Brouillard au pont de Levallois.Nous sommes au dĂ©but du mois d’avril. Il fait plutĂ´t doux aujourd’hui sur la capitale. Et j’ai dĂ©cidĂ© de vous raconter ma dernière aventure.Je m’appelle Albert Finley. Enfin, pas vraiment. C’est un pseudo que j’ai choisi un peu par hasard il y a un an environ. Mon vrai nom, c’est Jacques LĂ©zard. Pas folichon, surtout quand Ă 33 ans on dĂ©cide de changer de vie et de job en devenant dĂ©tective privĂ©.Et oui, je suis dĂ©tective privĂ©. Ă€ Paris. Les bureaux de la sociĂ©tĂ©  » Finley et associĂ©s  » sont installĂ©s dans une arrière-cour, rue de Tocqueville, dans le 17ème arrondissement de Paris. En rĂ©alitĂ©, la sociĂ©tĂ© Finley et associĂ©s, c’est moi, … et moi seul. J’ai juste dĂ©cidĂ© que ça faisait moins minable et que ça convaincrait plus facilement des clients. Et en fait de bureaux, il s’agit d’un vieil appartement de deux pièces que j’ai arrangĂ© comme j’ai pu en y crĂ©ant un bureau et une pièce oĂą je peux dormir quand j’y passe la nuit. SituĂ© au 4ème Ă©tage sans ascenseur, ce bureau a pour seul avantage d’être très lumineux.Ça fait maintenant un an que je me suis installĂ© comme privĂ©. Je travaillais avant comme assistant chez un producteur de cinĂ©ma. Après un cuisant Ă©chec, la sociĂ©tĂ© de production a dĂ» licencier et j’ai Ă©tĂ© volontaire pour partir et bĂ©nĂ©ficier d’une prime de licenciement consĂ©quente. C’est avec ce petit pĂ©cule en poche, que j’ai dĂ©cidĂ© de changer de vie. Je me suis renseignĂ© sur l’acquisition d’une licence de dĂ©tective privĂ©. Et j’ai franchi le pas.Malheureusement tout n’a pas dĂ©marrĂ© comme je l’espĂ©rais et très vite je me suis aperçu qu’il fallait se faire connaĂ®tre très largement pour avoir une chance d’être contactĂ©. Grâce Ă des amis, j’ai obtenu quelques petites affaires, pour la plupart sans intĂ©rĂŞt : essentiellement des problèmes d’adultère. Je vivotais. Jusqu’à ce fameux jour …Je suis attablĂ© dans le restaurant chinois oĂą j’ai mes habitudes, en bas de mon bureau. Il est 13h20 environ, lorsque mon portable sonne.— Allo ?— Heu… Bonjour, Madame de Courson Ă l’appareil… Monsieur Finley ?— Lui-mĂŞme. Que puis-je pour vous ?— Heu… VoilĂ , j’aimerais vous rencontrer. J’ai une affaire Ă vous proposer.— Pas de problème. Ne quittez pas j’attrape mon agenda.En fait je fais semblant : pas besoin d’agenda en ce moment, je suis libre comme l’air, pas la moindre petite affaire en cours ! Mais il ne faut pas qu’elle le sache, sinon elle va se dire que je ne vaux pas un kopeck !— Ecoutez, nous sommes jeudi, je ne pourrais pas vous recevoir avant lundi après-midi, disons vers 17h ?— Vous ne pouvez vraiment pas avant ? Aujourd’hui ? C’est très important ?— Et bien, voyons voir ? Je peux Ă©ventuellement ce soir vers 18h30 : ça vous irez ?— Oui, ce serait parfait. Je vous remercie Monsieur Finley.— Vous avez mon adresse ?— Oui, pas de problème. Ă€ ce soir.— À ce soir. Bonne après-midi Madame de Courson.Je raccroche, lorsqu’une jeune serveuse asiatique, qui travaille depuis peu de temps dans ce restaurant, s’approche de moi les bras chargĂ©s pour servir la table Ă cĂ´tĂ©. Un faux mouvement de l’un des hommes attablĂ©s provoque une mini-catastrophe et je me retrouve avec du bĹ“uf aux champignons plein le pantalon. La patronne et un serveur se prĂ©cipitent.— Ce n’est rien, je vais me mettre un peu d’eau : heureusement que j’ai un autre pantalon Ă mon bureau.— Monsieur, je suis vraiment dĂ©solĂ©.La serveuse est rouge de confusion. Elle ne sait plus oĂą se mettre. C’est la première fois que je la regarde vraiment. Elle est charmante : les cheveux noirs mi-longs, des yeux d’un noir profond, une poitrine qui semble petite mais ferme.— Ce n’est pas grave : dites-moi plutĂ´t oĂą je peux me passer de l’eau.— Li, conduisez Monsieur.— Tout de suite. Suivez-moi.Elle me prĂ©cède pour m’entraĂ®ner vers la salle d’eau du personnel. Je peux alors admirer ses admirables petites fesses. Nous traversons la cuisine oĂą s’affairent le cuisto et son aide. Nous entrons dans une petite pièce qui sert de vestiaire aux employĂ©s et oĂą se trouve un lavabo.— Laissez moi faire, je vais arranger ça.— Mais non, ne vous inquiĂ©tez pas je peux me dĂ©brouiller.Mais elle ne me laisse pas faire, et avant que j’ai pu dire ouf, Li se trouve Ă genoux pour essuyer mon pantalon avec une serviette humide. Ses gestes sont prĂ©cis, mais elle se rapproche doucement de mon entre-jambe, et ses attouchements ne me laissent pas indiffĂ©rent. Elle ne peut pas ne pas s’en apercevoir. Je me demande comment elle va rĂ©agir, lorsque soudain elle baisse ma braguette et glisse une main dans mon pantalon. Je reste silencieux et ferme les yeux. Elle sort alors mon sexe Ă demi-bandĂ© et commence Ă le branler doucement. Elle glisse de petits coups de langue sur mon sexe qui durcit Ă vue d’œil. Elle finit par l’emboucher et le contact de ses lèvres me fait tressaillir. Combien de temps vais-je rĂ©sister ? Elle poursuite cette pipe savante : quelques coups de langue le long de ma hampe, et elle l’avale Ă nouveau.— Hummm… C’est bon… Non arrĂŞtes-toi.Je l’aide Ă se relever. Je ne veux pas jouir tout de suite. Je glisse une main sous sa jupe. Sa culotte est humide. Je glisse deux doigts dans sa petite chatte.— Prends-moi, je suis toute trempĂ©e… S’il te plait.— Tourne-toi.Elle se tourne et s’appuie au lavabo. Je me glisse Ă ses pieds et plonge ma tĂŞte sous sa jupe. Ma langue trouve vite le chemin de sa chatte humide. Je glisse un doigt dans son petit trou qui ne semble pas avoir subit d’outrage jusqu’à aujourd’hui. Mon sexe me fait mal tellement il est dur, mais je continue Ă la lĂ©cher. Elle pousse de petits gĂ©missements. Je n’en peux plus. Je me redresse, enfile une capote et glisse mon sexe dans sa chatte : je rentre facilement. Je m’immobilise quelques instants et je commence de petits va-et-vient lent et rĂ©gulier. Notre plaisir monte progressivement. Li semble de plus en plus rĂ©ceptive Ă mes coups de butoir. Je sens que je ne vais pas tarder Ă jouir. Je veux jouir en mĂŞme temps qu’elle, mais je ne vais pas tenir. Soudain, je la sens prĂŞte Ă jouir, alors je ne me retiens plus : mon premier jet remplit ma capote, les suivants lui arrosent les fesses. Le contact de mon liquide chaud sur ses fesses provoque son orgasme. Elle se mord la lèvre pour ne pas crier trop fort de peur que l’on nous entende. Nous reprenons peu Ă peu notre souffle et notre calme. Nous rajustons nos vĂŞtements quand l’autre serveur rentre dans la pièce. Un sourire malicieux peut se lire sur son visage : pas de doute il a compris ce qu’il vient de se passer !Je quitte rapidement le restaurant pour monter me changer dans mon bureau. Puis il ne me reste plus qu’à prendre mon mal en patience en attendant 18h30. Il est 18h10 et j’ai maintenant pris position Ă la terrasse en face de l’immeuble de mon bureau. J’ai dĂ©cidĂ© de voir ma cliente discrètement dès son arrivĂ©e dans ma rue. Ça fait 15 minutes seulement que j’attends, lorsque je vois arriver un superbe coupĂ© Mercedes gris mĂ©tallisĂ© qui se gare juste devant l’entrĂ©e de mon immeuble. Une superbe femme brune d’une trentaine d’annĂ©e en descend. VĂŞtue d’un tailleur bleu marine, les cheveux mi-longs, elle porte une paire de lunette de soleil qui masque ses yeux : mais aucun doute, cette femme est vraiment belle. Je ne suis d’ailleurs pas le seul Ă la regarder chercher son chemin. Je rĂ©alise alors qu’elle entre dans la cour de mon immeuble. Ce serait donc ma cliente mystĂ©rieuse ? J’attends encore un peu et lorsque je juge qu’elle m’a assez attendu, je me dirige calmement vers mon bureau. ArrivĂ© au 4ème Ă©tage, je la dĂ©couvre debout devant la porte de mon bureau. Elle me tourne le dos et je peux donc dĂ©tailler sa silhouette, ses fesses lĂ©gèrement rebondies que sa jupe met parfaitement en valeur. Lorsqu’elle m’entend, elle se retourne et je peux alors dĂ©couvrir ses petits yeux d’un noir profond.— Bonjour Madame. Madame de Courson, je prĂ©sume ?— C’est ça. Bonjour Monsieur.— Excuser mon retard. Une affaire importante…— Je vous en prie.— Entrez et asseyez-vous. Voulez-vous boire quelque chose ? CafĂ©, thĂ©, whisky,… ?— Un cafĂ©, oui je veux bien.— Je m’en occupe.Je m’éclipse dans la deuxième pièce de mon bureau et mets en route la machine Ă cafĂ©. Rapidement je reviens avec deux tasses remplies de cafĂ© chaud.— Du sucre ?— Non merci.— Bien. Maintenant nous pouvons commencer : en quoi puis-je vous ĂŞtre utile ?— Je voudrais que vous retrouviez ma sĹ“ur, Caroline. Elle a 25 ans et elle a disparu il y a un mois environ. Ça ne lui ressemble pas de ne pas donner de nouvelles aussi longtemps. Je suis très inquiète.— Et la police ?— Ils ne font rien. Ils n’ont aucune piste. Et l’inspecteur en charge du dossier m’a tout l’air de s’en moquer complètement.— Que fait-elle dans la vie ?— Elle est Ă©tudiante aux beaux-arts.— Et vous ĂŞtes sĂ»re qu’elle n’est pas partie en voyage d’études pour quelques temps ?— Non. Pas sans me prĂ©venir.— Vous avez une photo rĂ©cente ?— Oui en voilĂ trois ou quatre.— OĂą habite-t-elle ?— Dans le 5ème arrondissement, au ? ? ?. J’ai un double de ses clĂ©s. Nous pouvons y aller quand vous le souhaitez.— Ce soir ?— Non je ne peux pas, mon mari a des invitĂ©s et je dois absolument ĂŞtre rentrĂ© Ă 19h30. Par contre demain, je peux me libĂ©rer Ă n’importe quel moment de la journĂ©e.— Et bien disons vers 10h30 demain matin. Nous nous retrouvons devant l’immeuble oĂą habite votre sĹ“ur.— Très bien j’y serai. Voici mes coordonnĂ©es : vous pouvez me joindre en permanence Ă l’un de ces deux numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone.— Concernant les honoraires, mes tarifs sont de 500 francs par jour plus les frais.— Très bien : voici un premier chèque de 10000 francs. Vous demandez dès que vous avez besoin.— Parfait. Ă€ demain alors.— À demain.Sur ce, elle se lève et se dirige vers la porte. Je la devance pour lui ouvrir la porte. Elle me quitte sans un regard. Je referme la porte et tente de rĂ©unir toutes les informations dont je dispose. Mais la question qui prend le dessus sur toutes les autres, c’est : pourquoi moi ? Pourquoi une femme de son style vient demander Ă un petit dĂ©tective sans rĂ©putation, de s’occuper d’une affaire aussi sĂ©rieuse. Serait-ce la chance de ma vie ?Pour fĂŞter le gros chèque que je viens de recevoir, je dĂ©cide d’appeler mon vieux pote HervĂ© pour aller fĂŞter ça quelque part. Vers une heure du matin, nous sommes attablĂ©s au comptoir du ? ? ? oĂą HervĂ©, qui bossent toujours dans le cinĂ©ma chez Warner, a retrouvĂ© deux charmantes jeunes filles qui travaillent avec lui. HervĂ© propose alors que nous allions prendre un dernier verre chez lui. Nous rĂ©glons nos dernières consommations et nous partons tous les quatre bras dessus – bras dessous. Du coin de l’œil, je vois HervĂ© qui embrasse Catherine dans le cou en lui murmurant quelques mots que je ne comprends pas. Elisabeth se serre un peu plus contre moi. Elle est charmante : blonde, âgĂ©e de 25 ans environ, elle a une poitrine superbe qui donne envie de plonger dedans la tĂŞte la première. Une fois chez HervĂ©, celui-ci nous sert un petit Glenfidish et nous nous affalons tous les quatre sur le canapĂ©. Elisabeth est assise sur mes genoux. Je peux ainsi voir qu’elle porte un joli porte-jarretelles blanc. Cette vision ne me laisse pas sans effet et je commence Ă bander. Elisabeth doit le sentir et elle commence doucement Ă onduler sur mes cuisses. Je glisse alors une main le long de sa jambe. En face de nous, Catherine et HervĂ© s’embrassent Ă pleine bouche et je peux voir les mains d’HervĂ© qui s’activent sous la jupe de Catherine.Pour ne pas ĂŞtre en reste, je glisse une main sous la jupe d’Elisabeth qui se retourne instantanĂ©ment pour m’embrasser. Notre baiser n’en finit pas. Puis elle s’arrĂŞte et entreprend d’ouvrir ma braguette pour en sortir ma queue dĂ©jĂ dure. Elle s’agenouille Ă mes pieds et entreprend une fellation experte. En face de moi, HervĂ© a maintenant la tĂŞte entre les jambes de Catherine qui se caresse les seins en me regardant. Elle passe langoureusement sa langue sur ses lèvres. Elle a les yeux pĂ©tillants. Le contraste entre elle et Elisabeth et saisissant : autant Elisabeth est blonde et a les yeux bleus, autant Catherine est d’un roux flamboyant avec des yeux en amande d’un vert Ă©clatant.HervĂ© s’est relevĂ© doucement. Il enfile rapidement un prĂ©servatif. Je peux voir sa queue dressĂ©e qui s’approche de la chatte trempĂ©e de Catherine. Il va la pĂ©nĂ©trer. Catherine ferme les yeux et glisse ses mains sur les fesses de son amant pour accĂ©lĂ©rer les mouvements.Je fais signe Ă Elisabeth :— Relève-toi… Sinon je vais jouir dans ta bouche. Ce serait dommage…— Tu as raison, j’ai envie de sentir ton engin en moi. Si tu savais comme je suis mouillĂ©e…— Ah oui ! Laisse-moi vĂ©rifier ça !Elisabeth est maintenant debout devant moi, elle a fait tomber sa jupe et sa culotte Ă terre. Les effluves de sa petite chatte rasĂ©e arrivent jusqu’à mes narines. Je ferme les yeux pour m’en imprĂ©gner. Huummmm…Elle attrape ma queue pour la couvrir d’une capote avec dextĂ©ritĂ©. Elle se rapproche de moi et se baisse lentement sur ma queue. D’une main elle Ă©carte les lèvres de sa chatte, de l’autre elle tient ma queue bien dressĂ©e verticalement. Pour ne pas rester complètement inactif je soulève son chemisier et je caresse ses deux seins Ă pleines mains. Les tĂ©tons durcissent et je les titille avec la langue. Je commence Ă m’enfoncer dans son intimitĂ© humide… Elle s’immobilise un instant lorsque ma queue est complètement en elle. Je suis au comble de l’excitation. J’ai envie de la sentir bouger. Je commence Ă remuer doucement. Sentant mon impatience, elle commence de lĂ©gers mouvements du bassin. Je ne vois plus Catherine et HervĂ© masquĂ©s par Elisabeth, mais je peux entendre les cris de plus en plus forts de Catherine dont le plaisir monte. Elisabeth aussi doit les entendre. Son excitation doit s’en ressentir car je la sens de plus en plus rĂ©ceptive. Elle accĂ©lère soudain ses mouvements, elle monte et descend de plus en plus vite sur ma queue tendue. Je tente de me retenir le plus longtemps possible, mais je sens bien que ça va ĂŞtre dur. Elle halète de plus en plus fort. Ces cris rĂ©pondent en Ă©cho Ă ceux de Catherine. Soudain j’entends HervĂ© qui pousse un cri de plaisir. Sa jouissance provoque celle de Catherine. Elisabeth accĂ©lère encore pour faire coĂŻncider sa jouissance avec celle de sa copine. Mais je ne rĂ©siste pas et je jouis Ă mon tour. Ma jouissance provoque celle de ma partenaire qui s’écroule sur moi.Nous reprenons doucement notre souffle. Catherine est la première Ă se relever. Elle se dirige vers la salle de bains. J’émerge Ă mon tour doucement. Elisabeth s’est endormie. Je la dĂ©pose doucement sur le canapĂ© et la couvre d’une couverture pour qu’elle n’attrape pas froid. HervĂ© a l’air Ă©puisĂ© lui aussi. Il semble endormi. Je me lève doucement et attrapant mes vĂŞtements je me dirige moi aussi vers la salle de bain d’oĂą me parvient un bruit de douche. Je pousse la porte et je dĂ©couvre la silhouette de Catherine derrière le rideau de douche. Je tire le rideau et me glisse derrière Catherine qui ne semble pas m’avoir entendu. Je glisse une main dans son dos. Elle sursaute.— Ahhh !— Ne t’inquiètes pas ce n’est que moi.— Pardon… tu m’as fait peur. Qu’est-ce que tu fais lĂ Â ? OĂą sont les deux autres ?— Ils dorment. Je te dĂ©range.— Non. Tu veux bien me frotter le dos s’il te plait.— Avec plaisir.J’attrape un gant et lui frotte le dos doucement. Je descends petit Ă petit vers ces fesses qui me tendent les bras. J’abandonne le gant pour la caresser Ă mains nues. Elle ne semble pas s’en offusquer. Je glisse maintenant un doigt dans la raie de ses fesses. Elle ne rĂ©agit pas. Mon autre main s’est maintenant glisser sur l’un de ses seins. Je me remets doucement Ă bander. Elle doit sentir ma queue coller Ă ses fesses. Elle est toujours sans rĂ©action. J’ai envie de la prendre maintenant par son petit Ĺ“illet. Je glisse un premier doigt qui rentre sans aucun problème. Elle ne doit pas ĂŞtre vierge par ce petit trou. Je glisse un deuxième doigt. Sa seule rĂ©action consiste Ă Ă©carter un peu plus les jambes. Mon troisième doigt la fait gĂ©mir lĂ©gèrement. Je commence un lĂ©ger mouvement de rotation de mes doigts. Elle semble apprĂ©cier ce traitement. Je bande maintenant complètement. Je dĂ©cide alors de remplacer mes doigts par ma queue tendue. Elle me tend ses fesses. Je peux voir son Ĺ“illet palpiter. J’approche mon sexe. Lorsqu’elle le sent contre sa rondelle, elle se dĂ©tend. Je force le passage Ă©troit. Je m’enfonce doucement. Je m’immobilise lorsque je suis complètement enfoncĂ© en elle. Mais très vite, je la sens bouger. Je commence alors de lent va-et-vient dans son joli cul. Ma jouissance prĂ©cĂ©dente me permet de ne pas jouir trop vite. Je la laboure en rythme, doucement, en accĂ©lĂ©rant petit Ă petit le mouvement. Elle commence Ă pousser de petits cris de plaisir. Elle a glissĂ© une main entre ses cuisses et se caresse le bouton. Je m’agrippe bien Ă ses hanches et je dĂ©cide d’accĂ©lĂ©rer la cadence, je la bourre de plus en plus violemment. Ses cris sont de plus en plus forts. Nous n’allons pas tarder Ă jouir. Soudain elle pousse un cri plus fort et elle jouit en se contractant sur ma queue. Je ne peux pas rĂ©sister et je me rĂ©pands en elle. Nous restons quelques instants immobiles, collĂ©s l’un Ă l’autre. Nous Ă©mergeons lentement de notre torpeur. Nous reprenons notre douche comme si de rien n’était. Je sors le premier et me rhabille. Lorsque j’attrape ma montre, je constate qu’il est plus de trois heures du matin. Je quitte la salle de bains et en arrivant dans le salon je vois HervĂ© qui Ă©merge doucement.— Je dois filer. Je vous laisse car j’ai un rende-vous très important demain matin.— D’accord… oĂą est Cathy ?— À la salle de bain. J’ai entendu un bruit d’eau.— Ok, bonne nuit.Je rĂ©cupère toutes mes affaires et m’éclipse rapidement, non sans avoir embrassĂ© Elisabeth une dernière fois.Vers 9 heures, mon rĂ©veil sonne et me tire de mon sommeil. Je suis rapidement sous la douche pour me rĂ©veiller complètement. Les souvenirs de ma nuit me reviennent et je pense Ă HervĂ© qui ne doit pas s’ennuyer avec ses deux copines !A 10h15, je suis devant l’immeuble de Caroline de Courson.A 10h25, je vois apparaĂ®tre Mme de Courson. Elle est vĂŞtue d’une très jolie robe Ă fleur dans les tons de rouge-orangĂ©. Elle est chaussĂ©e d’escarpins rouges sombre aux talons mi-haut qui renforce son allure Ă©lancĂ©e. Ă€ un mot, elle est superbe. Nous rentrons dans l’immeuble et elle me prĂ©cède dans la cage d’escalier. Je peux ainsi voir ses jambes de plus près et dĂ©tailler leur galbe parfait. Je laisse ainsi mon esprit vagabonder vers des cieux enchanteurs oĂą Mme de Courson cède Ă mes avances.Nous sommes arrivĂ©s au 3ème Ă©tage. Mme de Courson ouvre la porte et entre la première dans l’appartement de sa sĹ“ur. Il s’agit d’un petit deux pièces avec cuisine sĂ©parĂ©e. Je commence une inspection minutieuse de la cuisine : les placards, le frigo dont se dĂ©gage une odeur plutĂ´t nausĂ©abonde. Vu l’état de moisissure dans lequel se trouvent les lĂ©gumes, il y a au moins un mois que personne n’est venu ici. Je passe dans le salon oĂą je trouve Mme de Courson assise sur le canapĂ© qui tripote nerveusement ses lunettes de soleil. Je me dirige vers la chambre de Caroline de Courson.Je dĂ©couvre une chambre d’étudiante oĂą règne un bazar indescriptible. Je commence par le lit. Rien sous le matelas, rien dans les draps. Je m’attaque au livre de la bibliothèque : je les prends tous un par un pour les feuilleter. Soudain deux photos tombent de l’un des livres : sur l’une je dĂ©couvre Caroline de Courson nue, allongĂ©e sur un lit en train de se masturber. Sur l’autre, on voit un sexe d’homme en train de forcer l’œillet d’une jeune fille blonde si l’on en juge par la chevelure que je peux apercevoir. Tout me laisse Ă penser qu’il s’agit Ă©galement de Caroline de Courson. Je glisse les deux photos dans une poche de ma veste. Je ne prĂ©fère pas les montrer tout de suite. Je poursuis ma fouille de la chambre. Il me reste le placard. J’y dĂ©couvre une garde-robe bien fournie, des dessous affriolants, une preuve de plus que Caroline de Courson aime le sexe.Je termine ma fouille, et je me rends compte qu’à part les deux photos, je ne suis pas beaucoup plus avancĂ©. Je jette un dernier coup d’œil Ă cette pièce lorsque je remarque que je peux parfaitement voir Mme de Courson dans le miroir. Or celle-ci ne se sachant pas vue, Ă dĂ©croiser les jambes. Je peux ainsi parfaitement apercevoir ses cuisses. Et lĂ , j’ai une surprise : on dirait qu’elle n’a pas de culotte. Je n’en crois pas mes yeux. Je me dirige vers le salon. Mon entrĂ©e dans la pièce la surprend, et elle se redresse dans le canapĂ© tout en croisant les jambes.— Avez-vous trouvĂ© quelque chose ?— Non, rien pour l’instant. Je vais jeter un Ĺ“il au placard de l’entrĂ©e.J’ouvre le placard qui ne contient que de la vaisselle. Sans intĂ©rĂŞt. Je reviens dans le salon et m’assois dans un fauteuil pour rĂ©flĂ©chir. Je scrute les murs de la pièce. Soudain, une intuition. Le mur de sĂ©paration entre la chambre et l’entrĂ©e me paraĂ®t plus large que ne laisse croire les deux placards. Et si… je me prĂ©cipite dans la chambre. Je tâte le fond du placard. J’avais raison, ça sonne creux. Je cherche un moyen d’ouvrir ce placard cachĂ©. J’aperçois alors un petit trou dans le fond. Je peux y glisser un doigt et tirer. Il s’ouvre, et je dĂ©couvre une collection de casettes vidĂ©o sans jacquette. J’ouvre une première boĂ®te oĂą la seule indication est une date : 04-10-99.Mme de Courson entre dans la chambre.— Je crois que j’ai trouvĂ© quelque chose.— De quoi s’agit-il ?— De cassettes vidĂ©o.— Mais ma sĹ“ur n’a pas de magnĂ©toscope ?— Et en plus les cassettes sont parfaitement cachĂ©es. Me permettez-vous de les emmener ? Je vais les regarder Ă mon bureau. Je vous ferais un compte-rendu de leur contenu.— D’accord. J’attendrai votre appel.Nous quittons l’appartement après que j’ai soigneusement embarquĂ© toutes les cassettes : il y en a environ 25. Je me prĂ©cipite Ă mon bureau et glisse la première dans le magnĂ©toscope. Trois minutes de noir, puis je dĂ©couvre une pièce assez sombre, oĂą je ne vois qu’une table et une chaise. Il n’y a pas de son semble-t-il. Un couple entre. Ils se dĂ©shabillent. La femme s’agenouille et commence Ă sucer son partenaire. J’accĂ©lère le dĂ©filement. L’homme prend la femme allongĂ©e sur la table. Je suis toujours en avance rapide. Je vois deux hommes entrĂ©s dans la pièce. La femme se redresse. Elle semble avoir peur et repousse l’homme qui la pĂ©nètre. Je remets en marche normale. L’un des deux nouveaux se prĂ©cipite pour la maintenir allongĂ©e. L’autre remplace le premier homme et la pĂ©nètre brutalement. La femme se dĂ©bat et tente de rĂ©sister aux assauts de cet homme. Sans succès. Il se retire alors prĂ©cipitamment et Ă©jacule sur son visage. La femme ne se dĂ©bat plus. L’homme qui la tenait la lâche et le pĂ©nètre Ă son tour. Ă€ un moment donnĂ©, il ressort complètement et, lui soulevant les jambes, il s’enfonce dans son anus. La femme rĂ©agit Ă peine. Elle tente mollement de repousser son assaillant. Elle a perdu toute volontĂ© de rĂ©sister. Lorsque le dernier assaillant se retire, elle est secouĂ©e de spasmes. Elle a joui Ă son tour. Les trois hommes la portent alors et sortent de la pièce.Je m’interroge sur ce que je viens de voir. S’agit-il d’un film amateur ? D’un viol filmĂ©Â ? Qui sont ces gens ? Et surtout comment Caroline de Courson s’est-elle retrouvĂ© en possession de cette cassette ? Cela a-t-il un rapport avec sa disparition ?(Ă suivre… si vous me le demander !)