Histoire se basant sur des faits réels. Seuls les prénoms ont été modifiés.En ce lendemain de Noël, la neige est tombée en abondance sur les hauteurs de la ville. Super, le séjour dans l’ancienne bergerie retapée se passera d’autant mieux si la neige est au rendez-vous. Je me lève donc plein d’entrain ce jour-là. Le plaisir de passer quelques jours avec le groupe de copains et de voir la neige tombée depuis la veille me pousse dans ma préparation. Je suis donc prêt en avance. Je récupère la petite Opel de mes parents. Et c’est parti… Premier arrêt chez Luc pour le récupérer. Luc est châtain, les cheveux un peu longs. Il est là avec son sac. Marie, sa copine, est là aussi, châtain plus clair, 1m70 environ, des cheveux longs raides, assez mince. Tout ce petit monde dans la voiture, et on part pour rejoindre le reste du groupe au lieu de rendez-vous. Au fait, laissez-moi me présenter brièvement : Arnaud, 22 ans, brun pas très grand (1m72), étudiant à Toulouse.Nous sommes les derniers. Rachel, Chloé, Phil, Hervé et Rémi sont déjà là, avec la voiture de Rémi qui vient juste d’avoir son permis. Il ne manque que les deux sœurs, Claire et Véro, qui doivent nous rejoindre directement au chalet.Répartition dans les deux voitures, Chloé, avec qui j’ai eu une liaison platonique quelques mois auparavant, nous rejoint dans la mienne. Les trois garçons et Rachel embarquent dans celle de Rémi. Le groupe est en fait à scinder en deux : les « vieux » : Luc, Marie et moi, et les « jeunes » : les cinq autres plus Véro ; Claire étant entre les deux. On s’entend tous très bien, mais par nos âges et nos activités, les deux sous-groupes sont plus soudés que le gros groupe.Chloé est une petite blondinette au visage bien rond, cheveux mi-longs, des formes assez rondes, mais pas grosse. Nous avons flirté ensemble un mois l’été dernier, sans aller bien plus loin que des caresses pas très sexuelles. J’ai assez mal pris sa séparation, mais cinq ans d’écart et surtout cinq cents kilomètres étaient trop pour son amour… Bref, Luc et Marie passent derrière ; Chloé prend la place de passagère et c’est parti, pour de vrai cette fois. Chloé quitte son pull et son anorak, la voiture ayant un peu chauffé. Elle porte un sous-pull moulant gris et un jean noir. Assez excitante là-dedans…L’autoroute, puis on arrive au pied du col final, vingt kilomètres de route de montagne sinueuse. Rémi n’a pas suivi dans l’autre voiture. Les fatigues du réveillon de Noël n’étant pas trop digérées, pas un bruit dans la voiture. Marie et Luc sont tendrement enlacés derrière, la main de Marie sur le sexe de Luc bien gonflé à travers le jean. Je le soupçonne de ne pas dormir… Pas manqué, sa main passe sous le t-shirt de Marie. Il ne pense pas que je puisse le surveiller, la route tourne trop pour que le chauffeur soit dérangé à regarder derrière. Chloé dort à côté de moi. Je devine sa main qui caresse la poitrine de sa copine. Elle frissonne, se réveille un peu ; elle doit faire semblant de dormir à présent. Il lui caresse les seins, laissant pointer les tétons à travers le t-shirt. Je le vois qui passe sa main dans le soutien-gorge à présent. Tout en faisant attention à la route, je ne peux m’empêcher de regarder derrière, et bien sûr je bande… Mais malheureusement, le spectacle s’arrête quand Chloé se réveille sur une secousse de la route. Mais un bref coup d’œil derrière me permet de voir que l’excitation des seins de Marie n’est pas retombée, ni celle de Luc, d’ailleurs…Nous voilà au parking du chalet. Il est là-haut, habituellement à vingt minutes à pied. Mais aujourd’hui la partie s’annonce serrée : la neige a envahi le chemin et il va falloir tracer le passage dans un mètre de neige. L’autre voiture arrive juste après que j’ai eu le temps de demander sa situation « matrimoniale » à Chloé et qu’en échange, elle me demande si j’ai eu des petites amies depuis notre rupture. Je lui mens un peu en disant que non…Les quatre autres ont l’air aussi de s’être beaucoup amusé dans la voiture et ils ricanent sans arrêt.La montée dans la neige dure presque une heure, à se relayer pour se frayer un chemin dans la neige, les filles suivent tant bien que mal. Dire que là-haut, le chalet va être froid et qu’il faudra le chauffer un peu avant d’espérer se réchauffer nous-mêmes.Phil, Hervé et Rémi se mettent à allumer le poêle dès notre arrivée. Ce sont eux les spécialistes. Les cinq autres, on se réfugie dans la cuisine pour se réchauffer autour du four que l’on a mis à fond, la porte grande ouverte pour chauffer un peu la pièce. Rachel fait la navette entre les trois garçons et nous. Luc et Marie sont tendrement enlacés dans un coin, moi debout adossé à l’armoire, je discute avec les uns et les autres. Soudain, Chloé qui ne semble pas vraiment se réchauffer vient plaquer son dos contre mon ventre.— J’ai froid, Arnaud me dit-elle tendrement.Je la plaque contre moi, la serrant pour la protéger. Le contact de ce corps serré il y a quelques mois déjà me fait rapidement de l’effet et je me mets à bander. Situation inconfortable car ses fesses sont collées contre mon entrejambe et que forcément elle va le sentir…Effectivement, elle tourne rapidement la tête vers moi, en rougissant et en souriant. Elle prend mes mains et les place au niveau de sa ceinture, légèrement dans le jean. Elle rentre le ventre pour les laisser entrer. Elle me chuchote :— Tu as les mains froides, elles seront plus au chaud là.Je sens son sous-pull, un peu de sa peau du ventre et le haut de sa culotte. Rachel ne revient plus depuis un moment ; elle n’a pas dû apprécier notre compagnie. Mes doigts commencent à glisser sous l’élastique de la culotte, je commence à sentir ses petits poils épars. Mon érection durcit de plus en plus. À ce moment, Hervé entre, triomphant en annonçant que le Poêle est vaincu et qu’il va enfin pouvoir chauffer le chalet. Je retire rapidement mes mains, incité par Chloé. Luc et Marie arrêtent leurs pelotages respectifs et rejoignent le reste de la troupe.Le repas et le début de l’après-midi se déroulent tranquillement. Chloé m’évite un peu. Sur le coup des 5 h, la nuit commence à tomber. Les activités extérieures cessent donc et nous nous retrouvons tous les huit dans le chalet, heureux de notre après-midi, fatigués mais excités aussi (la dernière bataille de boules de neige a fait monter d’un ton l’excitation générale). Heureux aussi de retrouver un chalet chauffé (et même surchauffé) par le poêle. Un petit thé ou chocolat chaud pour se remettre et nous voilà prêts pour la suite.Phil, Hervé, Rémi et Chloé se mettent à jouer aux cartes. Luc et Marie s’esquivent discrètement vers les dortoirs. J’en profite pour présenter le chalet. Assez rustique, en pierre, il est composé de quatre pièces : la cuisine, la salle de bain+ WC+douche rudimentaire, une petite chambre avec le téléphone et deux lits à étage et la salle commune avec au fond, un dortoir unique sur deux étages (comme dans un refuge de montagne) avec deux fois huit matelas environ alignés. Les matelas du bas sont assez sombres alors que ceux d’en haut sont en pleine lumière. Donc Marie et Luc se sont esquivés vers le coin sur les matelas du bas, discrètement. Rachel et moi regardons les joueurs de carte. Un moment Rachel me dit qu’elle veut me parler seul à seul. Je la suis donc dans la petite chambre, me demandant ce qu’elle veut. Une fois dans la pièce, elle ferme la porte et s’approche de moi, me plaquant contre la porte. Rachel est brune, un peu plus grande que moi, assez rondelette avec des énormes seins. Elle est à dix centimètres de moi et elle avance son visage… pour me chuchoter à l’oreille :— Je vous ai vus tout à l’heure avec Chloé, ta main…Je rougis. Elle sourit, contente de son effet.— Tu devrais te méfier, Arnaud, elle t’a déjà fait du mal, souviens-toi. Cela dit, si tu veux la baiser à nouveau, je peux m’arranger.Moi :— La baiser tout court, l’autre fois, il n’y avait rien eu.— Oui, je sais.Je la regarde surpris. Chloé et elles ont beau être très bonnes amies (encore que ça dépende des périodes), elle ne lui a quand même pas tout raconté !— Tu sais, Chloé me dit tout. Ce qu’elle a fait, ou pas fait plutôt (Elle rit) avec toi. Comment elle a perdu sa virginité l’autre jour avec son nouveau copain. Mais rassure-toi, c’est fini avec lui déjà… Au fait, ça t’intéresse que je te raconte comment ça c’est passé ?J’avoue que l’idée que Chloé se soit fait baiser et que Rachel me le raconte m’excite assez. Je hoche la tête.— Mais avant, tu dois me promettre de me raconter tout ce que tu pourras faire avec elle dorénavant.Je comprends, elle doit faire ce genre de marché avec tout le monde pour tout savoir sur la vie sexuelle de tout le groupe. J’accepte une nouvelle fois, me disant qu’il ne devrait plus trop y avoir grand-chose avec Chloé… Semblant lire dans mes pensées, elle me dit :— Ne crois pas que je lui ai fait le même marché, à Chloé. Mais il se trouve que c’est moi qui lui ai dit de se faire prendre ainsi, que j’étais là à regarder et qu’elle m’a très bien obéi. Comme toujours d’ailleurs ! Alors, c’est OK ?« C’était un samedi, cet automne, on était au bistrot toutes les deux. Elle m’avait fait part de son désir de perdre sa virginité et attendait que je lui en donne l’autorisation. Ah ! oui, tu ne sais pas, toi, mais ça fait deux ans qu’elle est sous mes ordres. Depuis que je l’ai aidée à se débarrasser de Jérôme, tu te rappelles. Elle m’avait promis de faire tout ce que je voulais après si je lui faisais ça. J’ai choisi simplement d’en faire mon petit jouet. Et en plus, elle adore…— Mais alors, pour elle et moi, c’est toi aussi ?— Non, là, elle a pris l’initiative seule, et vu la punition qu’elle a prise quand je l’ai appris, elle a été obligée de rompre avec toi et elle est devenue encore plus docile depuis.Ainsi, Rachel est responsable de mon malheur. Je n’arrive pas à comprendre comment une fille de 17 ans peut ainsi laisser sa vie sexuelle dans les mains d’une autre.— Donc, je disais, elle voulait perdre sa virginité. Moi, j’étais d’accord à condition qu’elle me laisse regarder et choisir le moment. Sur ce, son copain du moment (que j’avais choisi) arrive dans le bistrot, nous embrasse. Une idée me germe dans l’esprit. Je sais que les parents de Chloé ne sont pas là. Je propose d’aller regarder un film chez Chloé et après de se manger des pizzas. Tous les deux sont d’accord, prêts à tout pour passer une soirée tous les deux. On se dirige vers l’appart de Chloé. Le hall est assez vaste et rempli de bibelots et avec la machine à laver dans un coin qui marche. J’attrape Chloé par le bras et lui dis : « Ce sera ici, cet après-midi. Vous le ferez sur la machine. Moi, je me cacherai dans le placard et vous regarderai. Soyez excitants », dis-je en souriant. Un moment passe, je me cache à la première occasion dans le placard et rapidement j’entends Chloé et Luc qui arrivent en se bizouillant. Ils apparaissent à ma vue. Chloé cherche pour vérifier que tout va bien de mon côté. L’endroit où ils sont est parfait. Chloé est en soutien-gorge déjà. Il ne tarde pas à sauter et elle se plaque contre la machine. De mon côté, j’ai ouvert mon jean et je commence à m’exciter du spectacle. La machine à laver était en cycle essorage et remuait beaucoup ; les seins ronds de Chloé, tu les as déjà vus ses seins, non ? ballottaient vigoureusement. Luc a commencé à remonter sa jupe sous laquelle elle ne portait pas de culotte, suivant ainsi mes ordres. Sa chatte blonde parsemée apparut donc, m’excitant davantage.À ce point du récit, ma bite commence à me faire mal dans mon jean et je bouge de façon à la libérer un peu. Voyant mon problème, Rachel ouvre mon pantalon et descend mon slip !. Ma bite sort alors dressée devant Rachel. Très gêné et très excité par la situation, je lui souris. Elle reprend :— Je vois que ça te plaît. Continuons.Et elle pose sa main sur mon sexe en commençant à le branler.— Donc, revenons à nos tourtereaux, Chloé imite Luc et lui descend son jean et caleçon à la fois, libérant sa bite ; un peu comme j’ai fait là. Comprenant vite la situation, Luc approche son sexe et sans plus de travail préparatoire pénètre Chloé sans ménagement. Elle pousse un cri mêlé de surprise, de douleur et d’excitation. De mon côté, je commençais à ruisseler fort et l’orgasme n’était pas loin. Rapidement, je compris que Luc était lui aussi puceau, ou du moins peu expérimenté. Ses coups étaient maladroits. En plus, ça n’a pas duré très longtemps ; deux ou trois minutes guère plus avant qu’il ne se retire et qu’il ne gicle en hurlant sur le ventre de Chloé, tachant un peu sa jupe au passage. Luc souriait mais Chloé pas vraiment, déçue ne pas avoir joui. Mais, visiblement, il s’en foutait pas mal : et rapidement, se rhabilla et sortit du hall. L’entendant rentrer dans la salle de bain, je sortis de ma cachette pour aller voir ma petite Chloé sur sa machine à laver, la jupe relevée, les seins à l’air et le soutif par terre à ses pieds. J’ai étalé le sperme sur le ventre de Chloé en la rassurant sur les hommes en général et en lui promettant mieux la prochaine fois. La fin de la soirée a été morose, tu t’en doutes.Ma bite enfle toujours plus sous l’emprise de la main de Rachel qui accélère le mouvement en me demandant :— Ça t’a plu ?— Tu vois bien mon état à présent. Pauvre Chloé, tu aurais dû me la laisser, j’aurais sûrement fait mieux, dis-je en rigolant.Rachel alors s’agenouille et prend ma bite dans la bouche. Ce contact après ce récit ne tarde pas à me faire gicler mon jus dans la bouche pulpeuse de Rachel. Elle s’essuie les babines et ressort de la pièce.Je me rhabille doucement, encore un peu sous le choc et ressors à mon tour. Les quatre jouent toujours sagement aux cartes ; Rachel est partie aux WC (pour se caresser ?) et moi, je vais m’asseoir un moment sur les lits du bas, pas très loin de Luc et Marie toujours occupés par des câlins plus ou moins érotiques. Je ne peux pas retirer mon regard de Chloé que j’imagine sur la machine à laver, prise par ce mec. Ma bite redurcit vite à cette pensée. Quand Rachel revient des toilettes et s’assoit à côté de moi sur le lit, mon état n’est guère plus brillant que dix minutes auparavant dans la chambre. Elle me tend sa main et me chuchote :— Sens-la, Arnaud. Tu peux même y goûter pour compenser le sperme que tu m’as envoyé tout à l’heure.J’avais vu juste et sa main sent son intimité et son jus. Discrètement je la lèche en la poussant un peu vers le fond des lits et l’ombre. Elle me demande doucement si ma bite a redurci. Je confirme et elle avance sa main pour vérifier. Mais, à ce moment-là, le téléphone sonne, Rachel va répondre et me laisse là avec mon excitation grandissante. Ce sont Véro et Claire qui ne peuvent pas venir de suite et qui ne viendront sans doute que demain. Dommage, j’aurais revu avec plaisir Véro, une ex également… mais plus poussée que Chloé, si vous voyez ce que je veux dire.Hervé crie alors :— Si la coincée du cul n’est pas là, on va peut être pouvoir un peu s’amuser ce soir.Phil et Rémi éclatent de rire, Rachel et Chloé les imitent. Luc et Marie sortent alors de leur trou pour demander des explications. Les cinq premiers se voient assez souvent, alors que Luc, Marie et moi sommes plus distants du groupe. Rachel explique que comme Claire ne vient pas (c’est vrai qu’elle est un peu coincée), on va pouvoir jouer à des jeux… coquins. Luc, un peu vicieux, demande quel genre de jeux. Rémi explique que la dernière fois qu’ils sont venus là, ils ont joué à un jeu de société inventé par Hervé, genre Trivial Pursuit, avec des gages plus ou moins coquins. Marie fait la moue en entendant ça, mais Luc et moi sommes très intéressés. Luc demande des précisions et Rachel lui répond qu’il verra bien… s’il veut jouer… Luc :— Bien sûr qu’on veut jouer, tous, non ? dit-il en regardant Marie et moi.Malgré sa moue, Marie accepte à contre-cœur devant l’enthousiasme de son ami.Hervé nous demande donc de les rejoindre à table et va chercher un jeu dans son sac à dos. On se répartit, un garçon, une fille. On se retrouve dans l’ordre suivant autour de la table carrée :— moi, Chloé ;— deuxième côté : Phil, Rachel ;— troisième côté : Rémi, Hervé ;— quatrième côté : Marie, Luc.L’excitation monte d’un cran quand Luc récupère une carte tombée près de lui. Il lit :— Carte GAGE : donnez votre slip/petite culotte à votre voisin immédiat.Tout le monde rigole, Marie un peu moins que les autres. Hervé explique les règles, très simples, comme au Trivial sauf que lorsque l’on ne répond pas, on doit tirer une carte GAGE. Sur les camemberts, c’est une carte GAGE PLUS qui, nous dit-il, comporte des trucs plus chauds. Mon excitation personnelle est à son comble. Rachel, qui s’en doute après l’après-midi que l’on a vécu, me sourit d’un air complice.La première à commencer est justement Rachel, mais son gage est plutôt cool puisqu’elle ne doit qu’embrasser son voisin Phil. Ce qu’elle fait en rigolant. Mais l’ambiance monte. Phil justement est le suivant et il doit se dévêtir d’un vêtement. Le poêle remplissant parfaitement son office, il peut sans crainte quitter son pull. Puis vient Chloé. Timidement, elle répond à la première question, pas très difficile d’ailleurs, puis se heurte à la seconde sur un camembert. C’est donc un GAGE PLUS qu’elle va devoir accomplir. Ce qu’elle doit faire : se masturber sur la table dans sa tenue actuelle. Elle nous mime donc en écartant parfaitement les jambes dans son jean et en massant ses seins à travers le pull. Ma bite est proche de l’explosion dans mon pantalon, et les autres garçons sont dans le même état que moi. On commence nous aussi à nous toucher à travers le pantalon ou la main entrée pour certains.Mais le temps du gage est écoulé et Chloé gagne sa place nous laissant sur notre faim. C’est à moi. Je sens très bien que vu mon état, il ne va pas falloir que le gage soit trop difficile. Ça va, la carte tirée m’indique simplement de quitter mon pantalon. Ma bosse bien gonflée apparaît à tout le monde lorsque mon slip apparaît mais le t-shirt cache le bout de la bite qui sort en haut du slip. Mais, rusée, Rachel demande à voir tout le slip. Moi, bien sûr, je proteste, arguant que le gage n’est que de quitter son pantalon mais les autres la soutiennent et c’est Chloé qui, d’un geste rapide, remonte mon t-shirt et dévoile mon ventre et le petit bout de bite qui dépasse. Comme on dit dans ces cas-là, la honte !!! Mais je sens que les filles sont émues et le regardent avec un mélange de curiosité et d’envie. Je saisis l’occasion et dis à Rachel :— Je vais même plus loin, je quitte le slip si tu déshabilles complètement les deux autres filles.Je sais que pour Chloé, il n’y aura pas de problème, mais je me pose des questions sur Marie. Va-t-elle accepter ? Est-elle assez excitée pour ça ? Les trois garçons célibataires applaudissent et encouragent Rachel, qui regarde Luc (et non Marie). Ce dernier lui fait un petit geste d’acquiescement et Rachel se dirige vers Marie. Celle-ci comprend alors que son copain l’a « vendue » et essaye de se débattre. Luc et Hervé la saisissent et la coincent de façon que Rachel puisse lever son pull et accéder au zip de son jean. Elle ne se débat plus que pour la forme, l’excitation et la résignation ayant dû gagner sur la pudeur. Rachel la fait se lever et commencer à faire glisser son pantalon, dévoilant une culotte de dentelle, légèrement transparente, dévoilant ainsi son duvet châtain assez dru. Voilà peut-être pourquoi elle était réticente. Rachel enlève aussi la culotte alors que Luc retire pull et t-shirt, la laissant en soutien-gorge devant tout le monde. Rachel, surprise, tâte un peu la culotte de Marie et dit :— Je vois que l’après-midi a dû être agréable, la culotte est encore humide de son jus.Et elle fait passer l’objet accusateur aux trois autres garçons. Marie est rouge de honte et Luc achève de la déshabiller en retirant son soutien-gorge. La voilà nue. Chloé, de son côté, a commencé docilement à ôter ses habits et se retrouve nue sans l’aide de personne.Elle m’avouera plus tard que son gage avait tellement humidifié sa culotte qu’elle ne souhaitait pas avoir le traitement de Marie et qu’elle avait donc accéléré les choses pour ça. Toujours est-il que me voilà au pied du mur, obligé de respecter mes engagements. Je descends donc mon slip, dévoilant ma bite tendue en l’air, et qui se tend un peu plus chaque fois que je regarde Chloé nue. Je dois avouer que ma bite n’est pas très longue mais assez grosse en diamètre. Un peu trapue comme moi (sauf que je ne suis pas très gros), quoi… Le petit bout rouge s’humidifie en sentant tous ces regards sur moi. Rachel, qui a pris le jeu en main, nous dit de nous rasseoir tous les trois, nus, Marie sur les genoux de Luc et Chloé sur les miens. Vous imaginez mon érection quand je réalise que Chloé, nue, va venir sur mes genoux, nus. Sa peau est très douce, ses fesses très rondes et bien serrées viennent de caler contre mon ventre et ma bite, toujours au garde-à-vous, se plaque sur son sillon jusqu’au bas du dos. Je passe mes bras autour de Chloé et pose mes mains sur ses cuisses, le plus haut possible… La soirée s’annonce torride, et j’ai hâte de voir ce qu’elle va me réserver…Mes mains, à l’abri des regards sous la table, commencent à remonter vers la chatte blondinette de Chloé. Je touche les poils de son pubis en enroulant hardiment mes doigts autour. Son absence de réaction me fait comprendre qu’elle apprécie ces caresses. Le jeu continue, quelques défis sans grand intérêt narratif se déroulent. Puis la main revient à Chloé. D’un commun accord, il avait été décidé de se lever lorsque l’on doit jouer. Elle abandonne donc mes genoux et mes caresses pour lancer le dé. Ses fesses sont juste au niveau de mon visage. Mon sexe durcit encore à la vue de ces lunes blanches et laiteuses. Troublée par les événements, elle est incapable de répondre à une question pourtant très facile. Tout le monde se moque d’elle. Honteuse, elle baisse la tête. Hervé demande alors que le Gage soit doublé, vu comme la question était facile. Tout le monde, sauf Chloé bien sûr, toujours aussi penaude, approuve l’idée. Elle tire donc une carte GAGE. Et lit tout haut, avec la voix qui tremble, le gage :— Montrer votre sexe à tous les autres joueurs, devant leur visage (dans la tenue où vous êtes).Gage pas forcément difficile lorsque l’on est habillé mais qui devient beaucoup plus porno lorsque la personne est nue. Hervé ajoute alors :— Et comme le Gage est doublé, tu nous montreras aussi ton cul, les fesses écartées. Ça convient à tout le monde ?— Oui, oui, oui.Elle est tout rouge de devoir s’exhiber ainsi. Elle doit commencer par Hervé puisque c’est lui qui a eu l’idée. Chloé monte sur la table, s’assoie sur le bord, jambes pendantes et les écartent bien. De ma place, je ne vois rien, juste son dos. Rachel dit alors :— Attention, les mecs, juste les yeux, pas touche… Et toi, Chloé, tu commences par montrer ton sexe à tout le monde et après tu leur montreras le derrière. C’est aussi simple comme ça…Chloé commence à glisser vers Rémi, gardant toujours les jambes écartées. Je ne peux m’empêcher d’imaginer ce que doivent voir les autres. Ma main descend sur ma bite et commence à me branler. Je vois que Rémi et Hervé m’imitent, excités par la vue qu’ils ont eue. Chloé continue son tour en glissant sur la table métallique, elle tourne et fait face à présent à Rachel. Chloé continue à glisser mais Rachel la retient.— Non, non, moi aussi je veux voir ; il n’y a pas écrit que seuls les mecs peuvent voir.De ma place, j’aperçois quelques poils de son pubis, mais guère plus. Je reste frustré, attendant avec impatience mon tour. Rachel la regarde attentivement, souriante et en passant sa langue sur ses lèvres.— Hummm, je vois que ce jeu te plaît, ma chérie. Tes lèvres me paraissent très luisantes.À ces mots, Chloé rougit encore plus.— Cette petite salope est vraiment très vicieuse, dit-elle, se tournant vers Rémi et Hervé pour les prendre à témoin.— Allez, continue ton tour, Arnaud doit avoir hâte de te voir.Chloé se tourne vers moi, le regard interrogateur et un peu moralisateur. Je baisse les yeux. Elle doit comprendre que Rachel a raison. Rapidement la voilà devant Phil puis sans plus s’attarder elle arrive devant moi.Le spectacle est à la hauteur de mon attente : Chloé est là, ses cheveux blonds recouvrant ses épaules, ses seins ronds, assez gros avec leur aréole claire et leur téton petit mais raide, la peau laiteuse du ventre et sa chatte, mignonne, blonde assez parsemée laissant apparaître les lèvres fines et roses légèrement écartées et très humides. Elle écarte ses jambes au maximum, me permettant ainsi de jouir d’une vue parfaite. Elle me dit :— Tu peux toucher, toi, si tu veux.Je tends ma main, l’autre restant sur mon sexe tendu, et caresse ses petites lèvres, les écartant légèrement. Les autres protestent, mais je ne les entends pas. Tout à mon plaisir, je glisse un doigt un peu dans la fente juteuse. Cette séance lui plaît énormément visiblement. Elle se cambre vers l’arrière, provoquant l’entrée plus profonde de mon doigt. Puis Rachel intervient, rompant le charme :— Vous ferez vos cochonneries à un autre moment. Allez, Chloé, passe au suivant.J’envie déjà Luc qui verra ses lèvres encore écartées à la suite de mon doigté. Mais Chloé ne s’attarde pas ni devant Luc, ni devant Marie ; et finit ainsi son tour, son premier tour devrais-je dire.— Bon, maintenant, le cul ; mais accélère un peu, on ne va pas y passer la nuit, ordonne Rachel.Chloé se met à quatre pattes sur la table, les fesses vers Hervé.— Allez, écarte-les, que l’on voit bien, lui dit-il.Elle s’exécute timidement. La vue que l’on a, nous en face, n’est pas désagréable : son visage excité et honteux avec en arrière-plan, ses seins transformés en obus par la pesanteur.Des bruits sortent des bouches des deux garçons qui contemplent le spectacle et Chloé recommence son tour, passant devant Rachel, qui lui met une petite tape sur les fesses au passage, puis devant Phil. Avant de venir devant moi, elle me jette un regard un peu gêné. Je comprends que je ne dois pas aller trop loin et me résigner à voir le petit cul aussi rapidement que les autres. Ce petit reste de pudeur me trouble, et je me branle énergiquement quand son sillon avec le petit œillet beige apparaît à ma vue. Le temps de réaliser et elle est déjà repartie vers Luc et Marie.Son Gage terminé, elle revient s’asseoir spontanément sur mes genoux. Ma bite gonflant de plus en plus, elle lui frappe un peu plus le dos. Je sens aussi sur ma cuisse l’humidité de sa chatte, qu’elle frotte un peu comme pour l’essuyer. Puis Luc prend la parole :— J’avoue que cette séquence m’a donné une envie intenable. Ma bite est trop à l’étroit dans mon caleçon. Je propose donc que tout le monde se foute à poil.Les autres mecs approuvent, seule Rachel hésite un peu mais se plie finalement à l’avis général. Luc en profite pour mettre une main de Marie sur sa bite et propose à Hervé de donner sa bite à l’autre main de Marie. Ce qu’il s’empresse de faire en venant sur le banc à côté du couple. Marie est très gênée, mais prend en main les deux bites qu’elle commence à branler énergiquement. Nous ne voyons pas grand chose gênés par la table mais les gestes et les bruits sont significatifs. Ma main, ayant retrouvé sa place initiale sur la cuisse de Chloé, descend vers sa chatte, et elle se lève un peu pour que j’y glisse un doigt, l’autre main enserre son sein, titillant son petit téton. Les trois derniers, Phil, Rachel et Rémi se lèvent et vont vers les lits, Rachel bien encadrée par les deux mecs qui commencent l’un à lui triturer ses gros seins, l’autre à masser ses fesses volumineuses.Hervé, dont la branlette avait commencé avant que Marie prenne les choses en main, est le premier à jouir. Dans un petit cri, il se cambre et son sperme envahit la main de Marie et gicle sur la table et sur le ventre de Hervé. Marie d’autant plus excitée se penche vers le sexe de Luc et le prend en bouche. Chloé est, elle aussi, au bord de l’explosion, son petit clito tout dressé est l’objet de toutes mes attentions. D’un coup, je la sens se raidir et mes cuisses sont envahies de son jus poisseux et abondant. Cette sensation a pour effet immédiat de m’amener au bord de l’extase et quelques coups de branlette plus loin, j’explose à mon tour dans le dos de Chloé, des jets atteignant même ses cheveux. Luc explose rapidement à son tour et la bouche de Marie est envahie par le jus de son copain qui déborde même, dégoulinant sur le visage de la jeune fille !Les trois autres ont pris du retard. Couchée sur le lit, sur le dos, Rachel a un homme, Rémi, qui s’occupe de ses seins, et un autre, Phil, qui lui caresse la chatte. Elle guide Phil pour qu’il lui lèche la chatte. Celui-ci se glisse entre les cuisses et écarte les poils touffus noirs de la chatte pour atteindre de sa langue les lèvres écartées et dégoulinantes. Hervé, dont la bite a de nouveau grossi, se dirige vers le petit groupe et se place sur le visage de Rachel, le sexe au niveau de la bouche. Rachel enfourne la bite fine et longue peu poilue et commence à la sucer. Chloé se retourne sur mes genoux pour me faire face. J’ai ses seins au niveau du visage et, sortant ma langue, je commence à les titiller tendrement. Elle prend ma bite à deux mains et, se levant, la guide dans son vagin. La douce chaleur de sa chatte excitée m’envahit. L’étroitesse du tuyau rend encore plus excitant le moment. Et je monte vite vers un nouvel orgasme. De leur côté, Luc et Marie nous imitent et Marie, se couchant sur la table, reçoit entre les reins le sexe gonflé de Luc. L’orgie bat son plein. La nuit s’annonce longue.À suivre…