LA RANDONNEELe lendemain, nous nous sommes retrouvés autour d’un petit déj et avions tous des sourires en coin, de connivence et la journée s’annonçait…torride ! Nous avions décidé d’aller plus loin et surtout de remonter, de sortir de cette gorge car de violents orages étaient annoncés. Nous pliâmes nos tentes, rangèrent notre barda mais comme pour venir, il nous fallait escalader la paroi et remonter les sacs à l’aide d’une corde.Les filles étaient nettement plus agiles à ce jeu et nous proposions que l’une d’elle monte la première pour sécuriser une corde qui nous servirait à nous-mêmes et aux sacs. Ce fut Maréva qui y alla et comme hier, le spectacle de cette beauté évoluant avec tant de grâce dans la paroi m’hypnotisait ; d’autant qu’elle ne portait plus de SG sous sa brassière ; par contre, ce que Marc et moi reluquions était son mini short déchiré en jean qui, selon les positions, laissait entrevoir son intimité et……whaou, elle ne portait rien en dessous ! ! ! A cette distance, nous ne pouvions rien voir d’extraordinaire, mais en tous cas, c’était bien de la chair et non du coton ! Nos queues frémissaient déjà  !Immédiatement, nos regards se sont tournés vers Gabrielle et sa…mini jupette !Mais Maréna était déjà en haut et une fois la corde sécurisée, elle nous fit signe de monter. Gabrielle et les sacs passèrent malheureusement en dernier.Cependant, nos yeux étaient aux aguets car le moindre faux pas risquait de dévoiler quelques charmes appétissants.Nous nous mirent de nouveau en file indienne mais cette fois, Maréna ouvrait la marche et…Gabrielle la terminait, et pour cause ! Nous étions carrément frustrés et commencions à douter de la suite de la journée ; nos ardeurs retombaient comme une chiffe molle.Nous avions regagné le sentier que nous avions quitté et marché pendant deux heures jusqu’à la pose déjeuner.Le moment du déjeuner était beaucoup plus sympathique… Nous étions assis sur de grosses pierres plates tous les quatre face à face lorsque soudain les filles commencèrent à pouffer de rire jusqu’à ce que je m’aperçoive qu ’elles regardaient en direction de Marc et de son…short ! Il était assis comme à son habitude, les cuisses bien ouvertes sans se rappeler qu’il ne portait rien dessus son short qui s’entrebâillait allègrement, offrant une vision claire et nette sur son anatomie la plus intime ! Il faillit s’étouffer avec son sandwich et devint cramoisi comme un gamin pris la main dans le sac !L’ambiance était de nouveau bon enfant et très décontractée, tellement d’ailleurs que ni nous ni les filles ne prenions plus de précautions et les images furtives que nous captions à l’occasion de leurs décroisements et recroisements de jambes confirmèrent que Gabrielle ne portait pas plus de slip que Maréva et nous ! Et de mauvaises pensées nous brouillaient l’esprit.Mais elles menaient la danse et devions nous adapter à leur bon vouloir, cependant nous étions prêts à tout je l’avoue….Nous sommes repartis à l’aventure au travers des flancs de collines couvertes de bois et de rochers, Maréna juste devant moi pour le plaisir des yeux ; dans certains endroits abrupts, il lui fallait grimper et lancer une jambe sur le coté, ouvrant largement l’entrejambe et laissant mes yeux glisser entre l’étoffe du short et sa chair….L’amorce de ses grandes lèvres, bien que l’instant soit court, étaient bien visible ! Mon sexe passait par tous les états selon ce que mon regard pouvait capter, mais mon imagination faisant le reste, je sentais ma mouille humidifier mon short !Mais soudain, Gabrielle attira notre attention sur le ciel qui se couvrait de nuages menaçants. Ils avaient parlé d’orages violents dans la région et les filles étaient inquiètes. Elles nous prièrent d’accélérer le mouvement car il fallait trouver rapidement un coin pour planter nos tentes pour la nuit.L’environnement immédiat était rocailleux, plein d’arbustes et en pente. Maréva marchait plus vite et nous avions de mal à suivre. On entendit les premiers grondements tandis que la lumière baissait. Gabrielle s’impatientait derrière nous et n’y tenant plus, elle nous doubla pour rejoindre sa copine afin de mieux communiquer. Elles avaient beaucoup plus d’expérience que nous et nous nous en remettions à elles pour trouver un endroit ; de ce fait, nous étions quelque peu relax et alors que j’aurais du me concentrer sur la recherche d’un endroit, mon esprit et mon regard ne pouvaient se détacher de la jupette virevoltante de Gabrielle qui se trouvait devant moi ! Le vent se leva et au gré des bourrasques et des accidents de terrain, sa jupette s’envolait littéralement la dénudant complètement ! Lorsque cela arrivait alors qu’elle était en train de grimper, son cul tout rond et sa chatte rebondie m’explosaient en pleine figure et j’en perdais l’équilibre !Mes pensées lubriques furent interrompues par un cri de Maréva qui repéra le seul endroit plat herbeux qui pouvait convenir. Ce n’était pas l’idéal car il était non loin du bord d’une falaise à pic.Les premières gouttes se faisaient sentir tandis que le ciel était strié d’éclairs. Pour aller plus vite, nous avons aidé les filles à monter leur tente et dès qu’il ne restait plus que les cordes à tendre, nous les avons laissé finir pour que Marc et moi montions la nôtre.Nous avions à peine déballée la toile que la pluie s’abattit sur nous avec une violence inouïe !Gabrielle essayait de tendre ses cordes avec beaucoup de difficultés alors que Maréva se précipita dans sa tente pour mettre toutes nos affaires à l’abri.Marc et moi étions trempés et arrivions à peine à maintenir la toile au sol. Tout à coup, la pluie se changea en grêle et Maréva qui venait de finir de tendre ses cordes se rua dans sa tente, complètement trempée elle aussi ; Elle nous fit signe de venir nous abriter avec elles mais nous ne pouvions pas remballer notre toile. La grêle nous martelait et nous glaçait le corps, nos cheveux étaient tout blanc de glace ! Le tonnerre était assourdissant et le vent redoublait ; nous commencions à paniquer lorsqu’un éclair frappa un arbre à quelques dizaines de mètres de nous dans un frac énorme, nous aveuglant complètement l’espace d’une seconde. Nous eûmes si peur que nous sommes tombés en arrière. La toile s’est immédiatement envolée et est tombée de la falaise en quelques secondes.LE RECONFORT PAR LA CHALEUR HUMAINE…Pris de panique, nous avons accouru jusqu’à la tente des filles qui nous ont tirés à l’intérieur.Nous nous sommes débarrassés de nos chaussures et chaussettes et avons tiré la fermeture éclair derrière nous.Nous étions transis de froid, trempés jusqu’aux os, grelottant autant de froid que de peur. Les filles se précipitèrent avec des serviettes pour nous frictionner et elles nous ont demandés de nous coller l’un à l’autre pour nous réchauffer.Je le réaliserai beaucoup plus tard, mais à y repenser, dans l’action et l’état de panique dans lequel nous nous trouvions, toutes leurs paroles semblaient de bon sens et avaient une résonance quasi doctorale.Nous nous sommes donc exécutés et Marc et moi nous sommes enlacés tout en se tapotant le dos l’un l’autre. Gabrielle nous dit alors qu’il fallait retirer nos T-shirts si on ne voulait pas attraper la crève. Mais nos mains tremblaient tellement et nos T-shirts étaient tellement collants qu’elles durent nous aider.Nous nous sommes retrouvés torse nus nous frottant l’un contre l’autre sous les conseils péremptoires de nos  » grandes sœurs  » Elles nous ont séché les cheveux, le dos et le buste mais nous voyant toujours grelottant et blancs comme des linges, elles nous demandèrent de nous frotter les jambes aussi …Et afin de nous faciliter la tache et d’éviter d’attraper froid, elles dégrafèrent nos shorts…et les firent glisser tout en justifiant leur geste par des commentaires sur l’état de nos shorts trempés et froids…..C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés nus, enlacés et gigotant l’un contre l’autre pour nous réchauffer tandis qu’elles nous frictionnaient le dos, les fesses, les jambes et prenaient un malin plaisir à nous pousser l’un contre l’autre tout en nous encourageant à continuer de nous frotter afin de faire circuler le sang….Nos claquements de dents s’estompèrent et nous sentions enfin la chaleur reprendre le dessus. Depuis notre entrée panique dans la tente, je n’avais pas eu le temps de regarder autour de moi. J’écarquillais alors les yeux lorsque je constatais que les deux filles étaient…. Torse nues ! ! Devant mon regard surpris, Gabrielle m’expliqua qu’elle était trempée elle aussi et venait juste de se sécher quand nous sommes arrivés…. Mais cela n’expliquait pas pourquoi Maréva était dans la même tenue ; je ne pouvais de toute façon pas articuler un mot et me contentais de la vision de rêve qu’elles nous offraient, continuant mécaniquement à frotter tout mon corps contre celui de Marc ce qui, je dois le dire, contribuait effectivement à nous réchauffer et à retrouver des couleurs.Les filles continuaient de nous frictionner énergiquement ce qui entretenait les mouvements de nos deux corps.De temps en temps, je sentais sa bitte froide sur la mienne qui n’était pas différente sans que je ne ressente ni dégoût, ni plaisir ni quoi que ce soit. Puis Maréva chercha quelque chose dans son sac et en sortie un flacon. C’était de l’huile pour la peau et elle nous expliqua que cela allait nous réchauffer plus vite…Elles jetèrent au loin les serviettes qui protégeaient quelque peu notre nudité et étalèrent leur potion sur nos épaules et notre dos puis…. Massèrent fermement notre épiderme en de longs mouvements. C’était divin !Elle coulèrent alors plus de lotion entre nos bustes et immédiatement la friction de nos deux poitrines se transforma en douces caresses très agréables… puis, elles nous enduirent les jambes, les cuisses et d’un coup nos gigotements rêches se transformèrent en doux glissements de nos chairs sur nos chairs! On entendait le floc-floc de nos cuisses rentrant dans l’entrejambe de l’autre ou de nos poitrines qui jouaient bruyamment comme des ventouses huilées… enfin…. Elles aventurèrent leurs mains sur nos fesses toutes froides et les massèrent fermement d’abord puis lentement ensuite…. Jusqu’à ce que l’une d’entre elles…. Déversent de l’huile entre nos bassins ! ! Là , l’effet fut fulgurant et en quelques minutes nos corps se sont mis à glisser langoureusement l’un contre l’autre aidés par les genoux que les filles avaient coincés dans notre dos pour nous forcer l’un contre l’autre et aidés de leurs mains qui poussaient et forçaient le glissement de nos corps….L’HUMILIATIONLe froid avait fait place à une intense chaleur. …La scène était irréelle : le tonnerre grondait, la tente était illuminée par les éclairs, la grêle martelait la toile d’un bruit assourdissant ; nous étions encore frigorifiés et morts de trouille quelques instants plus tôt et tout cela contribuait à ce que nous nous laissions faire.Mais je buvais chaque instant de ce bonheur intense. Je sentais une érection poindre et j’en rougissais puis je sentis celle de Marc ! Nos queues gonflaient désespérément et au fur et à mesure devenaient de plus en plus sensibles et réceptives aux frottements huilés !Ma tête était enfoncée dans son épaule et pour rien au monde je n’aurai voulu lire son regard à cet instant, tant la honte m’envahissait ! Je fermais d’ailleurs les yeux car je redoutais tout autant celui des filles qui devaient maintenant s’amuser comme des folles de nous avoir entraînés dans leurs jeux pervers !Il était trop tard pour moi…. Je sentais le plaisir monter mais que faire ? Il était impensable que j’accepte ça ! C’était trop dégradant ! Marc et moi commencions à haleter comme des bœufs et, heureusement, le bruit de nos souffles courts étaient couverts par la pluie et les grondements du tonnerre.Nous étions si collés l’un à l’autre que les filles ne pouvaient pas voir nos bittes rouler l’une sur l’autre comme deux saucisses. Ce qui était une moindre consolation…. Du moins le pensais-je car d’un coup, elles enlevèrent leurs genoux et nous écartèrent un court instant dans une surprise totale ! ! ! Nous nous sommes retrouvés sur le dos entre elles, nos queues bandées ruisselantes de mouille, et leur regard  » étonné  » et …  » choqué ! « Gabrielle s’écria  » Whaouu ! On dirait que vous êtes réchauffés ! »Nous étions comme deux gosses qui venaient de faire la bêtise de leur vie et qui étaient pris la main dans le sac !Nous voulions nous relever pour nous couvrir mais elle nous plaquèrent fermement dos au sol avec une main sur nos poitrines, puis elles prirent tout leur temps pour contempler…leur œuvre !Nous étions complètement humiliés !—  » Regarde un peu comme ça ! On essaye de les ramener à la vie, et eux, en profitent pour forniquer ! « —  » Les mecs n’ont vraiment aucune pudeur ou morale! Ils ne pensent qu’au sexe et à la jouissance, c’est lamentable ! « Leurs commentaires acerbes nous touchaient au plus profond et amplifiaient notre honte et notre embarras, elles en faisaient exprès et y prenaient un vicieux plaisir.Et alors que nous nous demandions ce qu’il allait advenir, les filles nous repoussèrent l’un contre l’autre de plus bel en ajoutant :  » Et bien allez-y, puisque vous aimez baiser entre mecs, montrez-nous ça qu’on en profite ! « —  » On va voir si vous avez encore un minimum d’honneur et de fierté pour vous contrôler ou si, au contraire, vous êtes prêts à tomber dans l’humiliation totale ! « A ces mots, nous aurions du réagir et nous rebeller, leur faire face et leur montrer qu’on était pas soumis à leur vice ce point……. Mais non ! J’attendais que Marc fasse le premier pas…. Et il ne le fît pas ! Très vite les frottements reprirent à l’initiative des filles qui nous poussaient énergiquement l’un sur l’autre en forçant l’effort au niveau de nos bassins afin que nos bittes s’écrasent et frottent entre elles…. Les sensations étaient irréelles et de nouveau je sentis une telle montée de plaisir que mon cerveau était incapable de contrôler mon corps, de lui ordonner de s’échapper dans l’instant. Nos esprits étaient des plus confus car maintenant que nous savions tous ce que nous faisions, nous n’avions plus aucunes excuses et seuls les bas instincts sexuels de nos corps nous commandaient.Marc était dans le même état et les filles le savaient et ricanaient devant notre faiblesse et notre impuissance à échapper à notre plaisir ! C’était tellement dégradant et tellement jouissif!Machinalement, nous nous sommes enlacés et glissions nos jambes entre elles pour les frotter tandis que les filles nous prenaient par les hanches en les animant de mouvements circulaires…. Nos souffles devenaient rauques et courts……Gabrielle, tout en me tenant le bassin d’une main, me pétrit soudain les fesses et me glissa une main dans la raie avec des mouvements de va-et-vient ! Sa main descendait de plus en plus loin…. Jusqu’à ce qu’elle vienne butter contre mes couilles…. Je n’en pouvais plus, je sentais poindre l’orgasme, elle m’emprisonna les couilles de sa main ce qui m’électrifia…. Je ne pus contrôler un long râle de jouissance et je sentis ma semence gicler en longues rasades contre le sexe de Marc. Il ne teint pas plus longtemps que moi, car dès qu’il me sentit me crisper et entendit mon râle, il lâcha toute sa charge entre nos ventres tandis que les filles jubilaient de la terrible humiliation qu’elles nous avaient infligée ! Alors que nos verges continuaient à se vider des dernières gouttes, elles nous écartèrent de nouveau pour contempler le résultat pour notre plus grande honte !Je n’osais ouvrir les yeux.Elles nous jetèrent quelques Klinex pour nous essuyer et alors que, morts de honte, nous essayions de recouvrer un minimum de contenance, elles préparaient leurs couches pour la nuit. En fait elles avaient relié deux sacs de couchage entre eux et s’étaient glissées dedans.Quant à nous, dans cette tente prévue pour 2-3 personnes, nous nous serrâmes de l’autre côté et nous allongeâmes sur nos duvets tellement nous avions chaud. Nous étions exténués et sommes restés ainsi, nus, huilés et souillés dans la pénombre.LA BONNE SURPRISENous n’arrivions pas à dormir tellement nous étions torturés par cette expérience incroyable lorsque j’entendis de petits soufflements et de petits gémissements malgré la pluie qui s’était apaisée mais qui n’avait cessé de tomber.La nuit était noire et j’étais entre les filles et Marc. Je sentais qu’elles ne dormaient pas non plus car elles gigotaient un peu.Je me retournais continuellement pour trouver une bonne position quand ma main s’accrocha à un vêtement… Je le tâtais…. C’était le short en jean de Maréva! Elle devait être toute nue dans le même duvet que Gabrielle! Cette idée m’excita terriblement! Du coup je cherchais encore et tombais sur la… Jupette de Gabrielle! Mon corps se mit à battre et mon souffle se raccourcir! Elles étaient enfermées dans le même sac, nues toutes les deux…..La pluie avait cessé et en même temps que le silence de la nuit, la pleine lune faisait son apparition, illuminant l’intérieur de la tente d’une douce lumière blanche….. Ce que je vis alors me laissa quoi! Les deux filles gesticulaient lentement face à face et leurs mouvements avaient fait descendre leur sac jusqu’au milieu du dos… Je pouvais distinctement voir leurs épaules bouger et deviner les gestes de leurs bras et… Mains! Les petits gémissements achevaient de les trahir! Elles se masturbaient l’une et l’autre!!!Je n’en revenais pas! Ma queue bandait de nouveau devant ce spectacle insolite et interdit. Je donnais un coup de coude à Marc pour qu’il ne manque rien…. Puis lentement, je tirais doucement la fermeture éclair de leur sac…. Sans qu’elles ne s’en rendent compte car elles étaient persuadées que nous dormions… Elles étaient en sueur et l’ouverture du sac était à la fois une délivrance et une impression naturelle qu’il glissait de par leurs gesticulations… Je maudissais les quelques nuages qui passaient encore devant la lune et nous privaient du spectacle.A chaque passage, j’en profitais pour pousser le zipper plus loin et à chaque retour de la lumière nous pouvions en voir plus! C’était terriblement excitant! Le sac était maintenant très ouvert et nous pouvions voir le dos de Gabrielle en entier jusqu’au creux de ses reins, ainsi que son bras droit qui partait se noyer entre leurs deux corps… Elles étaient en pleine action et leur souffle devenait plus court… Nous ne savions quoi faire…. Les voyant complètement absorbées dans leurs ébats et sentant le paroxysme de la jouissance approcher, je les sentais incapable de réagir et je pris le risque de poser doucement une main sur son dos… Gabrielle sursauta légèrement et tourna la tête… Ses yeux étaient vitreux et son regard perdu dans l’infini plaisir que la main de Maréva lui prodiguait.. Comme je l’espérais, elle ne réagit pas et Marc et moi nous sommes alors mis à les caresser des épaules jusqu’au bas des reins… elles gémissaient et ronronnaient de bonheur! Marc les libéra complètement de leur duvet et une formidable excitation monta en nous lorsque nous découvrîmes leurs superbes fesses se contracter au rythme de leurs mains…Nous bandions comme des fous et nos mouilles dégoulinaient en minces filets sur nos cuisses… soudain, elles s’arc-boutèrent et se figèrent l’espace de quelques secondes tandis d’un long gémissement s’échappaient simultanément de leurs gorges nouées de la formidable émotion de l’orgasme tant attendu…Elles retombèrent lourdement sur leur dos en expirant profondément, dévoilant la nudité de leur corps parfait à nos yeux émerveillés…. Leurs minces toisons étaient maculées de mouille et leurs mains poisseuses trahissaient la nature de leur excursion impudique. Nous étions à côté d’elles, debout sur nos genoux à les contempler, la bitte raide et pulsante…Elles semblaient rassasiées alors que nous étions au comble de l’excitation… Et notre nouvelle frustration tournait en supplice insupportable, jusqu’à ce que Maréva saisisse le membre luisant de Marc et… Commence à le masturber!! Marc tressaillit d’émotion devant cette initiative si inespérée! Elle l’attira alors sur elle tout en lui tenant fermement son membre et sans un mot lui fît comprendre qu’il devait se positionner à califourchon au-dessus de son ventre…. Puis elle présenta sa grosse queue vibrante entre ses seins et … L’emprisonna! Immédiatement, il se mit en mouvement tandis qu’elles pressaient ses seins sur sa verge qui ne pouvait que glisser d’avant en arrière…. Il haletait de plaisir et transpirait comme un bœuf, poussant toujours plus loin son membre dilaté part l’imminence du point de non-retour! Soudain, Maréva souleva sa tête et tira sa langue chaude et râpeuse en direction de sa verge qui venait mourir dessus à chaque poussée… L’effet fut radical et immédiat! Il ne put contenir son orgasme et les longues rasades de sperme que crachèrent son engin sur la figure d’ange de la jeune fille! Maréva en avait plein la langue, les lèvres et le nez! Elle était complètement souillée!La scène avait été d’un érotisme tel que j’allais me finir tout seul à la main, lorsque je sentis celle de Gabrielle se poser délicatement sur ma queue bavante! Après une si longue frustration et une telle excitation, l’effet fut tel que je chancelais! Mon cœur battait à tout rompre. Elle s’assit alors devant moi et tandis qu’une main m’emprisonnait et me pelotait divinement les couilles, l’autre m’enserrait ma verge tressaillante et commença un mouvement arrière qui me décalotta complètement le gland brillant de mouille, le tout à la vue et maintenant à la merci de ses initiatives les plus dégradantes… À ma grande surprise, elle ne bougea plus la main pendant de longues secondes, enregistrant les puissantes palpitations de mon membre au bord de l’explosion, puis avança son doux visage et sortant sa langue de sa bouche flanquée d’un sourire pervers, lapa mon gland de plusieurs coups de langue si vicieusement appliqués que je fus soudain saisis d’un puissant orgasme et, sans prévenir, ma bitte cracha d’énormes jets de foutre sur tout son visage, tandis que mon corps pris d’une violente convulsion allait s’effondrer sur elle si je n’avis pas saisis ses épaules pour éviter la chute….Alors que le foutre lui noyait le visage, elle continua à ma laper jusqu’aux dernières gouttes afin que ma jouissance fut complète…Je ne savais pas comment la remercier de sa gratitude, alors je me suis mis à … Lui lécher le visage et à le nettoyer de mon sperme avec ma langue!! Nous avons fini par nous embrasser d’un baiser gluant de sperme d’une obscénité totale!Nous avons fini par tous nous endormir très tard et complètement rassasié… Jusqu’au lendemain…à suivre…