Je n’avais pas contacté notre ami depuis quelques temps, et mon épouse Annie semblait avoir le désir de le revoir. Je pris mon téléphone et appelai Christophe.— Allo Christophe ?— Oui.— C’est Pierre, que deviens-tu ? On aimerait te revoir.— Quand vous voulez.— Dis-moi franchement, tu aimerais venir en ma présence ou seul ?— Si tu me demandes, je préfèrerais seul, Annie se libère plus, est plus réceptive.— D’accord. J’aimerais que tu essaies de la soumettre un peu plus, mais avec tact.— J’avais essayé la dernière fois, elle avait apprécié. Je peux aller plus loin, avec correction bien entendu.— Tu m’appelleras après et me diras ce que tu lui as fait ?— Si tu veux je te renvoie un mail, et tu pourras me demander des précisions si tu le souhaites.— OK.— Appelle-la aujourd’hui et fixez un rendez-vous.— Je vais le faire.*****Quelques heures plus tard…Le soir, quand je rentrai, Annie était émoustillée.— Tu sais quoi ? Christophe a appelé, il vient demain midi.— Tu sais que je ne serai pas rentré.— Ah, zut ! Je ferai ça avec lui toute seule… Tu veux bien ?— Si ça te fait plaisir…Et puis, on ne parla plus de la soirée.*****Le lendemain soir, je découvrais le mail de Christophe.Mon cher Pierre, je dois te dire que j’ai passé un bon moment avec ta femme. Elle a répondu à mes sollicitations, mes exigences. Elle aime le sexe, c’est évident. Je sentais déjà monter en moi le désir, cette chaleur qui irradie votre sexe à l’évocation d’un récit érotique.À mon arrivée, elle est apparue dans sa jupe ample comme pour m’inviter à visiter ses trésors. Elle a fermé la porte et, sans mot dire, j’ai pris possession de son corps. Dans mes bras, j’ai commencé à l’embrasser langoureusement. Ses lèvres étaient charnelles, molles, disponibles aux baisers. Nos langues se sont trouvées. Profondément, j’ai pris l’initiative de mettre ma langue dans sa bouche, de l’explorer. Elle se laissait faire et me rendait mon assaut.Nous sommes montés dans la chambre, et nous sommes assis sur le rebord du lit, face au miroir du placard. Nous nous sommes de nouveau étreints et, soutenant sa gorge, je l’ai de nouveau embrassée, avivant tous ses sens. J’ai passé aussi un peu mes mains sous sa jupe pour atteindre la douceur de sa peau, elle a répondu en écartant légèrement ses cuisses.Puis, je suis devenu plus pressant, plus directif, il était temps de passer à la vitesse supérieure. Son sexe devait attendre d’être mis à nu, touché, trituré…Je commençais à sentir mon cœur battre, mon sexe raidir. Je le dégageai et, comme un jeune adolescent, ma main se referma sur lui, les yeux rivés sur l’écran de l’ordinateur.Doucement je lui ai demandé :— Lève-toi, fais-moi face.Ta femme s’est levée doucement, avec une forme d’obéissance qui me surprit. Je me suis levé et lui ai glissé à l’oreille :— Tu sais que ce sera bon tout à l’heure quand je te baiserai, profiterai de ta chatte sans retenue, alors que ton mari n’est pas là .Elle a eu un léger murmure en tendant son corps : « aahhhh »…Puis, j’ai entrepris de la dénuder, en enlevant son tee-shirt, et en la troussant avant de lui ôter sa jupe. Elle est apparue superbe, avec sa culotte et ses bas. J’ai frissonné à cette vision, tant elle était belle, parce que si fragile, et si consentante. Ses lignes étaient harmonieuses, ses fesses rebondies, son mont de vénus tendait sa culotte, il ne demandait qu’à être libéré du morceau de tissu.Assis de nouveau sur le lit, je lui ai commandé :— Baisse un peu ta culotte pour que je voie ta chatte.La culotte a glissé sous ses fesses et sa toison est apparue, ourlant sa fente. Alors j’ai claqué cet ordre sans savoir si elle allait réagir :— Masturbe-toi un peu pour t’humidifier.— Oh, non ! a-t-elle protesté.— Tu dois te libérer des convenances, tu es là avec moi pour ça, ou alors tu n’avais qu’à dire à Pierre de venir. Dépasse tes inhibitions pour toi, pour moi.Une fraction de seconde est passée, interminable, et sans mot dire, elle a porté sa main à son sexe.— C’est bien, je te regarde.Elle a fait ses allers et retours, deux doigts plaqués à hauteur du clitoris. Je n’ai pu m’empêcher de sortir mon sexe et de le branler doucement, tant le spectacle était empreint de luxure, sans vulgarité. Imagine un peu ta femme se masturbant devant un autre homme que toi, ses doigts écartés prenaient comme une fourche son clitoris qui pointait timidement.Elle s’était déjà masturbée devant moi, mais devant un autre, cela prenait une autre dimension. Je me mis à me branler avec plus d’insistance.Dans la glace, je voyais les fesses d’Annie se contracter, elles sont superbement fichues, elles incitent à la débauche pourrais-je presque dire. Les yeux clos, elle agitait sa main avec des mouvements de haut en bas, puis circulaires.Je me suis approché d’elle :— Continue, laisse-toi aller.Elle émettait de petits halètements, sa main commençait à lui procurer du plaisir. Il fallait que j’intervienne.J’ai remplacé ses doigts. La caresse était peut-être moins experte, mais elle venait d’un autre, cela suffisait à augmenter ses pulsions.— Avance bien ton pubis, viens chercher ta caresse.Elle a avancé le bassin, ployé les jambes pour garder l’équilibre, ce qui a eu pour effet d’ouvrir sa fente. Je sentais maintenant ses lèvres. Son clitoris, petit, était dur. J’ai passé mon autre main dans le bas de ses reins pour qu’elle n’esquive plus la masturbation. Elle haletait de plus en plus, mais l’orgasme n’était pas encore là . Elle recherchait le contact avec ma main. Je m’efforçais de la reculer pour voir son bassin avancer. Elle perdait un peu de sa dignité en implorant, en quelque sorte, le contact avec moi… Je jouissais de voir sa position indécente.Puis-je me permettre de te dire que diriger la femme d’un autre est poignant, met en émoi toute ta sexualité. Cette femme, Annie en l’occurrence, laisse disparaître les convenances, elle se comporte d’une façon irréelle, comme une cochonne, aux abois du plaisir. Pas du tout comme une épouse. La mienne n’est jamais aussi demandeuse avec moi… mais peut-être se révèle-t-elle avec un amant ? Je ne le pense pas.Je sais que tu éprouves un ravissement intellectuel à deviner ta femme se faire toucher, se donner à un amant, imaginer faire ce qu’elle ne t’accorde pas… J’en ai profité, sans brutalité, avec respect… Pense à ce que je lui ai imposé et qu’elle a accepté sans sourciller.Ces mots m’électrisaient, je me caressais, le cœur battant, ressentant un bien-être grandissant.Je me suis débarrassé ensuite de mon pantalon, de mes effets. J’ai gardé seulement mon slip qui ne pouvait masquer mon érection. J’ai alors senti ses fines mains à travers le mince coton de mon slip. J’ai baissé mon slip et me suis retrouvé nu, le pénis droit pointant vers le ciel. Je me demande toujours ce que peut ressentir une femme quand elle voit un homme exhibant son organe reproducteur.Cela signifie pour moi : « maintenant, tu vas devoir donner ton corps, te faire pénétrer, ne plus garder ton intégrité physique pour toi seule. « J’ai frotté ma verge sur son con, nos poils se sont mêlés. Notre complicité s’établissait encore plus, la confiance s’installait. Elle devenait chatte.— Il faut que tu me prennes dans ta bouche. Agenouille-toi.Je me suis renversé sur le lit.— Fais l’amour à mon sexe. Embrasse mes bourses (Je garde toujours un vocabulaire respectueux).Elle s’exécutait, ses lèvres parcouraient ma hampe avec précaution. C’était bon de la voir soumise à mon désir. Elle léchait mon frein. Sans la prévenir, mais avec volupté, j’ai pris sa tête et je me suis enfoncé dans sa gorge. J’ai imprimé des va-et-vient lents entre ses lèvres qu’elle tendait. Je voyais se refléter la scène dans la glace.Il fallait maintenant que je l’oblige à s’exhiber, montrer son intimité, la dévoiler totalement. Les épouses de notre génération le font rarement, elles demeurent toujours épouses et mères, rarement amantes.— Mets-toi à quatre pattes… Cambre-toi bien pour offrir ton cul… Ecarte tes cuisses, ta vulve s’ouvre… Voilà , c’est bien, je vois tes lèvres, ton sexe s’épanouit. Aimes-tu t’exposer ainsi ?— Pas trop.— Tu vas rester encore un peu, offerte comme ça.J’effleurais ses poils, sa fente.— Pense que Pierre aimerait te voir ainsi soumise à un amant, il se masturberait en te voyant dans cette position obscène.Sa respiration s’accélérait, ces paroles augmentaient son trouble. Il fallait maintenant que je la baise, lui procure une jouissance définitive. Je me suis placé derrière elle. Je l’ai saisie par les hanches, ai posé mon sexe sur sa vulve. Mon gland a écarté ses lèvres luisantes et s’est enfoncé lentement pour qu’elle ressente bien l’humiliation de se faire pénétrer par un presque inconnu.Elle était devenue mon objet sexuel.J’ai accéléré l’allure, sous mes coups de reins ses cris sont devenus plus nets, et d’un seul coup elle a explosé dans un râle feutré mais puissant, marquant une grande jouissance. Elle venait d’avoir un orgasme violent. N’hésitant pas un moment, ma virilité étant encore tendue, je me suis présenté devant sa bouche sans lui donner le temps de réagir en imprimant quelques mouvements.À son étonnement, j’ai éjaculé dans sa bouche, comme je le lui avais une fois promis, en gémissant, certainement, et en maintenant sa tête pour ne pas qu’elle se dérobe… Ma semence coulait, elle l’a acceptée. Mais rapidement elle a recraché le sperme qui l’avait, dans sa tête, peut-être souillée…Il est difficile de mettre les images en mots, mais peut-être plus facile de mettre les mots en images. J’espère t’avoir fait vivre ce que j’ai vécu. Ta femme est pudique, réservée. Quand je lui ai fait baisser sa culotte, a-t-elle compris que c’est l’offrande de son sexe que je lui demandais ? Ce fut un délice de la voir se donner, offrir son corps avec une certaine classe. Elle attendait la jouissance, n’osait la réclamer. Le fait qu’un autre le lui apporte l’a transcendée, j’en suis sûr.Elle a eu avec discrétion des spasmes de plaisir, a poussé de petits cris, des halètements, des soupirs qui en disaient long sur son état de dépendance. J’ai profité de son corps. L’espace d’un moment, elle m’a appartenu. J’ai peloté ses seins, malaxé ses fesses, caressé sa fente, sa vulve, doigté sa chatte sans qu’elle ne proteste. Je l’ai faite s’ouvrir, exhiber son sexe sans ménagement mais, rassure-toi, avec douceur.Je pense pouvoir la mener plus loin !Je l’ai bien baisée, mon sexe, ma queue devrais-je dire, s’est bien enfoncée en elle, sa chatte était disponible, bien mouillée. Je me suis repu de son vagin, du vagin de la femme d’un autre. La dimension est plus grande comme ça. Elle était presque pitoyable de se laisser prendre sans rechigner, en gémissant jusqu’à l’orgasme qu’elle a trouvé…Ces dernières paroles portèrent mon excitation au maximum. J’accélérai ma masturbation et j’explosai. Mon éjaculation me procura un immense orgasme. Mon plaisir fut plus fort que si j’avais moi-même baisé ma femme…