— Bonjour. Bon, vous êtes vraiment décidés ? Il ne s’agit pas ici de photos soft, vous savez cela ? Il est encore temps de renoncer et d’aller faire l’amour romantiquement dans votre lit ou dans la nature verdoyante.— Non, c’est vraiment décidé.— Et Madame ?— Euh, moi aussi.— Vous avez besoin d’argent ?— Oui, mais…— Non, pas vraiment. Bon, bien sûr, on ne crachera pas dessus. Mais c’est aussi l’occasion pour nous de…— De baiser devant une caméra ?— Non, de…— Madame a-t-elle déjà été prise par-devant ou par-derrière par un autre monsieur que Monsieur, en présence de Monsieur bien sûr ?— Non, pas vraiment.— Bon, quels sont vos prénoms ?— Moi, c’est Michel et elle, Laura.— Laura, tu as déjà pris le sexe de Michel dans ta bouche ?— Oui.— Quel goût a-t-il ?— Euh ? Un bon goût, en général…— Tu avales la fumée ?— La fumée, c’est…— Je sais parfaitement ce que veut dire Monsieur avec la fumée. Ne me fais pas passer pour une imbécile !— Je disais cela au cas où… pour gagner du temps… Et puis, c’est quoi toutes ces questions… Nous, on est venu pour… de l’action, pas pour des questions…— Rassure-toi, de l’action, tu vas être servi, mais je voudrais savoir si ta suceuse fait des gargarismes avec ton foutre.— Oui, j’avale la fumée.— Alors, je renouvelle ma question, quel goût cela a-t-il ?— Un goût de sperme… un peu âcre… un peu salé, il me semble… En tout cas, pas sucré…— Bon, tu as une culotte ?— Non…— Je lui ai dit de ne pas en mettre pour gagner du temps.— Mais non, c’est pour pas qu’on voit les marques des élastiques sur la peau.— Tu vas te lever, soulever ce qui te sert de jupe et me montrer ton trou du cul.(elle s’exécute timidement)— J’ai pas dit tes fesses, j’ai dit ton trou.— Monsieur veut que tu écartes tes fesses… pour qu’il voit mieux. Vous savez, elle a aussi une poitrine qui vaut le…— On t’a demandé quelque chose, Michel ? Je suis encore capable de savoir où se trouvent les seins sur une femme… Voilà , c’est cela, encore un peu. Ce trou est praticable ?— Enfin, je l’ai enculée deux ou trois fois, mais elle a mal…— Bien sûr, bien sûr… Toi, Michel, enfonces-y ton doigt doucement. Mais d’abord enduis-le de cette crème.— N’aie pas peur, ma chérie, j’ai de gros doigts, mais aussi il est enduit… de la crème pour pros…— Tu as mal ?— Non, pour l’instant ça va.— Maintenant, tout en ayant son doigt dans le cul, tu vas me pomper le dard, délicatement, j’entends. D’abord tu sors gentiment le membre viril et tu le mets dans ta bouche. Je sais, il sent fort le mien. Il n’est même pas très propre, mais tu vas me le nettoyer. Toi, Michel, comment tu te sens lorsque tu vois ta femme me sucer le gland ?— Moi, ça va. Bon, je m’y attendais un peu, mais ça fait toujours drôle…— Drôle ?— Enfin, je veux dire, ça fait bizarre.— Bien. Il faudra t’habituer à ce qu’elle pompe des tas de queues, plus belles ou plus laides, plus grosses ou plus courtes que la tienne.— Oui, je me suis fait à l’idée, puisque de toute façon, pour moi… ce sera pareil… Je veux dire l’inverse…— Bon, maintenant que tu lui as bien fourragé le cul, je vais la prendre par le petit trou. Pour voir. Retire ton doigt et lèche-le. Oui, oui. C’est bien. Un peu de crème de pros, comme tu dis, et hop madame est enculée sans problème. Ne me dis pas qu’elle fait des histoires alors que ça glisse comme au pays des merveilles. Bon, maintenant que je la sodomise, là , devant toi, Michel, toujours pas de regrets ?— Non, pas vraiment.— Dis donc, tu m’avais pas dit qu’elle jouissait même du croupion ! Tu vois qu’elle y va de bon cœur, moi je bouge à peine. À propos, tu es bi ?— J’ai fait cela une fois avec une amie à la plage, mais pas très loin…— Je ne te parle pas, à toi ; je ne parle pas aux enculées. Toi, Michel ?— Moi, surtout pas.— Comment ça, surtout pas ?— J’aime pas trop les pédés.— Ah oui mais regarde, maintenant ta femme a besoin de ta queue dans la chatte. Allons, dépêche-toi. Décalotte et viens dans la fente qui mouille comme un œuf à coque qui déborde. Tu t’es trouvé une petite place. C’est bien. Attention, pas d’éjaculation précoce. C’est rédhibitoire pour être engagé ici ! Bon, tu sens aussi ma queue dans le conduit anal, non ?— Oui, c’est un sandwich…— Tu connais bien les termes, comme un vrai pro. Mais ma queue va se retirer et la tienne aussi. C’est ainsi. C’est moi qui décide, je suis le metteur en scène, non ?— Oui, je me retire.— Regarde bien nos deux engins suintants, comme ils sont jolis. Jouons avec. Presse-la contre la mienne. Voilà … C’est cela. Prends la tienne avec ta main et caresse-là , comme un pro. C’est bien, tu as pris une queue en main, eh bien prends-en une autre, la mienne. La tienne, la mienne, qu’est-ce que ça change ?— Oui, mais je ne branle pas.— Eh bien si, malheureusement ! mais c’est ton rôle. On ne te demande pas ton avis.— Bon d’accord, mais je ne suce pas.— Eh bien si ! Mais c’est toi qui viens de m’en donner l’idée. Allez, suce ! Bon bien sûr, elle sort à peine d’un cul, mais c’est le cul de ta femme, non ? Et toi, Laura, qu’est-ce que ça te fait de voir ton mec me tailler une plume ? D’ailleurs, il se débrouille pas si mal, pour un débutant.— Je sais qu’il faudra bien qu’il en avale des plus grosses et des moins longues s’il veut qu’on finisse de payer la maison.— Je crois que je vais gicler. Non, non tu ne t’arrêtes pas ! Tu avales la fumée, toi aussi. Voilà . Maintenant tu nettoies bien, comme les pros, tu sais. Bon, maintenant, tu peux te branler, mais c’est tout. Non, non, Laura, il faut qu’il se débrouille tout seul. Ça mettra le temps qu’il faudra. Nous, on va causer. As-tu déjà fait l’amour dans un lieu public ?— Non, pas vraiment. Une fois, sur le capot de la voiture sur un parking, mais on était bourrés et je ne me souviens plus très bien.— C’était pas avec moi !— Mais si, Michel, tu étais là enfin !— Mais sur le capot, ce n’était pas moi.— En tout cas, j’ai cru que c’était toi, moi. Quand on est bourré, on a toutes les excuses, non ?— Bien, bien ! Mais c’était qui, alors ?— C’était un camionneur ou un routier, quelque chose comme ça. Moi, j’étais en train de pisser et j’ai vu la scène. Je voulais intervenir, mais je n’arrivais pas à finir de pisser.— Effectivement, la scène ne manque pas d’allure ; c’est presque du Bergman.— Voilà , je me souviens maintenant de son nom à ce connard de routier, Robert Bergman, je l’ai vu écrit sur son camion.— Bon, tu te finis ou quoi, tu as la queue rouge vif et rien qui ne vient. Tu viens encore de me donner une idée. Allons dans la salle de bain. J’ai une jolie baignoire. Michel s’allonge dedans, tout en s’astiquant et nous deux, on lui pisse dessus pour l’aider. C’est pas sympa ?— Non, pas vraiment.— Oui, mais maintenant, c’est trop tard, j’ai vraiment envie et le WC est trop loin. Pisse aussi toi, Laura ! Oh ? mais toi, tu lui pisses sur la gueule ! Moi, je fais attention de lui pisser sur le gland, quand même. Ça y est, il y est arrivé avec notre aide. Bravo ! Mais maintenant, il faut nettoyer un peu les engins qui ont fait pipi pour t’aider.— J’en ai plein le cul !— Eh non, pas encore !— J’en ai plein le cul, de vos idées vicieuses à la con. Nous, on est venu pour faire du hard, mais pas des cochonneries comme ça !— Mais, mon petit vieux, le hard classique n’intéresse plus personne, même plus les lycéens. Il faut du trash !— Michel, calme-toi. Ma foi, un peu de pipi…— Un peu de pipi aujourd’hui, et demain il faudra que tu baises avec un doberman !— C’est incroyable, ce type n’arrête pas de me donner des idées !