Un après-midi Ă la campagneIl y avait si longtemps que je rĂŞvais d’un après-midi Ă la campagne.Le hasard me permit de rĂ©aliser ce rĂŞve ; au-delĂ de toutes mes espĂ©rances.Jennifer, une amie d’enfance que je n’avais plus revue depuis des annĂ©es mais qui m’avait retrouvĂ©e par hasard dans l’annuaire des tĂ©lĂ©phones, m’avait gentiment invitĂ©e Ă fĂŞter…
Le temps de l’insouciance Ă©tait revenu. Nous vivions ce que plus tard les « historiens » appelèrent les annĂ©es folles. La Grande Guerre Ă©tait finie depuis presque sept ans, la grande crise n’avait pas encore commencĂ©, ou du moins elle n’avait pas encore atteint notre petit village de campagne.J’avais dix-huit ans et pourtant je n’imaginais pas l’avenir….
Fringues de Putes, Baiseurs Suisses et VoluptĂ©.Ce rĂ©cit constitue le chapitre 5 de la sĂ©rie « Les Collines d’Odile »)Je reviens vers vous pour poursuivre mes souvenirs de photographe amateur, mais avant tout pour vous remercier, vous les inconnus qui m’apprĂ©ciez. C’est la plus mauvaise place, mais cela me touche beaucoup d’y ĂŞtre arrivĂ©, avec des commentaires…
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Petit message perso : Sur Caramail, certains utilisateurs ont, il y a quelques temps, eu un jour la dĂ©sagrĂ©able surprise de retrouver leurs boĂ®tes aux lettres vides. Il semble mĂŞme aussi que certains des messages envoyĂ©s aient eux-aussi disparu. Aussi je prie mes correspondant(e)s de bien vouloir m’en excuser.J’étais en plein milieu de la rivière, vraiment…
La DĂ©esse des Bois et l’ErmiteErmite. Anachorète. Philips habitait loin des regards. Loin de la critique, loin des jugements, loin du monde. Il avait fuit Ă jamais l’urbanitĂ©, depuis le dĂ©cès celle qu’il aimait. Elle Ă©tait malade, horriblement souffrante. Il l’avait dĂ©branchĂ©e. Geste d’humanitĂ© qui le rendit casanier. Il habitait maintenant la forĂŞt. Un endroit…
Le Palier (Les Collines d’Odile -6-)Un jour que j’appelais Odile, car je devais passer dans sa ville, elle me dit que ce ne serait pas possible, ils Ă©taient en plein dĂ©mĂ©nagement et qu’on se verrait dans une dizaine de jours. Par chance elle me donne sa nouvelle adresse et lorsque j’appelle après ce laps de…
Souvenirs de vacances (mais quand mĂŞme très romancĂ©s, dĂ©solĂ©Â !)Pourquoi le cacher ? Je fais du naturisme sauvage, une certaine forme de naturisme, pas celui qui s’exhibe sur les plages, d’ailleurs j’ai une sainte horreur de m’exhiber, j’ai une sainte horreur d’être regardĂ©, je ne veux pas ĂŞtre vu ou alors incidemment, au dĂ©tour d’un sentier, une…
Une grande ville de la cĂ´te fin avril vers 17 heures, en voiture, je ralentis, puis m’arrĂŞte pour laisser traverser une belle femme blonde en tailleur blanc cassĂ©. La jupe est sage juste au-dessus du genou, mais serrĂ©e, jolies jambes, petits talons… Je dĂ©cide de vite me garer pour la rattraper et aller au-devant d’elle…
Tisane Ă l’anis 3ScĂ©nario : Kathleen oceane_cercle@hotmail.comÉcriture : Claude GelĂ©e lelorain@hotmail.comAvril.En effet depuis plusieurs semaines, on essayait cahin-caha de remettre de l’ordre dans le dĂ©roulement de nos Ă©tudes. Toutes les quatre, on voulait finalement faire un peu plus que simplement pointer aux partiels.Il faut bien dire que pour ma part, l’école d’archi avait un regain d’intĂ©rĂŞt soudain…
Les aventures de Louis : La LolitaLouis est, plutĂ´t, Ă©tait agriculteur. Ă€ l’époque de cette histoire, il avait dĂ©jĂ largement dĂ©passĂ© la quarantaine. Le petit hameau tristounet oĂą il habitait avec sa femme se composait de deux fermes et trois maisons, la ferme de Louis et celle de ses beaux-parents, deux des maisons n’étaient habitĂ©es que…
