L’Ă©tĂ© dernier, après que ma fille Linda, agĂ©e de 18 ans, ait obtenu son diplĂ´me, elle a voulu aller camper une dernière fois avant de rentrer Ă l’universitĂ©. Je me suis dis pourquoi pas, après tout je ne pourrait pas la voir pendant un certain temps et que ce serait bien pour nous deux d’aller camper. Alors elle m’a demandĂ© si je serais d’accord si une amie nous accompagnait. « Bien sĂ»r, pourquoi pas », ai-je rĂ©pondu.J’ai dĂ©cidĂ© de prendre mon vendredi, ainsi nous pourrions partir le jeudi et monter dans les montagnes pour trouver un coin tranquille. Jeudi quand je suis rentrĂ© du travail ma fille et sa petite amie m’attendaient Ă la maison. Je n’avais jamais rencontrĂ© cette amie, mais laissez-moi vous dire que c’était un vrai canon. »Salut Papa, nous avons entièrement chargĂ© le camping-car », dit-elle. »Bien, qui est ton amie? » »Oh excuse-moi, je te prĂ©sente Sandy » »Salut Sandy, vous aimez le camping? » »C’est la première fois Mr. Dean » »Je suis sĂ»r que vous apprĂ©cierez,” dis-je essayant de ne pas saliver sur son corps magnifique.Nous avons fini le chargement et nous nous sommes dirigĂ© vers les montagnes. Je connaissais un bon endroit qui Ă©tait reculĂ© dans les bois et oĂą il y avait des sources chaudes Ă quelques distances de marche. J’y Ă©tais allĂ© pour la chasse et peu de gens ne le connaissait. Nous sommes arrivĂ©s vers 5 heures de l’après-midi et nous avons installĂ© le campement. »Pouvons-nous dormir sous la tente, Papa? » »Si vous voulez, mais il pourrait faire froid pendant la nuit. » »Nous avons nos sacs de couchage et des couvertures. » »D’accord. » Dis-je.Elles se sont Ă©loignĂ©es Ă environ 10 mètres du camping-car et ont installĂ© la tente. Je pouvais les entendre toutes les deux riant nerveusement tandis que je ramassais du bois de chauffage. J’ai allumĂ© un bon feu-de-camp et je me suis installĂ© dans une chaise pour me dĂ©tendre. Habituellement je suis un buveur de bière mais pour je ne sais quelle raison j’avais achetĂ© un flash de whisky (bien sĂ»r j’avais aussi de la bière) et quelques boissons rafraississantes pour les filles. »Nous voulons aller aux sources pour une baignade? dit ma fille. »Il se fait tard. » Ai-je rĂ©pondu. »Ah, viens Papa » implora-t-elle.Alors nous y sommes allĂ©s. Quand nous sommes arrivĂ©s aux sources la vapeur montait lentement de l’eau chaude. Nous sommes tous entrĂ© dans l’eau et avons commencĂ© Ă nous dĂ©tendre. J’ai laissĂ© ma tĂŞte aller en arrière et j’ai fermĂ© les yeux, et comme je m’Ă©tendais je les ai entendus commencer Ă rire nerveusement. J’ai ouvert les yeux juste assez pour les voir. Elles me regardaient et chuchotaient entre elles. Après cette baignade nous sommes retournĂ©s au campement.Il faisait presque nuit et le feu allait bien. Les filles Ă©taient dans leur tente parlant de sujet de fille. Elles avaient une petite lanterne et je pouvais voir leurs silhouettes sur le cĂ´tĂ© de la tente. C’est alors que j’ai ouvert grand les yeux, pendant qu’elles se changeaient en retirant leurs maillots de bain humides. Je me suis assis lĂ , observant leurs ombres pendant qu’elles se dĂ©shabillaient.Pendant que Sandy se dĂ©shabillait j’ai commencĂ© Ă bander, elle avait de magnifiques formes pour une fille de 18 ans. BientĂ´t elles sont sorties et m’ont rejoint près du feu et nous nous sommes assis pour parler. A ce moment j’avais bu environ six mĂ©langes de boissons fortes et je commençais Ă me sentir très bien. Je me suis levĂ© et je suis entrĂ© dans le camping-car pour prendre des saucisses Ă faire griller. C’est alors que j’ai entendu ma fille. »Mon père en a une grosse,” dit-elle. »Comment le sais-tu? » a demandĂ© Sandy en ricanant. »Je l’ai vu » »Quand l’as tu vu? » »Une nuit qu’il Ă©tait ivre et qu’il Ă©tait sur le divan j’ai ouvert son peignoir. » »VRAIMENT?  » demanda Sandy. »Ouai, et je l’ai caressĂ© et il est devenu dur. » »Je n’ai jamais vu un sexe d’homme. » »Et bien peut-ĂŞtre que nous aurons de la chance et qu’il sortira. S’il le fait je te montrerai. » RĂ©pondit ma fille.Entendre ma fille dire ça Ă son amie m’a non seulement choquĂ© mais m’a Ă©galement excitĂ©. J’ai pensĂ© que ce pourrais ĂŞtre juste un amusement que de les laissĂ©s faire. Ainsi j’ai dĂ©cidĂ© de feindre d’être ivre et je suis sorti. Je suis revenu avec les saucisses et un gourdin. »Voici des saucisses Ă griller,” dis-je »D’accord Papa, dĂ©sires-tu un autre verre? » »Bien sĂ»r pourquoi pas, je suis ici pour me reposer. » Dis-je.Je notais que Sandy m’observait pendant que je faisais griller ma saucisse sur le feu. La chaude lueur du feu Ă©clairait son visage et elle semblait tellement dĂ©licieuse assise lĂ . Je me suis levĂ© et du coin de l’oeil j’ai vu son regard descendre vers le bombement de ma braguette. Sachant qu’elle me regardait cela a fait devenir mon sexe encore plus dur. Je pensais que c’étais l’heure de mettre mon plan en action, ainsi j’ai feint de trĂ©bucher comme si j’Ă©tais ivre.Je suis restĂ© ainsi pendant environ une heure feignant d’être ivre. Alors j’ai demandĂ© Ă ma fille de m’aider Ă rentrer dans le camping-car. Elle en Ă©tait plus qu’heureuse. Une fois Ă l’intĂ©rieur je lui ai dit que j’allais bien. Après qu’elle m’ait laissĂ© je me suis dĂ©habillĂ© nu et j’ai enfilĂ© mon peignoir puis me suis glissĂ© dans le lit.La fenĂŞtre Ă©tait ouverte et je pouvais les entendre rire nerveusement mais je ne pouvais pas comprendre ce qu’elles disaient. J’ai jetĂ© un coup d’oeil par la fenĂŞtre pour voir ce qu’elles faisaient ; elles Ă©taient dans leur tente. Voyant qu’elles avaient allumĂ© la lanterne je pouvais voir qu’elles Ă©taient prĂŞtes Ă se mettre au le lit. Je me suis recouchĂ© en pensant ‘ »Et bien je pense que ce n’est pas pour ce soir ».Environ 30 minutes ont passĂ© quand j’ai entendu la porte au camping-car s’ouvrir lentement, mon coeur a battu plus fort. J’avais laissĂ© exprès la veilleuse allumĂ©e ainsi je pouvais les voir dans la faible lumière. Comme j’étais Ă©tendu lĂ feignant de ronfler je pouvais les voir par la fente dans mes yeux pendant qu’elles approchaient du lit. Toutes les deux portaient des t-shirts et je pouvais voir leurs belles jambes. »Il dort? » entendis-je demander Sandy. »Ouai, je le pense » rĂ©pondit ma fille. »Papa? Tu es rĂ©veillĂ©? » pendant qu’elle me secouait lĂ©gèrement l’épaule.Je n’ai fait aucun mouvement mais j’ai conservĂ© mon ronflement. Je pouvais sentir mon sexe devenir plus dur pendant que Linda rampait Ă cĂ´tĂ© de moi, et Sandy allait de l’autre cĂ´tĂ©. S’agenouillant Ă cĂ´tĂ© de moi Linda Ă tendu sa main vers le bas, a dĂ©tachĂ© mon peignoir et l’a ouvert, exposant mon sexe Ă©rigĂ©. »Waouh, son sexe est dur,” dit Sandy »Ouai, et regarde comment il est gros. » RĂ©pondit Linda.Toutes les deux sont juste assises lĂ l’admirant alors que j’entendais le chuchotement de Sandy, « je te mets au dĂ©fi de le toucher ». Linda plaça sa main sur ma queue et commença Ă la caresser lĂ©gèrement. Elle fit courir sa main tout le long, de la tĂŞte de mon sexe jusqu’à mes testicules. La sensation de sa main chaude me touchant a fait dresser mon sexe d’excitation. Elles ont ricaner toutes les deux. »Maintenant c’est Ă ton tour de la toucher ». Toutes les deux se sont assises lĂ et ont jouĂ© avec quelques minutes. »Je te mets au dĂ©fi de l’embrasser,” dit Sandy.Sur ce ma fille a enroulĂ© sa main autour de mon sexe et s’est penchĂ© au dessus et a embrassĂ© sa tĂŞte, puis tandis que ma fille le tenait Sandy s’est penchĂ© et l’a embrassĂ© aussi. »As-tu dĂ©jĂ sucĂ© un sexe d’homme? » demanda ma fille. »Non » rĂ©pondit Sandy »Je l’ai dĂ©jĂ fait et de voir le sexe dur de mon père me donne l’envie de le sucer. Tu le suceras si je le fait? » »Ouai, mais si il se rĂ©veille? » dit Sandy. »Je ne le pense pas, il est trop ivre ». Ma fille alors s’est penchĂ©e plus et a glissĂ© ses lèvres chaudes au-dessus de la tĂŞte de mon sexe et a commencĂ© Ă la sucer lentement. Alors qu’elle le faisait j’ai senti son autre main glisser vers le bas et caresser doucement mes testicules. C’était tellement bon que j’ai dĂ» encore m’Ă©tendre et feindre que j’étais endormi.Alors Sandy a pris son tour pour sucer mon sexe. C’Ă©tait la première fois. Elle n’avait jamais vu un sexe et encore moins sucĂ© un, aussi elle ne savait pas vraiment. Quand elle a glissĂ© sa bouche sur lui elle en a pris trop et a commencĂ© Ă hoqueter. »Prend-le doucement, n’essayent pas de le prendre profondĂ©ment dans la gorge, lèche le juste et suce lui la tĂŞte » conseilla ma fille Ă Sandy.Sandy l’a retirĂ© jusqu’Ă ce qu’elle n’ai eut que la tĂŞte de mon sexe. Elle a fait tourner sa langue autour d’elle lentement pendant qu’elle dĂ©plaçait sa bouche de haut en bas prenant seulement que quelques centimètres de mon sexe. La sensation de ces deux jeunes filles me suçant Ă©tait fantastique. Sandy a finalement finie et s’est assise. »Tu penses qu’il a senti çà ? » demanda Sandy. »Non, il est complètement Ă©teind, je ne pense pas que quelque chose peut le rĂ©veiller quand il est ivre. » »S’il est endormi comme tu le dis alors je te mets au dĂ©fi de baiser son sexe.” dit Sandy en ricanant. »Je ne sais pas, cela pourrais le rĂ©veiller. » dit Linda. »FROUSSARDE » chuchota Sandy »D’accord, je vais le faire »J’ai pensĂ© en moi-mĂŞme, « c’est trop beau pour ĂŞtre vrai » alors que ma fille s’est levĂ©e du lit et a enlevĂ© sa culotte. Elle ai alors venu sur moi et a enfourchĂ© mon sexe. S’abaissant elle a guidĂ© mon membre dur dans son petit chat excitĂ©. Lentement elle s’est abaissĂ©e sur lui le laissant glisser profondĂ©ment l’intĂ©rieur. Elle a commencĂ© lentement Ă aller et venir baisant ma virilitĂ© .Je ne pouvais pas croire Ă ce qui se produisait. Je voulais la saisir et commencer Ă pousser mon sexe dans son petit trou Ă baise humide mais j’avais peur que si je le faisais je les effrayerais et qu’elles ne le referaient plus, aussi je me suis juste Ă©tendu lĂ et je l’ai laissĂ© continuer baiser mon sexe tandis que Sandy observait. Puis j’ai entendu son gĂ©missement aussi je l’ai dĂ©visagĂ© par la fente dans mes paupières et ai vu que ses yeux Ă©taient fermĂ©s et qu’elle respirait fortement pendant qu’elle me chevauchait.Soudainement j’ai senti son chat se serrer autour de mon sexe et son corps tout entier a commencĂ© Ă trembler pendant qu’elle avait un puissant orgasme. Je ne pouvais pas me retenir et mon sexe a Ă©clatĂ© envoyant ma chaude jouissance profondĂ©ment dans sa chatte patiente. Ma fille s’est assise lĂ pendant une minute puis est redescendu de moi. Mon coeur battait tellement rapidement que je pensais que j’allais avoir une crise cardiaque. »A ton tour maintenant. » dit-elle Ă Sandy, mais Sandy refusa. Alors elles sortirent et retournèrent de nouveau Ă leur tente. Je m’Ă©tendis lĂ , Ă©puisĂ©, mais encore excitĂ©. Alors je me suis caressĂ© moi-mĂŞme en pensant Ă baiser Sandy. J’ai dĂ©cidĂ© que demain soir j’allais jouer Ă un jeu avec elles et les baiser toutes les deux.TĂ´t le lendemain matin je me suis levĂ© et j’ai dĂ©marrĂ© un feu. Je ne pouvais pas cesser de penser Ă ce qui c’était produit la nuit d’avant. La pensĂ©e d’avoir Ă©tĂ© baisĂ© par ma propre fille Ă©tait au-dessus de tout entendement. Je pouvais encore la voir baisant mon sexe et plus je pensais Ă cela, plus j’étais excitĂ©. J’ai entendu les filles commencer Ă remuer dans leur tente et alors Sandy ai sorti pour se chauffer près du feu.J’ai continuĂ© Ă m’occuper du feu comme si rien ne s’Ă©tait produit la nuit d’avant. Pendant qu’elle se tenait lĂ dans sa chemise de nuit je ne pouvais pas l’aider mais penser Ă sa beautĂ©. Elle avait de longs cheveux brun qui tombaient sur ses Ă©paules et sa peau semblait si douce. Elle s’est retournĂ©e tournant le dos au feu chauffant ses miches. Alors qu’elle me tournait le dos, je me suis penchĂ© pour mettre plus de bois dans le feu et ceci m’a donnĂ© l’occasion de regarder sous sa chemise de nuit.Mes yeux ont suivi ses longues jambes savoureuses jusqu’Ă ce qu’ils arrivent Ă sa petite culotte blanche. Je me suis juste assis lĂ admirant son petit cul rond souhaitant que je pouvais juste avancer la main et le toucher. Mon sexe commençait Ă devenir dur aussi je me suis levĂ© et je suis allĂ© prĂ©parer le petit dĂ©jeuner. J’ai entendu ma fille sortir de la tente. Elle et Sandy parlaient près du feu quand je suis sorti du camping-car avec la nourriture. »Bonjour Papa, as-tu bien dormi? » demanda ma fille. »Bien sĂ»r, j’ai dormi comme une souche, » dis-je feingnant ne pas savoir autre chose. »Papa tu Ă©tait vraiment ivre la nuit dernière, j’ai dĂ» t’aider Ă te coucher, » dit-elle pendant qu’elles se regardaient l’une l’autre et ricanaient. »J’espère que je n’ai pas fait de bĂ©tise moi-mĂŞme ou embarrassĂ© l’une ou l’autre de vous » ai-je rĂ©pondu. »Pas du tout, en fait tu as Ă©tĂ© vraiment bon Ă propos de tout » dit-elle avec un sourire.Après le petit dĂ©jeuner les filles sont allĂ©es sur une hauteur me laissant Ă moi-mĂŞme. J’ai nettoyĂ© autour du camp, ramassĂ© du bois de chauffage puis je suis descendu Ă la rivière pour tenter ma chance d’attraper des truites. Pendant que je marchais en descendant Ă la pĂŞche j’ai entendu la voix familière de ma fille venant de l’autre cĂ´tĂ© de la rivière. Je suis tranquillement remontĂ© près d’oĂą elles se Ă©taient assises Ă travers la rivière et Ă©coutĂ© leur conversation.' »Sapristi! SĂ»r que c’était quelque chose la nuit passĂ©e » ai-je entendu dire Sandy. »Tu peux le dire! J’ai toujours voulu le baiser mais je n’ai jamais eu les tripes pour. » A rĂ©pondu ma fille. »C’était bon? Je veux dire comment tu l’a ressenti? » a demandĂ© Sandy. »C’est dur Ă dĂ©crire mais c’est un sentiment merveilleux de sentir un sexe Ă l’intĂ©rieur de ta chatte. » »Tu-as joui? » »Ouai, et je pense que j’ai fais jouir aussi mon père. » »Il a joui? » »Je le pense , mais je n’en suis pas sĂ»r. J’ai soudain senti quelque chose de vraiment chaud et je pense que s’étais son sexe Ă©jaculant Ă l’intĂ©rieur de ma chatte. » »Oh maintenant je pense que je l’aurait fait, mais j’ai Ă©tĂ© effrayĂ©, je n’ai jamais Ă©tĂ© avec un homme » dit Sandy. »Tu veux dire que tu es toujours VIERGE? » »Oui, je veux essayer, je ne sais pas comment et j’ai peur que ça fasse mal. » »Ca fait mal seulement pendant une minute oĂą il fait sauter votre verrou puis ont se sent merveilleusement bien. » dit ma fille Ă Sandy.Entendant que Sandy Ă©tait toujours vierge m’a incitĂ© Ă la vouloir encore plus. La pensĂ©e de faire sauter son verrou a fait durcir mon sexe et je savais de quelle manière la faire entrer dans mon lit. Tranquillement je suis parti et suis allĂ© retournĂ© au campement.