Campus : Aventure en forêt
Campus, deuxième partie centrée sur Amandine, jeune étudiante en STAPS qui habite le campus avec son petit ami. Chaque matin durant son jogging en forêt, elle croise la route d’un bel inconnu qui déclenche en elle de délicieux fantasmes…
Proposée le 16/04/2020 par Blueberry89 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Roman
Amandine était nouvelle sur le campus. Ses amies, Jessica et Maya avaient emménagées en même temps qu’elle et elle se réjouissait des futures soirées en perspective. Elle avait réussi à avoir un petit studio au CROUS où elle s’était installée avec son petit ami Yohan. Deja trois ans qu’ils sortaient ensemble, ils formaient le petit couple parfait, un vrai exemple à suivre pour ses amies.
Maya venait de rencontrer son mec, Benjamin, qui lui avait ouvert les portes de la sexualité. Amandine était heureuse de voir que son amie s’éclatait tout en vivant une belle histoire d’amour.
Jessica quant à elle, papillonnait depuis son arrivée. Eternelle célibataire, elle chassait les hommes comme des proies, profitant de sa beauté naturelle pour séduire la gente masculine sans effort. Amandine en était presque jalouse. C’est sûr qu’avec sa petite taille, ses longs cheveux roux, sa poitrine menue et sa peau si blanche, elle ne se sentait pas aussi belle que la grande blonde aux seins énormes. Elle était plutôt sportive, étudiante en STAPS , elle rêvait de devenir coach professionnelle.
Chaque matin, elle faisait un tour du campus en courant, et finissait son jogging par ce qu’elle préférait, la forêt.
Elle y allait assez tôt, comme ça elle ne croisait personne. Enfin, presque personne. Une seule personne, à vrai dire.
Un jeune homme, la silhouette athlétique, cheveux noirs et écouteurs sur les oreilles la dépassait dans les chemins boisés tous les matins. Elle sentait sa présence, son regard posé sur elle durant sa course. Elle gardait toujours le même rythme, émoustillée par les pensées lubriques qui lui venaient à chaque fois.Elle l’imaginait la poussant contre un arbre en dehors du chemin, l’obligeant à faire ce qu’il voulait d’elle. Ca l’excitait. Honteuse, elle se disait que ce n’était que des fantasmes, rien de plus. Elle était incapable de tromper Yohan, même pour un simple coup d’un soir.
Pourtant, ce matin, Amandine choisit une tenue très sexy, brassière et leggings, le tout sans mettre de culotte. Elle voulait que son joggeur se rince l’oeil comme il faut, et elle comptait bien qu’il remarque son effort.
Il était encore tôt quand elle démarra son jogging, le jour pointait à peine le bout de son nez. Bientôt elle entra dans la forêt, attentive aux moindres sons qui l’entouraient.
Quand enfin elle entendit le gravier crisser sous des semelles, elle ralentit légèrement et ondula un peu plus des fesses.
L’inconnu la dépassa, sans même un regard et la distança avant qu’elle puisse réagir.
Amandine était déçue. Et honteuse. Qu’est-ce qu’elle avait cru? Qu’elle était son genre et qu’il voudrait la baiser? Qu’il suffisait de tordre le cul pour attirer un homme comme lui? Et d’ailleurs, pourquoi le voudrait elle? Elle avait déjà un petit ami.
Elle continua sa course une minute , puis s’arrêta pour prendre une gorgée d’eau. Le liquide frais coulant dans sa gorge la revivifia et elle se sentit prête à repartir.
Soudain, elle entendit un craquement juste à côté d’elle. Son cœur s’emballa. Elle tourna la tête et vit le joggeur, adossé à un arbre, en train de se masturber allègrement. Amandine ne pouvait détacher son regard de cette queue si grosse qu’il branlait tout en la fixant.
Elle s’approcha et, sans dire un seul mot, elle s’agenouilla pour le prendre en bouche, mue par une pulsion totalement folle.
– PutainCe fut le seul mot qui sortit de sa bouche quand elle se mit à sucer avec ardeur son membre tendu d’excitation. Il la contemplait, elle avait les joues creusées et ses lèvres montaient et descendaient le long de sa hampe. Avec une main, elle jouait avec ses bourses, leur donnant quelques coups de langues au passage.
Puis elle se mit à se toucher, pendant qu’elle prenait son sexe plus profondément dans sa gorge. Il donna quelques coups de bassins, déclenchant ainsi son éjaculation qu’elle prit grand soin d’avaler avec plaisir et volupté.
Quand elle eut bien nettoyé sa queue, elle se releva et partit sans un mot, le laissant pantois et encore excité.
Il ne connaissait pas son nom. Elle était juste cette joggeuse qui l’allumait tous les matins depuis la rentrée. Il avait été stupéfié de voir sa réaction quand elle l’avait surpris en plein plaisir solitaire. Jamais il n’aurait pensé que cette belle rousse lui taillerait une pipe monumentale au milieu de la forêt. C’était mieux que dans ses rêves. Enfin, non.
La prochaine fois, il goûterait sa chatte, il s’en fit la promesse.
Amandine se sentit terriblement bien après ce petit intermède dans les bois. La culpabilité ne la rongeait pas, après tout, les mecs disaient bien que sucer n’est pas tromper… enfin c’est une question de point de vue. Elle poursuivait sa journée, comme s’il ne s’était jamais rien passé. Assistant à ses cours, déjeunant avec son groupe d’ami, puis passant l’après midi à réviser avec Yohan ses cours d’anatomie.Amandine ne se posa pas de question en partant faire son jogging le lendemain matin. Elle courrait, simplement, savourant la fraîcheur matinale.
Le joggeur , comme à son habitude la dépassa, puis jeta un regard en arrière avant de bifurquer hors du sentier. Le cœur battant, Amandine le suivit.
– Je savais que tu serais là, dit il en avançant vers elle
– Et tu avais encore envie d’une petite pipe? S’amusa t elle
– Je goûterai bien ta petite chatte plutôt…dit il en s’agenouillant à ses pieds.
Sans prendre la peine d’enlever son leggings, il se mit à embrasser ses lèvres gonflées, moulées par le tissus. Il tétait son clitoris à travers la barrière de lycra, lui arrachant des gémissements de plaisir. Bientôt, il fit glisser lentement le leggings en bas de ses jambes, dévoilant sa vulve trempée d’impatience. Il partit alors en exploration avec sa langue, si bien qu’elle du se maintenir à sa tête pour garder l’équilibre tant elle vacillait de plaisir.
– Dis moi ton nom, demanda t il entre quelques coups de langues
– Je te le dirai seulement si tu me fais jouir…
Il ne se fit pas prier et se mit à sucer, lécher, doigter sa petite chatte brûlante. Elle était au bord de l’orgasme. Trois doigts la comblaient maintenant et son bourgeon était taquiné par sa langue.
Elle ne put contenir son cri quand l’orgasme la submergea. Déferlant, comme une vague, emportant tout sur son passage. Elle jouit de longues secondes, presque une éternité. Jamais elle n’avait jouit aussi fort!
– Alors, j’ai le droit à ton nom maintenant ?
– Tu l’as bien mérité. Je m’appelle Amandine.
– Et moi Hugo.
– Et bien , merci Hugo. A demain…dit elle en remontant son legging et reprenant son jogging.
Elle ne courrait pas, elle flottait. Elle avait hâte d’être à demain. Revoir son beau joggeur aux yeux verts et à la langue experte.
Elle passa la journée à la bibliothèque avec Yohan, à réviser ses partiels. Quelle ne fût pas sa surprise quand elle vit Hugo, assis à une table tout près d’elle.
Il la dévorait des yeux, Yohan allait certainement s’en rendre compte. Elle lui fit un signe puis se leva et prétexta qu’elle avait besoin d’un livre pour aller se faufiler dans les rayons.
Dès qu’il la rejoignit, il se colla à elle contre les étagères, frottant sa puissante érection contre son intimité.
– J’ai encore ton odeur sur mes doigts…chuchota t il en respirant dans son cou, alors comme ça tu as un petit ami?
– Oui, il faut que tu sois plus discret, je ne veux pas qu’il nous surprenne! C’est pour ça que tu n’auras rien d’autre de moi que ce que je t’ai déjà donné.
– D’accord, comme tu voudras. Mais je pense que tu vas vite changer d’avis…
Il imprima alors des mouvements de bassin, comme s’il la baisait à travers ses vêtements et elle gémit silencieusement.
– Arrête, pas ici, on va se faire surprendre. Demain. Dans la forêt.
Elle le laissa en plan, un barreau dans le pantalon et retourna s’asseoir vers son petit ami.
Hugo se rendit dans la forêt dès que le soleil se leva, avec une envie si intense que sa queue ne voulait plus redescendre. Elle l’attendait , au détour du chemin, vêtue cette fois d’une jupe de sport et un débardeur échancré.
Elle se jeta à ses pieds et sortit son sexe de son jean aussi vite qu’elle le pût pour l’enfourner dans sa bouche. Hugo soupira , ravi de son initiative. Amandine le suçait avec délectation, à genoux dans les feuilles mortes. Elle l’accueillit bien au fond de sa gorge et il se retira, se maîtrisant pour ne pas exploser dans sa bouche si exquise.
Il la prit par la taille et la fit se relever avant de la coller contre un arbre. Elle s’opposa.
– Non, pas comme ça. Je ne peux pas. J’ai trop l’impression de tromper Yohan…
– Parce que tu ne le trompais pas quand tu me suçais la bite il y a deux minutes?
– Ce n’est pas pareil… d’accord, prend moi, mais en levrette.
Et elle se retourna, jambes écartées, mains posées au-dessus de sa tête sur l’écorce du Hêtre, et attendit.
Hugo enfila un préservatif et, s’emparant de ses hanches, il s’introduisit doucement dans son vagin humide. C’était si bon, se sentir enfin pleine de cette queue qui hantait ses rêves depuis deux jours… c’était mal aussi. Mais la culpabilité cèda vite sa place au plaisir intense qui la consumait.
Hugo continuait ses va et vient, adoptant un rythme lent mais profond. Chaque coup de rein le propulsait au fond de son intimité. Il s’aidait de ses mains pour accélérer, sentant la chair qui entourait son membre se contracter spasmodiquement quand l’orgasme s’empara d’elle.
– Oh oui c’est bon c’est booooonnnn cria t elle en jouissant intensément
Jamais elle n’avait connu aussi grande jouissance, c’était inouïe.
Ses jambes tremblaient et quand il se retira d’elle, elle s’écroula sur le sol.
Il n’avait pas encore jouit, alors elle lui ôta la capote, et le prit dans sa bouche pour qu’il se finisse dans sa gorge. En deux allers retours, il ne se retint plus et explosa en de grosses giclées de sperme, qu’elle fût obligée d’avaler tant il y en avait.
– Putain, c’était du délire, soupira t il en se rhabillant
– J’avoue, c’était particulièrement plaisant…
– Et avec ton mec, c’est aussi intense?
– Ca ne te regarde pas…
– Si ça me regarde. Je te veux Amandine. Et pas seulement dans le bois pendant un jogging. Je veux que tu sois mienne, dans mon lit, toute la nuit…je veux te montrer comment atteindre la jouissance ultime.
– Je ne vais pas quitter Yohan pour un coup dans une forêt enfin, sois réaliste ! Aussi génial que c’était, c’est tout ce que je peux te donner.
– Alors je vais te laisser le choix. Je ne reviendrai plus. Tu pourras continuer ta petite vie tranquille. Je vais te donner mon numéro. Si jamais tu changes d’avis et que tu décides de le quitter, alors appelle moi.
– Tu veux arrêter de se voir?
– Non, je ne veux seulement pas te partager.
Il s’approcha de son oreille et murmura
– Quand tu seras à moi, je pourrais te prendre sans capote et sentir ta peau et ta chair…quand tu seras enfin à moi, je te prendrai par tous les trous et te ferai jouir au-delà de ce que tu peux imaginer.
Ces mots la firent frissonner et elle resta là, immobile, perdue tandis qu’il s’en allait.
Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir faire ? Il était hors de question de quitter Yohan, ça c’était évident. Mais une voix dans sa tête lui criait de le rejoindre, d’aller retrouver ce beau joggeur aux yeux verts qui lui avait fait connaître des plaisirs inoubliables.
Elle rentra au campus, dépitée. Elle avait perdu sa gaîté habituelle, rongée par le supplice de devoir abandonner un tel plaisir…
Elle vaquait à ses occupations habituelles, sans beaucoup d’entrain. Elle refusa même de faire l’amour avec son homme.
Elle se rendit dans les bois tous les jours sans jamais recroiser sa route, et ce pendant un mois. Elle dut se rendre à l’évidence, il ne viendrait plus. Si elle voulait le revoir, elle devait céder.
Tiraillée entre deux choix impossibles, elle commençait à douter de plus en plus. La petite voix au fond d’elle prenait de l’ampleur et elle comprit qu’elle avait perdu quand elle tapota un texto à Hugo, l’enjoignant de la rejoindre dans sa chambre.
Ce dernier ne mis qu’une dizaine de minutes avant d’arriver. Amandine le fit entrer, à la fois inquiète et impatiente.
Il la prit dans ses bras et l’embrassa avec une telle ferveur, qu’ils se retrouvèrent bien vite sur le lit. Elle grimpa sur lui, poursuivant leurs baisers langoureux puis commença à descendre le long de son torse, jusqu’à libérer son membre maintenant bien à l’étroit.
Elle commença à passer sa langue sur sa queue, mais il la stoppa d’un geste.
– Tu l’as largué ?
– …
– Et bien tu vas le faire tout de suite, par téléphone. Et pour le coup, tu me suceras en même temps.
Choquée, elle vit tout de suite qu’il était sérieux. Attirée par le sexe gonflé d’excitation qui n’attendait que de se faire sucer, elle prit sa décision et empoigna son téléphone.
Avec détermination, elle composa le numéro de Yohan et mis le haut parleur. Pendant que les tonalités retentissaient dans le studio , Amandine prit le membre de Hugo dans sa bouche et le pompa jusqu’à ce que Yohan décroche.
– Ma puce, je suis en cours là, c’est important? chuchota t’il au bout du fil
Elle sortit la queue de sa bouche mais continua de donner des coups de langues tout en répondant
– Yohan, c’est fini entre nous. Je te quittes pour un autre.
Elle reprit sa succion, au grand plaisir de Hugo qui souriait en lui tenant les cheveux.
– Je dois te laisser, dit elle sans lui laisser accuser le coup, on se rappelle plus tard.
Elle raccrocha, un air vainqueur sur le visage, se déshabilla rapidement puis grimpa sur les genoux d’Hugo afin de s’empaler directement sur son sexe dressé. Enfin nue, elle le chevaucha telle une amazone, ondulant sous ses caresses. Hugo la laissait donner le rythme, du moins pour le moment et il fut surpris quand il la vit se relever et se retourner pour lui présenter sa chatte dégoulinante de cyprine.
Ils accomplirent alors un soixante-neuf digne de ceux qu’on voit dans les pornos. Hugo agaçait son œillet de la langue et réussit à y introduire un doigt, pendant qu’Amandine gobait ses bourses avec gourmandise.
Quand il n’en put plus, il la souleva et l’allongea sur le bord du lit, installant ses jambes sur ses épaules. Il lima sa chatte quelques minutes, puis, poussé par une envie primale , il ressortit son gland pour le placer sur son petit trou serré. Il plongea ses yeux dans les siens et y trouva l’approbation qu’il attendait. Il s’enfonça lentement, millimètres par millimètres, écartant son sphincter comme nulle autre auparavant. C’était sa première sodomie. Elle ne put retenir quelques larmes.
Sa queue se fraya un passage dans son rectum, s’immisça jusqu’au plus profond qu’il pouvait, collant ses couilles à ses fesses. Il s’immobilisa un instant au fond puis ressortit, aussi doucement qu’il était entré , pour mieux revenir, gardant un rythme lent.
La douleur s’effaça , laissant la place à un puissant plaisir qui la renversa. Elle criait de plus en plus, et lui, accélérait jusqu’à ce qu’on entende plus que le bruit de ses gémissements et de ses couilles qui frappaient ses fesses à un rythme effréné.
Hugo attendit de sentir les prémices de l orgasme d’Amandine pour se déchaîner encore plus dans son cul. Elle hurla sous la force de l’orgasme qui la dévora, emportée loin…loin de tout ce qu’elle avait ressenti auparavant.
Il se vida en elle en poussant un gémissement rauque, bestial et continua ses allers retours jusqu’à extraire la dernière goutte de sa semence.
– Alors, tu regrettes ton choix ? Demanda Hugo en se glissant à ses côtés dans le lit
– Pas le moins du monde, répondit elle , radieuse en l’embrassant tendrement © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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