LE DECOR – LES PERSONNAGES – LES CIRCONSTANCESMarc et moi venions d’avoir 18 ans.Nous nous Ă©tions connus en camping avec nos parents et partagions l’amour de la nature, sans doute du au fait que nous venions chacun d’une grande ville.Nous Ă©tions restĂ©s en contact et avions mĂŞme planifiĂ© de nous revoir l’annĂ©e suivante afin de partir, pour la première fois (!) sans nos parents en vacances sauvages dans le Vercors.Nos parents Ă©taient très inquiets et nous très excitĂ©s!Lorsque nous nous sommes retrouvĂ©s, nous avions tout prĂ©vu: tente canadienne ultra lĂ©gère avec armature en fibre de verre, rĂ©chaud, cartouches, nourriture en sachets, gourde, duvets, etc.. Et carte IGN + boussole pour l’excursion sauvage dans des endroits supposĂ©s inexplorĂ©s.Nous sommes partis d’un refuge oĂą de nombreux autres passionnĂ©s de la nature avaient dormis; nous avions remarquĂ© ces deux jeunes filles de type suĂ©doises, très blondes, aux cheveux très long et lisse qui avaient dormis dans une chambre non loin de nous.Tout le monde les avait remarquĂ©es en fait!Mais cela n’avait pas Ă©tĂ© plus loin qu’un simple coup d’œil, trop affairĂ© par notre dĂ©part vers l’aventure!Nous nous sommes mis en route sous une chaleur accablante de cet Ă©tĂ© 2003 et avons tout de suite bifurquĂ© vers des chemins peu usitĂ©s afin d’y trouver le calme et la solitude, en direction des sommets.Au fur et Ă mesure que nous progressions, les promeneurs devenaient de plus en plus rare. Nous nous sommes arrĂŞtĂ©s pour la pose dĂ©jeuner sur un joli promontoire qui dominait la vallĂ©e; de lĂ nous pouvions voir plusieurs sections du sentier qui serpentait que nous avions empruntĂ© et lĂ , surprise, nous pouvions apercevoir la silhouette d’un couple de marcheurs Ă environ une heure de marche de notre endroit. Nous ne pouvions distinguer que deux personnes, rien de plus.Nous avons commencĂ© Ă grignoter lorsqu’un monsieur âgĂ© descendait le sentier en direction de la vallĂ©e; nous voyant, il a immĂ©diatement engagĂ© la conversation comme c’est l’usage entre promeneurs; je remarquais qu’il avait une paire de jumelle et lui demandais si je pouvais lui emprunter une minute.Je fis mine de regarder la vallĂ©e mais très vite je dirigeais mes yeux vers le sentier en aval et tout Ă coup repĂ©rais mes deux promeneurs qui marchaient dans notre direction.LĂ , mon cĹ“ur se mis Ă palpiter lorsque je reconnus les deux « suĂ©doises »! Elles Ă©taient sublimes! Elles avaient de grosses chaussures de marche, de grosses chaussettes, l’une portait un short jean et l’autre une jupe en toile ouverte sur le cĂ´tĂ© avec les deux pans recouverts afin de faciliter les mouvements et toutes les deux portaient des bustiers sans manches qui dĂ©voilaient leurs Ă©paules et leur ventre plat, mais surtout des casquettes amĂ©ricaines Ă longue visière et des lunettes de soleil foncĂ©es qui leur donnaient un look ravageur! On aurait dit 2 James Bond girls Ă©chappĂ©es d’un film! Elles Ă©taient Ă tomber par terre!Le vieil homme me demanda si j’avais trouvĂ© quelque chose d’intĂ©ressant Ă voir; Je lui bredouillais quelque chose et lui rendais aimablement ses jumelles.Il repartit et très excitĂ©, j’annonçais la nouvelle Ă Marc qui sembla tout aussi excitĂ© que moi; elles n’étaient pas Ă plus d’une demi-heure et nous dĂ©cidâmes de les attendre en prolongeant notre « festin ».LA RENCONTREFaisant mine de ne pas les avoir vu arriver, elles passèrent derrière nous et…. S’arrĂŞtèrent.Le dialogue s’engagea, banal mais très amical. Elles n’étaient pas farouches. Elles s’appelaient MarĂ©va et Gabrielle. Les voyant de près, nous rĂ©alisâmes alors Ă quel point elles Ă©taient belles, sculpturales et très musclĂ©es. Elles avaient 25 et 26 ans et ce qui ressortit rapidement de la conversation, c’est qu’elles nous dominaient largement par leur maturitĂ©! Du haut de nos 18 printemps Ă peine affranchis, et puceaux encore que nous Ă©tions, nous ressemblions de deux jeunes gamins naĂŻfs!Le mot qui me revenait constamment Ă l’esprit Ă©tait « assurer »: elles assuraient! Elles avaient Ă n’en pas douter une grande expĂ©rience de bourlingueuses et les quelques allusions Ă notre jeune age… Laissaient aussi Ă penser qu’elles avaient quelques longueurs d’avance en matière sexuelle!Bref, la conversation qui ressemblait plus Ă celle d’une grande sĹ“ur s’adressant Ă son petit frère nous conduisit nĂ©anmoins Ă s’accorder de faire un bout de chemin ensemble.Et après avoir avalĂ© quelques fruits et pris une bonne rasade d’eau fraĂ®che, elles se remirent en route sans mĂŞme regarder si nous Ă©tions prĂŞts!Nous avons alors marchĂ© une bonne heure en file indienne dans un sentier Ă©troit qui montait le plus souvent; je me trouvais en 3 ème position, juste derrière elles et au grĂ© des obstacles ou grandes marches Ă franchir, j’étais aux premières loges! Le barda que nous transportions, elles et nous, Ă©tait assez lourd et les franchissements hauts demandaient une gesticulation… Lente laissant tout loisir d’admirer leurs beaux muscles en action! Mais aussi de voir s’arrondir leurs fessiers jusqu’à la limite de rupture du petit short en jean de la première et jusqu’au large Ă©chancrĂ© de la jupette de la deuxième qui, ainsi, rĂ©vĂ©lait la blancheur de sa culotte de coton!J’avais les yeux Ă©carquillĂ©s et il n’était pas rare que je trĂ©buche pour ne rien louper du spectacle! Marc se tordait le cou pour voir au-dessus de mon Ă©paule et nos cerveaux Ă©chafaudaient dĂ©jĂ des idĂ©es malsaines!Tout d’un coup, Gabrielle qui Ă©tait juste devant moi, s’arrĂŞta net et je lui rentrai dedans; j’étais confus et m’excusa; Elle dit  » Ecoutez »; il y avait un bruit de rivière ou de torrent Ă proximitĂ©.Nous avons alors quittĂ© le sentier et nous sommes dirigĂ©s vers ce torrent Ă travers les broussailles et les rochers.LE BAIN EROTIQUENous avons alors dĂ©couvert un endroit magnifique, très encaissĂ© mais avec un torrent entourĂ© d’immenses rochers, avec une poche d’eau calme dans un bras bordĂ© d’une petite plage de galets.L’accès Ă©tait pĂ©rilleux et nous dĂ©cidâmes de laisser descendre nos sacs Ă dos au bout d’une corde afin d’être plus Ă l’aise pour rejoindre la petite plage. Les filles, plus aguerries et plus sportives passèrent les premières. Nous les regardâmes manĹ“uvrer avec agilitĂ©, leurs tignasses blondes rejetĂ©es en arrière, leurs Ă©paules nues en action et leurs muscles bandĂ©s au maximum.Puis, ce fut notre tour et tout en descendant, elles nous guidèrent dans nos prises….et ne manquèrent pas de nous complimenter sur nos petits culs d’adolescents! Il faut dire qu’en short et suspendus Ă la paroi juste au-dessus d’elles, nous ne pouvions guère nous dissimuler!Une fois en bas nous prĂ®mes quelques instants pour admirer l’endroit.Puis, nous dĂ©cidâmes de planter nos tentes pour la nuit; nous nous sommes Ă©cartĂ©s d’elles afin de ne pas les dĂ©ranger et le travail fini, nous sommes allĂ©s tâter l’eau.La chaleur Ă©tant ce qu’elle Ă©tait, la froideur de l’eau ne semblait arrĂŞter personne! Les filles furent les premières Ă vouloir se baigner. Par contre, aucun de nous n’avions prĂ©vu de maillot de bain… Nous nous sommes alors rĂ©solus Ă rester en sous-vĂŞtements et alors que nous nous surveillons du coin de l’œil ( avide! ), nous avons retirĂ© nos T-shirt et nos shorts pour nous retrouver en slip. Les filles ont fait de mĂŞme, le sourire aux lèvres, parfaitement consciente de l’effet qu’elles produisaient sur nous!Elles ont lentement retirĂ© le mini short pour l’une et la jupette pour l’autre, puis leurs brassières pour se retrouver en slip et en SG. Leur corps Ă©taient magnifiques et nous n’arrivions pas Ă nous dĂ©tourner le regard, lorsqu’elles se jetèrent Ă l’eau en courant!Telles des scandinaves qui brisent la glace pour se baigner, elles semblaient complètement insensibles Ă la froide tempĂ©rature du torrent. Crânement, nous avons voulu faire de mĂŞme, mais nous avons dĂ» rentrer dans le bain petit Ă petit sous leurs rires sarcastiques!Le bras du torrent dĂ©crivait une grande courbe oĂą des eaux plus calmes permettaient de nager tranquillement. BientĂ´t, nous avons jouĂ© Ă nager les uns après les autres et l’ambiance insouciante dĂ©gageait une telle chaleur que nous en avions oubliĂ©s la faible tempĂ©rature de l’eau. Nous avons jouĂ© Ă nous Ă©clabousser avec de grandes gerbes d’eau, Ă nous attraper par les pieds, Ă se cacher, bref nous nous amusions beaucoup. Nous sommes ressortis pour nous reposer et nous allonger et sĂ©cher sous ce soleil de plomb.Puis un quart d’heure plus tard, les filles ont proposĂ© d’y retourner et comme Ă leur habitude, elles se levèrent d’un bond et plongèrent.Le temps de nous lever, elles Ă©taient dĂ©jĂ dans l’eau! Nous les suivirent de nouveau mais lorsque nous nageâmes vers elles, qu’elle ne fut pas notre surprise! Elles avaient retirĂ© leur SG! C’est pour les faire sĂ©cher nous expliquèrent-elles et c’est plus confortable dans l’eau. Vous n’avez rien contre demandèrent-elles candidement? Oh que non! Faites comme chez vous!Dans l’eau nous ne pouvions que deviner leurs formes, mais que c’était excitant! Je ne voulais pas rater le moment oĂą elles devraient sortir de l’eau! Mais Marc suggĂ©ra une idĂ©e qui allait nous combler de bonheur! Il y avait un gros rocher qui surplombait le bras calme du torrent et il suggĂ©ra que nous plongions d’en haut. Il faisait bien 4 Ă 5 mètres de haut mais pour l’escalader en sortant de l’eau n’était pas si facile car plutĂ´t abrupte.Je pensais qu’elles seraient gĂŞnĂ©es de sortir de l’eau Ă notre vue dans cette tenue topless, mais au contraire, elles Ă©taient enthousiasmĂ©es et… Passèrent les premières!Elles s’agrippèrent Ă une première prise et tirèrent de toutes leur forces pour s’extraire de l’eau. Leurs opulentes poitrines ruisselantes d’eau apparurent alors Ă nos yeux Ă©blouis!Elles s’élevèrent alors doucement hors de l’eau et leur postĂ©rieures firent Ă leur tour une apparition! Leurs slips en coton, tous trempĂ©s, Ă©taient devenus Ă moitiĂ© transparents et c’est le souffle court que nous contemplions un tel spectacle.Leurs fesses rebondies qui se trĂ©moussaient devant nos yeux exorbitĂ©s et leur dos cambrĂ©s sur lesquels leurs longs cheveux dĂ©goulinaient propulsaient en avant leur fermes poitrines aux tĂ©tons tout dur de la fraĂ®cheur de l’eau… MalgrĂ© la tempĂ©rature, je sentais inexorablement mon sexe se gonfler! Le spectacle Ă©tait d’un Ă©rotisme trop puissant pour que mon jeune sexe de 18 ans puisse rester de marbre; et Marc Ă©tait semble t-il dans le mĂŞme Ă©tat!Elles escaladèrent prestement le rocher et s’assirent fièrement sur le promontoire… attendant notre tour!! Je priais le ciel pour que ma verge reprenne des dimensions plus dĂ©centes et je commençais mon ascension aux cĂ´tĂ©s de Marc… Une fois sortis de l’eau, nos slips arboraient une mĂ©chante bosse mais Ă mon grand soulagement, du promontoire, elles ne pouvaient rien voir… Cela nous laissait une minute pour refroidir nos ardeurs. Du moins si rien d’autre ne venait contrarier ce scĂ©nario… Car arrivĂ© Ă mi-chemin, voyant nos hĂ©sitations Ă trouver une prise, les deux filles s’approchèrent du bord pour nous guider…. Mais dans quelles positions!!!L’une Ă©tait Ă quatre pattes pour avancer son visage plus en avant et ses seins ronds et plains se ballottaient sous elle et juste au-dessus de nous! Quant Ă MarĂ©va, elle Ă©tait assise tout au bord, les genoux ramenĂ©s sur sa poitrine et les mains autour, offrent ainsi sa vulve rebondie bien en saillie sous le tissu mi-transparent Ă notre regard!! Nos queues se redressèrent comme jamais et c’est avec nos slips en forme de tente que nous sommes arrivĂ©s sur le promontoire, ivres de honte et d’excitation!Les filles nous jetèrent un regard amusĂ© mais très appuyĂ© ce qui ajouta Ă nos sentiments mĂŞlĂ©s…—  » Qui passe en premier? » Demanda Gabrielle.—  » Laissez moi passer » rĂ©pondit Marc qui ne pouvait supporter d’exhiber ainsi son Ă©tat Ă nous tous! Et il sauta les pieds en avant, suivi de moi-mĂŞme. Nous nous sommes Ă©cartĂ©s pour laisser les filles sauter mais Ă notre grande surprise, elles… Plongèrent la tĂŞte la première! De cette hauteur, nous Ă©tions impressionnĂ©s et lorsqu’elles refirent surface, nous nous sommes empressĂ©s de les fĂ©liciter mais elles riaient Ă gorges dĂ©ployĂ©es et ne comprenions pas pourquoi?….jusqu’à ce qu’elles exhibent leur…. Slip!! Qu’elles avaient perdu en plongeant ! Elles en pleuraient de rire et alors qu’elles essayaient de les remettre tout en nageant, nous nous sommes mis Ă les poursuivre pour leur piquer!! Le jeu Ă©tait follement excitant et plus on se rapprochait d’elles, plus elles riaient et nous aussi! C’est alors que le contact se fĂ®t entre Marc et Gabrielle et MarĂ©va et moi. Marc parvint Ă attraper le slip de Gabrielle et ils tiraient chacun de leur cĂ´tĂ© tant et si bien qu’il… Craqua!De mon cotĂ©, MarĂ©va avait rĂ©ussit Ă renfiler son sous vĂŞtement jusqu’au genoux; alors je n’hĂ©sitais pas Ă plonger pour l’attraper et le tirer vers le bas, apercevant au passage sous l’eau mais très subrepticement… Son sexe!! Je le tenais fermement et voyant qu’elle allait le perdre, elle se jeta Ă son tour sur moi et … Agrippa sauvagement le mien qu’elle tira dans tous les sens jusqu’à ce qu’il se dĂ©chire et libère mon gros sexe tout bandant!Pendant ce temps, pour se venger Gabrielle en faisait autant avec Marc et bientĂ´t nos sous-vĂŞtements se perdirent par petits bouts au fond du torrent! Nous nous sommes alors retrouvĂ©s tous les quatre complètement nus Ă nous regarder en rigolant.MarĂ©va, pliĂ©e de rire dit  » Qui veut encore plonger? »—  » Les garçons en premiers  » dit Gabrielle Ă©tranglĂ©e de rire.Marc et moi nous sommes regardĂ©s, tout rouges, ne sachant pas quoi faire; d’un cĂ´tĂ© si on ne remontait pas sur le rocher, elles n’iraient pas non plus et nous perdrions peut-ĂŞtre une occasion unique de les voir entièrement nues pendant tout le temps de l’escalade; mais, d’un autre cotĂ©, on allait devoir s’exhiber, et sous quel angle! Et avec nos Ă©rections Ă tout rompre, c’était si embarrassant, si humiliant!J’eus alors une idĂ©e lumineuse! Je suggĂ©rais: « OK; Marc et moi allons monter sur le rocher; mais vous attendrez que nous ayons plongĂ© pour que vous montiez Ă votre tour »!Elles ne s’attendaient pas à ça mais trouvaient que c’était juste… Et acceptèrent!!!Ils ne restaient plus qu’à prendre notre courage Ă deux mains et Ă .. Le faire. Leurs yeux gourmands et leurs ricanements ne nous aidaient guère mais après maintes hĂ©sitations, nous avons agrippĂ© une prise et nous sommes … Extraits de l’eau…Lorsque nos fesses leurs sont apparues, nous avons entendu quelques gloussements de satisfaction mais lorsque nous avons dĂ» largement ouvrir nos jambes pour aller chercher une prise lointaine, nos couilles se sont totalement dĂ©voilĂ©es Ă leur regard lubrique et j’en failli lâcher prise et retomber! Ma queue toute dressĂ©e devant moi me gĂŞnait terriblement car je ne pouvais m’approcher de la paroi comme il aurait fallu. Au moins, pensais-je, si elles voient mon cul et mes couilles, ma queue, entre mon bas ventre et le rocher Ă©tait Ă l’abri de leur regard! Mais les satanĂ©es diablesses se positionnèrent latĂ©ralement pour ne rien manquer!C’est ainsi, que, complètement nus et le sexe pulsant Ă l’horizontal sous les regards perçants de deux superbes blondes nues elles aussi, je grimpais tant bien que mal, le souffle court et l’esprit barbouillĂ© de honte et de plaisir. J’atteignais pĂ©niblement le promontoire et aidais Marc Ă se relever; c’est alors qu’en le tirant, au moment ou nous Ă©tions debout, il perdit lĂ©gèrement l’équilibre et s’affala sur moi; afin d’éviter la chute, je le rattrapais sous les aisselles mais un court instant, nos corps se sont plaquĂ©s l’un contre l’autre, poitrine contre poitrine et … Sexe contre sexe! Nos queues se sont entrechoquĂ©es et les filles poussèrent une sorte de cri d’effroi devant cet incident Ă´ combien Ă©vocateur! Nous Ă©tions extrĂŞmement gĂŞnĂ©s et le temps de reprendre nos esprits et de se positionner pour sauter, les filles eurent tout le temps d’admirer, et notre plastique, et notre Ă©tat en leur faisant face, debout, les jambes lĂ©gèrement Ă©cartĂ©es, nos queues bien droites, juste au-dessus de leurs tĂŞtes! Rien, strictement rien de notre anatomie n’avait pu leur Ă©chapper!Nous avons sautĂ© ensembles dans une immense gerbe d’eau, bien soulagĂ© de mettre fin Ă ce supplice et bien content deA ce stade, Marc et moi fomentions les plus fous espoirs!Très vite, nous avons repris nos esprits Ă l’idĂ©e du spectacle qui allait nous ĂŞtre donnĂ©Â !Et c’est avec un beau sourire narquois que nous les avons vivement encouragĂ© Ă se mettre…en piste.Nullement dĂ©concertĂ©es ni le moins du monde embarrassĂ©es, elles commencèrent leur escalade rĂ©vĂ©lant de nouveau leurs superbes poitrines et leur splendides culs tout ronds, tout fermes mais, cette fois…plus rien pour nous cacher quoique se soit ! Et c’est le souffle coupĂ© que nos yeux se portèrent sur leurs croupes rebondies et qui s’ouvraient au grĂ© de leurs mouvements plus ou moins…ouverts de leurs jambes !Le spectacle Ă©tait hallucinant ! Leurs beaux corps musclĂ©s se contorsionnaient autour des obstacles, leur dos cambrĂ©s, leurs chevelures se balançant de droite et de gauche, caressant leurs reins, leurs seins pointĂ©s en avant et effleurant la paroi, leurs moules s’ouvrant et se refermant sans retenu aucune au fur et Ă mesure de leur progression ! Hallucinant !Une fois en haut en bien moins de temps que nous en avions mis, elles se relevèrent, se firent face et se donnèrent…une accolade ! Comme pour se fĂ©liciter mutuellement de leur exploit sans doute, mais aussi et certainement pour faire allusion Ă notre propre accolade accidentelle ! Des frissons remontèrent tout le long de ma moelle Ă©pinière devant ces deux filles nues s’écrasant leurs seins les uns contre les autres !Elles avaient probablement ressenti une forte Ă©motion en voyant Marc et moi dans la mĂŞme position et plutĂ´t provocatrices dans l’âme, elles voulaient sans doute voir nos rĂ©actions en retour !Marc et moi balbutions  » Mais…mais que font-elles ?  » Puis elles plongèrent aussi gracieusement que la première fois, nous laissant bouche bĂ©e.LA FRUSTRATIONElles ne rĂ©apparurent que de longues secondes plus tard et…. Pratiquement au bord de la plage ! Elles allèrent s’envelopper rapidement dans leurs serviettes pour se sĂ©cher et Ă notre plus grande surprise et dĂ©ception, nous ne verrions plus rien d’autre de la journĂ©e ! Nous sommes alors sortis piteusement de l’eau, les verges bien hautes et le moral bien bas mais le plus dur Ă©tait de devoir dĂ©bander ! A notre âge et après une telle aventure Ă©rotique, c’était un supplice insupportable !Nous avons bien essayĂ© quelques tentatives main sans succès alors pour se venger et avant qu’elles ne s’enferment dans leur tente pour se rhabiller, nous leur avons subtilisĂ© leur SG et les avons jetĂ©es dans le torrent !Les filles nous ont alors snobĂ©s et nous ont demandĂ©s d’aller jouer ailleurs et de prĂ©parer du feu pour le dĂ®ner au lieu de nous faire des idĂ©es ! Nous n’en revenions pas de nous ĂŞtre fait allumer comme ça jusqu’à ce point et d’avoir Ă remballer nos ustensiles tout neufs qui ne demandaient qu’à être Ă©trennĂ©Â !A contre cĹ“ur, nous nous sommes donc rhabillĂ©s mais, nous n’avions aucun vĂŞtement de…rechange, donc pas de slip sous nos shorts ! Non seulement cela devait ĂŞtre inconfortable, mais nous aurions Ă faire attention Ă nos positions !Nous avons retrouvĂ© les filles autour du feu pour dĂ®ner ; elles portaient exactement les mĂŞmes vĂŞtements qu’en venant, sauf qu’elles n’avaient pas remis de SG…. Ce pourrait-il qu’elles n’en ait pas prĂ©vu en rechange non plus ? Et quand Ă©tait-il du reste ? L’idĂ©e qu’elles ne portaient pas non plus de culottes nous valu une nouvelle montĂ©e de sève fraĂ®che dans nos bourses et raviva notre verge dĂ©bandĂ©e !Nous nous contorsionnons pour essayer de voir sous la jupette de Gabrielle ou dans l’entrebâillement du short en jean de MarĂ©va mais devant notre petit jeu agaçant, elles nous invitèrent Ă le stopper sans autre avis !Si l’humeur de la soirĂ©e Ă©tait restĂ©e bon enfant, les filles, cependant, par quelques remarques bien placĂ©es nous firent comprendre que les jeux d’eau et autres Ă©taient terminĂ©s pour aujourd’hui.Nous avons donc trouvĂ© le sommeil bien difficilement. Marc et moi avions prĂ©vus de dormir en slip mais n’en ayant plus, nous avons passĂ© la nuit Ă poil, sur nos duvets du fait de la chaleur Ă©pouvantable.Je ne pouvais cesser de repenser Ă cette journĂ©e incroyable et ces fortes Ă©motions Ă©rotiques que j’ai ressenti jusqu’à en avoir mal aux couilles et alors que ma queue se redressait Ă ces pensĂ©es lubriques, je m’aperçus Ă la lumière de la lune, que Marc bandait aussi fort que moi et qu’il se masturbait ! Je fus très impressionnĂ© par la taille de son membre, que j’avais certes vu dans l’après-midi, mais mes yeux Ă©taient assez naturellement attirĂ©s par d’autres formes (..) , Et par l’ardeur qu’il mettait Ă activer sa main sur toute sa longueur !Il pensait sans doute que je dormais !J’étais très troublĂ© devant sa jouissance montante et les images de l’après midi eurent vite fait d’entraĂ®ner, Ă mon tour, ma main sur mon sexe bandant et qui bavait d’impatience. Il s’en aperçut et me lança  » Co. Comment ? Tu ne dors pas ?  » Je lui rĂ©pondis que je ne pouvais pas m’empĂŞcher de repenser aux filles et Ă ce qu’elles nous ont fait subir ; il m’avoua ĂŞtre dans le mĂŞme Ă©tat et plutĂ´t que de nous cacher chacun d’un cotĂ©, nous nous sommes assis sur nos talons, face Ă face. Je me branlais devant lui sans aucune pudeur et il s’astiquait son manche sans plus de retenu ! Je n’en revenais pas ! Comment aurais-je pu imaginer faire ça devant quelqu’un d’autre, de surcroĂ®t…un garçon ! Il est vrai que la nuit Ă©tait peu illuminĂ©e mais la lueur de la lune en rĂ©vĂ©lait suffisamment…. Je ne savais plus ce qui m’excitait tant et mon esprit se troublait : Ă©tait-ce l’expĂ©rience unique d’aujourd’hui avec ces deux blondes sculpturales…sans doute…quoi d’autre ?…..Marc, nu devant moi en train de se branler ? Pourvu que non …Après tant d’excitation, il ne nous fallut pas longtemps pour que nous giclions…l’un sur l’autre en plus !J’essuyais son sperme tandis qu’il faisait de mĂŞme avec le mien…je ne ressentais mĂŞme pas de la gĂŞne…j’étais content pour lui et il me rĂ©pondit d’un sourire…et nous nous sommes enfin endormis profondĂ©ment.Ă suivre