(Suite)Je décide de regarder une deuxième cassette. Le contenu est à peu près comparable. Je les visionne toutes. Toutes contiennent des scènes ressemblant à la première, dans au moins trois lieux différents. J’ai identifié cinq hommes différents. Chaque cassette concerne une fille différente. Toutes ont moins de 30 ans. Aucune ne semble être Caroline de Courson. Je suis de plus en plus mal à l’aise. Que vais-je dire à ma cliente ? J’ai de plus en plus le sentiment que ce que j’ai vu est le résultat de viols, peut-être pour rendre docile ces pauvres filles. Ce qui me ramène à ma question principale : comment Caroline de Courson s’est-elle procurée ces cassettes. Je suis interrompu dans mes réflexions par le téléphone.— Agence Finley.— Bonjour Monsieur. Monsieur Finley ?— Lui-même. Que puis-je pour vous ?— M. de Courson à l’appareil. Je suis le mari de votre cliente. Il faut que l’on se voie.— À quel propos ?— Au sujet de ma femme.— D’accord.— Ecoutez, je ne suis pas loin de votre bureau. Je peux y être dans 20 minutes. Ça vous va ?— Heu… oui, ça ira.— Alors à tout de suite.— Très bien.Je raccroche, perplexe. Qu’est-ce qui me vaut l’honneur de cette visite ? L’homme n’a pas l’air facile. Je range mon bureau et en particulier la série de cassettes découvertes chez Caroline de Courson.On sonne à la porte.— Entrez ! C’est ouvert.— Bonjour Monsieur.— Bonjour. Je vous en prie asseyez-vous.— Qu’est-ce qui me vaut l’honneur de votre visite ?— Ce que j’ai à vous dire n’est pas très facile. Je sais que ma femme vous a engagé pour retrouver sa sœur.— C’est exact.— Malheureusement, ma femme refuse d’admettre la vérité. Sa sœur est décédée. On a retrouvé son corps à moitié calciné dans sa voiture qui avait fait une chute dans un ravin vers Marseille. Malgré l’état du corps, il n’y a aucun doute. Il s’agissait bien de ma belle-sœur. Si vous le souhaitez, je vous ferais parvenir le certificat de décès.J’avoue que je suis sonné par ce que j’apprends. Ainsi ma cliente me fait-elle faire une enquête pour retrouver une morte !— J’avoue ne pas bien comprendre. Pourquoi votre femme me demande-t-elle de retrouver sa sœur, si celle-ci est morte ?— Comme je vous l’ai dit, ma femme n’admet pas la mort de sa sœur. Disons que depuis ce dramatique accident, elle perd un peu les pédales. Elle est suivie par un psychiatre qui a pensé que le fait qu’elle demande une enquête ne pouvait que l’aider à accepter cette mort.— Qu’attendez-vous de moi alors ?— Je voudrais que dans quelque temps vous disiez à ma femme que vous n’avez rien trouvé et qu’il n’y a aucun doute sur la mort de sa sœur. Pour vous dédommager de tous ces désagréments, je vais vous faire un chèque… disons 10.000 francs ? ça vous va.Je reste sans voix.— Vous voulez plus c’est ça ? Bon allez, je vous fais un chèque de 20.000.— Heu… oui, d’accord.— Parfait. Alors nous sommes d’accord. Disons dans un deux mois vous dîtes à ma femme que vous n’avez rien appris. Et bien sûr aucun mot sur notre rencontre.— Oui. Ne vous inquiétez pas.— Au revoir Monsieur Finley.— Au revoir.J’avoue ne pas bien comprendre ce qu’il se passe. Tant pis. Pour l’instant je ne vois qu’une chose : le gros chèque qui va me permettre de régler un certain nombre de factures en retard.Il est 19h passé. Je commence à avoir faim. Je vais me faire un bon petit resto. Et réfléchir à toute cette histoire.Nous sommes lundi. Il est 7h30. je suis déjà sur le pied de guerre. J’ai décidé de ne pas suivre tout à fait les recommandations de M. de Courson. Et pour commencer j’ai bien envie d’en savoir plus sur ce brave homme et sa femme. À 9h, j’appelle la préfecture de police de Paris et je demande à parler à Séverine, la copine d’une copine, qui a un poste aux archives.J’adore sa voix chaude et suave.— Bonjour Séverine. C’est Al Finley à l’appareil.— Jacques ! Qu’est-ce qui me vaut un coup de fil aussi matinal ? encore besoin d’infos je suppose ? comme d’habitude !— Comment ça comme d’habitude ? à chaque fois que je t’appelle pour qu’on aille boire un verre tu n’es pas là  : je n’y peux rien moi !— Causes toujours ! Que veux-tu savoir aujourd’hui ?— Je voudrais que tu me dises ce que tu as sur M. et Mme de Courson.— À une condition !— Laquelle ?— Tu m’invites à dîner ce soir et je t’amène ce que j’ai trouvé. D’accord ?— Tu es dure en affaires ! Mais j’accepte ! A ce soir alors !Le soir venu, Séverine arrive vers 19h30.— Installe-toi, je vais finir de m’occuper des légumes. Et sers-toi un verre près du feu.— D’accord.— Tu as les infos que je t’ai demandées ?— Oui : mais soit patient un peu !Je retourne à mes fourneaux. Une fois que tout est prêt, je vais tenir compagnie à Séverine qui fidèle à son habitude s’est mise à l’aise. Elle n’est plus vêtue que de ses bas, son porte-jarretelles et son soutien-gorge. Elle est langoureusement allongée sur mon canapé. Cette vision excitante me fait instantanément bander.— J’ai très envie de baiser avec toi. Tu es un salaud, mais tu es doué. Ça me changera des stagiaires du boulot.— Mais tes désirs sont des ordres ma chère.Je me rapproche d’elle, et je m’agenouille entre ses cuisses. Elle est toute mouillée d’excitation. Je glisse ma langue dans les replis de sa chatte imberbe. Je titille son clito gonflé. Elle glisse une main dans mes cheveux pour orienter mes coups de langue. Je bande de plus en plus. Je la sens prête à jouir sous mes coups de langue. Je me redresse et finis de me déshabiller.— Dépêche-toi. J’ai envie de sentir une queue me défoncer. Vite…— J’arrive. ne t’inquiète pas tu vas être servie…Je m’approche d’elle et caresse ses petites lèvres avec le bout de mon gland. Elle gémit doucement et lance son bassin en avant pour me forcer à la pénétrer.— Viens… je n’en peux plus !Je me décide à la satisfaire. Je m’enfonce doucement dans sa petite chatte accueillante. Elle soupire d’aise. Je commence de lents va-et-vient. Elle a les yeux mi-clos, elle glisse une main vers mes fesses pendant que l’autre s’affaire sur ses seins. J’accélère lentement la cadence. Son souffle s’accélère. Notre plaisir monte simultanément. Je vais bientôt jouir. Elle ne doit pas en être loin non plus. Soudain elle enfonce un doigt dans mon œillet. Je jouis instantanément dans sa chatte accueillante, provoquant du même coup son orgasme. Je m’écroule sur elle. Je lui butine la pointe de seins. Nous reprenons peu à peu notre souffle.— Et si nous passions à table ?— J’ai très faim.— Tout est prêt. Tu n’as pas froid. J’aimerais que l’on mange tout nu : qu’en penses-tu ?— D’accord. Je reste comme je suis et toi aussi.Nous nous dirigeons vers la cuisine où la table est déjà mise et où nous n’avons plus qu’à sortir les plats du four.Nous commençons en silence. Je sens soudain un pied qui me caresse l’entrejambe.— Et si tu me disais ce que tu as trouvé ?— Si tu veux… les Courson donc. Lui, il est haut-fonctionnaire au Ministère des Affaires étrangères, un poste très haut placé qui lui vaut les honneurs lors de ses très nombreux déplacements. Elle, elle est l’héritière d’une riche famille du Champenois. En clair, il a la fonction, elle a l’argent.— C’est tout ce que tu as ?— Les familles ? Lui, il n’y a pas grand-chose à en dire. Il a coupé les ponts avec le peu de famille qui lui reste. De son côté à elle, ses parents sont morts et elle a deux sœurs. Ou plutôt avait… Oh oui continue avec ton gros orteil !— Poursuis tes explications ou je m’arrête.— La cadette est morte dans un accident de voiture il y a un mois environ. Elle a brûlé dans sa voiture après une sortie de route sur la route entre Marseille et Cassis.Elle ne parle plus. Elle ferme les yeux pendant que je la branle doucement avec mon gros orteil. De son côté, elle continue à me masser la queue avec son pied. Je commence à retrouver une forme présentable.Elle se lève et présente sa chatte humide au-dessus de mon sexe dressé. Elle s’enfonce petit à petit.— Que c’est bon ! ! Tu la sens bien ma jolie queue qui bande pour toi ?— Oh oui… j’ai envie de la sentir en moi. Tu me remplis bien. Oh oui… lèche-moi les seins. Ils sont tout durs.J’obéis docilement et tête la pointe de son sein droit. Le téton est vraiment dur, je joue avec ma langue pendant qu’elle continue à me chevaucher en rythme. Je sens mon plaisir monté doucement. Elle continue à monter et descendre le long de ma hampe. C’est divin. Elle a les yeux fermés. Des rictus de plaisir déforment légèrement son visage. Elle est belle. Elle accélère petit à petit. Je la sens au bord de l’orgasme. Je glisse un doigt dans son œillet. Elle ouvre les yeux et me regarde fixement. Elle ralentit ses mouvements pour retarder notre jouissance. Puis elle s’arrête complètement et sort ma queue complètement. Elle me regarde toujours fixement dans les yeux et dirige mon sexe vers son petit trou. C’est étroit, mais il est bien lubrifié et je le sens qui entre doucement dans cette gaine chaude. Elle continue à descendre doucement. Elle pousse un petit cri lorsque je butte dans son fondement. Ma queue est serrée. C’est un vrai régal. Elle reste immobile pour s’habituer à cette intromission. Et elle commence de lents mouvements pour monter et descendre. Je suis tellement serré que je sens que je ne vais pas résister longtemps. Je le lui souffle à l’oreille. Elle accélère ses mouvements et se jette en arrière en s’accrochant à mon coup. Je sens qu’elle est, elle aussi, prête à jouir. Je tente de me retenir le plus longtemps possible. Mais soudain, mon premier jet fuse dans son cul. Elle s’immobilise et mon jus déclenche son orgasme. Je suis épuisé. Elle se blottit dans mes bras.— J’ai froid.— Attend je vais t’emmener près de la cheminée.Je la soulève et l’emmène dans le salon. Je la pose délicatement sur une couverture près de la cheminée. Je rajoute une bûche et je vais chercher nos verres et la bouteille de Châteauneuf-du-Pape que l’on avait ouvert pour le repas. Je m’assois à ses côtés. Elle glisse sa tête sur mes cuisses.— Et si tu me disais pourquoi les Courson t’intéressent ?— Et la confidentialité de mes enquêtes qu’en fais-tu ?— Je serai muette comme une carpe, je te le jure !— Disons que Mme de Courson m’a engagé pour une affaire et je voulais en savoir plus sur elle. Je me demande pourquoi une femme de son milieu s’est tournée vers moi ?— Parce que tu es le meilleur !— Non soit sérieuse deux minutes s’il te plaît ! Je suis inconnu, je n’ai quasiment aucune affaire à part des adultères, et cette femme débarque pour me proposer une enquête avec dès le départ un premier chèque de 10000 francs qui représentent ce que je touche parfois en un bon mois !— Le hasard ?— Tu sais depuis que je fais ce boulot, d’accord c’est pas vieux, s’il y a bien une chose que j’ai apprise, c’est qu’il n’y avait que très rarement du hasard dans une enquête.— Elle a peut-être tout simplement attraper le bottin et choisi ton agence au pif !— Oui, peut-être…— Ne te tracasse pas pour ça, et profite plutôt de l’aubaine.La soirée se termine calmement. Nous continuons nos bavardages devant la cheminée. Vers minuit, Séverine décide qu’il est temps pour elle de prendre congés. Je lui demande de rester, car je n’ai pas envie de dormir seul cette nuit. Elle accepte sans trop de problème et nous allons nous coucher. Je me réveille en pleine nuit. Séverine dort tranquillement à mes côtés. Je ne peux m’empêcher de penser à mon enquête : que me cache-t-on ? Il est sept heures : ce n’est plus la peine de me rendormir. Je me lève doucement pour aller mettre la cafetière en route. J’enfile un pantalon et une chemise en quatrième vitesse pour aller chercher des croissants à la boulangerie du quartier. Je reviens 10 minutes après. J’entends du bruit dans la salle de bain. Séverine est sous la douche. Je range un peu le bazar que nous avons laissé la veille. L’eau de la douche s’arrête et je vois Séverine sortir emballée dans une grande serviette.— Tu as bien dormi ?— Oui… et toi ?— Bof, je me suis réveillé en pleine nuit et après, pas moyen de redormir. Mais ma journée ne devrait pas être trop fatigante. Ça devrait aller— J’ai acheté des croissants. Je te sers un café ?— Oui. Merci.Nous finissons de petit-déjeuner en discutant. Il est environ huit heures et quart. Séverine doit partir.— Il faut que j’y aille si je ne veux pas être en retard. Tu me tiendras au courant de ton enquête.— Oui, je te raconterai. Mais pas un mot à qui que ce soit. Ne parle à personne de ce que je t’ai demandé sur les de Courson.— Non ; je te le promets !— À bientôt.— Pourquoi pas ? j’ai vraiment passé une très bonne soirée. J’espère que l’on recommencera.Un dernier baiser et Séverine s’éclipse. Je file rapidement sous la douche et quitte mon appartement vers neuf heures moins le quart.J’ai rendez-vous à 10 heures avec Alain, un ami qui est médecin à l’hôpital Necker. Il doit me mettre en rapport avec un de ces copains de promos qui bossent sur Marseille. Comme je préfère ne pas alerter M. de Courson sur la poursuite de mon enquête, j’espère obtenir une copie du certificat de décès par ce toubib marseillais.Lorsque j’arrive à Necker, la secrétaire du service de cardio où bosse Alain m’apprend qu’il est en pleine intervention d’urgence et qu’elle ne sait pas du tout quand il sortira du bloc. Je lui laisse mon numéro de portable pour qu’elle me prévienne dès qu’il sort.Une heure plus tard, c’est Alain qui m’appelle.— Salut c’est Alain.— Salut. Comment ça va ? cette opération ?— On verra ce soir si le mec s’en sort.— Où peut-on se retrouver ?— Ecoute je viens d’avoir une nuit charger, et je me poserai bien un peu devant un café et un petit-déj. On se retrouve au café en face de l’hôpital, celui où l’on est allé il y a deux mois avec Chantal et Solange, tu te souviens ?— Ok. Je t’y retrouve dans dix minutes.— À tout de suite.J’arrive au café où je retrouve Alain plongé dans la lecture de l’Equipe.— Salut.— Salut. Alors la forme ?— On fait aller. Je bosse sur une enquête surprenante. C’est pour ça que j’ai besoin de tes services. Ou plutôt de ceux de ton pote de Marseille.— Ecoute, je l’ai appelé hier soir. Je lui ai laissé un message en lui disant que tu l’appellerais. Il m’a rappelé ce matin pendant mon opération et a laissé un message à la secrétaire. Pas de problème tu peux l’appeler de ma part. Voici ces coordonnées. Il s’appelle Jean Pezet. Je suis sûr qu’il va te plaire. Vous avez pas mal de points communs.— Génial. Je te remercie. Au fait comment va ta petite famille ?— Chantal, va très bien, elle est un peu débordée en ce moment, mais ça va. Et les enfants sont en pleine forme.— Tant mieux.— Bon je dois te laisser. J’ai une petite intervention programmée à midi, donc il faut que j’y aille.— De toute façon je dois filer aussi. Merci pour le coup de main.— Je t’en prie. Au fait, Chantal me demande régulièrement quand tu viens manger à la maison. Appelle-là , ça lui fera plaisir.— Ok. Je règle cette enquête et je vous appelle pour qu’on se fasse une petite bouffe.— À bientôt.— Ciao.Nous nous séparons et filons chacun de notre côté. Je décide d’appeler tout de suite Jean Pezet.— Allo ?— Bonjour. Monsieur Pezet ?— Oui, c’est moi.— Je suis Albert Finley. Je suis un ami d’Alain Saules.— Oui, il m’a laissé un message me disant que vous appelleriez. Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?— Et bien voilà . Je souhaiterais me procurer la copie d’un certificat de décès d’une personne morte à Marseille il y a un mois environ.— Vous savez si elle a été transportée dans l’un des hôpitaux de Marseille ?— Non en fait je ne sais pas grand chose. Il s’agit d’une jeune femme, Caroline de Courson, qui a eu un accident de la route sur la route entre Marseille et Cassis. Elle aurait péri carbonisée dans sa voiture.— Attendez, cette histoire me dit quelque chose.— Je vais me renseigner, j’ai un ami chez les pompiers qui pourra peut-être me renseigner.— Vous pensez en savoir plus dans combien de temps ?— Je ne sais pas, ça peut prendre un peu de temps.— C’est-à -dire que je suis un peu pressé. Et si je venais à Marseille vous me feriez rencontrer cet ami pompier ?— Pas de problème. Vous voudriez venir quand ?— Dans deux jours. Je m’occupe de deux ou trois choses aujourd’hui et demain et j’arrive jeudi.— Très bien, appelez-moi dès que vous êtes à Marseille. D’ici là , j’essaierai d’avoir mon copain pompier au téléphone et de vous arranger un rendez-vous.— Merci.— À jeudi alors.La journée se termine dans la routine : une personne m’a contacté pour une histoire d’adultère. M. Givors soupçonne sa femme de le tromper avec son meilleur ami : un classique du genre. Il se trouve qu’elle profite paraît-il du mercredi, jour où Monsieur est en province, pour le retrouver chez lui.Je vais donc aller espionner cette jeune femme dès demain, et essayer de prendre quelques photos compromettantes.Le soir même je suis au pied de l’immeuble de l’ami pour repérer les lieux. Je m’introduis discrètement dans le vieil immeuble en face et décide de monter sur le toit pour voir si je peux trouver une bonne planque. Par chance (il en faut vraiment dans ce métier), je trouve la cachette idéale où je pourrai m’installer avec mon téléobjectif.Le lendemain à 10 heures, je suis en place. Vers 10h30, je reconnais Delphine Givors qui se présente devant l’immeuble. Elle sonne et entre sans hésitation. Cinq minutes après je perçois du mouvement dans l’appartement de l’ami. Par chance (encore une fois), les rideaux du salon ne sont pas tirés. Je peux donc parfaitement voir Mme Givors et son amant. Ou plus exactement ses amants. Car je peux maintenant clairement apercevoir deux hommes qui entourent Delphine Givors. Ce n’est donc pas seulement le meilleur ami qui est l’amant. Je commence dès maintenant à prendre quelques clichés. Très vite la jeune femme se retrouve les seins nus. Chacun de ses amants lui tète un sein. Elle semble apprécier ce traitement si j’en crois l’expression de son visage, les yeux fermés et la bouche ouverte. L’un des deux hommes abandonne alors sa poitrine pour s’agenouiller en glisser sans tête sous sa jupe. Elle écarte un peu plus les jambes et appuie sur la tête de son lécheur. Il doit être efficace car elle le repousse soudain probablement pour ne pas jouir tout de suite. Il se relève est commence à se déshabiller. Son compère en fait de même. Ils sont maintenant nus, la verge bien droite. Delphine Givors s’agenouille entre eux et commence à les caresser et à les lécher. Elle alterne, passant d’une queue à l’autre, s’attaquant aux testicules ou au gland quelle lèche avec délectation. Les deux hommes ne bougent pas. Il laisse faire l’artiste ! Et moi qui commence à bander devant ce spectacle, je continue à mitrailler. Je pourrais m’arrêter là car je pense qu’il y en a assez pour son mari. Mais le spectacle me plaît alors je continue. Pas de doutes, certaines photos iront s’ajouter à ma collection particulière.Delphine Givors s’est maintenant allongée sur le canapé du salon. L’un des hommes lui écartant approche sa queue tendue de cette jolie chatte brune. L’autre se masturbe doucement en regardant le spectacle et en attendant son tour. Delphine Givors se caresse les seins, étirent les pointes, pendant que la queue vigoureuse de son amant la pénètre. Il commence de lent va-et-vient. Mais ce traitement, ajouter précédemment à celui de la langue experte de sa maîtresse, ne tarde pas à jouir. Il éjacule en elle une première fois et se retire vite pour lui arroser les seins et le ventre. Delphine Givors étale cette crème sur son corps et se lèche les doigts. Elle ne semble pas avoir joui et demande à son deuxième amant de vite prendre le relais. Celui s’approche. Sa queue est un peu plus grosse. Il s’enfonce sans problème dans cette chatte accueillante. Il relève les jambes de Delphine Givors et les pose sur ses épaules. Il la pistonne de plus en plus vite. Soudain il s’arrête, et pré sente sa queue à l’entrée de son petit trou. Elle écarte elle-même ses fesses avec ses deux mains. Il glisse sa queue lentement dans cet étroit conduit. Je continue à prendre des clichés, tous plus hard les uns que les autres. Mais ma bite est trop dure et je commence à me branler. Je ne suis pas long à jouir devant ce spectacle. Le deuxième amant paraît plus endurant que le premier, il continue à la pistonner. Mme Givors est en train de jouir, bruyamment semble-t-il. Comme son amant n’a pas joui, elle provoque sa jouissance en lui glissant un doigt dans l’anus. L’homme semble apprécier et ne tarde pas à se répandre.Je décide qu’il est tant que je quitte mon poste d’observation. Je prendrai contact avec M. Givors la semaine prochaine. Il est tant que je prépare mon périple marseillais.(à suivre… si la suite vous intéresse !)