dès lors, elle commença Ă se dĂ©shabiller. Elle enleva sa jupe et sa brassière. Elle s’avança et rentra dans l’eau, puis elle repensa alors Ă ce qu’il s’Ă©tait passĂ© plus tĂ´t. Elle se sentit vraiment bien, elle aimait voir Martin ĂŞtre sĂ©rieux dans le sexe.
Ça la remplissait (ça c’est sur) d’une euphorie pendant plusieurs jours.
Pendant ce temps, Élodie était entrain de sortir du jus de fruit Tropicana multi fruits, riche en fruits et en vitamine C. Elle le posa sur le bar de la cuisine. Elle sortit 3 verres, 2 rouges et un bleu. Elle les remplit de ce doux nectar. Elle fit un petit sourire. Puis, elle appela Martin :- Martin ? Tu viens ? Ton jus de fruit est prêt !
– J’arrive ! Je termine ma partie lĂ !Martin, Ă©tait toujours sur le trĂ´ne. Cela lui faisait un bien fou de sortir ses innombrables bronzes. Il avait Ă©puisĂ© ses carburants de Fastlane alors il joua Ă Rider. Il rĂ©ussit ainsi Ă battre le score infaisable depuis ce jour de 129.- Yes !!! J’ai rĂ©ussit ! Boooom 135 !, cria-t-il.
Il se réjouit et sortit des WC. Puis, il descendit les escaliers.
– Je suis lĂ !
– Ah enfin, tiens ton jus de fruit, il est riche en vitamine, c’est un multi-fruits, et puis j’ai pris un verre bleu car tu es un mâle.
– Oh, c’est gentil ça ! En plus j’adore le multi-fruits, c’est comme prendre un actimel, ria-t-il.
– Oui, en plus, celui est très bon, humm, fit-elle en prenant une gorgĂ©e.Martin acquiesça, prit son verre et bu. Puis, il monta l’escalier et se dirigea vers la chambre, afin de se changer. Élodie, quant Ă elle, en profita pour commencer Ă faire Ă manger. Le jeune garçon enfila un jogging en coton noir, fort agrĂ©able. Et se vĂŞtu d’un simple T-shirt bleu. Puis, il se dirigea dans la salle de bain, afin de rejoindre sa dulcinĂ©e. Il ouvrit la porte, la referma derrière lui, et s’approcha d’elle.- Alors il est bon ce bain ?, fit-il en trempant ses doigts dans l’eau.
– Oui, il est vraiment bon. Chaud et reposant. Hum, j’adore.
– Aha, Ah oui, c’est bien chaud.
Il passa alors sa main sur la hanche de Joyce et glissa son pouce sur l’extrĂ©mitĂ© de son sein droit.
Elle frĂ©mit, et posa ses mains sur les joues de Martin afin de pouvoir l’embrasser.
– Et tu sais ce que je prĂ©fère ? Lui demanda-t-elle en dĂ©collant ses lèvres des siennes.
– Non quoi ?
– Que tu me fasses l’amour dans ce bain terriblement chaud.
– Ohoh, c’est vrai que ce serait drĂ´lement excitant mais lĂ je suis complètement Ă©puisĂ©.
– Ah. C’est dommage..
– Mais, ne t’en fait pas. Tu vas prendre cher, je ne l’oublie pas.
– Oui, j’ai hâte, fit-elle en le regardant d’un air impatient.Joyce Ă©tait vraiment excitante. Martin, avait envie de lui faire l’amour mais il ne pouvait pas, il devait se calmer. Ses couilles Ă©taient Ă prĂ©sent vides et il devait se reposer afin de redevenir opĂ©rationnel. Il ne pensait qu’Ă retrouver son lit et dormir. Mais, il ne se doutait pas des Ă©vĂ©nements qui restaient encore Ă venir afin de clĂ´turer cette journĂ©e..
Joyce dĂ©cida alors de sortir de son agrĂ©able bain.- Tu peux me passer la serviette sur l’Ă©vier ?
– Oui, tiens, fit-il en lui tendant la serviette.
Joyce prit la serviette et se sécha. Elle passa sa main et attrapa le paquet de Martin.
– Oh purĂ©e, mais tu bandes vraiment plus, c’est tout mou, fit-elle attristĂ©e.
– Ahaha, ben oui, je peux plus bander, je suis vide, lâcha-t-il en rigolant.
– Bon tant pis, je vais m’habiller, va voir Élodie, j’arrive dans 5 min.
Ils s’embrassèrent et Martin sortit de la salle de bain. Il descendit les escaliers et arriva dans la cuisine.
– Oh ça sent bon ! Qu’est ce que tu nous Ă fait ?
– Alors, j’ai commandĂ© au restaurant universitaire, et je nous ai pris un petit menu Ă 6€. Il faisait la livraison Ă domicile alors j’ai sautĂ© sur l’occasion. On a eu aussi un petit sac avec des sucres en supplĂ©ment. A ce qu’il paraĂ®t, c’est vraiment un fac de merde.
– SĂ©rieux ? Pourquoi ?
– A ce qu’il paraĂ®t, la mentalitĂ© de l’administration et de la fac en gĂ©nĂ©ral sont dĂ©plorables. Ils en ont rien Ă foutre des Ă©lèves..
– Oh purĂ©e..
– Oui, mais je vous raconterais quand on mangera. A TABLE ! Joyce bouge toi, c’est prĂŞt !
– J’arrive ! Je suis lĂ !Joyce descendit les escaliers et arriva dans la cuisine. Ses cheveux bruns encore humides tombaient sur ses Ă©paules. Elle portait un chemisier noir assez lĂ©ger avec des fleurs, une jupe assez courte ainsi que de petites chaussettes noires. Martin remarqua très vite qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Il fit un petit sourire au coin de ses lèvres car il savait qu’elle ne devait pas non plus porter de culotte.- Tu es magnifique Joyce, lança Martin d’un air amoureux.
– Tu es trop chou, mon cœur, fit elle en l’embrassant.
– Oh et moi ? Siffla Elodie entre ses dents.
– Toi ? Ben je te remercie pour cette journĂ©e et de m’avoir bien amusĂ©, si tu veux, rĂ©pondit Martin
– Je t’en prie, mais j’espère qu’on fera encore des trucs, fit-elle en s’installant Ă table.
– Ben, ça sera pas ce soir aha, une autre fois peut ĂŞtre.
– Oui, j’espère, lui rĂ©pondit-elle avec un sourire coquin.
Joyce et Martin s’installèrent eux aussi.Ils commencèrent alors Ă manger ce fameux repas. Une petite entrĂ©e de pommes de terre en salade. Un bon steak de soja avec ses dĂ©s de patates et une petite compote en dessert. Un vĂ©ritable rĂ©gal.- Et donc, c’est n’importe quoi cette fac ? Questionna Martin Ă Elodie
– Exactement. En plus, il paraĂ®t qu’Ă ce RU, y’a une femme vraiment conne qui travaillait pour le restaurant, qui essayait de faire sa loi. Elle arnaquait les Ă©tudiants. Cette conne ne savait pas diffĂ©rencier un steak de soja avec du magret de canard. Du coup, elle faisait payer le double aux clients. Une vraie salope.- Oh putain, mais ça se fait tellement pas ! Elle devait vraiment ĂŞtre dĂ©bile.
– Ah ça oui…
Ils finirent bizarrement très vite leurs repas.
– C’Ă©tait plutĂ´t pas mal comme repas. Bon, je reviens, je vais prendre une petite douche.
– D’accord, Aime. Hum, on regarde un film ce soir ?, lui demanda son amoureuse.
– Oh ouii !!, s’Ă©cria Elodie.
– Heu comme vous voulez, je reviens dans 5 min. Je prendrais bien un coca après.
– D’accord, je te sers ça, lui rĂ©pondit Elodie.Martin rentra dans la salle de bain, et se dĂ©shabilla rapidement. Elodie quant Ă elle, sous le regard complice de Joyce, sortit un paquet de SidĂ©nafil, viagra 50mg, qu’elle posa sur la table. Elle Ă©crasa alors deux gĂ©lules bleues dans une petite coupelle. Elle sortit ensuite une canette de coca qu’elle ouvrit, et versa la poudre dans la boisson. Élodie regarda son amie avec un air malicieux et elles se mirent Ă rire.
Sous la douche, Martin commença Ă faire couler de l’eau sur son cuir chevelu. L’eau coulait alors sur ses joues, sur ses Ă©paules et son dos, il prit alors une grande inspiration puis expira. Il avait aimĂ© cette journĂ©e. Il n’en revenait toujours pas que Joyce ai invitĂ©e Elodie, pour ce plan Ă trois, très excitant. Mais bon, c’Ă©tait terminĂ© Ă prĂ©sent. Il Ă©tait mou et fatiguĂ©, il voulait seulement dormir. Ils allaient seulement regarder un film ou une sĂ©rie sur Netflix. Avec un peu de chance, Elodie se doigterait sur le canapĂ© et Joyce l’embrasserait, et puis, il irait dormir. Cette journĂ©e se terminerait sans aucun autre grabuge.
Il sortit de ses pensĂ©es, arrĂŞta l’eau et sortit de la douche. Il se sĂ©cha, enfila seulement son jogging en coton sans caleçon, afin de faire reposer son pĂ©nis et son t-shirt bleu. Puis, il sortit de la salle de la bain et descendit l’escalier pour rejoindre Elodie et Joyce. Elles Ă©taient toutes les deux sur le canapĂ©, espacĂ©es d’un mètre, pour la place de Martin. Il s’assit alors confortablement entre les deux. « Quel canapĂ© agrĂ©able, après une journĂ©e bien remplie» se dit il.- Martin ? Tiens ton coca bien frais, fit Elodie en attrapant la canette sur la table basse.
– Oh c’est super ! Merci beaucoup les filles, rĂ©pondit-il. Il Ă©tait tellement aux anges sur le canapĂ© qu’il ne remarqua pas que la canette Ă©tait dĂ©jĂ ouverte.
– Je t’en prie. Bon on regarde quoi ?
Martin, assoiffĂ©, bu le coca d’une traite.
– Hum, wouaw, ça fait un bien fou. J’adore le coca putain ! Pour la peine, on va mater Rick&Morty ! Lança-t-il.
– Oh putain ! J’adore cette sĂ©rie, rĂ©pondit la jeune fille.
– Ça me va, fit Joyce.Ils commencèrent Ă regarder la sĂ©rie. Elles se blottirent contre lui, elles attrapèrent chacunes les mains de Martin et les posa sur leurs cuisses. Le jeune garçon commença Ă se sentir Ă©trangement bien, Ă sentir de la chaleur Ă son bas ventre. Joyce, Ă gauche, lĂ©cha le cou de son homme et Elodie, Ă droite, amena sa main pour qu’il la plotte. Sa bite devenait de plus en plus dure, et la chaleur s’intensifiait.- Qu’est ce que vous faites, je veux pas, laissez moi me reposer.
– On fait rien nous, Ă©coute ta sĂ©rie, lança Joyce.
– Oui, elle a raison, regarde ta sĂ©rie.
– SĂ©rieux les filles, j’ai pas envie. Je veux dormir.
– Ben dors, nous ont va s’amuser, seules, fit Elodie.
La chaleur augmentait peu à peu, et il commençait vraiment à avoir chaud.
– Bon, faites ce que vous voulez, ronchonna-t-il. Mais laissez moi Ă©couter ma sĂ©rie, ptin c’est mon Ă©pisode prĂ©fĂ©rĂ© « Rick-Ornichon ».Elles ne tardèrent pas Ă s’exĂ©cuter. Joyce se mit sur les genoux de Martin, posa ses mains sur sa nuque et glissa son bassin de haut en bas contre son pĂ©nis. Joyce, quant Ă elle amena la main du jeune garçon sur ses seins. Il les saisit fermement. Ils Ă©taient doux et chaud. Le jeune garçon, surprit, avait une très forte Ă©rection. Comment pouvait-il ? Il avait une petite douleur au gland mais elle Ă©tait compensĂ©e par une forte montĂ©e d’excitation. C’Ă©tait pas normal.
Soudain, avec l’aide de sa main gauche, il renversa la jupe de Joyce sur son dos, et claqua son cul avec sa paume. Elle ne put s’empĂŞcher de gĂ©mir.- Hum.. continue, s’exclama-t-elle.
– C’est pas ma faute, t’avais qu’Ă pas me cacher le film, j’arrive pas Ă suivre.
– Ah bon ? Ce serait bĂŞte que tu me punisses Ă cause de ça.
– SĂ©rieux les filles. Laissez moi Ă©couter. J’ai pas envie, fit-il en se levant du canapĂ©.Son Ă©rection Ă©tait Ă son apogĂ©e. Les deux filles, ne manquèrent pas de voir son pĂ©nis en Ă©rection au travers de son jogging, plaquĂ© contre son ventre.- Pourtant, ton corps Ă envie on dirait, lança Elodie avec un petit sourire au coin des lèvres..
– Non j’ai pas envie, putain, j’ai mal au gland, s’exclama-t-il. Puis, il se retourna vers la tĂ©lĂ©, baissa son buste, leva ses fesses pour attĂ©nuer cette Ă©rection afin de changer d’Ă©pisode.Les deux jeunes filles, avancèrent leurs bras vers les fesses du jeune homme. Et alors qu’il allait cliquer sur un Ă©pisode de « Big Mouth », elles frappèrent son cul avec leurs mains. Un bruit sourd d’un cul bien ferme se fit entendre dans la pièce. Les trois individus ne firent plus aucun bruit. Martin se releva, en silence.- Je vais vous enculer, marmonna-t-il.
– De quoi ? Demanda Joyce.Le jeune garçon se retourna.- Je vais VOUS ENCULER !! s’Ă©cria-t-il, rouge de colère.Les deux jeunes filles, surprises, restèrent bouche bĂ©e.- Vous deux. Dans la chambre. Maintenant. Et vite, fit-il en les pointant avec son index. Je vous veux nues, sur le lit, dans une minute.Elles s’exĂ©cutèrent en rigolant. ArrivĂ©es dans la chambre, elles se dĂ©shabillèrent rapidement. Puis sautèrent dans le lit, en l’attendant, sur le dos avec leurs cuisses ouvertes.
Le jeune garçon, monta alors les marches de l’escalier. Il savait qu’elles avaient mit quelques choses dans sa boisson. Sinon, il n’aurait pas pu avoir une telle Ă©rection. Cette fois ci, c’Ă©tait certain, il allait vraiment les enculer. ArrivĂ© en haut, il rentra dans la salle de bain, tira le tiroir au dessous du lavabo et attrapa le pot de lubrifiant. Puis, il quitta la pièce et entra dans la chambre.- Bonjour beau gosse, alors vous allez nous faire l’amour ce soir ? Demanda Joyce d’un air excitĂ©.
Martin s’avança dans la pièce, avec le pot Ă la main. Et sans un bruit, il se dĂ©shabilla. Son pĂ©nis en Ă©rection Ă©tait parallèle avec le sol. Il s’approcha et rĂ©torqua :- Je ne vais pas vous faire l’amour. Je vais vous baiser brutalement.Joyce et Elodie, se mordirent les lèvres.- Et bien qu’attends-tu ?, lança Elodie.Ni une ni deux, il fonça vers Joyce. Rentra en elle et la pilonna frĂ©nĂ©tiquement. Elle ne put retenir ses cris et insĂ©ra ses ongles dans les bras de Martin sous le plaisir intense. Elodie, Ă gauche, se fit prendre par les doigts du jeune homme. Et simula son point G fermement. Martin Ă©tait Ă©nervĂ©, sa force se dĂ©cupla, et l’adrĂ©naline lui permit de ne pas sentir la douleur. Il se retira de Joyce, afin de la prendre en levrette.- Fais pareil, ordonna Martin Ă Elodie.Le jeune homme Ă©tait face Ă deux cul, cĂ´te Ă cĂ´te. Il entra profondĂ©ment dans Joyce. Puis, claqua leurs fesses simultanĂ©ment. Afin d’avoir plus de stabilitĂ©, il insĂ©ra son pouce dans le cul de sa femme. Elle ne pu s’empĂŞcher de gĂ©mir. Il prĂ©parait le terrain avant de la sodomiser.- Doigte toi le cul Elodie ! J’ai pas assez de main, je vais t’enculer après, lança-t-il.La jeune fille s’exĂ©cuta.
Soudain, il attrapa Joyce par les cheveux et tira dessus pour lui renverser la tĂŞte en arrière. Sa bite, lui rentrait dedans de plus en plus profondĂ©ment. Elle avait le souffle court, et serrait fortement les draps du lit avec ses mains. Elle n’en pouvait plus. C’Ă©tait si bon.- Alors t’aimes ça ? Ça vous amuse de me donner des Ă©rections non voulu ? On va voir, si vous allez aimer sentir ma bite rentrer et sortir de votre trou du cul, leur lança-t-il sèchement.Il attrapa le pot de lubrifiant avec sa seul main disponible, et le fit couler sur les reins de Joyce.- Aaah, c’est froid…, lâcha la jeune fille.Il sortit son pouce, et fit passer le lubrifiant dans son anus. Il Ă©tala le liquide tout autour, puis lui donna une fessĂ©e qui Ă©claboussa les alentours. Puis, rentra de nouveau son pouce, en le bougeant vigoureusement pour Ă©largir les muqueuses anales. Il lança le pot Ă Elodie.- Tiens, continue avec ça. Tu es la prochaine.Martin continua ses vas et viens interminable. Joyce n’en pouvait plus, elle commença Ă se cambrer dans tous les sens. Elle ne put s’empĂŞcher de retenir son orgasme plus longtemps. Martin ne lui laissa pas le temps de se reposer et continua de plus belle la pĂ©nĂ©tration.
C’Ă©tait beau, d’un cĂ´tĂ©, Elodie s’amuser seule avec ses doigts, de l’autre Joyce se faisait baiser violemment. Les deux jeunes femmes gĂ©missaient Ă chaque claquement de couilles de Martin.
Soudain, Martin se stoppa brusquement en Joyce.- Tu es prĂŞte mon cœur ? C’est maintenant que tu vas prendre vraiment cher, lui dit-il en se retirant.EssoufflĂ©e, Joyce n’arriva pas lui rĂ©pondre. Dès lors, il prĂ©senta sa bite contre son cul.- Regarde bien Elodie, regarde bien, je vais te faire la mĂŞme chose après.Martin commença, doucement, Ă rentrer son membre dans Joyce. Elle Ă©tait vraiment serrĂ©e. Ce n’Ă©tait pas sa première sodomie mais ce n’est pas non plus ce qu’elle aimait le plus. Elle commença Ă Ă©chapper des petits cris. Il venait de la rentrer entièrement.- Hum, Martin, ah, je la sens vraiment en entier en moi.. Ne bouge pas.
– Je suis dĂ©solĂ© mon amour, mais vous m’avez vraiment Ă©nervĂ©. C’est votre faute. Vous m’avez donnĂ© quoi pour que je bande ? Dis le moi, et je me retirerais peut-ĂŞtre.
– Heu, c’est Elodie, dans ton coca, du.. Heu… Du Viagra, fit-elle en bafouillant.
– Je le savais, t’es vraiment une garce Elodie.
– Ben c’est drĂ´le et j’avais vraiment envie de ta bite, rigola-t-elle.
– Je te termine Joyce et je m’occupe d’Élodie.Martin posa ses deux mains sur le haut des cuisses de son amante, afin d’avoir de la force, puis d’un coup sec, il força profondĂ©ment dans son anus.
Elle ne pu se retenir de crier.- Ohhh Martin… hum… Oh oui..Le jeune homme continua de la pĂ©nĂ©trer Ă coup de bite, de plus en plus fort en fessant ses fesses.- Oh putain, qu’il est bon ton cul ! S’exclama-t-il.Soudain, il se retira. Se mit debout Ă proximitĂ© du lit, et tira Joyce vers lui. Elle posa ses jambes au sol, mais continua de plaquer son buste sur le lit. AussitĂ´t, il renfonça sa bite dans ses fesses. Il attrapa son Ă©paule d’une main, et posa l’autre sur sa hanche, afin d’avoir une bonne stabilitĂ©. Puis, d’une voix rauque, il commença Ă la marteler. Le bruit sec de ses couilles sur son derrière, retendirent dans la pièce. La jeune fille, avait l’anus en feu. Elle commença Ă convulser, Ă tourner de l’œil. Elle ressentit un plaisir si intense que son vagin ne put contenir ses sĂ©crĂ©tions. Sa cyprine se dĂ©versa sur le lit tel une rivière. Et dans un vas et viens frĂ©nĂ©tique, Martin ne pu freiner son Ă©jaculation.- RHOOOOOAAAAAAARRRRRGGGG !!, hurla-t-il d’une voix animale.Le jeune garçon Ă©crasa alors les fesses de Joyce avec l’aide de son bassin afin de pouvoir rentrer le maximum de centimètre dans son cul. La jeune fille partit alors dans les aiguĂ«s et elle ressentit un Ă©norme flot de sperme qui inonda l’intĂ©rieur de son anus. La semence Ă©tait si chaude qu’elle ressentit la chaleur se propager dans tout son corps. Elle bafouilla quelques mots incomprĂ©hensible, elle venait tout juste de jouir du cul.
Martin se retira assez brusquement, et fit quelques pas en arrière. Les jambes de Joyce n’arrivèrent plus Ă la porter, elle s’effondra et glissa doucement sur le tapis.- A ton tour Elodie, lui lança-t-il.
– Ah enfin, je commençais Ă m’ennuyer..
– Oui, mais d’abord, tu vas me sucer afin que ma queue redevienne propre. Il reste pas mal de cyprine et de sperme.
– Avec plaisir, fit Elodie en se lĂ©chant les lèvres.Martin s’allongea sur le dos. Elodie, arriva vers lui, Ă quatre patte sur le lit. Et prit immĂ©diatement sa bite dans sa bouche. Qu’est ce qu’elle aimait ça, elle adorait sa bite. Elle suçait agrĂ©ablement bien. Elle savait jouer avec sa langue. Un coup sur son gland, un autre en lĂ©chant de haut en bas son membre.- En gorge profonde et en espagnole maintenant, lui ordonna-t-il.Elle s’exĂ©cuta. Elle blottit ses seins contre sa queue. C’Ă©tait doux et chaud Ă la fois. Ces sensations Ă©taient vraiment plaisant pour Martin. Puis, Elodie commença Ă rentrer son pĂ©nis au fond de sa gorge. Quelle chaleur jouissive, les muqueuses buccales Ă©taient heureuse de pouvoir toucher sa bite de si près. Brusquement, Martin lui attrapa la tĂŞte et la plaqua contre lui. Il Ă©tait entier dans sa gorge.- Aaaaah, oui ! S’Ă©cria-t-il. Ça c’est pour le viagra, goĂ»te y bien, goĂ»te comme c’est dur. C’est pas fini, je vais t’enculer.Il lâcha prise. La jeune fille reprit vite sa respiration.- Tu parles beaucoup trop, lui rĂ©pondĂ®t-elle, sèchement. BAISE MOI PUTAIN !!Prit d’un Ă©nervement, il la retourna et la plaqua sur le dos. Il fit remonter les jambes d’Élodie en l’air. Celle-ci blottit alors ses cuisses contre son buste et tenu ses jambes avec l’aide de ses mains pour que Martin puisse la pilonner comme il le souhaitait.
Il ne la prévint pas, et entra en forçant dans son cul. Des petits cris de plaisir lui échappèrent.
Puis, il commença des imposants vas et viens. Elle voulait qu’il la baise, elle serait servit. Dès lors, il insĂ©ra son pouce dans son vagin qui se plaqua immĂ©diatement sur son point G.
Elle se faisait prendre par le cul ainsi que par le vagin. Il attrapa de son autre main son sein. Elle commençait Ă ĂŞtre prise de spasmes. Elle n’avait jamais ressentit ce genre de sensation auparavant.
Martin augmenta peu Ă peu la cadence de sorte qu’elle puisse sentir une prĂ©sence omniprĂ©sente dans son anus.
Mais, le jeune homme commençait Ă avoir envie d’en finir. Alors, il allait faire comme si c’Ă©tait Joyce. Il se pencha, et Ă©crasa ses lèvres contre celle d’Élodie, qui s’Ă©cria alors dans sa bouche par le double orgasme qu’elle ressentait arrivĂ©.
Martin, joua avec sa langue, puis continua Ă l’embrasser. Il allait jouir, il allait finir cette journĂ©e par une explosion de semence qu’il dĂ©livrerait partout.
Il Ă©tait au bord de l’Ă©jaculation mais il attendit le moment parfait, afin de pouvoir crĂ©er une fusion d’orgasmes. Soudain, la jeune fille craqua, sous l’effet d’un tremblement inĂ©dit, elle lâcha un cri jouissif particulièrement intense. Les muqueuses de son anus et de son vagin se contractèrent, cela comprima le pĂ©nis de Martin, et il ne put se retenir plus longtemps. La semence se dĂ©versa dans son cul en jet. Puis, il se retira. Elodie, dĂ©boussolĂ©e, ne parvint pas Ă parler, elle reposa ses jambes sur le lit.
Le jeune homme, se leva du lit. Puis, ramassa Joyce dans ses bras.- Viens mon cœur, on va dormir, lui chuchota-t-il près de son oreille.Du sperme, coulait encore entre ses fesses. Il la dĂ©posa dans le lit, proche d’Élodie. Puis, extĂ©nuĂ©, il se joignit entre elles. Les deux filles, se rapprochèrent du garçon, Ă©puisĂ©es. Elles se blottirent contre lui. Et tous ensemble, ils s’endormirent. Un sourire se dessina sur chacune de leurs bouches. Ils avaient ressentit des sensations nouvelles et un plaisir digne du nirvana. Cette journĂ©e s’acheva enfin.Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter